CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 20 AVRIL, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (16ème partie)

En poursuivant les interpellations en ce dimanche, l’esprit personnifiant la Semence du mal s’est adressé à la famille de Doris MAMOHO. « La mère-ci, a-t-il dit en s’adressant à maman Julienne NGOUANE, toi-même tu sais qu’on a toujours marché, cheminé ensemble. Pourquoi ? Parce que l’élément qui peut me déchirer de ta vie ne peut même pas faire une minute dans ton cœur. Tu le sais, non ? Et connais-tu l’élément qui me déchire ? C’est la vérité ! Quand la vérité sera au fond de ton cœur pour au moins une heure de temps, je m’en irai pour ne plus jamais revenir. Dis-je quelque chose ? Et tu vois (parlant au révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA au sujet de maman NGOUANE) que c’est la semence qui est en elle qui affecte tout ce que tu vois autour d’elle ».

Sur le champ, le révérend s’est adressé au visage qui lui était inconnu, la nommée Anastasie, qui a déclaré être la concubine ou la copine de Roméo, fils de maman NGOUANE. Anastasie a affirmé qu’elle a déjà deux enfants : Sheila et Daniel. Le révérend a relevé, parlant de la famille NGOUANE, que voilà des gens qui veulent transformer le Tabernacle de la Liberté en religion. « Le Tabernacle de la Liberté ne sera jamais une religion, le comprenez-vous ? Le Tabernacle de la Liberté ne sera jamais une religion ! Jamais ! C’est quelle histoire ? Où est Roméo ? Je comprends pourquoi on t’a interpellé (s’adressant à maman Julienne). Donc, comme tu le fais à la maison, c’est aussi de cette manière que tu veux que le Tabernacle devienne ? Les enfants sortent, les filles comme les garçons, font les enfants dehors, tu les prends, tu les amènes. Tu es devenue grand-mère ! Le Tabernacle de la Liberté ne cherche pas les fidèles. Le Tabernacle de la Liberté cherche les âmes qui veulent aller au ciel. Le Tabernacle de la Liberté ne cherche pas les fidèles, est-ce que tu comprends ce que je dis là ? C’est quelle histoire ? Celle-ci (Anastasie), entre nous, vous pensez que l’enfant-ci (Anastasie) peut prendre au sérieux ce qui se passe ici là, et donner sa vie à Jésus en vérité ? Ils ont déjà commencé à pondre, à pondre ! C’est quelle histoire ! Hein ? C’est quelle histoire là-bas ? Donc, à la sourdine, ils veulent transformer le Tabernacle de la Liberté en religion. Regardez déjà la marmaille qu’ils sont ! Regardez ! Ils vont faire comme ça… Dix familles de ce genre, et la chrétienté devient quoi ? Voilà qu’une seule famille…. Quel exemple donnez-vous au monde ? Maman Julienne, quel exemple donnez-vous au monde ? Tu dis quoi à la fille d’autrui, qui est à côté de toi là ? Quel évangile lui prêches-tu ? (…) Doris MAMOHO, moi je te connais comme… Elle n’aime pas le choc. Donc elle ne veut pas se mettre au choc, et est donc obligée d’accepter tout ce qui se passe. C’est chez toi que tout cela se passe. Toi-même, tu dis quoi ? Hein, MAMOHO ? Tu dis quoi dans tout ça ? ».

À cette question du révérend, Doris a répondu qu’elle implore la grâce de Dieu par rapport à ce qui se passe dans sa maison, puis elle s’est mise à expliquer la situation de concubinage entre son frère Roméo et Anastasie, qui fréquente l’église depuis deux ans, au grand étonnement du révérend, qui a aussitôt posé à Anastasie la question de savoir en quoi elle a été changée par les enseignements qu’elle écoute depuis ce temps. À partir de la réponse donnée par Anastasie, le révérend a confirmé que celle-ci fait seulement la religion, au lieu de se convertir. « On t’a initiée à la religion, et tu veux continuer avec la religion. L’Évangile que Doris MAMOHO dit qu’elle t’a prêché, ce n’est pas l’évangile. Elle t’a plutôt fait la doctrine de la religion… C’est ce qu’elle t’a donné. On ne fait pas la religion ici. C’est quelle histoire ! », a clarifié le révérend.

L’esprit personnifiant l’identité maléfique a répliqué que la famille de Doris MAMOHO vit dans la religion. Cet esprit a rappelé que quand on écoute l’évangile de vérité, et qu’on constate qu’on vit en déphasage ou en contradiction avec ce qui dit cet évangile, on doit se repentir. Ainsi, ceux qui vivaient dans la fornication ou le concubinage doivent cesser de le faire ; ils ne doivent plus vivre sous le même toit. Or, Anastasie continue à vivre sous le même toit avec Roméo. Le révérend a relevé que Doris MAMOHO ne peut pas s’esquiver comme elle cherche à le faire, car c’est dans sa maison que se passe toute cette mauvaise vie. Elle ne peut donc pas voir, et prétendre ou faire comme si elle ne voyait pas ce qui se passe sous son toit. Elle ne peut pas se dégager de toute responsabilité. « Dans cette maison, lui a dit le révérend, c’est toi-même qui est la personne la mieux placée, pour remettre tout le monde dans le droit chemin. Mais tu ne le fais pas (…) MAMOHO, avez-vous également prêché l’évangile à ton frère ivrogne-là ? ».

Sœur Doris a expliqué que son frère question (Roméo) a récemment été victime d’un accident, en est sorti avec une fracture du fémur droit, fracture qui a nécessité une ostéosynthèse ou opération avec des implants en métal. Doris a indiqué que contrairement aux jours passés, elle pense que cet accident a disposé son frère à avoir de nouveau l’oreille ouverte à l’évangile, évangile qu’il s’est souvent activé à rejeter. « MAMOHO ! MAMOHO n’aime pas le choc. MAMOHO, tu dois témoigner de Jésus avec vivacité, tu dois faire face au choc, le comprends-tu ? Tu sais toi-même que tu es un miracle de Dieu, non ? Donc, tu dois témoigner de Jésus avec force. Mais ce n’est le cas, ce n’est pas ton attitude. MAMOHO aime la paix, la paix des mondains-là. Elle dit qu’elle ne veut pas les ‘‘conflits’’, les frottements… », a continué le révérend.

En revenant sur le dossier précédent, le révérend a réitéré que toutes les personnes qui ont des affaires en suspens avec NTOH Christophe doivent se signaler, pour que tout soit réglé là, séance tenante, car personne ne sera plus autorisé à entrer en contact avec lui, à moins d’avoir décidé aussi de le suivre dans la perdition. En continuant à exhorter les parents, le révérend leur a demandé de remplir leurs responsabilités en matière de chrétienté, en demeurant fermes, et en n’admettant pas, sous leur toit, une progéniture majeure qui s’entête à vivre la vie mondaine, la vie dépravée, la vie contraire aux principes de Christ. Voici un extrait de cette instruction :

« Vous êtes parents, a-t-il dit, dès que votre enfant atteint la majorité (je parle même de ceux qui sont de vos entrailles), s’il est canaille et ne veut pas se convertir, il gagne le dehors, il va faire cela dehors ! N’en parlons pas que vous ayez un frère ou une sœur qui va vivre une vie de débauche, et qui vienne se coucher sous votre toit ! C’est quelle histoire ? Qu’il aille le faire dehors ! Frère Michael, m’entends-tu ? Parce que chez toi, tes enfants-là sont en train de grandir. Le petit qui est à côté doit se convertir en vrai, la fille également. S’ils atteignent la majorité et qu’ils veulent vivre la vie mondaine, tu les mets dehors. Il y a une autre famille, celle du conducteur de camion. Allez à la tente numéro 1, où il reste souvent. Est-il en ligne ? Mettez-le à l’écran. Voilà sa femme. Je vois ZANGUE et Francis MELONE. Je vous interpelle maintenant ; je vais d’abord finir avec le cas de Francis. Francis, on est en train de voir le cas de NTOH Christophe. Il a décidé de partir et il sait pourquoi. Il dit qu’il a bien réfléchi, mais il part en faisant le tapage à gauche et à droite, en criant : ‘‘Je ne suis plus là oh !’’.

« Le genre qui part en criant de cette façon, c’est le genre qu’on ne doit même pas dire qu’on cherche. Il est parti, il ne doit plus mettre pied ici, et vous n’avez plus rien à faire avec lui… Francis était parti à la sourdine, je savais pourquoi, parce qu’il venait ici, cherchant la femme. Comme ça n’a pas marché, il a préféré rentrer derrière, à la sourdine. Quand il est revenu, je lui ai dit : ‘‘On ne t’a pas mis dehors, c’est toi-même qui est parti, donc tu peux regagner ta place, pourvu que tu te convertisses maintenant, en vrai. Comme tu cherchais la femme, la femme n’est pas venue, convertis-toi’’. Le cas de Francis est différent, et ils sont nombreux comme dans ce cas, qui sont partis à la sourdine sans qu’on le sache. Il y l’autre-là, KULU, et d’autres encore. Ils sont partis à la sourdine, et ils m’ont écrit qu’ils veulent revenir. J’ai dit à l’un : ‘‘Quand tu partais, tu ne me l’as pas dit. Reviens, si tu veux te convertir’’. C’est différent de NTOH, qui fait des bruits tout autour disant : ‘‘Je m’en vais, je m’en vais, je m’en vais’’. Vous n’avez plus rien à faire avec lui. Toi qui m’écoutes, si on te surprend avec lui, tu vas le suivre là-bas dehors, en enfer (…).

« Maintenant, frère ZANGUE, ta maison, il faut l’arranger, parce que tes enfants ne veulent pas se convertir. Comme les grands t’ont déjà échappé ou sont en train de t’échapper, je ne sais pas, concentre-toi sur les petits, pour le moment. Concentrez-vous sur les petits, et les grands, quand ils atteignent la majorité, ils ne doivent pas vivre la vie mondaine sous votre toit. Cet avertissement et ce conseil, je les donne à tous les parents (…). La majorité au Cameroun c’est 21 ans. Quand vos enfants atteignent 21 ans, ne veulent pas se convertir et veulent vivre la vie mondaine sous votre toit, c’est interdit. Qu’ils partent se chercher ! Qu’ils partent donc vivre la vie mondaine-là. Le monde est tellement grand, tellement vaste, ce n’est pas dans votre petite maison de 02 ou 03 chambres qu’ils doivent venir et vous encombrer. Le monde est vaste, s’ils veulent suivre le monde, qu’ils partent ! (…) On veut que le Cameroun change, on veut que l’Afrique change, on veut que le monde change, et sous notre toit, rien ne change ? Le changement doit commencer à la maison, chez nous, le comprenez-vous ? ».

Par la suite, le révérend a particulièrement interpellé Carole BELLE, lui demandant de se défaire du faux sentimentalisme envers NTOH Christophe, car ce dernier sait consciemment ce qu’il fait, il a consciemment pris sa décision, et à son égard, nul ne saurait être plus miséricordieux que Dieu.

Finalement, après avoir demandé aux fidèles de prier et de s’en déconnecter, le révérend a décapité les démons personnifiant l’identité maléfique et la semence du mal, puis il les a chassés en enfer. Gloire à notre Dieu !