CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 18 SEPTEMBRE 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (21ème partie)
L’esprit de mort a été saisi par le Seigneur, et il a interpellé plusieurs fidèles. Voici ce que cet esprit a déclaré, en répondant aux questions posées par le révérend : « Je suis la Mort, je suis là pour certaines personnes. Voici le premier, qui est là debout (parlant de frère Abenduh Wilson). J’ai été envoyé contre lui par ses esprits familiers. Ces derniers temps, il a fait trop d’efforts. Mais à un moment, tout ce qu’il voyait comme de la boue, il s’en est souvenu comme de beaux moments. Alors il est dit : ‘‘Pourquoi cette souffrance que j’endure ? Pourquoi tous ces moments difficiles que je traverse ?’’. En fait, c’est le serpent qui lui parlait et lui soufflait de telles paroles, et son cœur s’y est ouvert. ». Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a invité frère Wilson à abandonne toutes les pensées que lui souffle le serpent, à ne plus rien regretter, mais à continuer à regarder toutes choses comme de la boue, à s’abandonner à Dieu et à le laisser que lui-même le remplisse.
Par la suite, l’esprit de mort a expliqué qu’il tourne et rode dans la maison de papa René MONONO, cherchant qui faucher et qui emporter parmi ses enfants. « Je cherche un petit garçon, je tourne dans sa maison. Je cherche qui je vais prendre, je cherche qui je dois prendre parmi ses enfants. J’ai été envoyé chez ses enfants, parce que la ‘‘pluie’’ n’a pas rempli, n’a pas envahi sa maison. Je suis envoyé par ses esprits familiers, je veux dire par ceux de sa femme. On vient du côté de la femme, c’est de ce côté qu’est la porte d’ouverture », a dit l’esprit de mort.
En interpellant maman Marthe ABANDA, l’esprit de mort a affirmé ce qui suit : « Je suis aussi dans une maison, chez le père qu’on a l’habitude de porter (papa ABANDA). Je suis dans cette maison. Vois-tu la mère-ci ? À un moment, elle prétend avoir oublié et abandonné, mais de ces matins, les lamentations internes surgissent. Elle murmure au fond d’elle-même, en se demande que : « C’est jusqu’à quand va-t-elle continuer à endurer cette souffrance ? ». Ces murmures passent comme l’éclair. Il ne faut avoir aucun lien avec nos choses, avec nos collègues que sont les Murmures, les Lamentations, les Faux questionnements, les Soucis du lendemain, les Inquiétudes. Ce sont tous nos collègues, ils passent comme des étoiles filantes, qui tracent un chemin. Et chez certains, cela revient (…), alors les esprits familiers s’accrochent à cette femme (maman ABANDA) pour accomplir les désirs de son cœur. Moi, esprit de mort, je suis là pour prendre le mari, et la porte m’est ouverte quand la femme se pose la question de savoir jusqu’à quand va-t-elle continuer à souffrir ? Quand elle se pose cette question, les esprits familiers se chargent d’exaucer sa prière, pour me permettre d’emporter son mari, de descendre avec lui en enfer. Si cela réussit, elle aura le sang de son mari entre les mains, parce qu’elle aura poussé son mari chez nous, par ses plaintes ».
L’esprit de mort a également interpellé sœur Carine MELI, en lui posant la question de savoir si le salut est pour une, ou alors pour deux personnes (si le salut est individuel ou collectif). Sœur Carine a répondu que le salut, c’est pour une personne. Voici la deuxième question que l’esprit de mort lui a posée : « As-tu réussi à oublier ce qui s’est passé ? », sœur Carine a répondu qu’elle a oublié (le départ de son frère Arnaud MELI pour le ciel), et l’esprit de mort lui a rétorqué qu’elle a oublié selon sa conception à elle, non selon ce que veut Jésus-Christ. « J’ai réussi à surmonter, ça revient de temps à autre », a ajouté sœur Carine.
– L’esprit de mort : Pourquoi cela revient-il de temps en temps ?
– Sœur Carine : Il m’arrive de penser à lui.
– L’esprit de mort : Et la suite de tes pensées, c’est quoi ?
– Sœur Carine : La suite de mes pensées, c’est qu’un jour, je vais le retrouver.
– L’esprit de mort : Et le cœur ne fond-il pas en larmes au-dedans de toi ? Rappelle-toi qu’un jour tu as pensé et ton cœur a fondu en pleurs ; mais tu ne te rappelles pas.
Au nom puissant de Jésus, le révérend a finalement stoppé l’esprit de mort, en le sabrant et en le chassant en enfer. Voilà comment les vies des frères et des sœurs ont été préservées ! Merci Seigneur !