CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 31 AOÛT 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (20ème partie)

Durant le culte de ce dimanche, grand-mère Louise MBAPAMBE (Mbombo) a eu un malaise, et elle a été conduite devant l’assemblée par des ouvriers. Aussitôt, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA s’est mis à s’enquérir de la situation.

– Pasteur Caleb : La grand-mère là a quoi ? Mâ Thérèse ? Mbombo ? Il y a quoi ?
– Mbombo : Wôh !!! Depuis hier, la fatigue, papa ! Oh Seigneur, Seigneur ! Je me sens autrement. Quand je me couche, c’est-à-dire que je vais dormir !
– Pasteur Caleb : Calme-toi ! Calme-toi ! Du calme dans tout ton corps. Est-elle là-bas à l’infirmerie avec vous depuis le matin ?
– Frère David : Elle est dans sa salle, au primaire.
– Pasteur Caleb : Je croyais que c’était à l’infirmerie. Maman Yop, viens un peu là. Comment êtes-vous arrivés ce matin ?
– Maman Yop : Quand on est arrivé, on a trouvé qu’elle était en train de manger, et son fils a dit qu’il va l’amener à l’église. Elle ne manifestait pas, elle était bien, même pendant la pause.
– Maman Pélagie : Je lui ai rendu visite dans sa salle, elle parlait seulement dans son patois, le banen.
– Pasteur Caleb : Mbombo, nous te séparons de tes esprits familiers. Assemblée, priez, séparez-la de ses esprits familiers. Les infirmières, arrêtez-la. Les ushers, arrêtez-la en la laissant assise, là où elle est. Je croyais que ce sont les infirmières qui sont à côté d’elle… Séparons-la des esprits familiers. Nous séparons cette maman de ces esprits familiers, nous mettons une barrière entre elle et ses esprits familiers, qu’ils soient Bassa ou Banen, etc. Nous l’en séparons ! À toi la gloire grand Dieu, toi qui la sépare de ses esprits familiers ! Que le calme revienne dans tout ce corps, de la tête aux pieds. Grand-mère, je voudrais te demander quelque chose : nettoie ton cœur de toute rancune, nettoie ton cœur de tout manque de pardon. Ton beau-fils, ta fille, ta famille avec qui tu vis ne sont pas tes ennemis, ils veulent ton bien ; quand ils ne veulent pas que tu viennes à l’église les jeudis, c’est à cause de ta protection vu ton âge. Donc tu dois avoir le pardon dans ton cœur, ils ne t’ont jamais voulu du mal, ils te veulent du bien. Donc, pardonne, aie un esprit de pardon. On va revenir sur elle, faites la coucher. Il faudrait qu’on appelle son fils et sa fille, parce que c’est sérieux. C’est le salut d’une âme qui est important, et je sais qu’elle a des griefs contre ces enfants, croyant qu’ils ne veulent pas qu’elle croit…

– Maman Yop : Elle m’a dit que sa fille et son beau-fils ont voyagé, j’ai seulement le contact de sa fille.
– Pasteur Caleb : Si tu peux dire à sa fille de dire à son fils de nous rejoindre, ce sera une bonne chose. Faites-la coucher, on attend l’arrivée de son fils, ne paniquez pas (…). Alléluia ! Il est très grand, notre Dieu.
Papa ESSAMA : j’étais là-bas hier (chez Mbombo), et elle m’a présenté un monsieur qui devait venir avec elle à l’église, et revenir la chercher (…).
– L’esprit de mysticisme raté : (…) La grand-mère a dit qu’elle ne sent pas son corps, et c’était effectivement cela, car elle dans une bulle. Vous prenez souvent les choses à la légère…
– Pasteur Caleb : on n’a pas pris cela à la légère…
– L’esprit de mysticisme raté : C’était sa confession qu’elle était en train de faire, mais elle était dans une bulle… Je suis le ‘‘Mysticisme raté’’, je me ballade, je ne peux plus rien faire. Je suis chez celui qu’on vient d’appeler, et qui a dit qu’il fait autre chose. Il a beaucoup de ramifications, concernant la mère-ci. Pourquoi leurs numéros ne passent-ils pas ?

– Pasteur Caleb : Mbombo, tu ne vas pas descendre (en enfer). Coûte que vaille, tu vas au ciel, déjà que le mysticisme a échoué dans ta vie. Assemblée, la bulle qui couvre cette grand-mère, brisez cela par le feu du Saint-Esprit ! Le feu sur toi, esprit de bulle dans laquelle est cachée cette mère ! Tu es brisé ! Pourquoi tu es venu là, ‘‘Mysticisme raté’’ ?
– L’esprit de mysticisme raté : Je t’ai dit que là où on fait les mauvaises choses, je suis là. Les esprits familiers m’utilisent comme couverture.
– Les esprits familiers : Ferme ta bouche !
– L’esprit de mysticisme raté : Ce sont eux, les esprits familiers, qui m’ont utilisé pour couvrir la grand-mère avec la bulle.
– Pasteur Caleb : Assemblée, assois-toi. C’est la délivrance de Mbombo. Mbombo, tu pars au ciel, coûte que vaille.
– Les esprits familiers : Elle va au ciel pour y faire quoi ? Dès qu’elle ferme les yeux là, on va fermer votre école, disant que c’est toi qui as tué. Nous sommes les esprits familiers de la grand-mère, on vient t’avertir, que dès qu’elle ferme les yeux…

– Pasteur Caleb : Mbombo ! Ouvre les yeux, tu me regardes.
– L’esprit de mysticisme raté : C’est le combat pour le combat, il ne faut pas négliger toutes les paroles que la mère-ci a sorti de sa bouche. Les gens qui viennent de partir-ci (les esprits familiers) ont bataillé toute cette nuit. D’habitude, celle qui va la chercher pour l’amener au culte l’a trouve souvent prête. Mais aujourd’hui, pourquoi a-t-on trouvé qu’elle mangeait encore ? On a essayé de l’étouffer la nuit, cela n’a pas donné, et ils sont en train de tout faire, parce ce que les enfers sont en ébullition. Il faut qu’on la recueille. Vous blaguez !
– Pasteur Caleb : Mettez le micro, Mbombo dis quoi ?
– David : Elle disait ‘‘Merci Seigneur’’.
– L’esprit de mysticisme raté : Vois-tu la mère-ci ? Moi, je suis le ‘‘Mysticisme raté’’. J’étais dans son corps. Demande à ‘‘Rambo’’ (sœur AKOUMA), elle va te dire ce qui s’est passé, quand la mère-ci est entrée dans le bureau. Quand elle y est entrée, elle a trouvé RAMBO, et qu’est-ce qu’elle a fait ?
– Akouma : Elle est ressortie disant qu’elle va revenir. Elle était en forme le matin.
– L’esprit de mysticisme raté : Le truc-ci (parlant de sœur Esther), que vous avez arraché entre nos mains, je la connais. On a fait chemin avec elle, quand j’étais encore moi-même, je l’ai nourrie. Je lui ai fait les scarifications, elle me connaît. Quand tu partais chez Sanga-Titi avec tes gens, tu croyais que tu partais chez qui ?

– Pasteur Caleb : Mbombo, ça va bien, tu ne dois avoir de rancune contre personne. Tu as suivi ce que j’ai prêché ce matin : quelles que soient les circonstances, fais toujours le bien. Il ne faut jamais songer à faire le mal, même si on t’a fait du mal. Il faut toujours faire du bien. Demande à Dieu de te pardonner pour toutes les fois que tu t’es fâché contre tes gens, toutes les fois que tu as pensé qu’ils ne t’aiment pas assez, toutes les fois que tu as été choqué par tes enfants à la maison ou ici à l’église, tes enfants qui sont là pour te servir, demande pardon à Dieu. Merci Seigneur ! Alléluia ! Assemblée, prions, construisons, toute une muraille autour d’elle, afin qu’elle ne soit plus accessible aux esprits familiers. Construisons une muraille autour de son cœur, afin qu’elle ne soit plus jamais affecter par les taquineries. Cette barrière et les parpaings que vous utilisez, c’est le sang de Jésus. C’est ce sang que vous invoquez autour de son cœur ; la barrière du sang de Jésus. Merci Seigneur, merci pour ta paix, merci pour ton calme, merci pour ta sécurité, dans la vie de cette grand-mère. À toi la gloire, à toi l’honneur et la puissance, alléluia !

Seigneur, que ton pardon soit son partage, que ton salut soit son partage, que ton rachat soit son partage, que ta restauration soit sa restauration, au nom puissant de Jésus. Nous prions qu’elle bénéficie de tes faveurs au maximum, nous prions que rien ne vienne à lui manquer, qu’elle soit comblée de tes faveurs. Merci parce que tu nourris son âme, son esprit, son corps physique. Que rien ne puisse surprendre cette grand-mère. Merci Seigneur, parce que tu veilles sur elle, et tu permets qu’elle te rejoigne au moment où tu as prévu, qu’elle ne soit pas arrachée entre tes mains. Ce n’est pas d’ailleurs possible, Seigneur, tu as dit que nul ne ravira tes brebis de ta main, et c’est le cas pour cette grand-mère. Elle est sécurisée. Assemblée, rendez grâce à Dieu pour la sécurité qu’il donne à cette grand-mère. Qu’elle dorme ou qu’elle veille, la sécurité de Dieu est autour d’elle. Merci Seigneur, au nom puissant de Jésus…

Rien ne fait obstacle au salut de cette grand-mère. À toi la gloire, grand Dieu ! Nous avons prié au nom puisant de Jésus, amen. Madame Yop, fais ton travail, ramène-la à la maison après le culte… En tout cas, elle est dans de meilleurs soins quand elle est dans les mains de Dieu. Son âme est sécurisée, sa vie est sécurisée, au nom de Jésus. Amen. Merci Seigneur !