DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES APPELÉS À SE SÉPARER DE LA MONDANITÉ, DE L’IMPATIENCE, À TROUVER LEUR PLAISIR DANS LA LOI DE L’ÉTERNEL

SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS D’OCTOBRE 2024 (DIMANCHE 17 NOVEMBRE 2024), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (11e partie)

Dans le même sillage que les délivrances portant sur l’immaturité et l’interpellation de la sœur Pamela NJINGA, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a continué à exhorter les fidèles du Tabernacle de la Liberté, pour les exhorter à ne point se précipiter et à signer le pacte d’intégrité avec Dieu, quel que soit le niveau professionnel ou le niveau intellectuel qu’ils atteindraient.

En interpellant sœur Bernice, le révérend a noté qu’au Tabernacle de la Liberté, nombreux sont ceux qui veulent l’élévation professionnelle. Or, quand on n’est pas encore spirituellement mature pour maintenir la percée ou pour gérer la prospérité, Dieu n’ouvrira pas de nouvelles portes, car comme il nous aime et ne veut pas nous perdre ; il nous laissera donc stagner. Ceci concerne tous les domaines : le domaine professionnel, académique, marital, etc. « Si Dieu ne me maintenait pas au niveau où je suis présentement, s’il me donnait un  poste de responsabilité un peu élevé, j’allais vraiment m’égarer, je n’allais pas palper du doigt son amour qu’il a pour moi. En fait, je suis en classe, à l’école, j’assimile parfaitement la leçon. On doit juste se soumettre (à Dieu) », a admis sœur Bernice.

« Ce dont je parle, c’est dans tous les domaines : domaine professionnel, domaine académique, domaine marital, etc. Si vous vous n’avez pas la maturité, dès que vous allez vous confronter à ces choses, votre foi va finir. Il y a des filles qui veulent le mariage à tout prix, si ce n’est pas encore le temps de Dieu pour le mariage, vous allez commettre des dégâts, et parfois des dégâts irréparables. Dieu est amour, c’est la vérité (…). Vous voyez que je vous enseigne la Parole de Dieu, cette Parole est capable de vous orienter dans tous les domaines. Et parfois, vous êtes comme des brutes. Vous voulez foncer, foncer. Il faut parfois que l’un de vous puisse lui-même buter, pour confirmer que s’il avait écouté, il se serait retenu et n’allait pas se casser la figure. Pourquoi voulez-vous donc d’abord foncer ? N’assimilez-vous pas les leçons de l’école dans laquelle vous êtes ? », s’est interrogé l’homme de Dieu.

En interpellant successivement sœur Bernice, sœur Carole, sœur Carine, sœur Olivia, sœur Marie Grâce, etc., le révérend a invité chaque fidèle à y aller doucement. « Doucement, doucement. Faites doucement, mes enfants, faites doucement », a-t-il répété. « Faites attention aux histoires qui vous pressent là, qui vous font pression. Allez doucement. Allez doucement, c’est le conseil du père à ses enfants. Allez doucement. Le forcing n’est pas chrétien, sœur Bruno peut le confirmer. Ce sont les faux messages des faux prophètes qui vous font forcer, eux qui vous disent : « Oh je te vois prospère, oh je te vois béni, oh je te vois en haut, je te vois te marié… », et vous commencez à vouloir accomplir, à vouloir réaliser la soi-disant prophétie qui est tombée sur vous. Allez doucement ! Allez doucement ! Dieu ne fait pas les choses comme ça. Regardez qu’un grand Dieu comme lui, il a pris six jours pour créer le monde, alors qu’il pouvait parler d’un coup et toutes les choses se mettaient en place. Pourquoi prend-il le temps ? Il a pris six jours pour créer, et c’était une création potentielle. Rien n’était encore matériel ; le matériel est venu graduellement (…). Dieu a créé le monde pendant six jours, mais ce monde a pris l’existence graduellement, on ne sait pas pendant combien d’années. Ce qui avait été créé pendant six jours s’est mis en place graduellement, au fur et à mesure. Donc, les histoires de vitesse, Dieu n’est pas dedans. Si tu te précipites pour prendre de la vitesse, tu vas dérailler, tu vas faire crash (…) ».

« Allez au rythme de Dieu, c’est son rythme qui est sa volonté. Ne me parlez pas des histoires d’âge qui passe, prétendant que vous vieillissez, que vous allez atteindre l’âge de la ménopause sans faire les enfants, sans vous marier. Es-tu venu sur la terre faire les enfants ? Cherchez à accomplir la volonté de Dieu dans vos vies sur cette terre. À qui vous référez-vous ? Vous vous référez aux anges déchus là-bas dehors », a poursuivi l’homme de Dieu. Sur ces entrefaites, le Seigneur a saisi l’esprit d’impatience. Écroué dans le corps d’une jeune dame, cet esprit a déclaré qu’il pousse les fidèles à emprunter l’ascenseur au lieu de l’escalier. Reprenant la parole, le révérend a continué son interpellation par ces mots :

« L’impatience vous gère et vous dites : « le temps passe, l’âge avance, les opportunités finissent ». Pourquoi préférez-vous mettre un frein au travail de Dieu pour satisfaire vos convoitises ? Est-ce normal de dire à Dieu d’attendre prétendant que vous avez des préoccupations trop sérieuses ? Vous dites à Dieu l’un ou l’autre : « Laisse-moi d’abord accomplir mes préoccupations, je ne fuis pas, je vais revenir ». Est-ce normal ? N’est-ce pas ce que vous faites souvent ? C’est pour des préoccupations charnelles ! Vous dites à Dieu que vous voulez d’abord satisfaire vos préoccupations charnelles, avant de revenir sur ses choses. Et son travail alors ? (…) Je suis peiné quand je vois que nous ne sommes pas capables d’être tous en présentiel pour des séances de prière, d’exhortation et autres, puisque le pays va mal. Il y a des résistances qu’il nous faut bousculer, pour que les choses aillent comme Dieu veut. Mais plusieurs parmi vous, vous n’êtes pas engagés, ou vous avez même pris les congés (…). Dieu n’a jamais été lent, ni trop rapide, il va au rythme qu’il a prévu. La volonté de Dieu, que nous demandons quand nous prions le ‘‘Notre Père’’, c’est le rythme de Dieu (…). C’est le rythme de Dieu qu’on demande dans nos vies, dans nos affaires, dans notre carrière professionnelle, dans notre – vie – académique, notre – vie – marital ».

Le Seigneur a aussi saisi l’esprit personnifiant la mondanité. « Vous êtes allés me chercher, vous avez évoqué mon sujet et je me dois de défende ma cause au tribunal. Avec des belles filles comme ça, c’est la vitesse ! Elles doivent se marier, car l’âge est avancé. À quelle heure vont-elles faire leurs enfants ? Si les parents n’enfantaient pas, seraient-elles des pots de fleurs aujourd’hui ? Elles doivent également faire des enfants, se marier, vivre la vraie vie. Avec tout ce qui est beau dehors ! La mondanité que je suis fait la une, car avec moi, tu pars à la plage, tu prends de l’air, tu manges des hamburgers, des saucissons. Tu te mets à l’aise, tu prends l’air, tu pars dans les supermarchés, les prêts-à-porter. Tu as l’argent, tu travailles, tu dois te mettre à l’aise, tu te maris à un homme d’affaires, tu changes les voitures comme tu veux, tu vas faire la manucure le samedi, la pédicure… », a déclaré l’esprit de mondanité.

Bref, le révérend a invité les fidèles à se déconnecter de l’impatience, de la mondanité, puis il a décapité ces démons et les a refoulés en enfer. « Que le Seigneur vous aide. Allez doucement, avec Dieu (…). Pardon, allez doucement avec Dieu, dans tous les domaines. Suivez son rythme, soumettez-vous à son rythme qu’il impose dans vos vies, car telle est sa volonté », a conclu l’homme de Dieu. Amen.

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