CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 17 AOÛT 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (20ème partie)
Saisi ce jour dans le corps d’un jeune homme et répondant souvent aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, l’esprit de mort a interpellé plusieurs fidèles du Tabernacle de la Liberté, en ces termes : « Je suis la Mort, j’ai mes acolytes ici, comme la mère qui porte les lunettes et le chapeau (maman Marceline AYANGMA)… Je te « n’aime », tu me « n’aime » aussi ? Voilà une partenaire que je viens chercher. Caméraman, on part maintenant dans la salle où « André Mama FOUDA (maman Marguerite ABOYA) » est assise. Voilà celle que je cherche (sœur Belinda)… Le père-ci (frère Cletus BUM), lève-toi également, sors avec ta femme. Il y a un gars-là que je cherche aussi, il était parmi les prisonniers (MVONDO Donat). Il y a aussi deux personnes à la diaspora. Parmi ces personnes, il y a un père que je cherche, qui risque de partir bientôt. Le voilà vêtu en jaune et en noir (papa Henri ONANA MEYO).
« Faites très attention, car le père-ci risque ne pas aller dans la « rigole » (nom péjoratif donné au ciel par les démons, à cause de leur jalousie envers ceux qui sont sauvés pour le paradis). Il est un peu vacillant, et les situations autour de lui font en sorte que, parfois, il plonge dans les lamentions, les murmures. Quand je dis « situations », je parle beaucoup plus des choses qui ont trait à son corps (les problèmes de santé). Au lieu de s’accrocher à la source de guérison (à Dieu), il s’accroche plutôt à la douleur, au corps qui fait mal, et toute situation l’énerve. Ainsi, quand le coq chante, il lui envoie le feu. Le moustique chante à côté de lui, il envoie le feu. Tu vois qu’il s’écarte de la réalité, et ce sont les esprits familiers qui font tout pour l’écarter du concret, pour que le moment venu, il s’en aille en enfer. »
– Pasteur Caleb : Ressaisis-toi, frère MEYO. Ne regarde pas l’état de ton corps. Ne te plains pas, murmure pas.
– L’esprit de mort : On cherche une femme à la diaspora (sœur Solange MESSINA).
– Pasteur Caleb : Messin, memà Kîrì (Bonjour).
– Sœur Solange : Kîrì mëng (le jour est bien), pasteur.
– L’esprit de mort : Tu ris avec qui ?
– Sœur Solange : Je devais pleurer ? Le feu sur toi !
– L’esprit de mort : NGOA, vois-tu celle-ci ? Vois les collègues-ci (les esprits de sommeil, de paresse, de relâchement) ? – C’est ce qui la caractérise -.
– Pasteur Caleb : Sœur MESSINA, relève-toi. Le relâchement, le sommeil et la paresse, voilà ce qui te concerne.
– L’esprit de mort : La mère-ci (s’adressant à maman Marceline AYANGMA), toi-même tu sais que tu devais être comme la femme (Anne) qui était allée s’asseoir au temple pour prier. Te rappelles-tu d’elle ?
– Maman AYANGMA : Oui, Anne.
– L’esprit de mort : Alors, qu’est-ce que tu en fais ? Tes sujets de prière tournent autour de ta santé, n’est-ce pas ? Tes sujets de prière à toi tournent autour de ton état de santé, n’est-ce pas ? – Maman AYANGMA : Je ne sais pas. Je suis les prières en ligne, la plupart des cas.
– Pasteur Caleb : Tu suis ou tu pries ?
– Maman AYANGMA : Je prie.
– Les esprits de relâchement, de sommeil, de paresse : un peu de relâchement, un peu de repos, le corps fait mal, le climat n’est pas bien, le vent souffle trop ; il me faut un peu de repos, il fait très froid (…). Celle-ci (sœur Belinda) est devenue la glace, elle a rétrogradé grave ! Qu’elle te dise elle-même quelle est l’épaisseur de cette glace.
– Pasteur Caleb : Tu es remontée quand ?
– Sœur Belinda : Il y a deux semaines.
– Pasteur Caleb : Et c’est comment avec la foi ?
– Sœur Belinda : Ce n’est plus vraiment cela.
– Pasteur Caleb : C’est pour cela que tu es interpellée, pour que tu puisses te relever. As-tu compris ?
– Sœur Belinda : Oui papa.
– Pasteur Caleb : Qu’en serait-il donc de ta foi si tu partais en Allemagne pour tes études de médecine ?
– Les esprits de relâchement, de sommeil, de paresse : Si elle allait en Allemagne, elle allait balancer votre Type (Jésus-Christ) par la fenêtre.
– L’esprit de mort : Le cas de l’enfant-ci est sérieux. Si elle est vraie, elle dira qu’il n’y a plus rien – dans sa foi -.
– Les esprits de relâchement, de sommeil, de paresse : Elle est comme la mère dont on parlait (sœur Sorel), car elle est spirituellement un squelette.
– Pasteur Caleb : Tu repars quand ?
– Sœur Belinda : Je repars maintenant.
– Pasteur Caleb : Je demande par rapport à ton lieu d’étude. Tu repars quand pour l’école ?
– Sœur Belinda : Ils ont dit mi-septembre, à partir du 15, ce sera la rentrée.
– Pasteur Caleb : Où est Carter ? Carter, comment est la foi chez toi ? Es-tu en forme avec Jésus ? Quand es-tu venue ?
– Sœur Carter KAMENI : Cela fait déjà deux semaines que je suis là.
– Pasteur Caleb : Tu repas quand ?
– Sœur Carter KAMENI : Avant le 15 – septembre -. Je ne sais pas encore à quelle date… Elle (Belinda) est venue avant moi, parce que je n’avais pas encore fini. En ce qui concerne ma foi, là maintenant, ça va, parce que c’était en zigzag.
– L’esprit de mort : Ça ne va pas, tu es trop distraite !
– Les esprits de relâchement, de sommeil, de paresse : Elle dit qu’elle doit un peu se reposer, se balader, se promener…
– Pasteur Caleb : Les deux filles (Carter et Belinda), allez-vous mettre en règle avec Dieu.
– L’esprit de mort : pour ce couple (le couple BUM), je vais m’adresser à la femme. Madame, comment va le climat à la maison ?
– Madame BUM : Ça va mieux.
– L’esprit de mort : Ça ne va pas bien, mais ça va mieux, donc vous essayez de négocier le calme, la sérénité, la tranquillité. Pourquoi dis-tu que ça va seulement mieux ?
– Madame BUM : Parfois, on a les petits problèmes.
– L’esprit de mort : NGOA, vois-tu le couple-ci ? Comme tu les vois-là, ils négocient, car à la maison, chacun des deux a les cornes et dit : c’est mon territoire. La situation est donc comme lorsque deux taureaux mâles se croisent : c’est le plus fort qui va gagner. C’est pour cela que j’ai demandé au ministre de l’intérieur (la femme) comment ça va. C’est vrai que l’homme a essayé de descendre de ses hauteurs. Mais il n’est pas encore descendu comme il faut, le naturel revient toujours. Ils rentrent dans la case départ, alors les esprits familiers profitent de cette occasion pour danser l’assiko sur le toit de la maison. Ainsi, ils viennent créer les troubles et réclament la tête de l’un parmi les deux.
– Pasteur Caleb : Monsieur et madame BUM, les esprits familiers n’auront aucune de vos têtes.
– Les esprits de relâchement, de sommeil, de paresse : Ils ne sont ni chauds ni froids. Ils sont plutôt tièdes (dans leur foi).
– Pasteur Caleb : Vous devez chauffez – pour Dieu -. Vous êtes tièdes, vous devez chauffer tous les deux. Et personne ne doit accuser l’autre. Allez-vous rallumer.
– L’esprit de mort : Toi-même (s’adressant à Donat MVONDO) tu sais que tu as fait un petit « détournement », et cela a mis un point final à ta chrétienté. Toi-même tu sais cela, non ? Il sait quel « détournement » il a fait. En fait, il est rentré dans le monde. La chanson que vous avez chantée ce matin te dit-elle quelque chose ?
– Donat MVONDO : ça me dit quelque chose…
– Pasteur Caleb : Tu dis qu’il a fait un « détournement » dans le monde. Tu veux plutôt dire qu’il a fait un détour.
– L’esprit de mort : Tout cela c’est la même chose, ce sont des synonymes.
– Pasteur Caleb : Jamais !
– L’esprit de mort : Bon, il a fait un petit détour dans le monde. Dis-je quelque chose ?
– Pasteur Caleb : Même le mot détour n’est pas correct. Tu veux parler de « tour ».
– L’esprit de mort : N’est-ce pas toi qui a proposé le mot détour ? Bon, un petit tour alors ! Il a fait un petit tour dans le monde. Garçon, cela te dit-il quelque chose ?
– Donat MVONDO : Ça me dit quelque chose.
– Pasteur Caleb : Chante ce chant, qui a été chanté ce matin (s’adressant à la sœur Carine).
– Sœur Carine : « Tu as fait le bon choix, de servir le Seigneur Jésus, ne rentre plus dans le monde, car là-bas oh, c’est le feu.
– Pasteur Caleb : Garçon, ce chant te dit-il quelque chose ?
– Donat MVONDO : Ça me dit quelque chose.
– L’esprit de mort : Demande-lui où est-ce qu’il était.
– Pasteur Caleb : Tu étais donc où ?
– Donat MVONDO : Je ne peux pas dire que j’ai été physiquement quelque part. Non !
– L’esprit de mort : As-tu aussi pris les vacances ? As-tu aussi pris le temps, question de mettre de l’ordre dans ta vie ?
– Pasteur Caleb : La chrétienté, c’est dans le cœur. Est-ce que ton cœur a été entier avec Jésus-Christ ces derniers temps ?
– Donat MVONDO : Non pasteur.
– Pasteur Caleb : C’est de cela qu’il est question. Reviens à Jésus, répare ce qui a été gâté. C’est entre toi et Dieu.
Finalement, au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé les démons susmentionnés, en les décapitant et en les chassant en enfer. C’est ainsi que les frères et les sœurs interpelées ont également été préservés des assauts de l’esprit de mort. Merci Seigneur !