[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 03 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU DES MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS
RÉFÉRENCES BIBLIQUES : ROMAINS 5 : 5 ; ÉPHÉSIENS 4 : 30 ; 1 JEAN 4 : 1 ; MATTHIEU 5 : 1-3 ; EPHÉSIENS 2 : 10 ; PSAUMES 25 : 16-18
Alléluia !
Restez debout et prenez vos Bibles !
Nous venons de démarrer ce séminaire du mois de février 2022. Je vous ai dit au cours du mois passé que, le prochain séminaire, c’est-à-dire le présent séminaire du mois de février, nous donnera l’opportunité d’élaborer davantage sur ce que nous étudions depuis tous ces derniers temps, à savoir, le caractère de Dieu qui est l’amour, pour montrer que nous sommes ses enfants et pour réussir à accomplir notre mission qui est de sauver les perdus ou de posséder Canaan. Voilà notre mission en ces temps de la fin ! Nous devons posséder Canaan c’est-à-dire sauver les païens de ce monde.
Le séminaire de ce mois a pour sous-thème : ‘‘s’occuper des pauvres ou des malheureux afin de se dégager des esprits familiers’’. Il est important que le chrétien véritable comprenne qu’il doit s’occuper des pauvres ou des malheureux. Ce n’est en effet que celui qui est né de nouveau qui peut s’occuper des pauvres ou des malheureux. Pendant les enseignements qui suivront, vous comprendrez la définition du pauvre ou du malheureux et comment s’occuper de lui. J’espère vraiment que durant les quatre jours qui sont devant nous, vous comprendrez qui est le pauvre ou le malheureux. Car beaucoup de gens viennent à l’église pour leur délivrance, d’autant que le thème général des séminaires est « la délivrance des esprits familiers et de la sorcellerie », mais ceux-ci ignorent ce qu’il faut faire pour maintenir la délivrance reçue toute leur vie durant, afin que celle-ci puisse les accompagner jusqu’au ciel. Ils ignorent qu’il leur faut s’occuper du pauvre.
Nous introduirons l’enseignement de ce séminaire par la lecture de l’épître de Paul aux romains. Ouvrez donc vos Bibles dans Romains au chapitre 5 pour ne lire que le verset 5 pour le démarrage.
Nous lisons au nom de Jésus-Christ :
« Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint- Esprit qui nous a été donné. »
S’occuper du pauvre ou du malheureux, c’est la manifestation de l’amour. Le Saint-Esprit répand l’amour de Dieu dans le cœur du croyant à sa conversion. C’est ce que nous venons de lire. Cela se passe du tic au tac, à la conversion. Toute personne réellement convertie, a donc l’amour de Dieu répandu dans son cœur. Une telle personne s’aimera donc elle-même et aimera aussi son prochain comme il s’aime. S’aimer dans le contexte chrétien signifie, se retirer du péché pour éviter de faire périr son âme en enfer. S’aimer dans notre contexte ne signifie donc pas savoir prendre soin de son corps, bien s’alimenter, bien se laver et bien s’habiller. Une telle compréhension signifierait que l’on aime son corps physique qui pourtant, est appelé à périr ou à pourrir. Aimer dans notre contexte veut dire préserver son âme du péché pour ne pas aller en enfer. C’est cela le vrai amour.
Lorsque vous vous préservez donc du péché en gardant les commandements de Dieu, vous souhaiterez et ferez la même chose pour le prochain. Vous ferez tout pour que celui-ci se préserve du péché en respectant les commandements de Dieu. Il ne s’agit donc pas nécessairement d’une assistance matérielle. Et déjà, une telle assistance, lorsque vous n’avez pas l’amour de Dieu dans votre cœur, ne sert à rien. Lorsque ce que vous faire aux autres n’émane pas de l’amour de Dieu dans votre cœur, cela ne peut porter aucun fruit. Vous pouvez donc comprendre pourquoi nous avons besoin d’être des chrétiens authentiques pour être des imitateurs authentiques de Dieu dans ce domaine de l’amour ; qui est l’aspect crucial ou le plus important de tout ce que la chrétienté demande.
Comprenez-vous pourquoi il est important d’avoir le Saint-Esprit de Dieu à la conversion ? C’est parce que, c’est celui-ci qui empreigne en nous la nature de Dieu à notre conversion. La Bible l’a appelé le sceau, le cachet ou le tampon. Lorsque quelqu’un se convertit, le Saint-Esprit se scelle en son esprit comme un tampon, une manière de certifier que celui-ci est la propriété de Dieu. Je vous invite à ce sujet de bien vouloir lire avec moi dans Éphésiens au chapitre 4, verset 30. Il y est écrit : « N’attristez pas le Saint Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption. » Ce verset biblique confirme que l’on est scellé du Saint-Esprit à la conversion. Sa présence en nous devient réelle et authentique par son baptême où il vient nous remplir et nous envahir. Il s’installe en nous, dans notre cœur, à notre conversion et se répand en nous ou nous envahit lors de notre baptême et sa présence en nous devient donc palpable.
J’ai été inspiré par lui de commettre un ouvrage intitulé La Réalité du Saint-Esprit. Je vous assure que cet ouvrage est un grand atout pour le chrétien et même pour celui qui n’a pas encore cru ou qui veut donner sa vie à Jésus. En le lisant, et en donnant sa vie à Jésus pendant qu’il le lit, le Saint-Esprit va se sceller à son esprit comme un tampon et, il recevra par ailleurs son baptême. Le Saint-Esprit descendra sur la personne. C’est lui, le Saint-Esprit qui fait tout. En revenant sur ce que nous avons lu au verset 30 d’Éphésiens 4 ci-dessus, nous pouvons noter qu’on peut l’attrister exactement comme vous pouvez attrister une de vos relations dans votre famille, dans votre lieu de service ou ailleurs. Lorsqu’une personne est ainsi attristée par vous, celle-ci n’a plus le courage de parler, d’échanger ou de partager avec vous. C’est ce qui arrive avec les humains naturels. Si vous attristez donc le Saint-Esprit, celui-ci ne va plus s’entretenir avec vous. Il sera frustré et pourra à la longue s’éteindre comme cela est bien mentionné dans la Bible dans d’autres passages. Le Saint-Esprit peut s’éteindre.
Le chrétien véritable doit savoir qu’il doit fonctionner avec le Saint-Esprit au quotidien, tierce après tierce, seconde après seconde, minute après minutes, heure après heure et jour après jour. Le chrétien ne doit donc rien faire en laissant le Saint-Esprit à l’écart ; il ne doit rien initier sans le consentement, la motivation ou la direction du Saint-Esprit. C’est lui qui fait tout en nous et c’est lui qui fait tout pour nous. Comme je l’ai dit plus haut, il vient en le chrétien à sa conversion, aussitôt qu’il se déclare pour Jésus, et qu’il lui demande pardon pour ses péchés et l’invite à entrer dans son cœur. Lorsqu’il dit à Jésus qu’il le prend comme son Seigneur et Sauveur personnel, c’est le Saint-Esprit qui vient entrer en lui, et c’est Jésus qui entre aussi en lui ainsi que Dieu le Père lui-même. La Bible nous enseigne en effet que Dieu le Fils et Dieu le Père viennent entrer en nous par le Saint-Esprit. J’explique tout cela dans le livre intitulé La Réalité du Saint-Esprit.
Si donc votre chrétienté est moribonde, et si vous basculez facilement dans la religion, c’est parce que vous négligez le Saint-Esprit. Si la Bible nous interpelle de ne pas l’attrister, ceci signifie que, l’attrister est fort possible, que cela est faisable et que cela se fait même. Si aujourd’hui nous avons très peu de chrétiens qui ne sont pas en communion avec Dieu, c’est parce qu’ils ont négligé leur communion avec le Saint-Esprit. La chrétienté sans le Saint-Esprit n’est donc que de la religion. C’est de la pure religion.
Le Saint-Esprit n’est pas assimilable aux bruits qui sont faits dans les églises dites réveillées. Ce n’est pas cela le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit est Dieu. C’est lui qui conduit le croyant dans la vérité. Ceux qui sont remplis du Saint-Esprit ne s’ignorent pas. Les chrétiens et pasteurs ou hommes de Dieu qui critiquent le pasteur Caleb NGOA ATANGANA et ce qui se passe au Tabernacle de la Liberté, s’ils avaient chrétiens à un moment donné, ils ne le sont plus en ce moment où ils critiquent ce que Dieu fait ici. Si ces gens qui critiquent ce que Dieu fait ici, avaient le Saint-Esprit en eux, ils allaient comprendre, peut-être pas en totalité, mais, le Saint-Esprit en eux devait leur dire que, ce qui se fait au Tabernacle de la Liberté est de lui. Permettez-moi de vous donner mon témoignage au sujet de la manifestation du Saint-Esprit !
Lorsque je travaillais comme missionnaire itinérant, et que j’aie effectué des voyages missionnaires dans certains pays où j’ai ouvert et installé des communautés, à l’exemple du Benin et du Togo, j’avais visité le Nigeria. Dans ce dernier pays où j’avais visité des communautés du Sud jusqu’au Nord, parce que j’avais reçu plusieurs nigérians avant dans mon église basée au Bénin, et j’avais aussi voulu profiter de l’expérience de leurs églises. J’avais remarqué qu’il n’y avait pas de chrétiens et qu’il n’y avait pas de pasteurs dans ce pays-là. C’est la pure vérité que je vous dis. C’était la pure fausseté qui y était pratiquée. J’avais été au Nigeria et avait pu me convaincre du faux qui y était pratiqué. Et lorsque j’étais rentré de ce périple, j’avais pris la décision de ne plus collaborer avec les prétendus hommes de Dieu du Nigeria. J’avais mis la croix sur la collaboration avec ces gens, parce qu’il n’y avait pas de chrétiens ni de pasteurs. J’étais en effet dépassé par ce que j’avais vu.
Et lorsque j’étais rentré au Cameroun et que j’avais entrepris de collaborer avec des « hommes de Dieu » locaux, je leur avais dit que je ne collaborerai plus avec les « serviteurs de Dieu » nigérians parce qu’ils sont tous faux. Je leur avais dit qu’il n’y a pas de chrétiens là-bas. Mais malgré ma décision, celui avec qui je collaborais le plus au Cameroun, avait reçu des nigérians, et je m’étais retrouvé impliqué sous son insistance, dans l’organisation d’une campagne d’évangélisation à Yaoundé au Cameroun avec lui et ses nigérians. Il m’avait convaincu que c’est lui-même qui tient la gestion de l’organisation en mains. Après une réunion préparatoire de l’organisation de ladite campagne où je devais animer une commission, j’avais reçu la documentation appropriée et, au terme de cette réunion, lorsque j’étais rentré à la maison, en voulant me reposer, mais avant d’avoir trouvé le sommeil, j’avais entendu de mes oreilles physiques comment Dieu me disait de me désengager de cette histoire de campagne d’évangélisation.
J’avais répondu à Dieu en tremblant que « j’ai compris ». C’est la pure vérité que je vous dis. Je m’étais aussitôt levé pour aller remettre la documentation que j’avais reçue à un autre soi-disant pasteur que j’avais malheureusement trouvé absent de chez lui. Mais j’avais enfoui toute la documentation en ma possession sous sa porte, et étais rentré chez-moi. Je lui avais laissé le message que je ne suis plus partant pour cette campagne d’évangélisation ; et que je ne suis pas sûr qu’elle aura lieu. Car, dans l’instruction que Dieu m’avait donnée, il m’avait dit que ladite campagne n’aura pas lieu. J’avais appelé celui qui était considéré comme l’organisateur de cette campagne, parce que c’est avec lui que je cheminais, et c’est celui qui avait reçu la délégation nigériane. Je lui avais dit que j’ai reçu le message de Dieu que, « cette campagne n’aura pas lieu, et qu’elle va éclabousser l’église au Cameroun ». Je lui avais fait part de mon retrait du projet et lui avait également suggéré de s’en retirer.
Ce dernier m’avait répondu comme il suit : « laisse-moi tes histoires-là, je suis très occupé, je te verrai après l’évènement. » Je lui avais répondu : « si jamais cet évènement aura lieu ». Le projet devait être financé par les hollandais, et le nigérian qui les avaient contactés, avait perçu de l’argent offert par les hollandais. Ce dernier était d’abord rentré à Lagos avec tout cet argent, prétextant qu’il allait pour la confection des affiches. Malheureusement à son retour au Cameroun, il était arrivé les mains vides, sans argent. Il n’avait fait confectionner que quelques centaines d’affiches pour la communication sur l’évènement.
Et au final, ce nigérian qui tenait le cordon de la bourse était rentré au Nigeria avec tout cet argent offert par les hollandais, et la campagne d’évangélisation n’avait pas eu lieu. J’avais fini par me dire que, Dieu m’avait demandé de me retirer de cette affaire parce qu’il connaissait mon état de colérique. Lorsque j’avais appris la nouvelle que la campagne n’avait pas eu lieu à cause de ce nigérian, j’étais si fâché que, si j’avais fait partie des organisateurs à ce moment précis, ce nigérian n’allait pas rentrer sans que je l’aie arrêté avec les mains pour qu’il donne l’argent qu’il avait ainsi volé. Je vous assure. Comme Dieu connaissait l’issue de ce projet, il m’avait écarté pour éviter que je bagarre.
Après ce fiasco, mon collègue qui était le principal organisateur et à qui j’avais suggéré de quitter le projet, ne m’avait plus jamais cherché. Je vous dis qu’il ne m’avait plus jamais cherché, parce que je l’avais averti que l’évènement n’aura pas lieu selon que je l’avais reçu du Saint-Esprit de Dieu. Ma collaboration avec lui était finie comme cela. Il me souvient que ce dernier avait finalement parlé dans les corps au Tabernacle de la Liberté comme démon, lorsque les délivrances prophétiques avaient commencé. Que c’est malheureux ! Ce que je voudrais démontrer par cette histoire que je raconte est que, lorsqu’on est rempli du Saint-Esprit, on ne peut pas blasphémer contre les œuvres du Saint-Esprit, on ne peut pas décrier les œuvres du Saint-Esprit. On va plutôt, si on ne comprend pas tout, se réserver, et chercher à comprendre. Moi-même qui vous parle je ne comprenais pas tout de ce qui se passe dans ces délivrances.
Je n’ai pas envie de tirer mon propos en longueur par beaucoup de témoignages. Mais, ce qu’il convient de vous dire pour chuter relativement à la décision que j’avais prise contre les « hommes de Dieu nigérians », est que lorsque je découvre Emmanuel Tv et le prophète T.B. Joshua, j’avais commencé à regarder cet homme, en même temps que je regardais pastor Chrys. Je n’avais pas été convaincu par pastor Chrys, déjà par le fait qu’il se maquillait et défrisait les cheveux comme une femme, et en plus par d’autres défauts. C’était presqu’au même moment que je suivais Emmanuel Tv et le prophète T.B. Joshua. En suivant ses enseignements et en regardant les œuvres de Dieu, j’étais impressionné de découvrir qu’un serviteur de Dieu était capable de prophétiser à chaque rencontre de prière. Je l’avais suivi pendant un bon bout, sans porter de jugement. Pendant un bon bout j’ai suivi les enseignements, écouté les prophéties et leurs confirmation, suivi les délivrances et les témoignages. Il s’évertuait à confirmer les prophéties et les délivrances par des témoignages.
Par les délivrances prophétiques, je crois que Dieu fait la même chose qu’il faisait avec le prophète TB. Joshua, parce qu’il ne se passe pas une seule réunion ici où il n’y a pas de délivrances prophétiques. C’était ainsi avec les prophéties chez le prophète. Nous ne pouvons même pas avoir le temps de rechercher les confirmations pour les présenter. Je crois que c’est de cette manière que Dieu a décidé de fonctionner avec moi, sans bruits et sans traces ou souvenirs. Il a lui-même entrepris d’effacer les traces de mon passé. Il m’a peut-être évité de tomber dans le piège dans lequel Gédéon était tombé par la fabrication d’un symbole de la victoire de son armée, symbole qui finalement, était devenu un objet d’idolâtrie. Les histoires de souvenirs n’ont pas souvent marché avec moi. C’est donc pendant que je suivais ainsi Emmanuel Tv et le prophète TB. Joshua que le Saint-Esprit m’avait confirmé qu’il s’agissait véritablement d’un homme de Dieu et que je devais m’y rendre.
Après avoir recherché quelle est la procédure pour visiter la SCOAN, je savais donc qu’on ne peut y aller que si l’on a une invitation suite à une demande de visite. Mais, sans m’encombrer de toute cette procédure, le Saint-Esprit m’avait instruit d’y aller et m’avait rassuré que je devais me faire recevoir sans invitation. Cela était très clair, et j’avais retenu une date pour le voyage. À cette époque-là, je dois préciser que j’avais deux ambitions : voyager pour la Synagogue comme le Saint-Esprit m’avait instruit, ou visiter la « terre sainte » à Jérusalem en Israël comme beaucoup de pasteurs le faisaient. Ce dernier projet était un projet personnel, sans savoir que c’était pour mon enterrement spirituel.
J’avais dû réunir ma famille pour statuer sur le sujet. Il avait donc été décidé que je voyage pour la Synagogue au Nigéria. C’est alors que je m’étais préparé pour le voyage à la SCOAN. J’avais préféré voyager en passant par le Benin, pour y prendre certains pasteurs avec lesquels je collaborais. Ces derniers s’étaient montrés réticents à voyager pour la SCOAN sans invitation. J’avais pu les convaincre que je voyage sur instructions de Dieu, et que nous y serons bien reçus par le prophète sans invitation. C’est ainsi que nous avions pu effectuer le déplacement ensemble, et avions été reçu par le prophète, sans invitation.
Voyez-vous, si je n’avais pas le Saint-Esprit de Dieu, j’aurais pu le condamner comme beaucoup l’ont condamné. Mais, jusqu’au moment où Dieu nous a fait savoir par les délivrances prophétiques qu’il a dévié, nous le suivions, prions pour lui et lui envoyions les messages que Dieu lui destinait à partir de notre ministère. Nous étions cependant contactés par des gens qui protestaient que nous le soutenions, au motif qu’ils disaient de lui qu’il était un faux prophète. Je leur répondais qu’il n’est pas un faux prophète. Quand il a fallu publier les délivrances qui le concernaient, nous ne le faisions pas avant, les mêmes gens s’exclamaient que ce soit seulement à ce moment que notre ministère se rende compte qu’il est un faux prophète. Je leur rétorquais qu’il n’était pas un faux prophète jusqu’au moment où il a dévié dans la religion à cause de sa main d’association avec Israël, entre autres.
Il faut avoir le Saint-Esprit. C’est lui qui guide ou dirige le chrétien. Autrement, ceux qui ne l’ont pas, tombent sous le coup du blasphème contre le Saint-Esprit. Lorsque vous avez le Saint-Esprit, quelque soit la difficulté d’une chose ou d’un sujet, celui-ci vous en apportera la lumière. Le Chrétien a besoin du Saint-Esprit, car la vie chrétienne sans lui, c’est la misère et c’est l’égarement. Nous avons besoin de lui. Vous venez de suivre mon témoignage dans ma relation avec le Saint-Esprit, comment j’ai pu renouer avec un homme de Dieu nigérian, alors qu’auparavant, j’avais mis la croix sur toute collaboration avec ces derniers.
Cette décision était aussi le fruit du Saint-Esprit, puisque finalement ces faux pasteurs et prophètes ont parlé dans les corps au Tabernacle autour des années 2014-2015. C’est grâce au Saint-Esprit que j’avais pu prendre une telle décision radicale contre les nigérians en matière de foi ; jusqu’à ce que je découvre le prophète TB. Joshua et que le Saint-Esprit de Dieu me confirme que c’est son serviteur ; que celui-ci me donne les directives que j’ai bien suivies, et que tout se soit finalement passé comme le Saint-Esprit me l’avait dit.
Nous avons besoin du Saint-Esprit. J’avais fini par comprendre pourquoi Dieu avait voulu que j’entre en contact avec le prophète TB. Joshua de cette façon-là. C’est parce que Dieu voulait le sauver de la « mort précoce » au travers de ce ministère ; mais, il l’a tenté en vain, ayant tout fait à cette fin sans succès, il n’a pu le sauver que de l’enfer. À chaque révélation qui sortait à son sujet, l’église priait Dieu pour pardonner. Mais, lorsque les « carreaux étaient cuites », nous n’avions plus qu’à prier pour que Dieu le sauve de l’enfer. Nous avions prié Dieu de permettre qu’il puisse se repentir, afin de l’enlever aussitôt après sa repentance. Et c’est cela qui s’est passé. C’est ce qui s’est passé. Nous avons besoin du Saint-Esprit. Car, tout chrétien qui n’a pas le Saint-Esprit, n’est qu’un piètre religieux qui ne sait pas ce qu’il fait. Un tel prétendu chrétien sera sans amour, d’autant que c’est le Saint-Esprit qui répand l’amour dans le cœur du chrétien depuis sa conversion. Un tel amour se manifeste tout naturellement, c’est-à-dire sans bagarre sans être forcé.
Un chrétien ne doit pas bagarrer pour aimer et il ne doit pas avoir d’ennemis, c’est-à-dire avoir des gens qu’il déteste. Je dois cependant vous préciser que le Saint-Esprit ne vous laissera pas embrasser tout le monde. Non, ce serait de la folie. Lisons à ce sujet dans 1 Jean au chapitre 4, verset 1 ! Il y est écrit : « Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. » Voyez-vous, celui qui a le Saint-Esprit ne va pas embrasser tout le monde. Il éprouvera les esprits et le Saint-Esprit lui dira qui est de Dieu et qui ne l’est pas. À partir de mon témoignage, vous comprenez comment j’ai fait pour savoir que le prophète était de Dieu. J’ai écouté ses enseignements et regardé ses pratiques. C’est alors que le Saint-Esprit m’a confirmé que l’œuvre du prophète TB. Joshua venait de lui. Je suis surpris que certains tombent sur nos délivrances prophétiques et se mettent seulement à les critiquer, sans avoir écouté ce que j’enseigne. Ils jugent et ils classent sans avoir écouté mes enseignements. Ça ne devrait pas se passer de la sorte.
Ce que la Bible nous dit dans le verset biblique que nous venons de lire, est que nous ne devons pas embrasser tout le monde. Je sais que plusieurs ne connaissent pas la chose de Dieu, ils en sont donc ignorants, parce qu’ils ne lisent même pas la Bible. Car en effet, lorsque vous lisez la Bible, ayant le Saint-Esprit, celui-ci vous rappelle, face à chaque situation, ce qu’en dit la Bible. Il vous le rappellera.
Aujourd’hui, nous sommes encore à la phase de l’introduction de l’enseignement du séminaire qui porte sur le soin ou l’aide et l’assistance à apporter au pauvre. Jésus en avait dit quelque chose de très important. Il l’avait dit dans l’évangile de Matthieu au chapitre 5, verset 3. Mais j’aimerais que nous lisions exactement comme l’évangéliste avait introduit. C’est pour quoi nous lirons à partir du verset 1. Voici ce qui y est écrit : « Voyant la foule, Jésus monta sur la montagne ; et, après qu’il se fut assis, ses disciples s’approchèrent de lui. Puis, ayant ouvert la bouche, il les enseigna, et dit : Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ! » D’après ce texte, les gens à qui le Seigneur promet le royaume des cieux sont les « pauvres en esprit ». En lisant les enseignements de Jésus, je suis étonné qu’il s’intéresse au pauvre de cette façon ; et je réalise que Dieu le Père lui-même s’intéressait aussi déjà au pauvre depuis longtemps, depuis le commencement. Le pauvre occupe donc une place de choix dans le cœur de Dieu. C’est pourquoi nous devons nous occuper de lui. Nous devons nous occuper de lui.
Et nous avons déjà vu que, pour nous occuper de lui, nous devons lui manifester l’amour que le Saint-Esprit a déjà répandu dans nos cœurs pour lui. Je voudrais pour cela appuyer une fois encore sur l’importance de la nouvelle naissance, ce que celle-ci apporte en le chrétien. Nous lirons dans Éphésiens au chapitre 2, verset 10 où il est écrit : « Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. » Le chrétien a été recréé en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres. Si vous êtes donc nés de nouveau, c’est pour que vous accomplissiez de bonnes œuvres qui ont été préparées à l’avance par Dieu. Il est donc contradictoire de constater que des gens se disant chrétiens soient méchants. De même qu’il est contradictoire de trouver des gens se disant chrétiens mais qui n’ont pas la qualité d’amour de Dieu dans leur cœur. Cela est contradictoire ! La nouvelle création en Jésus a été prévue afin que le chrétien puisse faire le bien au pauvre. Et, c’est donc qui le pauvre auquel Dieu tient tant ?
Le pauvre n’est pas forcément celui qui est dans le dénuement matériel et/ou financier. C’est pour les besoins de précisions que Jésus a dû parler des « pauvres en esprits ». Il est donc question de s’occuper des pauvres en esprit. Je voudrais, avant d’arrêter mon propos pour aujourd’hui, que nous voyions juste un exemple de « pauvre en esprit » dans les psaumes. Nous ne prendrons que l’exemple du roi David dans le psaume 25. Il est question ici pour moi de vous apporter la preuve que, le pauvre dont il est question ici, n’est pas forcément le démuni matériel et/ou financier. Il s’agit du simple, du pécheur et du pauvre en esprit, un profil que le grand roi David avait très bien incarné. Roi ou grand et puissant roi qu’il était, je dirais, David ne s’était jamais considéré comme grand, du début à la fin de sa vie. Il s’était toujours considéré comme un pauvre. C’est ce que nous découvrons dans le texte à lire.
Nous lisons les paroles de David, du verset 16 au verset 18 : « Regarde-moi et aie pitié de moi, Car je suis abandonné et malheureux. Les angoisses de mon cœur augmentent ; Tire-moi de ma détresse. Vois ma misère et ma peine, Et pardonne tous mes péchés. »
David a écrit ceci étant roi ! Mais il dit qu’il est malheureux. Je souhaite que chacun retienne que ces paroles de David sont dites pendant qu’il est roi. C’est un roi qui parle ainsi ! C’est un roi qui se dit pauvre, misérable et abandonné ! Si vous lisez les privilèges dus aux rois dans Deutéronome 17 dans la Bible, vous seriez capables de vous étonner que David ait déclaré ce que nous venons de lire. C’est cette attitude du roi David qui indique ce qu’est un pauvre pour Dieu, ce que signifie le pauvre pour Jésus, et ce que nous devons entendre par pauvre. Nous comprenons pourquoi, le chrétien ou le né de nouveau doit s’occuper du pauvre, et ce qu’il doit faire pour lui manifester son amour, et comment il doit le faire. Voilà ce que nous verrons au cours des trois jours qui sont encore devant nous.
Aujourd’hui était pour nous comme une forme d’introduction. Et demain jusqu’à dimanche, nous poursuivrons cet enseignement avec la grâce de Dieu. Pour le moment, levez-vous pour prier Dieu !
Amen ![:]