SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2025 (SAMEDI 05 AVRIL), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (7ème partie)

À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de LUC 19 : 1 – 10, le Seigneur a saisi l’esprit personnifiant l’état du cœur. Écroué dans le corps d’un jeune homme, cet esprit a déclaré ce qui suit : « Je suis l’état du cœur, je suis accompagné de mes ‘‘Salons’’ à moi. Ces salons renvoient aux préoccupations des uns et des autres. C’est dans ces salons que les uns et les autres s’assoient tranquillement. Mes salons et moi formons une seule et même chose. Quand votre Type (Jésus-Christ) a vu Zachée, il a dit : ‘‘Hâte-toi de descendre’’. Qu’a fait Zachée ? (Il se hâta de descendre). Cela veut dire qu’à l’instant ‘‘t’’, Zachée n’est pas resté à faire autre chose (mais il s’est exécuté, exactement comme Jésus le lui avait demandé). Je veux donc dire que mes salons, qui sont une seule et même chose avec moi, font partie des choses qui, pour certains, nous ont amené ici ».

Par la suite, ces esprits ont expliqué que plusieurs fidèles ont suivi l’appel de Jésus, ils sont venus à Jésus, mais sans toutefois se débarrasser des préoccupations de leurs cœurs. Les choses qui les préoccupaient tant, sont donc restées installées dans leur cœurs comme des salons, alors qu’ils ont fait semblant de répondre à l’appel lancé par Jésus-Christ. Quand de telles personnes cheminent donc dans la foi, elles ont toujours le regard tourné vers les préoccupations qui ont formé autant de salons dans leurs cœurs. Pour rappel, ces préoccupations peuvent être : le mariage, les enfants, le travail, l’argent, la célébrité, la belle vie, la guérison, la maison, etc.

« Quand tu as toutes ces choses installées dans un salon (dans ton cœur), comment vas-tu te hâter et aller vers celui qui t’a demandé de descendre de ton sycomore ? Tu vois que nous formons une équipe choc avec l’intérêt personnel. Ce que chacun défend d’abord ici, avant toute chose, c’est son intérêt personnel… Il faut savoir qu’il y a la bonne curiosité, qui est celle qui consiste à se hâter et à répondre à l’appel de votre Type (Jésus). Il y a donc le contraire de la bonne curiosité, dont le démon s’est manifesté depuis le premier jour (du séminaire). Et tu sais qu’ici, la majorité des fidèles ont la mauvaise curiosité pour compagnie », a ajouté l’esprit personnifiant l’état du cœur.

En clarifiant davantage son action, cet esprit a expliqué que les salons représentent ce qui préoccupe la pensée des fidèles, les désirs qu’ils ont, qu’ils entretiennent, qu’ils nourrissent en eux-mêmes. Par exemple, en venant au Tabernacle de la Liberté, plusieurs ont entendu parler de Dieu, qui y opère les guérisons. Quand ils viennent donc au Tabernacle de la Liberté, c’est pour quelle raison ? C’est évidemment pour recevoir, eux aussi, leur guérison. Quand on leur prêche le vrai, le pur évangile, ils devraient normalement comprendre que la guérison du corps ne sert à rien, qu’elle n’est pas le plus important, car le plus important, c’est de suivre Jésus-Christ. Malheureusement, au lieu de s’engager promptement pour Jésus, que font les gens ? Les uns disent : « J’attends d’abord qu’il me guérisse. Et s’il me guérit, alors je vais me décider ». Hélas ! Quand certains reçoivent même cette guérison, ils ne se décident plus de suivre Jésus comme ils l’avaient prétendu. Que font-ils ? Ils retournent à d’autres occupations laissées dans leurs ‘‘salons’’.

Certaines personnes ou certains couples ont eu de Dieu, ici au Tabernacle de la Liberté, le mariage ou les enfants qu’ils voulaient, mais elles ont quitté l’église, elles n’y sont plus ! Le révérend a observé qu’on ne sait plus dans quelle république ces gens se trouvent. Ainsi, la curiosité des autres réside, non pas à suivre Jésus, mais à voir comment sa puissance serait capable de résoudre leurs problèmes, de répondre à leurs préoccupations. Certains sont donc curieux de voir leurs problèmes résolus. Et une fois qu’ils ont expérimenté la puissance de Dieu et qu’ils ont obtenu cette solution, ils partent ! Voilà la mauvaise curiosité. Ils ont eu le miracle qu’ils voulaient, et une fois le miracle reçu, ils disent : « Au revoir Tabernacle, au revoir Caleb, reste avec tes choses ». Certains sont venus à l’église étant mourants, mais une fois ‘‘ressuscités’’, après quelque temps, ils ont claqué la porte. Le révérend a finalement mis les esprits susmentionnés en cage.