[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 30 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (8e partie)

Suite au message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, l’Éternel Dieu a saisi le démon incarnant la quête ou le désir de reconnaissance qui caractérise souvent les chrétiens, en rapport aux sacrifices consentis et aux services rendus.

Ce démon a expliqué que le désir de reconnaissance est à l’origine des arrêts, des barrières, et du découragement qui empêchent plusieurs chrétiens de persévérer dans l’amour, et même dans la foi et le service de Dieu. Cela dit, quand les chrétiens pensent avoir déjà assez fait, assez travaillé, assez fait d’efforts, assez fait de sacrifices, ils s’attendent à la reconnaissance, au merci des hommes. S’ils ne reçoivent pas la reconnaissance ou le merci en question, s’ils estiment qu’ils ont été abusés, ils se découragent et ne veulent plus s’engager. L’esprit incarnant le désir de reconnaissance a expliqué que ce fut le cas du prophète TB JOSHUA, qui ne supporta pas les persécutions liées au bombardement de son immeuble, et à son emprisonnement consécutif.

Quand on est attaché à la reconnaissance, on cherche à se protéger soi-même, au lieu de s’en remettre totalement à Dieu et de lui faire entièrement confiance en toute situation favorable ou non. Ceux qui pensent avoir déjà assez donné ou avoir assez été déçu se relâchent. C’est le cas d’Evelyn Joshua, qui s’est également laissé emballer et tromper par le désir de reconnaissance, ne supportant pas le souvenir des épreuves et des ingratitudes subies par le prophète TB JOSHUA.

Nous avons compris qu’en tant que chrétiens, tant qu’on vit sur cette terre, il faut toujours donner, sans s’attendre à recevoir en retour. On ne doit jamais baisser les bras à aimer et à faire le bien, sachant toutefois qu’on fera face à beaucoup d’ingratitude de la part des hommes. Jésus par exemple, malgré les trahisons des hommes et leur ingratitude, n’a pas abandonné, n’a pas baissé les bras. C’est parce qu’il ne recherchait pas la reconnaissance des uns et des autres. Nous devons donc aussi être désintéressés à tout point, dans nos rapports avec les hommes, qu’ils soient chrétiens ou non. Nous ne devons jamais penser que nous avons déjà assez fait, qu’il nous faut du repos, et qu’il faille que les autres prennent aussi le relais, car de telles attitudes relèvent toutes du désir de reconnaissance, lequel se manifeste sous des formes très subtiles.

Par conséquent, chacun doit agir comme étant seul, n’attendant rien de personne, si ce n’est de Dieu seul. Quand on se plaint de l’ingratitude des hommes, cela montre que nos efforts ou notre supposée bienfaisance n’étaient pas pures, mais intéressés. Quiconque baisse les bras et se décide de ne plus aimer à cause des déceptions doit comprendre qu’il n’a jamais aimer, qu’il n’a pas encore commencé à aimer. Cela dit, nous devons accepter souffrir pour donner du sourire aux autres, à l’image de Christ, par les meurtrissures duquel nous avons la guérison.

Même les païens sont apparemment généreux, tant que cela les arrange, et tant que cela ne leur coûte rien. Le chrétien doit donc aller au-delà et aimer malgré les déceptions, les ingratitudes, etc.

Amen.[:]