[:fr]PRÉDICATION : SE SACRIFIER PAR AMOUR POUR SES FRÈRES ET PAR COMPASSION POUR LES PAÏENS (2e partie)[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

 

RÉFÉRENCE BIBLIQUE : LUC 10 : 25-37

 

Alléluia !

Merci Jésus !

Restez debout et prenez votre Bible pour la lecture de la parole de Dieu portant message du jour !

Seigneur, nous te remercions pour ton oreille tendue vers nos prières. Merci pour leur exaucement !

Ouvrez votre Bible avec moi et repartons dans notre texte de jeudi passé, à savoir, Luc au chapitre 10, à partir du verset 25 ! Nous lisons au nom de Jésus-Christ :

« Un docteur de la loi se leva, et dit à Jésus, pour l’éprouver : Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Qu’est-il écrit dans la loi ? Qu’y lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même. Tu as bien répondu, lui dit Jésus ; fais cela, et tu vivras. Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus : Et qui est mon prochain ?


Jésus reprit la parole, et dit : Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s’en allèrent, le laissant à demi mort. Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre. Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l’ayant vu, passa outre. Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu’il le vit. Il s’approcha, et banda ses plaies, en y versant de l’huile et du vin ; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui. Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l’hôte, et dit : Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour. 

Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands ? C’est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit : Va, et toi, fais de même. »

Nous bénissons Dieu. Nous sommes aujourd’hui dimanche, 23 janvier 2022. L’année 2022 est entamée et les jours ne font que passer. Voici le premier mois, le mois de janvier qui finit déjà ; il n’en reste qu’une seule semaine et ce sera terminé pour ce premier mois de 2022. Le Seigneur continue de travailler, même si les tyrans de ce monde prétendent ne pas vouloir baisser les bras. Ils seront forcés de les baisser, afin de laisser le peuple de Dieu aller libre, au nom puissant de Jésus.

Pour que cette action de Dieu puisse porter les fruits, vous qui êtes enfants de Dieu, vous êtes appelés à revêtir la nature de Dieu qui est L’AMOUR : L’AMOUR pour le Seigneur Dieu, et L’AMOUR pour le prochain. Voilà comment se résument les dix commandements ! Ils se résument en L’AMOUR pour Dieu et L’AMOUR pour le prochain. Dire donc que vous avez donné votre vie à Jésus, que vous êtes remplis de son Esprit, que vous parlez en langues et faites des miracles ou autres, si vous n’avez pas de L’AMOUR pour Dieu et pour le prochain, vous êtes menteurs et tout ce que vous faites relève du théâtre. Car en fait, donner effectivement sa vie à Jésus, c’est aimer Dieu et son prochain.

Ce que Jésus a dit au docteur de la loi dans ce texte est très pertinent. Celui-ci lui posait la question pour l’éprouver. Il prétendait rechercher ce qu’il faut faire pour avoir la vie éternelle. C’était pour l’éprouver. Lorsqu’il posait la question à Jésus, ce n’était nullement dans l’intention de rechercher la voie d’aller au ciel. La preuve en est que, lorsque Jésus lui avait donné la réponse, il avait prétendu ne pas connaître qui est son prochain. Voyez-vous ! Le texte rapporte au verset 25 que c’était pour l’éprouver, ou mieux, pour le tenter. Lorsque Jésus lui avait demandé ce qui est écrit dans la loi, celui-ci, docteur de la loi qu’il était, avait bien résumé les dix commandements.

Voici un extrait de cet entretien aux versets 25 à 28 : « Un docteur de la loi se leva, et dit à Jésus, pour l’éprouver : Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Qu’est-il écrit dans la loi ? Qu’y lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même. Tu as bien répondu, lui dit Jésus ; fais cela, et tu vivras. » Jésus lui avait dit de se référer à la loi qu’il avait bien résumée. Il avait bien répondu que la loi prescrit d’aimer Dieu et le prochain. C’est alors que Jésus lui avait dit de faire cela et il vivra. Mon Dieu ! Voilà ce que signifie donner sa vie à Jésus ! Voilà ce que signifie devenir chrétien, naître de nouveau ou « born again » ! C’est aimer Dieu et aimer le prochain.

Voilà ce qu’il faut faire en vrai pour dire qu’on est chrétien. Voilà ce qu’il faut faire sans intérêt et sans calculs. Un amour calqué sur Dieu n’est pas pour soutirer quelque chose du prochain. Non ! La Bible nous fait comprendre que, pendant que nous étions encore des pécheurs, Dieu nous a aimés. C’est ainsi qu’il avait couru le risque d’envoyer son Fils unique mourir pour les pécheurs. Malgré qu’il savait que tous n’allaient pas apprécier son don, il l’avait tout de même donné. C’est de cette même manière que nous devons aimer.

Jésus, répliquant au docteur de la loi qui voulait savoir comment faire pour hériter la vie éternelle, lui avait dit au verset 28 : « fais cela, et tu vivras. » Jésus lui demandait en fait de se référer tout simplement à la loi, une loi dont il avait démontré avoir une bonne maîtrise. Si vous dites donc que vous êtes chrétiens et vous ne pratiquez pas l’amour pour Dieu qui signifie, l’obéissance à ses commandements ; et vous ne manifestez pas l’amour pour le prochain qui signifie l’assistance à celui-ci, comprenez que vous n’êtes pas chrétiens. Et la vie éternelle est donc très loin de vous. Je peux dire à cet effet que, la tentation de Jésus par ce docteur de la Loi, a été utilisée par Dieu pour nous, pour vous et pour moi. Elle nous permet de mieux comprendre et assimiler ce que nous sommes appelés à faire.

Jésus a su prendre l’illustration de cet homme qui avait été agressé par les bandits. Celui-ci avait été abandonné par ses agresseurs, agonisant sur la voie publique. Jeudi passé, nous avons vu que, c’est ce genre d’agression que subissent les véritables humains créés à l’image de Dieu sur cette terre. La plupart des humains créés à l’image de Dieu ont été agressés au cours de leur existence. Et l’on observe d’ailleurs que, ce sont ceux-là qui ont été agressés par les brigands qui se convertissent. Ce sont eux qui, lorsqu’ils reçoivent le message, l’évangile, reconnaissent qu’ils sortent de très loin. Ils reconnaissent qu’ils étaient mourant et le Seigneur a eu compassion d’eux et les as sauvés. Je confirme cela par ma propre vie. En regardant derrière depuis que je suis devenu enfant de Dieu, je comprends que je reviens de très loin. Je confirme que j’étais dans le coma. Lorsque Jésus parle de demi-mort dans le texte, il veut dire que l’homme agressé était dans le coma.

On comprend que le Seigneur se révèle aux agressés, quand ceux-ci sont à demi-morts, quand ils sont dans le coma ; quand ils sont dans l’inconscience, ayant déjà été malmenés et maltraités de toutes les manières. C’est à ce moment-là que le Seigneur intervient pour les sauver. Car, ce monde est rempli des brigands, des malfaiteurs dont les enfants de Dieu sont des victimes. Il est rare de voir quelqu’un qui dit qu’il croit en Jésus, quand les choses vont bien pour lui. Il leur faut toujours, pour des vraies conversions des enfants de Dieu, passer par de graves difficultés. Il leur faut avoir subi l’agression, la vraie agression. C’est alors que le Seigneur dans sa grâce, envoie un bon samaritain, comme ce fut le cas pour l’agressé dont nous lisons l’histoire aujourd’hui, pour les sauver de leur situation, alors même qu’ils étaient déjà sur le point de mourir.

Et on peut couramment observer que, la plupart de ces agressés sont victimes des prêtres, des religieux, des extrémistes religieux. Et lorsqu’ils ne sont même pas leurs victimes, ces derniers ne prennent pas soin d’eux. Nous le voyons avec le cas de cet agressé dont il est question dans ce texte. Alors qu’il était abandonné par ses agresseurs en pleine voie publique, c’est un religieux puis un autre homme d’église qui sont passés les premiers. Mais, ces derniers ne s’étaient pas occupés de lui comme on se serait attendu. Ils étaient les premières personnes à voir son état, mais, ils étaient passés outre. Voyez-vous ! Les vraies victimes prévues au salut passent d’abord entre les mains des religieux. Ces derniers ne prennent pas soin d’eux ; ils ne leur disent pas la vérité par rapport à leur salut. Ils ne leur disent pas quoi faire pour être sauvé.

Rendez-vous compte les amis que, les églises qui existent aujourd’hui, ne cherchent pas le bien-être des individus. Sinon, pourquoi verrons-nous qu’un prêtre à qui on a confié des enfants pour leur enseigner la Bible, et celui-ci commence à en abuser. Comment celui-ci commet-il ce que nous appelons aujourd’hui la pédophilie ? Comment cela peut-il se comprendre ? Ils sont méchants. Lorsque les parents confient leur enfant à un prêtre ou un pasteur, il est présumé que cet enfant est un « cas » qu’ils veulent sauver. Ils espèrent donc que l’homme d’église en prendra bien soin pour le sauver. Cet enfant est donc déjà une victime dont l’homme d’église ou le prêtre doit s’occuper. Mais, celui-ci passe outre. Il ne fait pas le travail qu’il est supposé faire dans sa vie, mais il abuse plutôt de lui. Il peut s’agir d’un jeune garçon, d’une jeune fille, d’une femme mariée ou autre.

Les gens vont dans les églises parce qu’ils ont des problèmes, ils sont malades, mais les hommes d’église ne s’occupent pas d’eux. Ils ferment les yeux et passent outre. C’est ce que nous voyons dans notre société aujourd’hui. C’est pourquoi vous pouvez constater que, plusieurs personnes qui sont pourtant des simples, ont renoncé à la foi chrétienne ou à l’église tout court. C’est parce qu’elles ont été abusées et choquées par ces gens dont je parle. Ils ont été choqués par les prêtres, les lévites et les pharisiens, c’est-à-dire par les pasteurs, les prêtres, les hommes d’église. C’est pour cette raison que ceux-ci ne veulent plus entendre parler de l’église.

Je vous disais jeudi passé que, lorsque vous êtes réellement victimes des brigands, vous êtes à demi-morts. Vous ne devez donc pas vous rappeler de ce qu’on vous a fait. Ce qui est à faire, c’est de savoir que la main de Dieu est sur vous ; et que, le bon samaritain n’était pas encore venu pour vous sauver des abus dont vous avez souffert. Vous ne devez donc plus regarder derrière pour revoir les abus et autres souffrances que vous avez connus dans le passé. Vous devez simplement écouter l’interpellation qui vous est adressée. Répondez à cette interpellation. Dieu vous appelle. Il vous demande de revenir à lui ; de revenir à son Fils, et d’avoir son genre de cœur. Le cœur de Dieu n’est pas un cœur de rancune, mais un cœur d’amour, un cœur de pardon. Vous pouvez donc démarrer avec Dieu aujourd’hui. Même si vous avez été abusés un millier de fois, aujourd’hui, vous pouvez en faire table rase et démarrer avec Dieu.

Vous pouvez décider de démarrer avec Dieu aujourd’hui en acquérant son cœur, qui est un cœur d’amour, de pardon et de miséricorde. Ce n’est que ce genre de cœur qui peut effectivement vous sauver. Un cœur de vengeance ou de haine ne peut pas vous sauver. Même s’il est vrai que vous avez été victimes dans tous ces domaines, mais vous n’êtes pas appelés à rembourser la pareille, c’est-à-dire à rendre le mal que les gens ont eu à vous faire. Vous devez pardonner ; vous devez manifester le cœur de Dieu, pour avoir la vie éternelle.

Lorsque vous voyez des gens continuer de fréquenter des milieux où ils savent bien qu’il y a des abus, des pratiques malveillantes ou répréhensibles, les mauvais comportements des dirigeants, vous devez comprendre qu’il s’agit des sorciers et des sectaires qui ne sont que des partenaires des dirigeants d’un tel milieu. Ce sont leurs partenaires du mal. Car en effet, quelqu’un qui est simple d’esprit, et qui a été abusé ou qui a découvert que des gens sont abusés dans le milieu religieux qu’il fréquente, celui-ci ne peut pas continuer à fréquenter ledit milieu. Cela est impossible.

Il me souvient l’histoire d’une magistrat réputée catholique, qui me disait un jour que l’église catholique est son église, et qu’elle ne peut pas la quitter sous aucun prétexte. Elle soutenait que, même si elle bagarre avec son prêtre à l’instant, elle continuera d’aller s’assoir pour écouter son prêtre. Une telle position est incompréhensible. Vous comprenez tout de suite qu’une telle personne est compliquée. Car, il est incompréhensible que malgré les mauvais comportements observés par les fidèles de leurs dirigeants, ces derniers se tiennent mordicus derrière eux.

Cette magistrat soutenait mordicus que, quel que soit ce que les prêtres peuvent faire en termes de mauvais comportements et abus de toute nature, elle ne peut pas quitter son église ; et quel que soit les problèmes qu’elle peut avoir avec son prêtre, elle ne peut quitter son église d’elle-même, et elle ne peut accepter de quitter si le prêtre décide qu’elle s’en aille. Elle ne peut pas quitter son église catholique quelle que soit la raison. Voyez-vous une telle position ? On peut en déduire qu’il y a une alliance profonde entre cette église et elle. Elles savent ce qu’elles font dans les ténèbres ensemble. Elle ne peut être une simple. Elle y joue un certain rôle.

Il y a un instant, nous priions contre les membres du gouvernement. Et vous avez entendu le genre de pratiques que le ministre Henri EYEBE AYISSI est allé faire dans la ville de BATSCHENGA. Celui-là fréquente une église non ? Il fréquente une église. Mais que fait-il comme pratiques ? Il fait du satanisme. Il fait des incantations en route tout nu, pour pouvoir se maintenir au poste de ministre ; et pour ne pas être inquiété par les nombreux dossiers compromettants qui pèsent sur lui. Tous ces membres du gouvernement dont nous parlons sont dans des églises, ils sont dans la religion. Ils sont des catholiques ou des musulmans. Ils sont dans la religion. Ils sont des fidèles des milieux religieux. Lorsqu’ils y arrivent on leur donne les premières places et, ils en sont les sponsors. Il me souvient d’avoir lu un article qui informe que, le Président de la CAF, le Sud-Africain Patrice MOTSEPE, est passé à la paroisse catholique anglophone de Vogt-Ada, où il a fait un don de 200 000 dollars, soit l’équivalent de 110 millions de francs CFA environ. Voilà leur façon de faire !

Ils aiment sonner la trompette en donnant leur offrande ! A-t-on besoin de connaître le montant que vous mettez dans le tronc comme dîme ou comme offrande ? Non ! C’est comme cela qu’ils font, c’est comme cela qu’ils font. D’autres font don de la construction de chapelles et en font la publicité, comme ce fut le cas pour le ministre de l’Administration Territoriale, Paul ATANGA NJI dernièrement. Nous avons lu dans les journaux que celui-ci a offert une chapelle à la paroisse de sa belle-famille dans la Région du Sud-Cameroun. Tous ces gens-là disent qu’ils sont chrétiens, mais ils sont dans les pratiques maléfiques. Et ils les font avec les chefs des religions respectives.

Ce qui se passe donc aujourd’hui est que, ce sont les élus de Dieu qui sont des victimes de toutes sortes de pratiques au milieu des bandits. Je m’adresse aujourd’hui aux victimes de ces bandits. Vous avez été victimes des religions, victimes des dirigeants religieux, victimes des religieux, victimes des extrémistes, comprenez que ces gens ont fait leur travail qui est le mal. Comme le pharisien et le lévite qui sont passé l’agressé outre, c’est de même que vous êtes traités par vos bourreaux. Les deux hommes d’église qui n’ont pas daigné porter assistance à l’agressé, ont commis l’infraction de « non-assistance d’une personne en danger », et étaient à poursuivre. Ils étaient à poursuivre et à être condamnés au même titre que ceux-là qui ont agressé cet homme dont s’était occupé le bon samaritain. Ils méritaient des poursuites pour subir la même condamnation que les agresseurs. C’étaient des brigands.

Les religieux sont des brigands, les chefs religieux sont des brigands. Et les simples sont leurs victimes. Nous tous nous passons d’abord par-là. Nous commençons tous par être d’abord victimes avant d’avoir un bon samaritain qui nous relève et nous soigne. C’est ce dont vous avez besoin, et c’est aussi ce travail de bon samaritain que vous devez faire. Vous devez récupérer les victimes des agressions diverses, prendre soin d’elles, et les mettre au bon endroit. Ce n’est pas bien d’être ignorant.

Voyez-vous, ce qu’on appelle « célébration inter-religieuse » ou encore « culte ou messe œcuménique » est un concept religieux qui vient vraiment des enfers. Il me souvient que je prenais part à ce genre de célébration en toute ignorance. Et j’orientais aussi des gens dans n’importe quelle église, y compris de mauvaises et surtout que tout ce qui est dehors comme église est mauvais. En nous référant au bon samaritain qui nous est présenté comme modèle dans ce texte, on remarque que, lorsqu’il a pris la victime de l’agression, il l’a amené dans un endroit approprié, à l’hôtellerie précisément. Et avant de quitter les lieux pour poursuivre son voyage, il a donné des consignes à l’hôtelier. On remarque bien qu’il s’était assuré que la victime devait être aux bons soins après lui. Il ne l’avait pas pris et l’avait juste déposé à un lieu quelconque ou n’importe où.

Ce que le bon samaritain avait fait, est bien le contraire de ce que nous observons aujourd’hui. Ce qui prétendent évangéliser dehors envoient les gens qu’ils évangélisent n’importe où, dans n’importe quelle église, dans n’importe quelle dénomination. Cela se vérifie bien lorsque plusieurs religions ou dénominations organisent des campagnes d’évangélisation ensemble. À la fin, on dit aux participants qu’ils doivent prendre le contact de l’une des différentes dénominations qui ont initié la campagne d’évangélisation. Cela veut dire qu’on envoie des gens en aventure n’importe où, sans réellement prendre soin d’eux pour s’assurer qu’ils seront bien accueillis et convenablement pris en charge là où ils se dirigeront. Cela relève de l’irresponsabilité et démontre l’ignorance. Moi qui vous parle, je l’ai fait. Je l’ai fait, et c’est maintenant que je comprends que c’était dans l’ignorance totale que je le faisais.

J’ai souvent pitié de moi-même de sorte qu’il m’arrive de confesser à Dieu des péchés que j’avais commis dans le passé en toute ignorance. J’évangélisais et je recommandais des milieux que je ne maîtrisais pas aux évangélisés. J’avais pris part à l’organisation de plusieurs campagnes d’évangélisation inter-religieuses où après, j’orientais les gens dans de fausses églises. Je regrette d’avoir vainement dépensé mon énergie et de n’avoir pas pris soin des gens que je prenais le risque d’envoyer dans de fausses églises. J’ai perdu beaucoup de temps ; j’ai perdu tellement de temps ! Seigneur ta grâce dans ma vie ! J’ai fait cela de longues années durant, alors que j’étais encore jeune et donc vigoureux. J’ai réellement le regret de savoir que toute cette vigueur juvénile, je l’ai perdue dans des futilités, croyant servir Dieu. Eeeh Seigneur, ta grâce, ta grâce !

Le bon samaritain nous apprend dans ce texte comment on prend soin d’une victime. Celui-ci avait pris la victime, avait nettoyé ses plaies, l’avait transportée jusque dans une hôtellerie et y avait passé la nuit avec lui. Et même lorsqu’il devait poursuivre son voyage le lendemain, il avait pris les dispositions adéquates pour qu’elle soit bien prise en charge par l’hôtelier en son absence. Il avait donné des consignes à ce dernier tout en lui promettant qu’il repasserait par-là au retour de son voyage, histoire de se rassurer que tout s’était bien passé avec la victime après lui, et solder éventuellement la facture, si l’hôtelier avait effectuer des dépenses supplémentaires. Voyez-vous son état d’esprit ; voyez-vous son état de cœur ; voyez-vous la manifestation de l’amour ? Nous ne devons pas envoyer les victimes des agressions diverses que nous rencontrons n’importe où. Nous devons savoir bien prendre soin d’elles.

Je dois vous avouer que j’ai continué à envoyer les gens dans n’importe quelle église de réveil avant la création de Faith Radio. Comme j’animais des émissions dans certaines radios privées, je recommandais les églises de réveil aux gens sans savoir que je les envoyais dans la religion, dans des faux et mauvais milieux. Je croyais que ces églises enseignent la vérité ; je croyais qu’elles enseignent la même chose, sans savoir que ce n’était pas les églises de Jésus-Christ. Il a fallu l’avènement des délivrances prophétiques pour que mes yeux s’ouvrent. C’est grâce aux délivrances prophétiques que j’ai découvert que ces gens qui prétendent parler en langues, qui prétendent avoir le Saint-Esprit, sont comme ceux qui ne parlent pas en langues ; qu’ils sont comme les catholiques et autres religions : témoins de Jéhovah, protestants, etc. À plus de trente ans de ministère pastoral, ce n’est qu’en 2012-2013 que j’ai découvert cette réalité et compris que je devais me méfier de toutes ces églises dites de réveil. Mon Dieu !

Nous sommes appelés à avoir l’esprit du bon samaritain, qui pourtant, à son époque, était considéré comme un païen. C’est comme cela que notre église est considérée. Seigneur ! Notre église est considérée dans notre pays comme une église illégale par les autorités. D’autres la qualifie d’églisette, c’est-à-dire une toute petite église. Notre église n’a aucune considération dans l’opinion ; elle n’a aucune considération. C’était la même chose chez les juifs à l’époque. Les samaritains n’avaient aucune considération auprès des juifs. Et il arrivait même que l’on appelle Jésus, le samaritain. C’était une injure à cette époque-là. Les samaritains étaient des indignes pour la société juive. Ils étaient pris pour des gens qui n’ont rien à avoir avec Dieu. Dire donc à quelqu’un qu’il est un samaritain à cette époque-là, était une injure.

Mais, c’est le samaritain, le rejeté par les religieux qui se disaient être de Dieu, c’est plutôt lui, qui avait manifesté le cœur de Dieu, la nature de Dieu, à cet homme qui avait été victime d’agression par les bandits. Chers amis, ce n’est pas le milieu que vous fréquentez qui doit vous rendre témoignage ; c’est plutôt la vie que vous menez qui doit vous rendre témoignage. La vie chrétienne est une vie pratique. Elle n’est pas une vie théorique se limitant à votre appartenance à une religion ou à une église. C’est pourquoi, vous pouvez trouver des gens qui fréquentent le Tabernacle de la Liberté pendant des années, mais qui demeurent des païens et même des diaboliques. Ce n’est pas tant le milieu fréquenté qui change les gens. C’est la parole de Dieu qui transforme les gens, lorsque ceux-ci ont accepté de lui obéir. C’est pourquoi je vous demande d’obéir à la parole de Dieu. C’est celle-ci qui vous changera et non ce milieu qu’est le Tabernacle de la Liberté. N’importe qui peut venir le fréquenter.

Vous aurez donc tort d’étiqueter les fidèles du Tabernacle de la Liberté qui se comportent mal dehors, pour jeter le discrédit sur toute l’église. Non, vous ne devriez pas conclure par le mauvais comportement de certains individus qui fréquentent ce milieu, que les fidèles du Tabernacle de la Liberté se comportent mal. Non, les portes de l’église sont ouvertes pour tous. N’importe qui peut y entrer. Mais, lorsqu’il peut être observé que vous y êtes entrés depuis un certain temps, mais qu’il n’y a pas de transformation en vous, on peut alors mettre l’œil sur vous et finir par vous chasser ; surtout lorsque vous êtes une pierre d’achoppement pour les autres. C’est comme cela que ça se passe au Tabernacle de la Liberté, contrairement à ce qui se passe dans les milieux religieux. Il n’est pas courant de voir qu’on chasse les gens de l’église. Cela m’a souvent été reproché par certaines autorités de la place, autorités administratives ou judiciaires.

Comme j’ai souvent été trainé dans les commissariats, les bridages de gendarmerie par les gens qui sont chassés de notre église, parce qu’ils sont des bandits, les enquêteurs m’ont souvent reproché de chasser les gens de l’église. Ils me posent la question de savoir si le pasteur doit chasser les gens de l’église. Ils ne savent pas que c’est comme cela que ça doit se passer. Je prends généralement sur moi de leur dire que c’est ce qui doit être fait lorsqu’une personne est une occasion de chute pour les autres. Une telle personne doit être sortie du milieu des autres ; d’autant que la Bible dit : « ôtez le méchant du milieu de vous ! » (1 Corinthiens 5 : 13). Et comme j’aborde cet aspect maintenant, je vais profiter pour interpeller mon fils Parfait EFALA.

Je dois l’interpellation à l’instant pour lui rappeler que, les problèmes entre frères qui parviennent à l’église se résolvent en public devant toute l’assemblée. Les règlements se rendent à l’église et non au quartier. Et lorsqu’un règlement a déjà eu lieu à l’église, il n’est pas bon d’aller rouvrir ce règlement au quartier, en dehors du pasteur et de l’assemblée qui a été témoin. Un tel comportement n’est pas bon. Et c’est ce que tu as fait. Tu es donc passible de sanction. Je t’en avertis donc pour la dernière fois. Ton nom est déjà sorti plusieurs fois dans des situations qui ont connu un arrangement à l’église. Mais tu es toujours allé par derrière remettre en cause l’arrangement qui a été fait en assemblée, mettant ainsi à mal la conscience des autres parties. Je te prie de ne plus le faire s’il te plaît. Ne fais plus cela. C’est un avertissement solennel que je te donne aujourd’hui. Je me demande si tu n’as pitié de toi-même.

Dis-moi, depuis que tu dis que tu as cru, quels fruits produis-tu pour ton Dieu ? Qu’est-ce que tu produis comme fruits pour ton Dieu ? S’il t’arrivait de partir maintenant, que montreras-tu à Dieu comme accomplissement ? Que fais-tu ? Hein ! Seigneur, ta grâce ! Je te demande d’arrêter ce que tu fais. Tu dois cesser cela. Je dis bien que c’est un dernier avertissement que je te donne. S’il me revient que tu t’es encore comporté de la sorte, c’est-à-dire que tu repars par derrière parler des choses qui ont été arrangées en assemblée, ou même pour parler de cet avertissement que je te donne actuellement, tu seras sanctionné ; tu auras choisi de mettre un terme à la foi que tu voulais entamer ou démarrer. Je ne sais pas ce que tu attends depuis que tu es à l’église pour te convertir et t’engager à courir réellement avec Dieu. Il n’est pas bon d’être une pierre d’achoppement pour les autres. Cela n’est pas bon.

Vous êtes encouragés depuis longtemps par les enseignements à vous aimer entre vous. Et lorsqu’on parle de l’amour, on parle nécessairement de pardon. L’amour ne fonctionne pas sans pardon. Il ne fonctionne pas sans pardon. D’ailleurs, je vous ai donné le verset 32 d’Éphésiens au chapitre 4, et les versets 1 à 2 d’Éphésiens au chapitre 5 l’autre jour qui disent ce qui suit : « Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ… Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés ; et marchez dans la charité, à l’exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur. ».

Chers amis, voilà ce à quoi nous sommes appelés et interpellés chaque jour et toujours. Comprenez-vous cela ? S’il y a par exemple de l’incompréhension dans ce qui se serait passé entre votre frère et vous ou votre sœur et vous, et si vous avez l’Esprit de Dieu, cet Esprit de Dieu en vous, vous donnera de savoir supporter les faiblesses de votre frère ou votre sœur. L’Esprit de Dieu en vous, vous évitera d’en faire un drame, en cherchant à avoir absolument raison sur votre frère ou votre sœur. Il ne sert à rien de vouloir absolument remettre les arrangements faits par l’église en question, à l’effet de démontre à tout prix que vous aviez raison. Ce n’est pas comme ça qu’il faut vous comporter. Ce n’est pas ce que Dieu nous demande de faire. Dans un différend entre votre frère ou votre sœur et vous, vous pouvez avoir tort à 1%, alors que l’un ou l’autre de votre adversaire a tort à 99%. Mais, du point de vue de Dieu, vous avez tous tort, malgré que vous n’ayez tort qu’à 1%.

Lorsqu’on est donc chrétien, on ne doit pas quantifier sa part de tort dans un différend, par rapport à la part de l’autre partie, pour dire que c’est elle qui a le plus tort. Si vous le faites, cela signifie que vous ne comprenez rien du tout de la chrétienté. Vous ne comprenez rien de la foi chrétienne. Celle-ci nous demande de savoir reconnaître notre part de tort si petite soit-elle et de l’arranger, sans tenir compte que la partie adverse aurait plus tort que nous. Nous devons continuellement rechercher la sanctification. Si la partie adverse ne prend pas conscience qu’elle a une grande part de tort dans ce qui vous a opposé ou vous oppose, et quelle continue de se justifier, vous êtes encore appelés à jouer le rôle d’intercesseur pour elle. Vous devez prier pour la personne, pour demander à Dieu de lui faire comprendre son tort afin qu’elle s’en repente. Lorsque celle-ci comprendra, elle reviendra dans de meilleurs sentiments et confesser aussi le tort qu’il vous aurait fait.

Les amis, je ne sais pas et ne comprends pas pourquoi, depuis que j’enseigne sur l’amour, comme je le fais en ce moment, vous ne saisissez pas qu’il est souhaité que vous puissiez effectivement changer. Je ne sais pas pourquoi vous ne le comprenez pas ; je ne sais pas pourquoi vous restez inchangés, insensibles aux enseignements et concentrés sur votre vie personnelle. Je ne sais pas pourquoi vous n’êtes concentrés que sur vous-mêmes. J’aimerais bien savoir pourquoi cela. Oh mon Dieu ! Cela me démontre ou me prouve simplement que vous n’avez pas encore donné votre vie à Jésus. Car, donner sa vie à Jésus signifie qu’on ne s’appartient plus. On ne s’appartient plus. Mais, plusieurs sont en train de bagarrer rien que pour leur vie personnelle.

Et le Seigneur ne fait que dévoiler les esprits impurs qui sont liés à l’esprit de MOI. On note en effet que, la non transformation des uns et des autres, leur insensibilité à l’enseignement sur l’amour du prochain et leur égoïsme tourne autour du MOI. Je fais donc le constat que plusieurs n’ont pas encore fait ce que Jésus recommande dans Luc au chapitre 9 où il dit au verset 23 que : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. ».

Ce renoncement dont parle Jésus, le renoncement au MOI, n’a pas eu lieu chez la plupart d’entre vous. Et la chrétienté, comprenez-le, sans ce renoncement au MOI, n’a pas encore démarré, et si elle a démarré, elle ne peut évoluer. La chrétienté ne peut pas démarrer s’il n’y a pas de renoncement au MOI. Et nous nous rendons compte que les esprits impurs qui tournent autour du MOI sont nombreux. Certains de ces esprits ont été dévoilés jeudi passé. Il s’est agi de « l’instinct de survie », « la zone de confort », « l’intérêt personnel », « le superflu ». Voilà autant d’esprit impurs qui tournent autour du MOI. Ils se sont manifestés jeudi passé et je les ai mis en cage.

« L’instinct de survie » veut dire que la personne qui en est animé ne pense qu’à vivre à tout prix et à en découdre avec tout ce qui peut faire obstacle à sa survie. Et « la zone de confort » représente les limites que chacun se définit pour son confort. Ce sont des limites à ne pas déborder pour manifester l’amour envers son prochain. Il n’est pas prêt à sortir ce cette zone pour souffrir. Il n’est pas prêt à payer le prix pour sauver les autres. Alors que l’amour appelle à se sacrifier, lui, il se définit une « zone de confort » au-delà de laquelle il ne saurait aider. Et « le superflu » se définit en fonction de cette zone de confort. Tout ce qui se situe au-delà de « la zone de confort » relève du superflu. Tant que ce qu’il consent à donner n’affecte pas sa zone de confort, il peut aider son prochain. Mais, il n’est pas prêt à aller au-delà pour ne pas souffrir lui-même en voulant aider le prochain. Il ne consent à donner que ce qui lui évite la souffrance. C’est donc le superflu.

La liste de ces esprits tournant autour du MOI s’allonge avec « le manque de pardon », « la rancœur », « l’aveuglement », « l’hypocrisie » et « les chaînes maléfiques » qui sont conséquentes au « manque de pardon » et « la rancœur ». Voilà les 9 démons qui tournent autour du MOI. Mes amis, quand-est-ce que vous comprendrez que vous devez renoncer à vous-mêmes, et vous occuper de l’intérêt de l’autre ?

Il convient à ce sujet de revenir un tout petit peu sur la vision que j’ai eue avant le message portant sur le bon samaritain. Le Seigneur m’a fait voir comment les gens étaient maltraités par des brigands. Et lorsque quelqu’un a voulu leur venir en aide, étant donné qu’ils avaient été dénudés, celui-ci leur a partagé des morceau d’étoffe pour juste se couvrir la nudité. Je vous ai dit que pendant la distribution, j’étais surpris de me retrouver dans un groupe qui ne contenait que deux personnes, soit quelqu’un d’autre et moi. Nous avons reçu un morceau de pagne qui ne pouvait suffire qu’à une seule personne. Et comme mon partenaire de groupe avait voulu commencer à discuter ce morceau de pagne, je lui ai dit de prendre tout le morceau qui nous a été offert. Mais lorsque le bienfaiteur est revenu, m’ayant vu sans pagne parce que j’avais privilégié mon partenaire, il m’a demandé de le suivre dans son magasin où il y avait des ballots et des ballots de vêtements. Celui-ci, non seulement il m’a offert un dessous, mais aussi, des vêtements.

Dieu a voulu me montrer qu’il est avantageux de s’occuper des autres, du prochain. Il a voulu me dire que nous avons intérêt à nous occuper du prochain afin que lui, il s’occupe de nous. Plus simplement, Dieu s’occupe de nous quand nous nous occupons du prochain. Voilà comment Dieu veut que nous vivions sur la terre. C’est quand nous nous occupons des autres, qu’il s’occupe lui-même de nous. On ne perd donc rien à s’occuper des autres. Même s’il faut se priver un moment ou à l’instant, on gagnera plus tard. Dieu nous démontre que c’est comme cela qu’il fonctionne.

En se comportant de la sorte, nous ne devons cependant pas aider le prochain parce que nous savons que nous gagnerons plus tard. Nous ne devons jamais aider le prochain parce qu’on espère un gain potentiel. Non ! Nous aidons le prochain par obéissance à la parole de Dieu qui nous le recommande. Il n’est donc pas question pour nous d’aider dans un esprit de « semence et de récolte ». Nous ne devons pas nous attendre à une quelconque rémunération ou à un quelconque remboursement. Nous devons simplement faire comme Dieu lui-même fait, parce que nous devons être ses imitateurs. Dieu fait du bien à tous, même comme la plupart sont ses ennemis. Il consent à faire du bien à tous. C’est ce même esprit et ce même cœur que nous devons avoir.

Les amis, c’est à cela que Dieu nous appelle. Il veut que nous soyons ses imitateurs. C’est pourquoi je m’en vais vous relire pour finir, ce même texte d’Éphésiens 4, verset 32 et Éphésiens 5, versets 1 et 2 :

« Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ… Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés ; et marchez dans la charité, à l’exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur. »

Levez-vous pour prier Dieu, de vous donner la grâce d’être ses imitateurs !

Amen ![:]

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