SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2025 (JEUDI 06 MARS), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (6ème partie)
Alors qu’il se donnait auparavant en donneur de leçons aux pays de l’AES (Mali, Niger, Burkina-Faso) et en ardent défenseur de la CEDEAO, Umaru SISSOCO EMBALO, Président de la Guinée-Bissau, vient de chasser de son pays une Mission politique de haut niveau de la CEDEAO, alors que celle-ci était mandée pour y soutenir (du 21 au 28 février 2025) les efforts des acteurs politiques et autres parties prenantes pour parvenir à un consensus politique sur une feuille de route pour la tenue d’élections inclusives et pacifiques en 2025.
Dans un communiqué de presse signé le 1er mars 2025, l’ambassadeur Bagudu HIRSE chef de ladite Mission, précise que « La Mission a préparé un projet d’accord sur la feuille de route pour la tenue d’élections législatives et présidentielles en 2025 et a commencé à le présenter aux parties prenantes pour obtenir leur consentement. La Mission a quitté Bissau le 1er mars au petit matin, à la suite des menaces d’expulsion proférées par S.E. Umaro Sissoco EMBALO. La Mission présentera son rapport au Président de la Commission de la CEDEAO, y compris sa proposition sur la façon de trouver une feuille de route consensuelle pour la conduite d’élections inclusives et pacifiques en 2025. La Mission appelle toutes les parties prenantes et les citoyens à rester calmes et à maintenir la paix et la tranquillité dans le pays ».
Alors que plusieurs estiment par ailleurs que son mandat est épuisé, Umaro SiSSOCO EMBALO a prorogé celui-ci jusqu’à la fin de l’année, période à laquelle il envisage la tenue de l’élection présidentielle. Il a annoncé sa candidature à ladite élection, foulant lui-même aux pieds tous les principes de gouvernance de la CEDEAO dont il se faisait l’ardent défenseur en tant que médiateur de l’institution auprès du Mali, du Burkina-Faso, du Niger.
Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, ayant fustigé le volte-face d’EMBALO et surtout sa soumission au pouvoir colonial de Paris et de l’Occident, a observé que les institutions comme la CEDEAO, la CEMAC, l’Union africaine ne servent à rien, vu qu’elles sont incapables de défendre la souveraineté et de consolider l’unité de l’Afrique. Cela dit, le révérend a invité les fidèles à prier, afin que Dieu délivre l’Afrique du joug colonial, et qu’il donne aux africains une vraie indépendance. Le révérend a répété qu’EMBALO est un vrai dictateur soumis aux Occidentaux, lui qui voulait pourtant s’ériger en donneurs de leçons de gouvernance aux dirigeants révolutionnaires et panafricanistes de l’AES. C’est dans le contexte d’évocation de cette actualité que le Seigneur a saisi les esprits personnifiant les flèches.
« Nous sommes les Flèches, nous voulons flécher les gens (les dirigeants) de L’AES (Assimi GOÏTA du Mali, Ibrahim TRAORÉ du Burkina-Faso, Abdourahamane TIANI du Niger). On se dirige vers l’AES, et on a mandaté quelqu’un à cet effet, celui que vous avez montré aujourd’hui, le Président de la Guinée-Bissau, EMBALO. Tu vas voir, tu vas entendre (s’adressant au révérend) ; ne sois pas pressé. Tu vas entendre la suite de l’affaire, pourquoi EMBALO dira qu’il quitte de la CEDEAO. À l’heure-ci, il dit qu’il n’est plus pour la CEDEAO. En fait, on l’a chargé d’aller tout droit proposer son adhésion à l’AES. La distance géographique entre la Guinée-Bissau et les pays de l’AES n’est pas un problème ; la distance n’est pas une barrière, la distance n’est pas un problème. Nous sommes les Flèches, disions-nous, nous voulons flécher l’AES. On se dirige tout droit vers l’AES. Nous sommes bien emballés – en EMBALO-, et nous sommes envoyés par les cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU », ont dit les esprits mis en cause.
Au nom puissant de Jésus, le révérend a stoppé la mission de ces esprits (les ‘‘Flèches’’), en les décapitant et en les chassant en enfer. Brisons constamment leurs renforts et leurs renouvellements !