CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 18 MAI 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (17ème partie)

Dans la suite de son initiative de préservation du Président Paul BIYA, et d’assainissement de la célébration de la 53e édition de la fête nationale de l’Unité, le Seigneur a saisi le démon intervenant dans le complot d’empoisonnement du Président Paul BIYA. Écroué dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, ce démon a déclaré ceci :

« Est-ce à moi que tu parles ? Je suis le Poison. Je suis en partance pour Mvomékaa (village du Président Paul BIYA). Une autre partie de moi est en partance pour le véhicule du Président. La troisième partie est en partance pour le siège présidentiel, à la tribune (du Boulevard du 20 mai). C’est la France qui nous a envoyés, avec le canevas de celui qui est à la présidence, qui a les yeux comme un crapaud dans l’eau, et qui porte des lunettes comme ta part, avec la punk (Ferdinand NGOH NGOH, Secrétaire général de la Présidence de la République). C’est un élément très dangereux (parlant de NGOH NGOH). Depuis que le mouvement se fait dans votre nation, l’entends-tu parler ? C’est sa carapace vide qui est sur terre, mais le vrai NGOH NGOH n’est pas là. La carapace a été vidée, le vrai NGOH NGOH est quelque part ». Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité les trois premiers démembrements du démon mis en cause.

Saisi dans le corps d’une dame, le démon personnifiant le quatrième démembrement du poison a affirmé ce qui suit : « Je suis le Poison. Je t’ai dit que nous étions quatre. Les trois autres sont partis. Je suis sur le siège du Président, je suis aussi dans les troupes qui vont venir défiler, les troupes du pays voisin, les troupes du Nigéria. J’y suis ». Le révérend a également décapité ce quatrième démembrement de l’esprit mis en cause, puis il l’a chassé en enfer.

Nous remercions le Seigneur, qui préserve Son Excellence Paul BIYA. Alléluia !