[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (SAMEDI, 05 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU DES MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (8e partie) PRÉDICATION : S’OCCUPER DU PAUVRE EST L’EXPRESSION DE L’AMOUR, L’EXEMPLE DES MACÉDONIENS RÉFÉRENCE BIBLIQUE : 2 CORINTHIENS 8 : 1-9[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (SAMEDI, 05 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU DES MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (8e partie)

PRÉDICATION : S’OCCUPER DU PAUVRE EST L’EXPRESSION DE L’AMOUR, L’EXEMPLE DES MACÉDONIENS

RÉFÉRENCE BIBLIQUE : 2 CORINTHIENS 8 : 1-9

 

Prenez votre Bible et ouvrez dans 2 Corinthiens au chapitre 8 !

Nous commençons la lecture au verset 1 comme d’habitude. Le présent texte nous servira toujours d’introduction pendant tout ce séminaire, même si nous devons faire appel à d’autres textes par la suite. Nous lisons au nom de Jésus-Christ :

« Nous vous faisons connaître, frères, la grâce de Dieu qui s’est manifestée dans les Églises de la Macédoine. Au milieu de beaucoup de tribulations qui les ont éprouvées, leur joie débordante et leur pauvreté profonde ont produit avec abondance de riches libéralités de leur part. Ils ont, je l’atteste, donné volontairement selon leurs moyens, et même au-delà de leurs moyens, nous demandant avec de grandes instances la grâce de prendre part à l’assistance destinée aux saints. Et non seulement ils ont contribué comme nous l’espérions, mais ils se sont d’abord donnés eux-mêmes au Seigneur, puis à nous, par la volonté de Dieu. Nous avons donc engagé Tite à achever chez vous cette œuvre de bienfaisance, comme il l’avait commencée.
De même que vous excellez en toutes choses, en foi, en parole, en connaissance, en zèle à tous égards, et dans votre amour pour nous, faites en sorte d’exceller aussi dans cette œuvre de bienfaisance. Je ne dis pas cela pour donner un ordre, mais pour éprouver, par le zèle des autres, la sincérité de votre charité.
Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s’est fait pauvre, de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis. »

Nous bénissons Dieu pour tout ce qu’il fait. Le Seigneur nous parle au travers de ce texte, et même dans tout ce chapitre 8 de 2 Corinthiens, jusqu’au chapitre 9 d’ailleurs. Il serait bon que vous lisiez toute l’exhortation de l’apôtre Paul.

Aujourd’hui, nous commencerons par la conclusion d’hier, vendredi, 04 mars 2022, pour constater ce qui était à l’origine de l’engagement sans faille des macédoniens à la libéralité, au sacrifice, étant donné qu’ils avaient donné au-delà de leurs moyens. Ils avaient pu le faire parce qu’ils s’étaient d’abord donnés eux-mêmes au Seigneur. C’est ce que nous avons vu, et c’est ce que le Seigneur nous demande de faire. Il nous demande de nous donner nous-mêmes à lui.

Quand on s’est donné soi-même au Seigneur, on vit comme un pauvre et on s’occupe des autres pauvres. Cela est naturel, cela va de soi. Nous pouvons donc déduire que, ceux qui ne se sont pas donnés à Dieu, sont ceux qui sont dans sa maison avec des réserves. Les esprits expliquaient hier qu’il y a des gens dans notre assemblée qui, depuis qu’ils ont été appelés par le Seigneur, ne répondent pas à l’appel ; ils ne lèvent que le doigt de temps à autre en guise de réponse au dit appel. Ils ne lèvent pas les deux mains pour dire, Seigneur je me donne à toi. Et parfois, ils baissent même la main qui avait le doigt levé, pour passer les deux mains derrière lui et tenir leurs réserves qui sont généralement leurs familles respectives.

Comme vous le savez, le sous-thème dans lequel nous sommes est : « s’occuper des pauvres, comme signe de l’amour, pour se dégager des esprits familiers ». Si donc quelqu’un ne s’est pas encore donné au Seigneur, cela suppose qu’il tient encore ses esprits familiers, ses membres de famille, de ses deux mains. Il tient encore ses parents, frères et sœurs, tantes, oncles, et toutes les autres personnes qui sont liées à leur famille. Croyez-moi que vous les tiendrez aussi longtemps que vous n’aurez pas levé les mains pour vous abandonner au Seigneur. Ces gens vont continuer à cheminer avec vous. J’étais personnellement choqué hier d’entendre un esprit impur appelé un chrétien : mon enfant ou mon petit-fils. Cela est si choquant !

Je vous dis que cela est très choquant. Ceux-là sont donc surpris que « leur vie soit sur place », alors qu’ils n’ont jamais démarré leur chrétienté ! Ils ne l’ont jamais démarrée, ou alors, s’ils l’ont démarrée, et ils se sont aussitôt arrêtés. Et comme ils sont présents au Tabernacle de la Liberté où leurs esprits familiers ne veulent pas qu’ils soient, ils sont derrière l’argent, mais l’argent les fuit ; ils sont derrière la promotion, celle-ci les fuit ; ils sont derrière la bonne vie, la bonne vie les fuit. Tout ce qu’ils peuvent poursuivre les fuit, c’est pourquoi ils se sentent frustrés et malheureux. C’est ainsi que plusieurs sont sur le point de se décourager et d’abandonner, alors que ce sont eux-mêmes qui sont à l’origine de ce qu’ils vivent. Je vous ai mis en garde depuis que, si vous voulez être maudits et le demeurer, venez au Tabernacle de la Liberté, et ne mettez pas en pratique ce qui vous est enseigné.

Je vous dis la pure vérité que si vous vous comportez de la sorte, vous demeurerez maudits. Il vaut la peine de ne pas mettre ses pieds ici, si vous ne voulez pas obéir et mettre en pratique ce qui est enseigné dans cette église. Mais, si vous avez déjà mis vos pieds dans cette église, vous êtes déjà fichés, vous êtes fichés. Et si vous quittez ce lieu où aurez connu la vérité, vous vous mettez dans des difficultés inimaginables. Autant donc pour vous d’obéir et mettre en pratique ce qui vous est enseigné, que d’être là à combattre où à bagarrer contre ce qui vous est enseigné, tout en espérant tout de même que votre vie avancera dans le sens souhaité. Vous ne pourrez pas vous en sortir. Je vous dis la pure vérité. Et, je vous le dis, si vous êtes ici, combattant ou bagarrant ce qui est enseigné sans le mettre en pratique, vous mourrez et atterrirez en enfer.

Cela sera très grave pour vous parce que, vous aurez connu la vérité, mais vous étiez dans votre couloir et la vérité était dans le sien, et vous cheminiez en parallèle. Cela vous sera redemandé au jour de votre mort. Il vous sera demandé ce que vous aurez fait de la vérité qui vous était enseignée. Nous sommes aujourd’hui à l’époque où Jésus avait prévu que le deuxième réveil spirituel devait avoir lieu. Et ici au Tabernacle de la Liberté, vous êtes ceux qui sont les mieux enseignés et avisés sur cette vérité, mais vous ne faites absolument rien. Je m’en vais encore vous demander si vous avez lu le chapitre 24 de l’évangile de Matthieu que j’ai demandé de lire l’autre jour. Les avertissements que Jésus y donne sont des choses qui concernent cette époque-ci. Peut-être qu’il est bon que nous en lisions quelques extraits, avant de revenir sur notre texte principal.

Les choses dont Jésus y parle sont celles qui concernent cette époque. Vous devez les prendre au sérieux. Il nous y est demandé de ne point être distraits par tout ce que nous voyons et tout ce que nous entendons autour de nous. Lisons par exemple le verset 34 où Jésus dit que : « Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive. ». Il ne parlait pas de la génération qui existait pendant son passage ; il s’agissait de la génération qui devait vivre les évènements qu’il annonçait. Voici certains de ces évènements :

-au verset 6, il dit : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. ». Il dit qu’il faut que ces choses arrivent, mais, ce ne sera pas encore la fin. C’est pourquoi je disais hier à Vladimir POUTINE que son arme de destruction baptisée Satan 2 ne peut pas détruire le monde. Le monde ne finira pas par les guerres. Non, c’est Dieu lui-même qui sait comment il avait planifié toute chose. Nous entendrons parler de guerres et des bruits de guerre, mais ce ne sera pas encore la fin. C’est pourquoi je vous dis que, si vous êtes chrétiens ou même chrétiens en devenir, vous ne devez pas prêter l’oreille aux nouvelles que les médias mondains diffusent à travers le monde. Ce sont des mensonges et des distractions qui ne vous avancent en rien. Le chrétien doit s’occuper et se préoccuper d’une seule chose : s’occuper des pauvres en esprit. C’est bien de cela dont nous parlons depuis le mois passé. Et c’est ce dont Jésus parle au verset 24.

-au verset 24, Jésus a dit que : « cette bonne nouvelle sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations, alors viendra la fin. » Et Comme vous le savez bien, le monde entier n’a pas encore entendu la bonne nouvelle. Ce qui a été annoncé dans le monde entier relève de la religion. Cette épreuve de deux années, organisée par les tyrans du monde l’a si bien démontré. Nous avons compris que le monde est sous l’emprise de la religion. Ce qu’on a appelé « église de réveil » ou « église pentecôtiste » n’est pas différente des autres églises traditionnelles. Elles sont la même chose. Elles ont toutes échoué le test du coronavirus ; elles se sont comportées de la même manière. Je voudrais prendre en exemple le cas de l’église apostolique considérée comme une « église de réveil », et qui a une école au quartier Obili à Yaoundé. J’ai vu les enfants de cette école dans un car, chantant, tous masqués, dans le cadre des activités de la semaine de la jeunesse. J’ai crié, Oh mon Dieu, voilà ce qu’on appelle « église de réveil » ! Voilà leur position par rapport au coronavirus, voilà !

Le test des tyrans portant sur le mensonge du coronavirus a fait que l’on sache qui est qui dans l’univers religieux et chrétien dans le monde entier. C’est ce qui démontre que le monde entier n’a connu que la religion depuis des millénaires. La vraie bonne nouvelle demeure donc encore inconnue. C’est pour quoi Jésus parle comme ci-dessus. Il faut donc préalablement que le pur évangile soit d’abord prêché avant que la fin n’arrive. C’est à cela que nous nous préparons, selon notre thème général de depuis longtemps à savoir : « les préalables ou les préparatifs avant l’entrée en Canaan ». Nous sommes en fait en train de préparer le peuple de Dieu pour gagner le monde, les païens du monde pour Christ.

Le vrai évangile n’est pas connu. Tous ces gens qu’on considérait comme de grands serviteurs, pasteurs, apôtres prophètes ou autres, ont succombé devant l’épreuve du coronavirus, tous ont succombé ! Tous ont succombé ! Ce qui est bizarre ! Le Seigneur prévoit donc que son évangile soit d’abord annoncé au monde entier en ces temps de la fin. C’est pour cette raison que vous êtes enseignés. Jésus a tout dit à ce sujet sur tout ce qui devait se passer. Vous êtes par exemple au courant de l’histoire des faux prophètes. Tous ceux qui disaient Seigneur, Seigneur, Seigneur à travers le monde n’étaient pas de lui. Ils ont été démasqués et dévoilés ici.

Ce que vous devez comprendre est que, le travail que Dieu attend de nous et pour lequel vous êtes enseignés, sera effectué dans les tribulations, les persécutions et la souffrance. Oui, la souffrance qui est le mot que beaucoup n’aiment pas entendre. Ce travail se fera dans la souffrance et, Jésus nous a prévenus. Voici ce qu’il dit par exemple dans Matthieu 24 toujours, du verset 19 au verset 22 : « Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat. Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. ».

Jésus annonce la détresse. Regardez seulement les deux années que nous venons de traverser où il a été question pour tous d’arborer le masque pour s’initier à l’homosexualité. Nous avons vu que la presque totalité des milieux prétendument chrétiens ont cédé à cette exigence. Plusieurs milieux ont cédé ! Oh mon Dieu ! Il n’y a eu que quelques rares exceptions seulement à travers le monde. Pourtant dans le texte ci-dessus, Jésus annonce une détresse, c’est-à-dire une persécution plus grande. C’est pour nous dire que la tâche n’est pas facile ; ce n’est pas facile. Et elle ne sera pas facile. Mais, il sera possible de faire le travail de Dieu, sachant que nos vies ont été remises à Dieu par Jésus-Christ. Vous n’aurez plus rien à protéger, à préserver ni à sauvegarder. Nous devons donc comprendre en définitive que le chrétien est un sacrifice, un sacrifié et un sacrificateur. Ne l’oublions jamais.

Voyez-vous, nous sommes en train de répéter les mêmes choses ; Dieu est en train de répéter les mêmes choses, parce qu’il veut que vous soyez ce qu’il veut pour son travail du moment. Dieu veut que vous soyez réellement ses sacrifices, ses sacrifiés et ses sacrificateurs. C’est donc la mentalité du pauvre en esprit que vous devez enfouir dans votre esprit ; le pauvre entendu comme celui qui est dans le besoin, dans le manque ; celui qui est exposé dans les intempéries de toute nature. Dieu veut donc qu’en tant que pauvres, vous ne devez compter que sur lui. La religion catholique a bien compris que Dieu cherche les vrais pauvres, les pauvres qui sont le style du roi David, mais elle le fait dans la fausseté en créant des structures pour dire qu’elle s’occupe des orphelins, des démunis, des veuves, des malades, des enfants de la rue et autres.

-au verset 25 de Matthieu 24, Jésus dit : « Voici, je vous l’ai annoncé d’avance. » Jésus a pris les dispositions pour que le chrétien ne vive pas dans l’ignorance. C’est pourquoi il nous a annoncé d’avance ce qui doit arriver et ce qui nous attend. Relisez encore très attentivement ce chapitre de Matthieu 24 et notez bien les avertissements que Jésus donne aux chrétiens ! Avant ce chapitre, il avait déjà bien parlé aux chrétiens dans Matthieu 10, pour leur dire qu’ils devaient renoncer à la famille, à eux-mêmes et à tous les autres supports humains qui puissent exister autour d’eux, et à toutes les distractions inhérentes, pour ne compter que sur lui seul ; pour ne regarder qu’à lui seul. Jésus nous a demandé de renoncer à tout, y compris à nous-mêmes. Il avait ainsi inventorié les choses ou les signes qui annonceraient, non pas déjà la fin du monde, mais son avènement.

Le diable a décidé de mettre les chrétiens au test avec le mensonge du coronavirus et beaucoup ont échoué. Beaucoup ont échoué. Le Seigneur tente donc de relancer son église pour voir s’il peut disposer des gens sur qui il peut réellement compter, pour effectuer son travail en ces temps de la fin. C’est pour cette raison qu’il nous enseigne aujourd’hui que, en tant que ses enfants, nous devons totalement dépendre de lui, que de vouloir nous situer ou nous positionner dans la société sur cette terre par exemple. Non, la seule chose qui doit vous préoccuper est que son royaume avance, que son évangile soit proclamé. Vous devez donc vous donner sans réserve au Seigneur, vous sacrifier pour la cause de la proclamation de son évangile. Oh Seigneur, aide ces gens à comprendre !

Comprenez bien que Jésus a dit que la fin du monde ne pourra avoir lieu qu’après que son évangile, la bonne nouvelle ait été annoncée à toutes les nations du monde pour servir de témoignage et faire rentrer la moisson à la bergerie. Avant cela, la fin du monde ne peut pas arriver. Ce qui doit préoccuper le chrétien d’aujourd’hui, est que l’évangile soit prêché, que la bonne nouvelle soit annoncée. C’est pour cette raison que, chacun de nous doit apporter sa contribution, afin que ceux qui sont encore hors de la bergerie soient interpellés et touchés par la bonne nouvelle, et aussi que, ceux qui sont déjà dans la bergerie soient entretenus et encadrés pour se maintenir au salut. C’est ce genre de travail que l’apôtre Paul était en train de faire auprès des corinthiens, ce travail que les macédoniens avaient su faire, pour entretenir les autres chrétiens dans la foi en subvenant à leurs besoins par des contributions financières et matérielles.

Nous devons donc assumer une double mission, celle d’aller dans le monde pour y chercher les brebis à ramener dans la bergerie, et celle d’encadrer et nourrir celles qui sont déjà dans la bergerie, afin qu’elles s’affermissent davantage et qu’elles ne se perdent pas ou ne rentrent pas dans le monde. C’est ce double travail que nous sommes appelés à faire dans l’œuvre qui nous est dévolue et qui consiste à s’occuper des pauvres. Pour ce travail, personne ne devrait d’abord chercher à sécuriser sa vie matérielle et financière, avant de voler au secours des autres. Ce travail doit donc se faire dans l’état où nous nous trouvons, sans tenir compte de nos carences ou nos besoins, et sans tenir compte de nos importants avoirs. Ce travail ne dépend pas de la classe sociale du chrétien. Chacun à son niveau, et selon ses moyens, doit apporter sa contribution. C’est ce que les macédoniens ont démontré.

Ces gens étaient réputés profondément pauvres, démunis, mais ils avaient volontairement fait de riches libéralités. Nous avons vu que la clé d’un tel résultat était qu’ils s’étaient d’abord donnés eux-mêmes au Seigneur sans réserve. Regardez les amis, je vous pose cette question : qu’est-ce que vous gagnerez si Dieu vous donne ce que vous voulez et que vous perdiez votre âme ? Rien du tout !

Il me souvient que j’ai reçu la lettre d’une dame, une lettre pathétique. Elle a écrit qu’elle a rédigé sa lettre autour de 2 heures du matin, et c’est aussi autour de 2 heures ce matin, que je lisais sa lettre. À l’âge de 31 ans, elle souffre d’une maladie des os rare et se fracture à tout bout de champ, ce depuis son jeune âge. Les médecins qui l’ont consultée et suivie se sont parfois trouvés obligés de racler l’os de son bassin pour rafistoler l’os du fémur qui s’était cassé. Une opération bien compliquée.

Finalement, les os du bassin qu’ils ont l’habitude de racler pour rafistoler les os des autres parties de son corps, sont aussi devenus défectueux. Elle ne peut donc plus effectuer certains mouvements comme monter les marches d’escalier. Elle a atrocement mal. J’ai lu sa lettre et j’ai prié pour elle. Mais, cela ne suffit pas. Il n’est pas suffisant de recevoir la guérison, il n’est pas suffisant de recevoir la délivrance. Ce que Dieu veut de nous, c’est que nous nous donnions à lui, que nous devenions sa propriété. Il est vrai que lorsqu’on souffre, on souhaite légitimement la guérison, mais si cette guérison est obtenue et que votre âme est perdue, vous n’auriez rien fait d’extraordinaire. Vous n’auriez rien fait d’extraordinaire. Au contraire, même si vous êtes alités et que votre âme est sauvée, cela peut vous apporter beaucoup de joie, une joie à même de restaurer votre corps physique.

Lorsque votre âme est sauvée, votre corps physique sera affecté par le salut de votre âme et pourrait en être restauré. La Bible le dit, l’apôtre Jean le dit comme il suit : « Bien-aimé, Je souhaite que tu prospères à tous égards, et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme. » 3 Jean 1 : 2). Voyez-vous, on est en bonne santé comme prospère l’état de son âme. Ne soyez donc pas davantage préoccupés par la prospérité physique, matérielle ou financière ; soyez au contraire d’abord préoccupés par la prospérité spirituelle. Car, c’est cette prospérité spirituelle qui restaurera les autres aspects de votre vie. Voilà ce dont il est question ! Oh Dieu, aide ces gens à comprendre !

La dame dont il est question s’appelle NGUETMENI YAMNA Blondine. Nous prierons pour elle ensemble, bien que j’aie déjà prié en privé. Elle souffre d’une maladie des os rare comme je viens de vous le dire. Elle m’informe qu’elle a même déjà créé une association regroupant ceux qui souffrent de telles maladies rares. Au niveau de l’objet de sa lettre, elle a mentionné « à bout de souffle ». Je ne sais pas comment elle a connu le Tabernacle de la Liberté et qu’est-ce qui l’a inspiré pour rédiger cette lettre à mon attention. Je ne sais pas dans quel quartier elle habite. Tout ce que je sais, c’est quelle souffre et n’arrive pas à trouver le sommeil. C’est habituellement autour de 4 heures du matin qu’elle trouve souvent le sommeil ; le reste du temps, elle le passe dans la souffrance. Les médecins qui la suivent lui proposent une évacuation sanitaire à l’étranger pour se faire soigner, et elle se bat actuellement à mobiliser l’argent nécessaire à cela.

Même si les médecins qui lui sont recommandés à l’étranger ont déjà soigné ce genre de maladie, il importe pour moi de l’interpeller pour qu’elle donne sa vie à Jésus, une manière de l’amener à se préoccuper d’abord de la guérison de son âme qui pourrait entraîner celle de son corps. Parfois, Dieu dans sa grâce guérit le corps avant de guérir l’âme. On a vu bien des cas comme cela ; le plus souvent c’est ce qui se passe. Mais cela ne profite pas toujours à ceux-là qui en sont bénéficiaires. Rappelez-vous des dix lépreux ! Ils étaient tous malades de la lèpre et étaient allés auprès de Jésus pour obtenir la guérison ; guérison que Jésus leur avait offerte, mais combien parmi les dix avaient obtenu le salut ? Un seul ! C’est un seul qui était reparti vers Jésus pour le remercier, et c’est celui-là qui avait obtenu le salut. Soit un minable pourcentage de 1/10, les 9 autres s’étant contentés que de leur guérison physique.

À quoi avait servi leur guérison ? A rien du tout ! Jésus lui-même en était étonné et déçu par l’ingratitude de ces 9 et leur désintérêt à la chose de Dieu. C’est pourquoi il avait posé la question de savoir si les 9 autres n’avaient pas aussi été guéris pour que ce soit seulement un seul, un étranger en plus qui revienne dire merci et rendre donc grâce à Dieu. Et c’est à lui que Jésus avait dit : vas, ta foi t’a sauvé. C’était là la phase du salut de son âme que lui seul avait obtenu auprès de Jésus ; les 9 autres ne s’étant contentés que de la guérison du corps physique.

C’est de même que vous qui êtes devant moi ou qui m’écoutez, vous êtes là depuis des années parce que vous attendez votre percée, votre bénédiction ou votre promotion, l’amélioration de votre condition matérielle, financière ou autres, mais vous n’êtes pas intéressés au travail auquel Dieu vous convie. Dieu vous demande de vous donner à lui afin que vous puissiez aider les autres qui sont malheureux comme vous. Car, je ne cesserais jamais de le dire, vous ne pouvez bien aider quelqu’un que si vous êtes passés par là où celui-ci se trouve ou passe. C’est bien cela qui justifie que Dieu ait d’abord pris un corps semblable au nôtre, pour expérimenter ce que nous les humains, nous expérimentons, afin de nous montrer finalement l’exemple. Il voulait et il avait goûté ce par quoi l’humain passe avant de nous sauver. Et c’est pourquoi il nous avait parfaitement sauvés. C’est de cette même manière que Dieu voudrait que, vous qui avez connu l’expérience de la pauvreté, vous puissiez vous occuper ou aider celui qui est pauvre.

Vous devez le comprendre et vous engager. Vous devez cesser de tergiverser avec votre engagement à l’œuvre de Dieu. Cessez cela et engagez-vous entièrement pour le Seigneur ! Cette dame, Blondine, j’aimerais la voir physiquement ici à l’église, même s’il est vrai qu’elle souffre dans son corps. J’aimerais qu’elle soit physiquement là. Si elle m’écoute ou si la personne qui l’a connectée à l’église m’écoute, je souhaite qu’elle vienne à l’église. Et d’ailleurs nous pourrons l’appeler à la fin du culte. Il est temps que nous l’élevions au Seigneur, dame NGUETMENI YAMNA Blondine. Levez-vous pour la prière ! Demandons au Seigneur de sauver son âme ! Que ce salut de son âme puisse affecter le salut de son corps en souffrance, c’est-à-dire la guérison qu’elle recherche ! Elle cherche beaucoup d’argent pour cela, 45 millions de francs CFA environ pour son évacuation sanitaire et sa prise en charge.

Même si elle obtenait le montant nécessaire à son évacuation et qu’elle soit même bien soignée, cela ne pourra pas sauver son âme. Comme je le disais tout à l’heure, c’est le salut de son âme qui affectera celui de son corps. Prions donc pour elle !

« Seigneur notre Dieu, nous te recommandons cette dame, Blondine NGUETMENI YAMNA ! Tu la connais et sais où elle se trouve actuellement. Nous te prions donc de pouvoir la toucher à l’instant, et de sauver son âme et sauver ou guérir pareillement son corps. Seigneur sauve son âme, sauve son âme ! C’est au nom puissant de Jésus que nous te la recommandons. Merci, Père-Saint de nous écouter et de nous exaucer ! Au nom puissant de Jésus, nous avons prié. Amen ! »

Ce serait une bonne chose qu’elle vienne à l’église. Comme vous le savez, je n’aime pas souvent les courriers volumineux parce que j’en reçois beaucoup, et vous avez reçu des instructions appropriées sur la manière de rédiger vos correspondances. Mais lorsque j’ai vu ce courrier, malgré son volume, j’ai décidé de commencer par lui dont l’objet mentionné était : à bout de souffle. Malgré qu’il soit volumineux parce que comportant beaucoup de documents, l’Esprit de Dieu me poussait à le lire. Il était 2 heures du matin environ et il me souvient que j’ai été dessus jusqu’à 3 heures du matin environ, pour lire et pour prier. Ce qui m’a frappé sur ce dossier est que nulle part, cette dame n’a demandé le salut de son âme. Je n’ai vu cela nulle part, depuis l’objet de la lettre. Nous comprenons qu’elle n’est préoccupée que par sa souffrance physique dont elle est victime depuis son jeune âge.

Son cas me donne l’occasion de vous interpeller une fois encore, vous qui êtes devant moi ou qui m’écoutez. Vous demeurez derrière la cause qui vous a conduit dans cette église jusqu’à ce jour, au lieu de la mettre de côté et comprendre le but réel pour lequel Dieu vous a fait venir en ce lieu, ou le but pour lequel il vous a connectés à cette église. Écoutez-moi donc aujourd’hui, Dieu vous a fait venir au Tabernacle de la Liberté, pour que vous puissiez sauver votre âme et que vous puissiez après cela, participer au salut des âmes des autres. Ce n’est donc pas pour ce que vous pensez à savoir : la maladie, la pauvreté, le travail, le mariage, les enfants, le bien-être social, etc. Ce n’est pas pour ces choses qui attirent la plupart à l’église, que Dieu vous a fait connaître le Tabernacle de la Liberté. Dieu veut que vous mettiez ces préoccupations de côté pour vous préoccuper de son œuvre dans l’état où vous vous trouvez à l’heure actuelle, comme les macédoniens l’avaient si bien fait.

Malgré qu’ils étaient dans la pauvreté profonde, ils avaient volontairement pu donner ce qu’ils avaient, et ce qu’ils pouvaient. Ils s’étaient sacrifiés en somme. La raison de cette bonne action qui nous sert d’exemple aujourd’hui est qu’ils s’étaient d’abord donnés au Seigneur.

Donnez-vous donc d’abord au Seigneur ! Levez les mains et donnez-vous entièrement à lui sans réserve ! C’est cela qui vous aidera à vous occuper du salut des pauvres. Avez-vous compris cela ?

Levez-vous pour élever la prière à Dieu !

Amen !

 

 

 

 

 

 

 

 

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