DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – INTERPELLATION DE PAMELA NJINGA

SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2025 (DIMANCHE 16 MARS), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (6ème partie)

Questionnée publiquement en ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA sur les raisons de son excommunication (ou de sa mise sous discipline) et sur d’autres questions y relatives, Pamela NJINGA a donné la réponse suivante : « Je suis sous discipline depuis plusieurs mois parce que j’ai entretenu une relation adultérine avec mon collègue de service. Je profite de cette occasion inespérée pour m’ouvrir à Dieu et à vous. Le premier mot qui me vient en tête, c’est pardon. Je demande pardon à Dieu parce que depuis le mois de juin 2024, je ne marche plus dans ses voies. J’ai entretenu une relation extraprofessionnelle, adultérine, avec un collègue de service… J’ai arrêté cette relation avant d’entrer sous discipline. Nous n’avons plus de contact intime, nous avons cessé tout contact, nous en avons pris l’engagement. Il y avait cependant des dossiers en suspens. Ainsi, il y a quelques semaines, j’ai eu des instructions de la hiérarchie, d’entrer en contact avec le cabinet de ce collègue, pour un dossier, et c’est uniquement en cette période que nous sommes encore entrés en contact. Depuis lors, il y a deux semaines, un autre dossier lui a été confié, la même hiérarchie m’a sollicitée comme personne ressource pour lui soumettre des dossiers…

« J’ai essayé de faire recours à une collègue (pour ne plus être en contact avec le collègue en question), mais les résultats ont été catastrophiques… Je n’entre pas en contact avec le monsieur… Dans le cadre de ce travail, ils sont venus en entreprise dans le PDG, puis il est parti. J’ai été chargée de les accompagner parce qu’ils ont gagné le marché. Je me suis douté que l’épouse du collègue vous a contacté, et je vous ai dit que je suis entré en contact avec le monsieur dans le cadre du travail… Actuellement, le cabinet en question est en train de travailler sur un dossier, le monsieur m’a dit que malheureusement, il n’y pas eu d’avancée. Mais je n’ai rien dit, attendant que la hiérarchie me donne des instructions… Je reconnais que je n’ai pas eu la promptitude de me repentir… J’avais déjà commencé à écrire à ce sujet, et les éléments que la femme du monsieur a envoyés cette période m’ont boosté à écrire la lettre que je vous ai envoyée… ».

Tout au long de l’interpellation, le révérend est intervenu par ces questions et ces propos : « N’y a-t-il pas eu d’appels extra-professionnels entre le monsieur et toi ? Pendant que vous parliez de profession ou de travail, rien d’autre ne s’est-il ajouté ? Est-ce qu’il t’est arrivé de l’inviter à Yaoundé pendant cette période, dans l’intervalle allant à moins d’un mois ? Tu dois être vraie… J’ai parlé avec la femme du monsieur hier, ce samedi 15 mars, autour de 13 h00. Elle ne t’a pas dit qu’elle va me saisir, parce que chaque fois qu’elle te l’a dit, tu m’as écrit deux fois déjà. Cette fois-ci, elle ne t’a pas avertie. Tu n’as pas eu la promptitude de te repentir chaque fois, il a fallu qu’elle me saisisse pour que tu ripostes avec une lettre… Voilà les gens qui se disent intellectuels, mais qui ne savent rien dans la vie courante. Celle-ci (Pamela) et l’autre qui est partie (KIBANG Marie Viviane) se tiraillaient. Je parle de KIM. Le courant ne passait pas entre les deux. Chacune croyait qu’elle connaît mieux que l’autre, pourtant elles sont pareilles, parce que c’est le péché du sexe qui a fait fuir l’autre, et c’est le péché du sexe qui rattrape l’autre-ci (Pamela). Pourtant toutes étaient, toutes sont des grosses têtes. La grosse tête ne sert à rien sans crainte de Dieu…

« Il faut que tu arrêtes définitivement avec l’affaire-là, parce que si tu persistes, la femme va me dire, et cela va occasionner ta mise à la porte, le comprends-tu ? C’est là que je verrai si tu es sage, parce que maintenant, c’est ton cœur que tu dois utiliser et non ton cerveau. C’est ton cœur que tu dois donner à Dieu et refuser définitivement le mal. Donc tu es avertie, et tu es l’équivalence de deux personnes, car il est dit qu’un homme averti en vaut deux. Tu peux rentrer à ta place. Sois sage. Je n’ai pas fini avec toi, je vais te rappeler un autre jour, pour un autre dossier, tu peux d’abord aller t’asseoir », a conclu le révérend. Amen.

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