[:fr]——-
Yaoundé-Cameroun, le 14 août 2020
Dieu nous a promis la victoire en déclarant par le prophète Ésaïe au chapitre 8, du verset 8 au verset 10 : « … Ô Emmanuel ! Poussez des cris de guerre, peuples
! Et vous serez brisés ; Prêtez l’oreille, vous tous qui habitez au loin ! Préparez-vous au combat, et vous serez brisés ; Préparez-vous au combat, et vous serez brisés. Formez des projets, et ils seront anéantis ; Donnez des ordres, et ils
seront sans effet : Car Dieu est avec nous. »
Il a promis mettre du feu dans ma bouche, et a prévu que ce peuple soit du bois comme il est dit dans le livre de Jérémie au chapitre 5, verset 14 : « C’est pourquoi ainsi parle l’Éternel, le Dieu des armées : Parce que vous avez dit cela, voici, je veux que ma parole dans ta bouche soit du feu, Et ce peuple du bois, et que ce feu les consume. » C’est ce qui se passe depuis, et c’est ce qui se passera par ce message que vous recevez.
Le feu consume tous les opposants de Dieu !
Le feu consume tous les antichrists !
Le feu consume toutes les barrières qui sont autour des simples pour les empêcher d’écouter et comprendre la vérité !
Le feu de Dieu consume toutes les oppositions à l’évangile de Jésus-Christ !
Le feu de Dieu fraie le chemin de l’évangile pour le Réveil Spirituel qui doit
commencer au Cameroun !
Le feu de Dieu fraie ce chemin !
Et le feu de Dieu prépare les cœurs pour recevoir ce message !
Merci Seigneur pour ton feu qui revêt ce message !
Merci pour ton feu qui accompagne cette communication et qui produit les effets
que tu as prévus !
À toi la gloire, À toi la reconnaissance !
Merci Seigneur parce que tu l’as fait, au nom de Jésus-Christ !
C’est bien moi le révérend Caleb NGOA ATANGANA, modérateur de l’église
dénommée le Tabernacle de la Liberté, ‘‘Église de tous les peuples’’.
Les activités de notre église ont été provisoirement suspendues pour la première fois, nuitamment, le 27 juillet 2020, sous instruction de Monsieur le sous-préfet
de l’arrondissement de Yaoundé 6e, alors que l’église est implantée dans l’arrondissement de Yaoundé 3e. C’était donc en violation flagrante des lois et règlements en matière de suspension temporaire des activités d’une association
ou d’une église. Monsieur le sous-préfet de l’arrondissement de Yaoundé 3e s’est engagé dans une opération de sauvetage pour tenter de rattraper « l’abus de
compétence territoriale » commis par son collègue de Yaoundé 6e. C’est ainsi qu’il a personnellement conduit les opérations de mise sous scellés de l’auditorium pour la seconde fois le 05 août 2020. Nous nous serions attendus de recevoir une décision et une convocation administratives signées de lui. Il n’en a rien été ! C’est pourquoi cette suspension provisoire des activités de notre église continue donc de revêtir, à mon humble avis, un caractère abusif et illégal pour deux raisons au moins.
Je fais le constat et vous informe que le Sous-préfet de l’arrondissement de Yaoundé 3e a tout simplement usé de sa présence physique pour prétexter être l’autorité administrative territorialement compétente. Ce dernier est en effet
intervenu sur le site de l’évènement sur la base d’une décision viciée, une décision nulle et de nul effet signée par son collègue de Yaoundé 6e. Ce dernier aurait dû,
s’il fallait absolument suspendre provisoirement les activités de notre église, prendre une décision signée de lui-même avant d’intervenir sur le terrain pour cette fermeture temporaire. Nous ne sommes jusqu’ici détenteur que des
documents signés d’un sous-préfet donc nous dénonçons la compétence territoriale.
Le sous-préfet de l’arrondissement de Yaoundé 3e
a juste reconduit la décision n°102/D/J06/SP/06 du 27 juillet 2020 portant suspension temporaire des activités
de l’église dénommée Tabernacle de la Liberté, ‘’Église de tous les peuples’’, dirigée par le nommé NGOA ATANGANA Caleb au quartier BIYEM-ASSI. Cette décision comporte pourtant des incongruités à l’exemple du lieu de
localisation. Il y est mentionné BIYEM-ASSI, alors que l’église est implantée au quartier MBENDAH plus connu sous le nom de « JOUVENCE ». Vous pouvez donc tous constater que c’est le sous-préfet de Yaoundé 6e qui décide, et c’est le sous-préfet de Yaoundé 3e qui applique sa décision sur le terrain. Voilà comment fonctionne l’administration Camerounaise, surtout lorsqu’il s’agit de combattre
le vrai Dieu, le père de Notre Seigneur Jésus-Christ !
L’opposition politique interne et externe ainsi que les citoyens ordinaires accusent régulièrement le Chef de l’Etat, le Président Paul BIYA, de mal gouvernance. Ce cas patent de la suspension des activités de notre église démontre et met
manifestement en exergue la classe des gouvernants qui mettent notre pays en mal.
Sur un tout autre plan, que ce soit le sous-préfet de l’arrondissement Yaoundé 6e, ou que ce soit celui de Yaoundé 3e, aucun d’eux n’a le mandat légal de suspendre les activités d’une association ou d’une église. La suspension provisoire d’une association ou d’une église relève de la seule compétence du Ministre en charge de l’Administration Territoriale. Je veux dire que la loi au Cameroun ne donne pas compétence au sous-préfet sur les associations et les églises. Les activités des associations et des églises sont en effet régies par la loi 90/053 du 19 décembre 1990, portant sur la liberté d’association.
Dans notre contexte, les médias à l’exemple d’Equinox Tv et d’autres sources prétendument crédibles, informent tantôt que c’est Monsieur le Gouverneur de la Région du Centre qui a ordonné de sceller notre église ; tantôt que c’est Son
Excellence, Monsieur le Premier Ministre qui aurait téléphoné et ordonné la fermeture provisoire de notre église. Même si cela s’avérerait vrai, aucun des deux
n’est compétent en la matière, au regard de la loi qui attribue explicitement la compétence au Ministre en charge de l’Administration Territoriale. Nul n’est censé ignoré la loi et nul n’est au dessus de la loi. Lorsque l’on voudrait
appliquer la loi, étant soi-même hors la loi, cela est très malheureux et pitoyable. Pour les membres de notre Gouvernement et leurs « subalternes qu’ils utilisent au
gré de leurs intérêts visibles et invisibles », je dirais que c’est malhonnête d’agir de la sorte ! Voici ce que stipule la loi N° 90/053 du 19 décembre 1990 sur les associations en son article13 alinéa 1 : « Le Ministre en charge de
l’Administration Territoriale peut, sur proposition motivée du Préfet, suspendre pour une durée maximum de trois (3) mois, l’activité de toute association, pour trouble à l’ordre public. Voilà la procédure en matière de suspension provisoire d’une association. Et le motif unique y est bel et bien précisé : il s’agit de « trouble à l’ordre public ». L’article 30 de la même loi
dispose quant à elle, s’agissant des églises que : « toute association religieuse peut être suspendue par arrêté du Ministre en charge de l’Administration Territoriale pour trouble à l’ordre public. Et cette suspension obéit aux
dispositions de l’article 13 ci-dessus. » Ici encore, l’unique motif devant donner lieu à suspension provisoire, par arrêté ministériel et non par décision d’un Sous-Préfet, est bien précisé : c’est le trouble à l’ordre public.
Pour le cas d’espèce, nous n’avons jamais troublé l’ordre public au Cameroun.
J’ai juste émis mon opinion sur ce qu’on appelle pandémie du Coronavirus et les mesures barrières. Et d’ailleurs l’opinion ainsi exprimée n’est pas la mienne. Elle est celle de Dieu, émise depuis le mois de mars 2020, et réitérée jusqu’à
présent. Toutes ces révélations par le Saint-Esprit de Dieu sont publiées dans la chaîne YouTube et les autres médias du ministère. Si certaines personnes ont été
convaincues par cette opinion, cela voudrait dire qu’elle est pertinente. J’ai suivi des journalistes d’Equinox Tv et autres dire que certains professeurs d’université ont soutenu leurs enfants ayant refusé d’arborer le masque ou le cache-nez avant d’accéder aux salles d’examens pour composer pour le compte des examens officiels. Ces enfants ont été chassés par les responsables de certains centres d’examens, et sont retournés chez eux. Ils n’ont pas composé pour une histoire de cache-nez ; alors qu’ailleurs, je voudrais dire dans d’autres centres d’examens, la solution la plus évidente de faire composer tout enfant sans cache-nez dans une salle isolée, a été trouvée. Un tel acte empreint de méchanceté diabolique indique visiblement que cette « affaire » de cache-nez voile quelque chose qui viserait particulièrement la jeunesse de notre pays.
Nous sommes au Cameroun qui est un état de droit. Mon opinion sur un sujet
d’actualité, fut-il pandémie du covid-19, ne doit pas valoir la fermeture de mon église, abusivement et illégalement. À son article 18, voici ce que Universal Declaration of Humain Rights dispose : « Everyone has the right to freedom of thought, conscience and religion; this right includes freedom
to change his religion or belief, and freedom, either alone or in community with others and in public or private, to manifest his religion or belief in teaching, practice, worship and observance. »
Étant donné que notre pays le Cameroun a ratifié cette Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, il va de soi que chaque camerounais comme moi, devrait jouir de son droit d’opinion, de conscience, de religion ou de croyance. Mon opinion ne doit pas à ce titre me rendre indésirable par les ennemis de la vérité qui sont venus sceller mon église en toute illégalité.
Enfin, je voudrais relever en matière de compétence qu’aucun des textes cités sur la décision N°102/D/J06/06/SP du 27 juillet 2020 signée par le sous-préfet de Yaoundé 6e et exécutée par le sous-préfet de Yaoundé 3e ne leur confère le pouvoir légal de suspendre les activités d’une association ni d’une église. Il n’existe pas encore au Cameroun, un arrêté par lequel le Ministre en charge de l’Administration Territoriale, délègue aux Préfets pire aux sous-préfets, les pouvoirs qui lui sont dévolus par la loi 90/053 du 19 décembre 1990, en matière de répression d’association ou d’église. L’acte pris et appliqué par l’autorité administrative pour suspendre provisoirement les activités du Tabernacle de la
Liberté, ‘’Église de tous les peuples’’, est en conséquence frappé de nullité. Il est à ce titre de nul effet. Nous nous réservons le droit, nul n’étant au-dessus de la loi, d’utiliser les voies de recours que nous accorde la loi camerounaise.
Comme si cela ne suffisait pas, « ces corrompus » par les ennemis du Tabernacle de la Liberté, ‘’Église de tous les peuples’’ et de l’évangile, le vrai, ont mis en place un dispositif de garde et de surveillance de l’édifice scellé. Outre les forces
de sécurité et de maintien de l’ordre, ledit dispositif implique même le voisinage immédiat et les motos taximen exerçant dans la zone d’implantation de l’église. C’est ainsi que la tombe de Notre Seigneur Jésus-Christ fut gradée par des
soldats ! L’évangile de Matthieu le rapporte ainsi au chapitre 27, du verset 65 au verset 66 : « Pilate leur dit : Voici des soldats ! Allez ! Faites garder la tombe comme vous voulez ! Ils vont préparer la garde de la tombe. Ils bloquent la
pierre de l’entrée et ils mettent des soldats pour la surveiller » (Matthieu 27 : 65-66) Mais la suite, nous la connaissons tous, nous qui lisons la parole de Dieu ! La Bible renseigne en effet à ce sujet par l’évangile de Matthieu au chapitre 28, du verset 2 au verset 4 que : « Tout à coup, il y a un grand tremblement de terre. Un ange du Seigneur descend du ciel. Il vient rouler la pierre de la tombe et il s’assoit dessus. Il brille comme un éclair et ses vêtements sont très blancs. Les
soldats qui gardent la tombe sont effrayés. Ils se mettent à trembler et ils deviennent comme des morts. » Ce sera le sort que Dieu réservera à tous ceux qui ont pris part au complot contre notre église, à quelque niveau que ce soit !
La suspension des activités de notre église est un véritable complot et un acharnement ! Car la question qui fâche, mais qui demeure est celle de savoir s’il y a coronavirus au Cameroun. Dieu répond NON ! Et comme je suis de Dieu, je
réponds NON ! Et pourtant le pays s’est endetté pour une « affaire » qui n’existe pas ; le Cameroun aura dépensé, selon certaines sources, plus de deux cents milliards de francs CFA ! Ceux qui ont organisé ce gaspillage sur fond de détournements doivent « rendre gorge ». Voilà l’enjeu, et voilà pourquoi je suis l’homme à abattre au Cameroun par les membres du Gouvernement !
Que l’opinion nationale et internationale que je prends à témoin dise :
Qui survivrait s’il y avait ce virus dit MORTEL au Cameroun ?
Qui vivrait à l’avenue Kennedy à Yaoundé ?
Qui vivrait au marché central de Yaoundé ?
Qui vivrait dans les marchés de MVOG-MBI, MOKOLO, MVOG-ADA, ETOUDI, ESSOS ?…
Qui vivrait au marché central de Douala, aux marchés de NDOKOTI, DEIDO, NYLON, SANDAGA, BONABERI ?…
Qui vivrait aux marchés A et B de BAFOUSSAM ?
Qui vivrait dans les marchés des autres villes du Cameroun ?
Qui vivrait parmi les adeptes des boîtes de nuit, des bars et restaurants ?
Evidemment, s’il y avait ce VIRUS MORTEL au Cameroun, personne ne vivrait !
Que Dieu bénisse le Cameroun !
Que Dieu bénisse l’Afrique !
Que Dieu bénisse le Monde ![:]