DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – RÉJOUISSANCES ET INTERPELLATIONS AUTOUR DE LA RETROUVAILLE DE LEILA ÉLISÉE ÉKODÉ

CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 31 AOÛT 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (20ème partie)

Enlevée par un malfaiteur dans la localité de Mbankomo, précisément à Nomayos, au lieudit Chefferie DUMA NGUINI, Leila ÉKODÉ a été retrouvée ce vendredi 29 août 2025, après qu’une prière ait été conduite à cet effet par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, lors du culte du jeudi 28 août 2025.

Dans le cadre de cet évènement au dénouement heureux, ce dimanche 31 août 2025, saisi dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, l’esprit de rébellion a tenu les propos dont voici la teneur :

« Je ne parle pas ! Je ne parle pas ! Je ne parle pas ! Fou le camp ! Je m’en fous du feu, je ne parle pas ! Je ne parle pas, tu vas faire quoi ? Tu sais que je te déteste d’abord, non ? Tu te prends pour qui ? Toi et ta maison (le Tabernacle de la Liberté, ‘‘Église de tous les peuples’’), vous vous prenez pour qui ? Je ne parle pas ! Tape encore ! Je suis fidèle à papa lucifer, c’est pour cela que je ne parle pas ! Vraiment, je suis fort ! Aïe ! NGOA, laisse-moi ! Je ne parle pas. Même si tu m’attaches comme tu le fais, il n’y a pas de problème ; je préfère que tu m’attaches, plutôt que de parler ! Je ne parle pas ! Je suis la Rébellion, je suis venu dans ta maison (le Tabernacle de la Liberté, cela fait plusieurs jours aujourd’hui, environ cinq jours. Tu sais qu’on nous a chargés contre la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté). C’est Lucifer, les esprits familiers et tout le reste, qui nous ont chargés. On est contre la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté). Veux-tu savoir ce qui a favorisé notre montée ici ? Ne vois-tu pas le ‘‘mouton’’ (Leila Élisée ÉKODÉ) que vous avez retrouvez là ? Oui, le ‘‘mouton-ci’’. Je suis sorti vendredi, vers 13 heures ou 14 heures… On a enlevé le mouton-là (Leila), l’enfant-ci, l’histoire-ci ! ». Le révérend a aussitôt exhorté les Leila et l’assemblée, en ces termes : « Petite fille et toutes les autres, comprenez la leçon. Un bandit a fait la promesse à cette petite fille, disant qu’il va l’amener au États-Unis. Or, elle n’as pas de carte d’identité, n’en parlons pas de passeport. Sa tête ne faisait que résonner ‘‘États-Unis’’. Vous tous qui avez donc les longs yeux, ce n’est pas bon. Je ne fais qu’insister sur le fait qu’il faut être modeste. Il ne faut pas avoir la folie des grandeurs. Assemblée, franchement, avec la grâce de Dieu, vous avez abattu un travail immense la nuit de vendredi, et ce n’est pas resté dans les prières, car dès cinq heures du matin, les frères et les sœurs se sont versés dans les villages de Mbankomo, commençant par ici, pour chercher la petite fille ».

Sur ces entrefaites, des démons appelés ‘‘Bloqueurs de prière’’ ont pris la parole, et voici, d’entrée de jeu, ce qu’ils ont affirmé : « Elle (parlant de Leila) devait bien voyager dans la valise pour les États-Unis, mais découpée comme le saucisson. Ce qui nous énerve, c’est la prière que vous avez élevée – en sa faveur d’un seul cœur -. Nous sommes les bloqueurs de prière. La prière là, c’était comme si c’était une seule personne qui priait. Même les gens qui sont souvent des blocs de glace ont prié ; nous ne savons même pas comment cela s’est passé ». Par la suite, le révérend s’est tourné vers le frère Abdoul AKTABAI, pour qu’il explique à l’assemblée comment il a retrouvé la jeune fille. En substance, voici ce qu’AKTABAI a répondu :

« J’étais dans mes marches, car ma femme a pris ma planche pour faire la cuisine, et je suis allé acheter du bois, pour remplacer cette planche. C’est quand j’achète le bois a DAJOLL Hôtel, que je la trouve en train de marcher. C’est elle qui m’a vu, et elle dit : ‘‘Tonton !’’. Je lui ai demandé : ‘‘N’est-ce pas toi qu’on cherche ?’’. Je lui ai également demandé où est-ce qu’elle allait, elle m’a répondu qu’elle va à la maison, et ce n’était pas dans la maison de ses parents, car elle m’a dit que la maison en question est située derrière le lycée de Mbankomo. ‘‘ Est-ce qu’on peut aller voir la maison ?’’, lui ai-je demandé. Elle m’a dit qu’il n’y a pas de problème. Je suis parti déposer le bois, puis je l’ai amenée à la boutique pour prendre quelque chose à manger, mais elle m’a dit il n’y a pas de problème. Je voulais la ramener directement à la maison, chez ses parents, mais le frère avec qui j’étais m’a dit : ‘‘ Non ! Allons d’abord voir la maison dont elle parle’’, et nous y sommes allés. Arrivés à un niveau, elle m’a dit que la moto ne peut pas arriver jusque là-bas, à la maison. J’ai pris mon frère comme renfort, et nous sommes finalement arrivés, on a vu une maison, belle, avec les fleurs. ‘‘Tu habites ici avec qui ?’’, lui ai-je demandé. Elle m’a dit ‘‘personne’’, et elle a ajouté que c’est une amie qui l’a amenée ici, qu’ils sont seulement deux, et que cette personne avec qui elle habite est sortie, qu’il n’y avait actuellement personne là-bas ».

– Pasteur Caleb : Voilà, petite fille, tu allais périr. Ce sont tes organes qui allaient partir aux États-Unis, non pas toi-même.
– Leila Élisée : Bonjour papa. Je demande pardon à mes parents, à l’assemblée et à vous. Je demande pardon à Dieu, pour le mauvais exemple que j’ai montré à mes petits frères.
– Pasteur Caleb : Ne recommence plus. Pour le pardon que tu as demandé, il n’y a pas de problème… Les États-Unis ne sont pas ici à côté. Connais-tu même parler anglais ?
– Leila Élisée : Un peu.
– Pasteur Caleb : L’enfant-ci devait être dépiécée. Qui de vous veut voyager ici ?
– L’esprit de rébellion : Moi.
– Pasteur Caleb : Pour aller où ?
– L’esprit de rébellion : Partout ! Aux États-Unis, au Canada, etc.
– Pasteur Caleb : Assemblée, vous pardonnez à la petite fille, n’est-ce pas ?
– L’Assemblée : Oui pasteur
– L’esprit de rébellion : Vois-tu l’enfant-ci (Leila) ? N’est-ce pas les collègues t’ont dit, jeudi, que la date limite (pour sa livraison, sa mise à mort) c’était le 30 août 2025 ? Pendant que vous étiez en train de faire les prières ici jeudi, la main de votre Type (Jésus-Christ) a cassé ce bloc de démons composés de bloqueurs de prières, c’est pour cela que tu les vois couchés ; ils sont émiettés. Il y a un homme en habit blanc, c’est lui qui venu ouvrir le portail, et qui a pris la jeune fille pour l’amener dehors. Ainsi, elle marchait sans savoir où elle allait, et l’homme en habit blanc lui disait : ‘‘Avance là-bas’’. C’est ainsi qu’elle a croisé la ‘‘chèvre-ci’’ (frère AKTABAI) et qu’elle l’a interpellé. C’est l’homme à l’habit blanc et au visage de lion (Jésus-Christ) qui lui a dit d’appeler celui-ci (AKTABAI).

– Les Bloqueurs de prières : NGOA, si ta maison pouvait se lever comme elle s’est levée jeudi, nous n’existerions plus.
– Pasteur Caleb : Assemblée, levez-vous, rendez grâce à Dieu et soyez toujours solidaires comme un seul homme. Les frères et les sœurs se sont levés à cinq heures du matin, et ils sont allés cherchez l’enfant, malgré qu’on a fini le culte tard.
– Les Bloqueurs de prières : Même ceux qui dormaient dans ton église, se sont réveillés. Même ta diaspora s’est réveillée.
– Pasteur Caleb : Merci Seigneur, tu es merveilleux ! Abdel, peux-tu mettre la louange qui a fait secouer les gens aujourd’hui ? Vas-y… (Louanges, chants et danses de réjouissances pendant plus d’une dizaine de minutes). Alléluia ! Acclamez le Seigneur ! Jésus est notre ami de tous les jours, à lui soit la gloire. Alléluia ! N’ayez pas le gros cœur ! N’ayez pas les longs yeux. Le gros cœur et les longs yeux, c’est votre mort.
– Les Bloqueurs de prières : Nous sommes avec les esprits personnifiant la convoitise des yeux. Vous avez enlevé la jeune fille de notre autel. Et sur quel autel l’avez-vous placée ? (…).
– Pasteur Caleb : Le veau gras est déjà apprêté. À la fin des délivrances, vous aurez l’opportunité de manger. Elle (Leila Élisée) va vous servir. Êtes-vous contents, assemblée ?
– L’Assemblée : amen !
– Pasteur Caleb : Quant-à toi, esprit de rébellion, tu n’as pas de place ici…

– L’esprit de mal : Tu parles à qui ? Où as-tu vu la ‘‘Rébellion’’ ? Quand je me place devant toi… Toi et ta maisonnée, vous m’énervez. Donc, ce sont mes ramifications que tu veux détruire ! Collègue, l’enfant-ci joue ! Faut-il que je me lève ? Ne me regarde pas (s’adressant au révérend). Si tu mets les épines dans ma voix, qu’est-ce cela peut me faire ? Je suis habitué à cela. Je suis le Mal. Tu crois que tu peux me faire quoi ? Je me sens bien quand je fais le mal, je suis à l’aise quand je fais le mal.
– L’esprit de convoitise : Et moi qui parle à présent, je suis la ‘‘Convoitise des yeux’’.
– Pasteur Caleb : Assemblée, débarrassez-vous de ces maudits péchés. Voyez-vous ce qu’ils font dans vos vies ? (…). EYEBE, je ne t’ai pas vu danser. N’est-ce pas, la mère ? Est-ce qu’il a dansé ?
– Sœur Reine : Non pasteur.
– Pasteur Caleb : EYEBE, tu vois, je t’ai bien regardé, et j’ai vu que tu n’as pas dansé

Au nom puissant de Jésus, le révérend a finalement décapité tous les démons susmentionnés, en les décapitant et en les chassant en enfer. Nous en remercions le Seigneur !

Laisser un commentaire