CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 13 JUILLET 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (19ème partie)
À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et inspiré de JACQUES 5 : 7 – 11, JOB 42 : 10 – 17, le Seigneur a saisi l’esprit d’incrédulité. Écroué dans le corps d’un jeune homme et répondant aux différentes questions posées par le révérend, ce démon a déclaré ce qui suit :
« Plusieurs personnes disent que, quand toi-même tu enseignes ce que tu as enseigné là, c’est pour dire quoi ? Est-ce pour dire qu’ils doivent souffrir ? Voici encore ce qu’ils disent : ‘‘On est venu à Quelqu’un (Jésus-Christ) depuis des années, les autres depuis 2012, les autres bien avant. Il nous a promis la vie en abondance, il nous a promis que nous serons la tête et non la queue. Mais toi (mets-toi à notre place !), tu voudrais qu’on continue à rester sans voir les fruits ?’’. Moi qui parle, je suis l’Incrédulité. Tu sais que j’ai plusieurs façons et plusieurs types de cœurs, où je m’assois. Le premier type de cœur que j’habite, c’est celui qui ne sait pas être reconnaissant pour le souffle (de vie) qui est renouvelé (en lui) par votre Dieu. Celui qui a un tel cœur ne se pose pas la question suivante : ‘‘ Si j’ai dormi et que je me suis réveillé, est-ce par mes efforts ?’’. Il ne sait pas qu’il doit dire merci à la personne qui renouvelle le souffle de vie en lui. Alors, quand une telle personne se lève (de son lit), elle part, elle ne se préoccupe même pas de savoir qu’elle doit dire merci à celui qui a renouvelé le souffle de vie en elle. Elle ne sait même pas qu’il y a quelqu’un à qui elle doit dire Merci. Il y a certains qui ne se préoccupent pas de savoir qu’ils ont quelque chose (la Bible) qui doit leur apprendre comment communiquer avec celui qui renouvelle le souffle de vie… Il y a des gens qui peuvent faire une semaine, un mois, ils ne touchent pas ce livre (la Bible). Et ils viennent s’asseoir à l’église, ils disent qu’ils louent, qu’ils dansent. Alors, qui louent-ils ? Louent-ils le vide ?
« Le deuxième type de cœur que j’anime, c’est ceux qui viennent (à l’église, à Christ) parce qu’ils veulent être guéris. Chemin faisant, ils découvrent que l’essentiel n’est pas la guérison, mais servir Celui qui leur a donné la vie. Chemin faisant, ils bénéficient de ses grâces. Mais à un moment donné, ils décident de prendre un autre chemin, et d’ignorer les grâces de Celui-là (Jésus-Christ) dans leurs vies. C’est à ce niveau qu’intervient le collègue qui m’accompagne, je parle de l’esprit d’oubli. Beaucoup oublient ! Je ne sais pas s’ils se rappellent que Celui-là (Jésus-Christ) a fait des bienfaits dans leurs vies. Le premier bienfait, c’est le souffle de vie. Même si tu es éperdument malade, tu as ce bienfait qu’est le souffle de vie… Les fourmis sont même plus grosses que nous, mais on réussit à déraciner les hauteurs… Je disais que la première chose, le premier bienfait dans la vie d’un humain ou d’un chrétien, c’est le souffle de vie. Et comme ce souffle de vie n’apparaît pas là au hasard, c’est le travail du Suprême, du Tout-Puissant. C’est lui qui décide de renouveler ce souffle jour après jour. Tu as fait quoi pour qu’il le renouvelle en toi ? Il faut donc être capable de lui être reconnaissant !
« Il y a certains ! Si on ouvrait leurs yeux pour voir ce qui se passe dans l’ombre pendant qu’ils sont couchés, pendant que travaillent les esprits familiers, qui nous ont précédés tout à l’heure ! On ne lâche pas prise. Quand on vient une fois et qu’on nous anéantit, on laisse le temps passer et on revient à la charge. Nous, esprit d’incrédulité et esprit d’oubli, on est inséparables. Voilà une (maman AYANGMA) ! Elle sait d’où votre Dieu l’a ramassée et tirée… C’est la grâce qui fait en sorte qu’elle soit encore suspendue sur un fil. Le Père d’en haut la conduit doucement, mais elle refuse d’être conduite par votre Type (Jésus-Christ). Elle se rebelle. Sa fille dit qu’elle a espoir que cela va changer un jour. On est d’accord que ça va changer un jour, mais tu sais que le changement peut être positif comme négatif. On va donc te (s’adressant au révérend) révéler ses pensées. Elle n’est pas avec vous. Nous, on connaît ses pensées. Demandez-lui si ça va, elle vous dira que ça va par la grâce de Dieu. Moi, esprit d’incrédulité, je vais te dire la vérité. La mère que tu vois assise là (maman AYANGMA), le mois-ci… Elle a planifié qu’un matin, elle va sortir, vap ! Elle va dire qu’elle fait les cents pas, et elle va partir au village. On ne la verra plus. La chose qui la sauve, c’est le truc que vous avez versé partout, qui est rouge (le sang de Jésus). À cela s’ajoute la couverture que tu laisses sur eux chaque jour, chaque seconde.
« Nos gens sont déployés pour la ramener, sans oublier le serpent, qui parle chaque jour dans ses oreilles. Vous blaguez ! Vous allez confirmer ! Le père dont vous parlez (le mari de maman AYANGMA) est à l’œuvre. Où est sa fille, l’autre ? Attends un peu. Mamy Ndolè, je te le demande : toi-même, quand tu observes, comment est le comportement, comment sont les réactions de ta mère ces derniers temps ? Quels sont ses réactions ? (- Sœur Reine ATSENA : elle est très colérique. À un moment, elle se calme. Elle est pensive). Quand elle est pensive, non seulement elle fomente son plan, mais elle parle avec son mari. Donc, son mari est là-bas, son esprit est proprement couché à la maison. Vous blaguez avec nous ! ATSENA elle-même regarde (sans rien faire). ATSENA, toi-même, n’est-il pas vrai que tu ressens des présences étranges ces jours-ci ? Vous blaguez avec le monde spirituel ! (…). Je t’ai fait comprendre qu’il y a des gens qui font une semaine, un mois, sans lire la Bible. Pourtant, toutes les vérités sont révélées dans cette parole ».
À leur tour saisis dans le corps d’une jeune dame et répondant successivement au révérend, les démons incarnant les murmures et les plaintes ont affirmé ce qui suit : « Tu veux savoir si nous avons un nez. On a le nez pour quoi en faire ? Tu veux savoir si on a une bouche. On parle même avec les mains, même avec les pieds, et tout ce qu’on trouve. Nous sommes les esprits de murmures et de plaintes. Bouchez ses oreilles (parlant de maman AYANGMA), pour qu’elle n’entende plus le tam-tam qui l’appelle au village. Vous blaguez ! Donc, croyez-vous qu’elle a compris tout ce que vous étiez en train de lui dire ? Elle va ‘‘sauf que’’ partir ! Elle va descendre au village. La prochaine fois, elle va partir sans vous le dire, et vous allez seulement apprendre qu’elle est au village. Les plaintes et les murmures sont dans sa bouche. Pourquoi es-tu dépassé (s’adressant au révérend) ? Si elle rentre au village, ne va-t-elle pas continuer à y suivre les cultes ? Tout ce que tu racontes là, c’est pour vous, car elle n’est même pas avec vous. Même si tu lui montres la délivrance de sa fille, qu’est-ce que cela fera, du moment où elle entend le tam-tam ? Vous jouez ! Laissez-la aller au village ! Ses filles-là (sœurs Ida et Reine) doivent poser les genoux au sol (elles doivent beaucoup prier pour elle) ».
Tout au long de la délivrance, à travers une intervention ponctuée d’exhortation, de prière de repentance et de renouvellement, le révérend a déclaré ce qui suit : « Maman AYANGMA, ton petit-fils m’a dit que tu veux aller au village, pour y prendre soin de ton mari qui est malade. Vas-tu dire que tu ignores la nature de ton mari-là ? Je vais te donner la délivrance de ta fille qui est aux États-Unis. C’est quand j’ai revu sa délivrance que j’ai dit : ‘‘ Donc le père-là est sorcier !’’. Veux-tu aller prendre sa place pour qu’il reprenne vie ? Peux-tu prendre soin d’un malade à ton état-ci ? Ida, ta maman-ci est comment ? David, donnez la chaise à cette maman. Maman, toi même tu n’es pas encore en santé. Voilà les gens qui oublient ! Grand-mère, n’essaie pas de le faire. Comprends-tu ? Si tu vas là-bas, c’est lui qui va reprendre ta place… Bonjour Ida ! Comment ça va ? ».
– Sœur Ida : bien par la grâce de Dieu.
– Pasteur Caleb : l’âme de ta maman est disputée. Le monde des ténèbres se bat pour la récupérer.
– Sœur Ida : il se bat sous toutes les formes. Ce n’est vraiment que la grâce de Dieu. Elle a beaucoup de colère. C’est difficile, mais bon ! Je sais que ça va changer un jour.
– Pasteur Caleb : ATSENA, ne peux-tu pas chasser le père-là ? ATSENA, réveille-toi ! Ne te réveilles-tu pas ? (- Sœur Reine ATSENA : je me réveille au nom de Jésus !)… On a déjà parlé à la mère-ci, fatigué ! C’est son petit-fils qui est venu la trahir chez moi. Assemblée, priez, couvrez la maman-ci dans le sang de Jésus… ‘‘Nous te plongeons dans le sang de Jésus. Au nom de Jésus ! Nous te plongeons dans le sang de Jésus, bon gré, mal gré. De manière forcée, tu es immergée dans le sang de Jésus… Quand on était petits et qu’on allait nager, on avait souvent expérimenté que quand on plonge dans la Lékié et que quelqu’un t’appelle en dehors des eaux, tu l’entends. Maman, nous te bouchons donc les oreilles (pour ne plus entendre les appels du village), au nom de Jésus. Merci Seigneur’’…
ATSENA, il ne faut pas seulement que ce soient les paroles, réveille-toi ! Sois une femme de prière ! Pourquoi est-ce que vous ne vous laissez pas interpeller par la parole ? Qu’est-ce que vous voulez même ? Je vois que c’est la paresse qui anime beaucoup. La paresse anime plusieurs. La grande majorité est animée par la paresse. Depuis que j’enseigne sur la vie chrétienne normale, une seule personne m’a écrit, pour dire qu’elle a compris, qu’elle a lu La Réalité du Saint-Esprit et qu’elle a été remplie du Saint-Esprit. Beaucoup continuent leur marche, malgré que je parle. C’est la paresse qui vous dérange ! ATSENA, la paresse ! Oh Seigneur ! Ta grâce, Seigneur, sur ces vies ! Ta grâce sur ces vies, Seigneur ! Vous avez l’habitude de chanter un cantique intitulé ‘‘Réveille-nous Seigneur’’. Prends-nous (s’adressant à sœur Carine) quelques strophes de ce cantique.
CANTIQUE : RÉVEILLE NOUS SEIGNEUR
Réveille-nous, Seigneur !
Pendant que nous prions.
Descends, Seigneur, descends vers nous !
Viens glorifier ton Nom !
—
Réveille-nous, Seigneur !
Fais montrer ta Présence !
À ta parole ouvre nos cœurs,
Et parle avec puissance !
—
Réveille-nous, Seigneur !
Pour exalter ton Nom.
Mets ton amour dans chaque cœur,
Fais de nous des flambeaux !
—
Réveille-nous, Seigneur !
Et bénis ta Parole !
Que, par sa force et vérité,
Elle, nos vies contrôle.
—
Réveille-nous, Seigneur !
Envoie ton Saint-Esprit,
Qu’il nous remplisse de ferveur
De chercher les perdus.
Après l’exécution de ce cantique, le révérend s’est exprimé en ces termes : « Avez-vous chanté, ou bien, avez-vous prié ? Ce chant est même temps une prière. C’est pour cela que je demande : avez-vous chanté ? Avez-vous prié ? Ou alors, avez-vous fait les deux ? D’après ce cantique et suivant le dernier couplet que nous avons chanté, quel est l’objectif du Réveil ? D’après le dernier couplet, quel est l’objectif du Réveil ? Le Réveil, c’est pour quoi faire ? Regardez à l’écran. Qui n’a pas ce recueil de cantiques ? C’est le numéro 66 qui a été chanté. Le but du Réveil c’est quoi ? Pouvez-vous répondre ? (- Frère David : le but du Réveil c’est de chercher les perdus)… Que faut-il donc faire ? Est-ce que vos cœurs sont ouverts à la parole de Dieu ? Le chant-ci révèle le but de la chrétienté. Quand je relisais les quatre strophes, je vois que je vous ai résumé le but de la vie, de la chrétienté. Je vous ai résumé ce pour quoi Dieu nous a créés, ce pour quoi il nous a sauvés : c’est de l’adorer Dieu et de le servir. C’est tout !
« Est-ce vraiment votre désir ? Je vois comment ils sont amorphes, perdus. Comment allez-vous chercher les perdus, quand vous êtes vous-mêmes perdus ? On parle de la ferveur, mais ils sont là, amorphes. Priez Dieu ! Commencez par la repentance, commencez à confesser vos péchés à Dieu, à lui demander de vous remplir. Demandez-lui de vous remplir, pour que vous alliez chercher les perdus. Priez avec ferveur ! Faites partir tout ce qui est dans vos cœurs, comme les écueils, la rancune, la colère… Enlevez tout cela, nettoyez vos cœurs. Quand vous êtes dehors, on entend vos voix. Priez ! Priez ! Oh Jésus, merci pour ta visitation, merci pour ta visitation Seigneur. Alléluia !
« Esprit saint descends ! Dans cette maison, descends ! Entre dans ces ossements desséchés ! Que ces ossements desséchés deviennent l’armée du Seigneur. Ces ossements desséchés, reprenez vie, au nom de Jésus ! Reprenez vie, au nom de Jésus, pour vous lever comme des guerriers ! Vous partez comme des vainqueurs, pour vaincre ! Que cherchez-vous avec l’incrédulité ? Que cherchez-vous avec l’oubli ? Cela vient chercher quoi dans vos cœurs ? C’est l’Esprit de Dieu qui doit être rempli dans vos cœurs, et non ces démons d’incrédulité, et non ces démons d’oubli, de murmures, de lamentations. C’est l’Esprit de Dieu qui doit prendre place en vous. Esprit saint, s’il te plaît, balaie ! Que le balai du Saint-Esprit nettoie toute saleté dans vos cœurs maintenant, au nom de Jésus ! Oh Dieu, merci d’agir ! (Parles en langues). Que ces cœurs de pierre soient brisés ! Que ces cœurs de pierre soient brisés ! Seigneur, donne-nous des cœurs de chair, au nom de Jésus (parler en langues).
« Esprit de Dieu, prends le contrôle, prends le contrôle entièrement (parler en langues) ! ATSENA, réveille-toi ! ATSENA, réveille-toi ! Lève-toi pour le Seigneur ! Le feu de Dieu t’allume, le feu de Dieu est sur toi maintenant ! Priez ! Priez ! Que vous soyez ici à l’église locale ou dans la diaspora, la distance n’est pas une barrière. Connectez-vous à l’onction de Dieu. Esprit de Dieu, descends, partout où ils sont, et réveille-les ! Soyez engagés ! Soyez embrasés ! Soyez embrasés ! Sois dégagé de la paresse ! Le feu de Dieu te nettoie de tout esprit de paresse ! ATSENA, le feu de Dieu est sur toi ! Seigneur, nettoie-la par ton feu, exerce ton jugement sur son père. Cet homme n’a pas besoin d’être dans sa chambre. Seigneur agis ! ATSENA, c’est anormal que tu dormes avec les démons dans ta chambre (parler en langues). Priez ! Priez ! Priez ! Réveillez-vous ! Debout tout le monde ! Esprit de Dieu, prends place, prends place ! ».
Finalement, au nom de Jésus, le révérend a décapité les esprits d’incrédulité, d’oubli, de plaintes, de murmures, puis il les a chassés en enfer, stoppant ainsi leurs activités au milieu des fidèles. Merci Seigneur.