DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – LE MINISTRE EMMANUEL NGANOU DJOUMESSI ET LE RESTE DU GOUVERNEMENT TRAVAILLENT POUR LE FAUX ET À L’EFFONDREMENT DU PAYS

SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2024 (DIMANCHE 25 AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE

📌 SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (8e partie)

Considérant l’ampleur des détournements de fonds publics, l’endettement, la mauvaise gouvernance, les projets fictifs, les routes mal construites (autoroute Yaoundé-Douala) et le torpillage des projets de développement (route Mora-Dabanga-Kousseri), le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a invité les fidèles à prier, afin qu’Emmanuel NGANOU DJOUMESSI (Ministre des Travaux publics) et les ministres de l’actuel gouvernement soient déguerpis. « Demandons au Seigneur d’enlever tous ceux-là qui sont des fossoyeurs, des tricheurs au Cameroun, et qui sont à la tête des différents ministères », a-t-il dit. Voici l’extrait de cette prière :

« Nous avons cet autre article qui traite de la dette intérieure et précise que l’État du Cameroun reconnaît des arriérés de 671,7 milliards de FCFA, après 4 ans d’audit. D’après cet article, les arriérés de dette intérieure réclamés à l’État du Cameroun (ministères et autres administrations assimilées) et ses démembrements (établissements et entreprises publics, collectivités territoriales décentralisées ou CTD) par diverses entités et autres prestataires, sur la période 2000-2019, s’élèvent à 671,7 milliards de FCFA. C’est ce que révèlent les résultats de l’opération de recensement et d’audit de la dette flottante de l’État et ses démembrements, lancée fin 2020 par le ministère des Finances. Selon la répartition faite dans un communiqué officiel du ministre des Finances, Louis Paul MOTAZE, signé le 16 août 2024, les plus grosses enveloppes sont dues par l’administration centrale (461,5 milliards de FCFA) et les établissements et entreprises publics (194,4 milliards de FCFA). Les CTD, elles, sont redevables de 15,8 milliards de FCFA seulement.

« Par type de dette, la dette salariale est la plus élevée, avec une enveloppe de 303,3 milliards de FCFA, contre 215,8 milliards de FCFA et 121,6 milliards de FCFA, respectivement pour les dettes fiscalo-douanières et commerciale. Les dettes académique et locative, encore « en cours d’affinement », selon le ministère des Finances, sont provisoirement estimées à 15,6 milliards de FCFA et un peu plus de 9 milliards de FCFA. Tandis que la dette sociale et les arriérés liés aux indemnisations s’affichent respectivement à 5,6 milliards et 410 millions de FCFA. Dieu seul sait combien sont des dettes fictives, les marchés fictifs que nous devons payer ! Nous avons vraiment besoin des gens intègres dans ce pays. Voilà donc comment l’État croupi… On apprend également que l’autoroute Douala-Yaoundé est en train de se détériorer avant son  inauguration officielle, au point que Paul ATANGA NJI (Ministre de l’Administration territoriale) a enjoint le gouverneur du Centre d’y suspendre et interdire la circulation des gros porteurs et des bus, sur le tronçon Nkolbisson-Boumnyébel. Qu’est-ce qui va donc circuler sur cette route ? Seront-ce les bicyclettes ?

« Ô Dieu, change ceux qui sont à la tête des administrations camerounaises. Seigneur, change-les ! Change Emmanuel NGANOU DJOUMESSI. Celui-là doit partir ! Lève-toi assemblée pour demander au Seigneur d’enlever tous ceux-là qui sont des fossoyeurs, des tricheurs dans ce pays, et qui sont à la tête des différents ministères. Malheureusement, tout ce gouvernement du 04 janvier 2019 est concerné par ces comportements décriés plus haut. Demandons à Dieu de les balayer tous. Seigneur, balaie tout ce gouvernement camerounais du 04 janvier 2019. Balaie-les Seigneur ! S’il te plaît Seigneur, place les gens selon ton cœur à la tête des différents départements ministériels. Nous te prions Seigneur d’agir au Nom de Jésus ! Nous constatons l’arrêt par-ci et le ralentissement par-là des travaux publics. Que le Cameroun ne continue pas à s’embourber dans la dette, sans voir les réalisations ou percevoir effectivement l’argent. S’il te plaît Seigneur, délivre-nous ! Guéris ce pays Seigneur ! Guéris le Cameroun ! Guéris ce pays Seigneur ! Guéris ce pays Seigneur ! C’est notre prière. Guéris la nation camerounaise ! Au Nom puissant de Jésus, nous avons prié. Amen ! »

Au terme de cette prière, le Seigneur a exposé le Ministre NGANOU DJOUMESSI. Ce dernier, saisi comme démon dans le corps d’un jeune homme, a fait les aveux suivants :

« Je suis le ‘‘Blanc’’ de l’heure, le ‘‘Blanc’’ du gouvernement camerounais. C’est moi, NGANOU DJOUMESSI. As-tu vu (s’adressant au révérend) quelqu’un comme moi dans le gouvernement ? Je travaille… ATANGA NJI, viens. Nous sommes ensemble, nous entrons dans les fourmis, dans les souris, dans tout. Actuellement, voilà ce que nous faisons tous. NGOH NGOH (Secrétaire général de la Présidence de la République) est dans toutes les grosses souris de Yaoundé ; voilà nos métamorphoses de l’heure. Donc, quand vous envoyez le feu partout, les souris sont tranquilles. Pourquoi devriez-vous tuer les souris ? Les souris nous aident à garder… Nous connaissons que tu es un sorcier (intriguant le révérend). Je suis venu te dire que le travail avance, quand on vote un budget, quand on octroie un crédit. Je travaille, as-tu vu l’autoroute (Yaoundé-Douala) ? Je travaille, c’est pour cela que BIYA ne peut pas m’enlever… L’échantillon, le modèle existant montre quand même que j’ai sorti l’argent, pour faire l’autoroute. Autant l’autoroute se détériore, autant une autre route s’est effondrée ces temps-ci (sur l’axe Bonépoupa-Yabassi), parmi les routes que je suis en train de « fabriquer » ;  cherche, tu sauras de quelle route il est question…. Vois-tu le « bon » et le « vrai » travail que je fais ? Alors, comment BIYA ne me remettrait-il pas dans le (prochain) gouvernement ? Il y a des gens qui bavardent pour rien sans travailler, comme ATANGA NJI. Moi, je travaille « bien », les gens vont à aller à Douala sans problème, parce que j’ai travaillé. Ils iront à Douala sans problèmes, même si c’est par la brouette, pourvu qu’il y ait un espace où circuler.

« On ne peut pas bouger d’un pouce, moi et mes collègues de l’actuel gouvernement. S’il y a remaniement ministériel, au moins la moitié parmi nous seront reconduits, parce que BIYA reconnaît notre importance. Voici, je te cite les noms des gens qui reviendraient au prochain gouvernement : Malachie MANAOUDA (Ministre de la Santé publique), NGOH NGOH, le Tout-puissant ATANGA NJI, moi-même. Celle qui nous met à l’aise un peu de partout reviendrait aussi, à savoir KETCHA Courtès (Ministre de l’Habitat et du développement urbain), pareil pour Alamine Ousmane MEY. Le collègue qui est à l’Enseignement supérieur (Jacques FAME NDONGO) reviendrait également, pareil pour celui en charge de l’éducation de base (le Ministre Laurent Serge ETOUNDI NGOA)… Je ne sais pas par où commencer. Le prochain gouvernement est déjà là, nous sommes confiants et sûrs que nous allons revenir, plus de la moitié d’entre nous. Aussi longtemps que les fourmis et les cafards existeront à Yaoundé, nous serons présents au Cameroun et dans le gouvernement… Je suis venu vous dire que j’œuvre pour l’effondrement du Cameroun, voilà le bon et le vrai travail dont je parlais… Nous estimons que tu es le « pastueur » ; tu mérites d’être abattu. Je ne sais pas comment tu es allé au SED et en est ressorti. Les choses qui nous échappent m’énervent. Si cela ne dépendait que de moi, tu serais mort depuis, car c’est toi qui gâtes nos choses. Chaque fois que nous sommes rassemblés pour faire nos choses, nous ne savons pas comment elles se retrouvent ici ».

En rebondissant sur les propos ci-dessus, le révérend a demandé aux fidèles de dépouiller le Ministre NGANOU DJOUMESSI et tout le gouvernement actuel, ainsi que leurs différents totems ou cachettes (fourmis, souris, cafards, oiseaux, etc.), à Yaoundé et partout ailleurs. Finalement, le révérend a décapité le démon suppôt du ministre NGANOU DJOUMESSI, puis il l’a chassé en enfer. La même sentence a été appliquée contre le démon personnifiant le faux.

Merci Seigneur !

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