[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 20 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (5e partie)

Monsieur GUIGOLO SANGA a entrepris d’héberger et de chercher une solution pour sa nièce (fille de son défunt frère) souffrant visiblement de démence. Il est allé chercher celle-ci au village, et l’a amenée à l’église en ce jour.

Pour répondre à ce cas, l’Éternel Dieu a saisi l’esprit de Sorcellerie, lequel a dévoilé que la prétendue malade mentale est une sorcière consciente du mal qu’elle fait, sans compter qu’elle incarne tout son village, et tient la machette mystique qui y sert à tuer, à sacrifier les habitants. L’esprit de Sorcellerie a précisé que monsieur GUIGOLO SANGA était la dernière victime de sa nièce, qui l’avait déjà dépecé et posé sur l’autel du sacrifice, vu que ce dernier n’était plus connecté à Dieu, était vide du Saint-Esprit et vivait dans l’indépendance.

Étant donné que monsieur SANGA n’avait plus de communion avec Dieu, il a été révélé que le toit de sa maison a été transformé en piste d’atterrissage et servait désormais aux activités lugubres de sa nièce, des sorciers du village, et des esprits familiers. Par ailleurs, l’esprit de Sorcellerie a indiqué que la nièce de monsieur SANGA avait déjà réussi à transférer une partie de sa sorcellerie chez le dernier enfant de celui-ci. Ce dépôt de sorcellerie a été anéanti à partir de la prière conduite par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA. La sorcière, prétendument malade mentale et certainement rendue tel par la consommation de la chair humaine, a réussi à distraire des personnes venues prendre part au culte, au point qu’elle les a négativement affectées par son dépôt de sorcellerie.

Dans la suite, l’Éternel Dieu a également saisi et renvoyé dans les abîmes les esprits familiers de monsieur GUIGOLO SANGA, au rang desquels se trouvait son père, le nommé GUIGOLO. Ce dernier a expliqué que le nom ‘‘GUIGOLO’’ renvoie au tam-tam dont se servaient les populations du village Lingouang, en vue d’appeler et de regrouper les ancêtres.

Enfin, monsieur GUIGOLO SANGA a été interpellé à se séparer de sa nièce sorcière, et à la renvoyer dans son domicile au village.[:]