CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 13 JUILLET 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (19ème partie)
L’esprit de sommeil a été saisi et écroué par le Seigneur dans le corps de sœur Esther. Étalé sur la moquette et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, ce démon a déclaré ce qui suit :
« Laisse-moi ! Laisse-moi ! Ne me touche pas, as-tu compris ? J’ai dit que tu ne me touches plus ! Laisse-moi ! Laisse-moi ! Ne me touche plus, as-tu compris ? C’est moi. Ne me vois-tu pas ? Je suis le Sommeil. Pourquoi viens-tu me réveiller ? Pourquoi me réveilles-tu ? Laisse-moi dormir ! Je dors parce que je me sens à l’aise quand je dors. Je ne dois pas la laisser (parlant sœur Esther). Je ne la laisse pas ! Je ne veux pas laisser cette femme. Je dis que je ne la laisse pas, as-tu compris ? Laisse-moi faire mon travail ! Wèh ! Ne me réveille plus ! Laisse-moi dormir ! (Pleurs) Ne me dérange plus ! Tu me déranges ! Je ne la laisse pas ! Où veux-tu que j’aille ? Je me sens à l’aise là ! Je dis que je ne la laisse pas, qui es-tu ? Ne me dérange plus. Ça c’est qui même ! Je dis que ne me dérange plus ! Je ne la laisse pas. Tu veux que j’aille où ? Je me sens à l’aise en elle, c’est ma place. Tu es qui ? Tu sors d’où ? Tu as fait comment pour me voir ? Je suis caché là depuis des années. Tu as fait comment pour me voir ? Cela fait plusieurs années, que c’était ma chambre…
« Quand je veux je dors, après je me réveille. Je dois dormir. Tu es venu me réveiller. J’étais en train de ronfler. Veux-tu me voir à l’œuvre (en train de ronfler) ? Tu peux demander à ceux qui dorment avec elle, c’est comme ça que je travaille (par les ronflements)… Jamais ! Je ne peux pas la laisser, parce que je suis à l’aise là. C’est ma maison ! Je fais comme je veux, quand je veux, donc ne me dérange plus ! Cela plusieurs années que je vis en elle, je ne sais pas combien. Elle a déjà tout fait pour me chasser, mais elle ne peut pas. Je suis chez moi. Tu dis que je suis sale. Je ne suis pas sale, m’as-tu vu ? Je fais mon travail en ronflant. Je suis là pour perturber, je ne peux pas baver maintenant, car il faut du temps, après avoir ronflé des heures. Je bave au petit matin, quand on est sur le point de se lever. Ne parle pas de ce nom (le nom de Jésus), ne parle pas de ce nom (pleurs) ».
Le révérend a décapité l’esprit de sommeil, puis il l’a chassé en enfer. Ensuite, il a invité chaque fidèle à se séparer du sommeil, en ces termes : « Assemblée, c’était juste là un modèle. C’est comme ça que vous êtes, c’est comme ça que vous faites. Avez-vous vu ? Avez-vous compris ? Êtes-vous là ? Je parle avec qui ? C’est votre prototype qui vient de passer, chacun de vous. Toi, vas-tu rester dans ce sommeil ? Je comprends pourquoi ils n’agissent pas quand je prêche. Ils font comme ce démon de sommeil, qui disait : ‘‘Je me sens à l’aise ici là’’. Réveillez-vous ! Réveillez-vous ! Engagez-vous pour Dieu ! Les murmures et les pleurs vous ont fait quoi ? Vous êtes seulement là pour murmurer, pour bagarrer entre vous. C’est quoi non ? Non seulement ils bagarrent entre eux, mais ils bagarrent aussi contre la Parole et ne veulent pas l’accepter. Ha !
« Michelle, réveille-toi ! Michelle, réveille-toi ! Michelle, réveille-toi ! Réveille-toi ! Réveille-toi ! Réveille-toi ! Je parle à Michelle, je dis que tu te réveilles ! Réveille-toi ! Toi qui tiens Michelle là (madame MAKON), tiens-la par la main, pour que vous vous réveilliez. Vous êtes toutes les deux dans le sommeil. Allez, réveillez-vous ! N’y a-t-il plus d’autres Ushers dans la salle ? Réveille-toi, madame MAKON ! Réveille-toi, debout ! ISSEPE, réveille-toi ! ISSEPE, réveille-toi ! Réveille-toi ! Debout ! Moi je dis ‘‘debout’’, et lui il se couche. Debout ! Allez, debout ! ISSEPE, réveille-toi, au nom de Jésus. Debout ! Oh Seigneur ! ».
– L’esprit de bains de sang, de troubles, de chaos : la petite qui est à terre (Michelle) doit faire table rase dans son cœur. Bientôt, elle va rentrer dans son nid familial. Bientôt, dans quelques jours. Les jours sont même comptés.
– Pasteur Caleb : Michelle, écourte ton séjour là où tu es en vacance, et vas de l’autre côté. As-tu compris ? Et c’est maintenant. As-tu suivi ce que l’esprit a dit, que tu vas rentrer dans ton nid familial ? Hein ? Écourte ton séjour là-bas.
– L’esprit de bains de sang, de troubles, de chaos : elle se dit que là où elle était, au moins elle respirait un peu.
Pasteur Caleb : respirer dans quel sens ?
– L’esprit de bains de sang, de troubles, de chaos : qu’est-ce qui remplit son cœur, au point qu’elle veut retourner dans le nid familial ?
Pasteur Caleb : hein, Michelle ? Qu’est-ce qui remplit ton cœur, au point que tu veux retourner dans ton nid familial ? Est-ce le mariage ?
– Michelle : non pasteur.
Pasteur Caleb : c’est quoi donc ? Le bien-être ?
– Michelle : c’est trop de charges
– Pasteur Caleb : ékié ! Tu as combien d’enfants ? Quand on a les charges, cela veut dire qu’on a beaucoup de gens dont on s’occupe, n’est-ce pas ? Trop de charges !
– L’esprit de bains de sang, de troubles, de chaos : avoir trop de charges, ce n’est pas forcément avoir les enfants dont on s’occupe. Cela veut dire trop de responsabilités, trop de charges dans le cœur, trop de trucs qu’on stocke, qu’on supporte.
– Pasteur Caleb : réveille-toi, Michelle ! Réveille-toi ! Trop de charges ? Jésus a donc fait quoi pour toi ? Cela veut dire que tu n’es pas encore venue à lui, puisqu’il a dit : ‘‘Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos’’. Cela veut dire que tu n’es pas encore allée à Jésus avec tes charges. C’est ce que cela veut dire, Michelle ? Michelle, réponds-moi !
– Michelle : c’est pas ça, pasteur.
Pasteur Caleb : c’est quoi alors ?
– Michelle : c’est juste qu’à un moment donné, c’est trop dur.
Pasteur Caleb : quoi ?
– Michelle : ces charges.
Pasteur Caleb : ékié ! C’est quoi comme charges, ma fille ? C’est quoi ? Aide-moi à comprendre. Peux-tu m’aider ?
– Michelle : pasteur, je préfère vous écrire
– Pasteur Caleb : ok, en espérant que tu vas dire ce qui est net, réel, vrai. En attendant, veux-tu rester couchée parce que tu as des charges sur toi ?
– Michelle : non pasteur
– Pasteur Caleb : réveille-toi, lève-toi de ton sommeil. Si tu étais éveillée, tu ne sentirais pas la charge là sur toi. Si quelqu’un dort, et tu viens poser la charge sur sa tête ou sur lui, tu veux l’étouffer, non ? Tu veux l’étouffer ! Quelqu’un porte la charge quand il est éveillée, ainsi il la soutient, tel que s’il veut tituber, il résiste. Mais dans le sommeil, il va seulement étouffer. Continue dans la prière, continuez dans la prière. Montrez-moi l’assemblée, montrez-moi la diaspora. Réveillez-vous ! On a vu le modèle de sommeil qui vous habite. Avez-vous vu cela, diaspora ? Avez-vous entendu ? Cet esprit de sommeil refusait de se réveiller, c’est ce que vous êtes. C’était votre modèle à tous, ce qui s’est passé tout à l’heure. Cet esprit est allé jusqu’à ronfler. À moins un, il allait baver, si on attendait juste un peu…
La sœur Pélagie c’est qui ? Je vous ai dit que quand vous m’écrivez, mettez votre photo. Que voulez-vous faire avec la voiture ?
– Maman Pélagie : c’est à usage personnel, surtout pour moi, car les pieds ne donnent pas
– Pasteur Caleb : ton mari attend quoi pour venir à l’église ?
– Maman Pélagie : je ne sais pas. Actuellement même, il est en train de suivre.
– Pasteur Caleb : Soit-il par la radio ou par Google Meet ?
– Maman Pélagie : il suit par la radio, je ne lui ai pas proposé de suivre par Google Meet.
– Pasteur Caleb : (…) Pélagie réveille-toi ! Le Réveil sert à quoi ? Le Réveil sert à aller chercher les perdus, non ? Le perdu est dans ta maison, mais tu ne peux pas lui parler. Est-ce que j’ai besoin de te dire que dès que ça arrive, tu obtiens ce que tu veux. Ton mari doit te rejoindre ici. Monsieur NDONGO Jean de Dieu, donne ta vie à Jésus. Mets-toi à genoux là où tu es là. Soumets-toi à Jésus, ta vie ne t’appartient plus…
Nous remercions le Seigneur !