SÉMINAIRE DU MOIS DE DÉCEMBRE 2024 (VENDREDI 06 DÉCEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (3eme partie)
Saisi dans le corps d’un jeune homme, l’esprit de destruction a affirmé qu’il agit en Afrique en général, et au Cameroun en particulier, principalement au sein des ministères et au milieu de l’élite dirigeante. En s’appuyant sur les cas spécifiques du Cameroun et du Soudan, voici ce que cet esprit a déclaré :
« Emmanuel LEBOU (ancien Chef de la Cellule informatique de la Direction des Dépenses du Personnel et des Pensions au Ministère des Finances, de 2015 à 2018) se plaint parce que le contrat qui a été fait n’a pas marché, et maintenant il veut vendre les autres, c’est ce qu’il veut faire. À quelle heure veut-il que la vérité soit dévoilée ? Emmanuel LEBOU voulait qu’une suite favorable soit donnée à sa lettre adressée au chef de l’État, et comme il n’y a pas eu de suite favorable, il a relancé le projet. Je suis la ‘‘Destruction’’. Je suis là par rapport à cette nation-ci en particulier, mais je suis un problème général en Afrique, car les mains de vos chefs d’État africains sont recouvertes de destruction, en sorte qu’ils ne peuvent rien construire de bon. Ils ne peuvent qu’utiliser la destruction pour faire le travail, et quand ils s’engagent à faire quoi que ce soit, c’est moi qui monte en surface, et ils ne peuvent que détruire. Prends le cas du Soudan, les familles pleurent, les citoyens pleurent, mais les deux généraux (Abdel Fattah al-Burhane, commandant l’armée régulière, et Mohamed Hamdan Daglo aux commandes des paramilitaires des FSR – Forces de soutien rapide -) s’en foutent des cris, des lamentations de leurs populations. L’ONU ne peut pas venir éteindre le feu des guerres qu’elle même allume en Afrique, elle ne peut que venir mettre de l’huile sur le feu. Comme je l’ai dit, je suis l’esprit de destruction, je suis ici au Cameroun, particulièrement dans les ministères ».
Prenant la parole pour le cas patent du Soudan, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a affirmé ce qui suit :
« Les deux Généraux belligérants du Souda étaient ensemble. Mais aujourd’hui, celui qui se rebelle est soutenu par les pays étrangers (occidentaux) et les rebelles, et ils combattent l’armée régulière. Est-ce que c’est normal ? À quoi sert donc l’ONU ? À quoi sert donc le Conseil de Sécurité ? L’Afrique doit sortir de l’ONU, car ‘‘l’affaire-là’’ (l’ONU) n’a jamais résolu de problèmes. Voilà, les africains ignorants crient et appellent souvent l’ONU au secours pour résoudre les conflits, alors que c’est cette ONU qui crée les conflits en Afrique ! C’est terrible ! Ce qui se passe au Soudan énerve. Le général rebelle est soutenu par les Occidentaux, c’est pour cela qu’il avait déclaré qu’il a assez de munitions pour mener encore la guerre… Quand j’étais petit et que j’entendais parler des chefs de guerre, je me demandais : mais qu’est-ce qui empêche qu’on attrape le chef de guerre, qu’on le tue pour que la guerre finisse ? Je ne comprenais pas que c’était le jeu et la politique que ces gens étaient en train de faire. On les voit assis sur la table parlant de négociations, or les gens souffrent et meurent sur le terrain ! Mais ils sont eux-mêmes en vie, assis à parler de pourparlers. Quelle cruauté ! C’est terrible ! Ça fait mal ! »
Répondant à une interrogation soulevée par le révérend, frère Olivier Valère, chef du Département de la Communication du Tabernacle de la Liberté, a fait l’observation que c’est l’ONU (l’Occident) qui, par le biais de son Conseil de Sécurité, provoque ou active les problèmes, les conflits et les guerres en Afrique, comme c’est le cas au Soudan, avec l’appui du Vatican. Quand ces guerres ont cours, l’entité (l’ONU) qui les a créées ne peut donc pas courir pour venir arranger les choses ou éteindre le feu. Voilà le problème. Les cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU et le pape sont ceux qui provoquent les troubles en Afrique. « Quand tu dis que les étrangers viennent soutenir le général qui s’est rebellé au Soudan, cela veut dire que ce sont les étrangers qui l’ont poussé à se rebeller, en lui promettant du soutien et des moyens de renforts, voilà un exemple que nous avons devant nous », a déclaré frère Olivier lors de la mutualisation des lectures avec le révérend.
Finalement, le révérend a décapité l’esprit de destruction, puis il l’a chassé en enfer, assainissant ainsi, principalement, les ministères du Cameroun. Merci Seigneur !