SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2025 (JEUDI 13 MARS), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (6ème partie)
De la prédication tirée de 1 CORINTHIENS 8 : 1, PROVERBES 1 : 7, PROVERBES 9 : 10, JOB 28 : 28, 1 CORINTHIENS 1 : 19-25, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a enseigné que la vie chrétienne normale passe par l’amour véritable, la charité. La connaissance enfle, mais la charité édifie. Le révérend a relevé qu’en établissant le système de l’école à sa manière, le diable a tout fait pour que les gens soient gonflés d’orgueil, car ils se vantent de connaître, d’avoir des diplômes, etc. Or une telle connaissance est inutile, dangereuse et vide, car elle n’est pas basée sur la sagesse véritable, sur la crainte de l’Éternel. Généralement, ceux qui ont fréquenté l’école croient connaître et ils mettent Dieu de côté. Or ils ont plutôt remplis de bêtise, d’autant que les comportements qu’ils adoptent sont pires que ceux des animaux.
En rapport à cet enseignement, le Seigneur a saisi l’esprit personnifiant la connaissance, encore appelé ‘‘la Pensée humaine’’. Écroué dans le corps d’un jeune homme, cet esprit a expliqué ce qui suit :
« C’est moi, je suis la Pensée humaine. Je suis accompagnée de mon sous bassement qui est constitué du Moi, de l’Oubli, de la Bêtise, de la Folie, de l’Ignorance, et pour clôturer, du Doute. Voilà les gens qui accompagnent, moi, la Pensée humaine. Je m’appelle encore la connaissance. Je suis la connaissance, je suis le savoir, le comprends-tu ? Voilà toutes mes descriptions. La connaissance enfle, un peu comme dans le corps où on est entré. La connaissance fait se sentir. Je sers à égarer, à perdre, à rejeter la véritable connaissance (qui est la connaissance de l’Éternel). Toute personne qui m’abrite n’est pas censée se soumettre, c’est pour cela que le moi est là comme premier élément de mon soubassement. Quand le moi est là, tu te sens et tu dis : ‘‘Je connais, j’ai fait l’école et n’importe qui ne peut pas me parler. Même l’existence d’un Créateur ne me dit rien, car je suis mon propre créateur. Je n’ai pas besoin d’un Créateur quelconque, car je suis moi-même le commencement et la fin. Il n’y a personne d’autre après moi, et personne d’autre avant moi’’.
« Je suis là, dans ta jeunesse en essor (parlant de la jeunesse du Tabernacle de la Liberté et s’adressant au révérend). Je suis là, je me fais plaisir, voilà un exemple que tu as pris pendant votre séminaire (le cas de Pamela NJINGA qui, bien que doctorante, est allée commettre l’adultère avec un homme marié). Tu vois une grosse tête comme celle-là, mais elle est folle, elle est bête, elle est moins que rien, parce que c’est moi qui la couvre de la tête jusqu’à la plante des pieds. Du coup, la crainte de votre Dieu, qui est le commencement de la sagesse, ne peut être son partage. Au contraire, elle me distribue de part et d’autre. Le comprends-tu ? Je t’ai dit que je me sens ; personne n’existe avant moi, personne n’existe après moi. C’est la raison pour laquelle elle n’a pas hésité (Pamela NJINGA) une seule seconde à s’introduire dans le foyer d’autrui. Elle a agi par moi, car moi la connaissance, je me sens. Pourtant je suis folle. Moi-même je sais que je suis folle, mais je ne me considère pas comme telle aux yeux des uns et des autres. C’est pour cela que je dois faire prévaloir ma personne, peu importe l’endroit où je me trouve, et je ne me fais pas piétiner par la vraie connaissance. No oh ! Je n’ai rien à foutre avec la vraie connaissance (la crainte de Dieu), elle ne me sert à rien. Je suis face à la réalité, car je sais que la vraie connaissance existe, mais je la rejette. Je ne suis pas prête à me plier, no oh ! Pas moi ! ».
Le révérend a répété que la connaissance enfle mais la charité édifie. Finalement, il a décapité les esprits personnifiant la connaissance ou la pensée humaine et ses soubassements, puis il a chassés en enfer. Merci Seigneur.