CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 13 AVRIL, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (16ème partie)
Il y a quelques jours, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2025, l’Algérie a abattu un drone malien, et cela a déclenché une virulente crise diplomatique entre les deux pays. En revenant aujourd’hui sur ce dossier de l’actualité, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a fait diffuser une vidéo montrant que l’Algérie est éminemment fautive, car elle a abattu ce vecteur aérien, qui n’avait pourtant pas violé son espace aérien, et qui survolait bien loin, à 12 km de sa frontière.
Le révérend a souligné que le Mali, qui ne veut pas la guerre, cherche à résoudre le problème par des moyens pacifiques, et a ainsi soumis le différend au Conseil de Sécurité de l’ONU, dont la France exerce actuellement la présidence tournante. Le révérend a invité les fidèles à prier, afin que l’Algérie soit condamnée et qu’elle paie les dommages causés au Mali, en remplaçant par exemple le drone abattu. Voici l’extrait de cette prière :
« Nous avons un autre sujet concernant le Mali et l’Algérie. L’Algérie a agressé le Mali. Y faisant suite, le Mali a porté plainte en saisissant le Conseil de Sécurité de l’ONU actuellement présidé par le France. En effet, Bamako accuse officiellement son voisin de s’être rendu coupable d’un « acte d’agression sur son territoire » en détruisant l’un de ses drones. Le représentant permanent du Mali à New York dénonce la « destruction d’un drone des Fama, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2025, sur le territoire malien, suite à une action hostile préméditée du régime algérien ». Selon des informations de RFI, Alger et Bamako ont, chacun de leur côté, sollicité le Conseil de sécurité de l’ONU dans le cadre de la crise diplomatique aigüe qui les oppose depuis la destruction d’un drone malien par l’armée algérienne, à la frontière entre les deux pays, il y a dix jours. Rappel des ambassadeurs, fermeture de leurs espaces aériens respectifs, accusations virulentes par communiqués interposés : la confrontation est violente et le ton parfois menaçant. Par ces deux lettres datées du 7 avril que RFI s’est procurées, Bamako et Alger transmettent au Conseil de sécurité leurs communiqués gouvernementaux respectifs sur la destruction du drone malien, sans toutefois le saisir officiellement. Dans ce dossier, leurs positions respectives sont connues : le Mali condamne un acte hostile et accuse l’Algérie de soutenir le terrorisme ; l’Algérie dénonce des violations de son espace aérien et une stratégie mensongère des dirigeants maliens de transition.
« Nous savons tout aussi que l’ONU n’a jamais résolu objectivement les problèmes de l’Afrique. Il y a une vidéo qui nous montre clairement comment l’Algérie a abattu le drone dans l’espace malien. Lève-toi assemblée pour demander à Dieu de condamner l’Algérie. Seigneur, nous savons que ceux à qui on s’adresse humainement pour trancher cette affaire, ne peuvent pas être les amis du Mali ni des maliens. Mais, Seigneur, ta Parole nous fait comprendre que lorsque Tu approuves les voies d’un Homme, Tu disposes favorablement à son égard même ses ennemis (PROVERBES 16 : 7). C’est la France qui préside actuellement le Conseil de Sécurité de l’ONU et la France est ennemie du Mali. S’il te plaît Seigneur, permets que malgré cela, que le Mali puisse avoir gain de cause dans cette affaire, au vu de la tangibilité des preuves. Nous te prions Seigneur de permettre que l’Algérie puisse être condamnée et qu’elle paie les dommages ! C’est notre prière ô Dieu ! C’est notre prière ô Dieu ! C’est notre prière ô Dieu ! Nous te l’adressons au Nom puissant de Jésus ! Amen ! Amen ! Alléluia ! ».
Au terme de cette prière, le Seigneur a saisi l’esprit personnifiant la Guerre. Écroué dans le corps d’un jeune homme, ce démon a affirmé qu’il veut opérer entre l’Algérie et le Mali. Après avoir réitéré que ce que les algériens sont en train de chercher n’aura pas lieu, le révérend a aussitôt stoppé l’esprit de guerre, en le décapitant et en le chassant en enfer. Merci Seigneur.