DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELÉS PAR LES ESPRITS FAMILIERS, LA ‘‘SEMENCE DU MAL’’, L’ESPRIT DE RELIGION, ET LE ‘‘VERDICT’’

CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 27 AVRIL, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (16ème partie)

À la suite du message prêché ce dimanche par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de MATTHIEU 6 : 1-6, 16-18, LUC 18 : 9-14, le Seigneur a saisi les esprits familiers, et les démons personnifiant la semence du mal, la religion et le verdict. Prenant la parole et répondant aux questions posées par le révérend, l’esprit portant le nom de Verdict a déclaré ce qui suit :

« Moi, le ‘‘Verdict’’, je me présente. Je suis une liaison entre la conscience et le cœur du chrétien, le comprends-tu ? C’est entre la conscience et le cœur du chrétien qu’il y a le choix, l’élection, les programmations, les analyses faites par les uns et les autres. C’est pour cela que moi, le ‘‘Verdict’’, j’interviens toujours entre les deux organes-là, chez l’humain simple. Quand on parle de l’humain simple, c’est celui-là qui peut, qui doit ou qui connaît votre Type (Jésus-Christ). Voici la raison de ma présence aujourd’hui, avec tous mes collègues : je vais poser certaines questions à tes enfants (s’adressant au révérend et parlant des fidèles). Tu connais qu’il y a un collègue qui était passé ici, qui s’était appelé le ‘‘Questionnaire’’, en 2016. Je viens presque dans le même sillage. Les uns et les autres (les fidèles) prétendent qu’ils sont chrétiens. Voici ma première question : si tu es chrétien, alors en qui est-ce que tu as cru ? C’est ma première question. La deuxième question : si tu es chrétien, cela signifie que tu es né de nouveau. Si tu es né de nouveau, c’est pour la cause de qui ? Pourquoi es-tu né de nouveau ? Donc, les raisons de ta nouvelle naissance sont lesquelles ?

« Troisième question : si tu connais les raisons pour lesquelles tu as cru en votre Type (Jésus-Christ), quelle place est-ce que tu donnes à votre Type (Jésus-Christ) face à toutes ces raisons-là ? Si votre Type (Jésus-Christ) a effectivement une place primordiale ou fondamentale dans ta vie, alors pourquoi tituber ? Pourquoi hésiter ? Pourquoi être hypocrite ? Si donc tu hésites, si tu titubes, si tu es hypocrite, quel choix dois-tu faire en conclusion dans ta vie personnelle ? En conclusion, si tu as fait un choix dans ta vie personnelle, quel est ce choix ? Est-ce le ciel ou est-ce l’enfer ? À toi d’en décider, fin de citation. Rappelle-moi un peu ma troisième question (s’adressant à papa Olivier)… Vous savez bien qu’une fois que vous croyez en votre Type (Jésus-Christ), chacun de vous doit lui donner le total contrôle de sa vie. Alors, d’où viennent les rivalités ? D’où viennent les comparaisons ? D’où viennent les jalousies ? Voilà les raisons d’être des programmations personnels des uns et des autres, les voilà que je suis en train de citer. Cela explique pourquoi je suis accompagné de la ‘‘Semence du mal’’. Je rappelle que quand mon collègue la ‘‘Semence du mal’’ est venue dernièrement, c’est le père-ci (papa Olivier) qu’il a pris… J’étais en train de dire que la ‘‘Semence du mal’’, qui m’accompagne, avait pris ce vieux clou qui est assis (papa Olivier). Il s’est avéré que bien qu’il était encore uni avec notre personne sur les papiers, notre personne en qui se trouvait la semence du mal, ce mariage avait été rompu, dès qu’il avait écouté l’appel de votre Type (Jésus-Christ), et qu’il a répondu présent de tout son cœur.

« À l’instant ‘‘t’’, votre Type (Jésus-Christ), qui l’avait appelé, a compris et est venue s’asseoir dans son cœur, et a commencé à souper avec lui. Au même moment, un autre mariage a été signé, et le mariage avec notre personne a été rompu. La semence a été enlevée à l’instant ‘‘t’’. Il (papa Olivier) n’a plus d’autre raison que de suivre votre Type, de l’honorer dans tout ce qu’il a eu à prendre comme engagement, dans son nouveau mariage. Mais certains prétendent qu’ils ont donné leurs vies à leur Type. Ils lui ont certes dit oui à l’instant ‘‘t’’, mais quelques minutes après, ils oublient ce qu’ils ont dit, et ils décident de choisir un autre embranchement. Ils décident de choisir un autre époux ou une autre épouse, pourquoi ? Justement parce qu’ils n’ont jamais été… J’étais avec ma troisième question. Tartempion (papa Olivier), relisez un peu la 3e question à ces gens de la tente 2. Toi-ci, la femme-ci (maman OTSAMA), as-tu suivi la question ? ».

En continuant à s’expliquer, l’esprit personnifiant le verdict a déclaré ceci :

« Les rivalités, les comparaisons sont dues au fait que votre Type (Jésus-Christ) n’a pas la place fondamentale dans la vie de la majorité des fidèles ici présents… Où en es-tu avec l’amour vis-à-vis de votre Type (Jésus-Christ) ? Tu vas prétendre aimer votre Type, pourtant, ton frère qui est devant toi, que tu vois, et qui a été fait à l’image de votre Type comme toi, tu l’ignores quand il y a un petit décalage (un malentendu). Tu ignores que c’est ton frère, et tu rentres avec le cœur gonflé. Le même cœur dans lequel tu prétends porter votre Type, c’est dans ce même cœur que tu ligotes, que tu bâillonnes, que tu enfermes ton frère. Tu rentres chez toi en prétendant avoir le cœur en paix ! Pourtant tu prétends donner la seule place de ton cœur à votre Type. Vous oubliez la place que vous donnez à votre Type (Jésus-Christ), c’est ici, dans le cœur ; c’est là qu’il séjourne. C’est la partie à laquelle il prend plaisir en chacun de vous. Ton cœur est sale, crois-tu que tu y héberges votre Type ? Tu y héberges ton problème, tes rancunes, tes haines envers ton frère, envers ta sœur (il y a peut-être 15 000 personnes que tu hais, et chacune de ces raisons de haine prend place dans ton cœur), mais tu prétends que tu es là, tu prétends t’asseoir, tu prétends que tu écoutes l’évangile. Tu chantes, tu danses. Vous voulez avancer pour aller libérer les brebis qui sont dans le monde, afin qu’elles reviennent dans la bergerie. Vous allez les récupérer et vous allez les libérer avec quoi, quand le cœur est saturé ? Ce n’est qu’un exemple que j’ai pris superficiellement, je ne suis pas entré en profondeur. Si j’entrais en profondeur, ce devait être un autre détail ».

Le révérend a pris la parole pour s’adresser aux fidèles en ces termes :

« Je suis étonné de voir comment les gens ont une mauvaise compréhension de ce qui se passe ici, ou de ce que je dis. Je vais vous faire réécouter l’extrait de la délivrance concernant madame KIFEM Sebastian… La femme de KIFEM avait les problèmes avec les délivrances, donc je l’exhortais, en lui faisant savoir que ce qui se passe ici, c’est le travail de Dieu, ni plus ni moins. Je disais à madame KIFEM qu’elle doit comprendre que là où Dieu est présent, cela n’empêche que le diable montre aussi sa tête. Je lui demandais de lire sa Bible, afin qu’elle comprenne que là où Dieu est présent, cela n’empêche que le diable mette aussi sa tête dedans. Je lui précisais que c’est à nous, enfants de Dieu, qu’il revient de discerner, avec le Saint-Esprit, la tête du diable, afin de mettre cette tête de côté et continuer avec notre Dieu. À la suite de cette exhortation, voici donc ce que quelqu’un m’a écrit : ‘‘Papa, je voudrais demander pardon, parce que plusieurs fois, j’ai murmuré contre vous, plus précisément quand la femme de KIFEM s’expliquait de son départ de l’église. Tu as dit que la tête du diable qui a été découverte, on a mis ça de côté. Pasteur, je me suis senti très mal, qu’il s’agissait de moi. J’ai commencé à dire dans mon cœur qu’il m’appelle déjà le diable’’. Vous suivez les histoires ? C’est difficile. Vous voyez que quand on essaie d’interroger les gens par rapport à ce qui se dit, soit les gens hésitent, soit les gens disent autre chose. Cela veut dire que plusieurs ne comprennent même pas ce qui se dit ici. Oh Seigneur, ta grâce ! Et la personne dit que quand cela s’est passé comme ça, elle a pris ses bagages, elle est rentrée à la maison, et le culte était fini comme ça ! La religion vous gère, vous avez besoin de la grâce de Dieu. Vous avez besoin de son secours. C’était une parenthèse, pour montrer comment les gens comprennent à gauche. Ils sont venus au culte et ils entendant d’autres voix, d’autres messages ».

Reprenant la parole, l’esprit personnifiant le verdict a continué en ces termes : « Je t’ai dit que je suis la liaison entre la conscience (la tête) et le cœur, parce que la tête et le cœur sont les deux parties fondamentales de l’être humain. Quand la tête ou la conscience ne donne pas, le cœur va également réagir différemment. Et ils sont nombreux dans cette situation, dans ta maison-ci (le Tabernacle de la Liberté). Et tout cela gravite autour des questions que j’ai posées ».

– Pasteur Caleb : Qu’est-ce qui vous a fait venir spécifiquement ?
– Le Verdict : en quel temps êtes-vous ? Vous êtes au temps de la moisson, mais les gens sont sur place, ils reculent, d’autres rentrent (dans le monde, la religion)
– Pasteur Caleb : quel gâchis, que de prendre les mapanes (la fuite, le chemin contraire) après 18 ans !
– Le Verdict : tu comprends que quand une personne décide de pendre les mapanes, à l’instant ‘‘t’’, elle remet en cause tout le processus de la croyance. Elle remet en cause tout le processus de la chrétienté qui, soi-disant, l’habitait ou la recouvrait. En fait, celui-là n’a jamais été chrétien ; il est entré tranquillement avec la belle robe de la religion qu’il avait en lui. Il s’est assis avec le sceau ou le cachet qui l’accompagnait. Il s’est assis tranquillement, et quand le nombre d’années qu’il devait mettre parmi vous sonne, il s’en va. Si cela ne dépendait que de nous, ce lieu (le Tabernacle de la Liberté) n’existerait plus. Mais votre Type (Jésus-Christ) est plus fort que nous… La personne mettra le nombre de temps qui était fixé, et dès que la cloche sonne, elle repart aussitôt, pour aller continuer la religion. Le collègue la ‘‘Semence du mal’’ avait été clair. Quand une personne vient recouverte de ce manteau de la religion, une fois qu’elle se dit que trop c’est trop, qu’elle décide de crier et d’appeler le nom de votre Type (Jésus-Christ), ce nom brise les chaînes, ce nom déchire les manteaux, et c’est ce nom qui va répondre au cri de la personne, si et seulement si le cœur est vrai. Si le cœur n’est pas vrai, crie comme tu voudras, les gens croiront que c’est vrai. Mais les années vont passer, la date va arriver à expiration, et tu vas gagner le large. Quand on parle nos choses ici, vous croyez que c’est de la blague. Si cela ne dépendait que de nous, on danserait tranquillement. Si on vient donc ici, c’est à cause de la volonté de cette main (la main de Dieu). Mais quand on vient, combien sont vrais ?

L’esprit personnifiant le verdit a continué à interpellé des échantillons parmi les fidèles, à partir de ses trois questions initiales. Interpellée par rapport à la question numéro, sœur Liliane WAFO a répondu que si elle a cru en Jésus, c’est pour aller au ciel. Elle a fait savoir qu’on va au ciel en obéissant à la parole, et elle a précisé qu’elle s’efforce à obéir à cette parole. Interrogé à son tour sous le pseudonyme de ‘‘Moustique’’, frère Blanchard a répondu qu’il a cru pour aller au ciel, en vivant dans la parole de Dieu. Il a ajouté qu’il a également cru pour aider les autres à être sauvés.

L’esprit portant le nom de ‘‘Verdict’’ s’est à nouveau tourné vers Liliane en ces termes : « Tu es là pourquoi ? Quelle est la raison de ta présence ici ? Qu’est-ce qui t’a réellement amenée ici ? Quand toi-même tu vois ta réponse, que te dit ton cœur ? Ton cœur te dit-il que ta réponse est vraie, ou qu’elle est fausse ? Comment as-tu fais pour te retrouver là où tu es, et quelles sont les raisons pour lesquelles tu te retrouves là (à l’église) ? Chacun vient avec une raison : soi c’est la guérison, soit c’est le mariage…

– Pasteur Caleb : tu avais quel problème, quand tu venais ici ?
– Liliane Wafo : j’avais des problèmes de santé.
– Pasteur Caleb : tu avais quelle maladie précisément ?
– Liliane Wafo : j’étais séropositive.
– Pasteur Caleb : moi-même j’allais lui poser la question de savoir si elle avait le SIDA, parce qu’elle hésitait. Est-ce que tu dois avoir peur de cela ?
– Le Verdict : vois-tu l’état de cœur de tes enfants ? Avec une telle attitude, comment voudrais-tu dire l’immensité de la grandeur de Celui en qui tu as cru ? Tu n’es pas capable de dire avec joie : ‘‘Voici ce que j’avais’’. Tu comprends donc que les programmations qui t’accompagnaient ne t’ont jamais laissées, elles t’accompagnent toujours.
– Pasteur Caleb : je comprends ton hésitation. Le SIDA est une maladie comme toutes les autres. C’est vrai que les Blancs ont multiplié et ont donné des formes bizarres à cette maladie. Les maladies comme le SIDA viennent des Blancs. Ils vont dire que c’est africain, que ça vient des singes, or, ils ont fabriqué cela en laboratoire, et ils ne veulent pas entendre que quelqu’un en est guéri…. Quand je priais et les gens guérissaient, on me disait de ne plus parler, de plus dire que les gens guérissent du SIDA.

Relancée quant-à la raison qui l’a amenée à l’église, Liliane WAFO a donc hésité pendant un bon moment, puis elle a fait savoir que c’est parce qu’elle était séropositive (sérologie VIH). L’esprit personnifiant le verdict l’a finalement exhortée en ces termes : « Engage-toi et sois vraie. Laisse tes programmations à toi, enterre tes frustrations à toi, enterre-les, marche dessus, et valorise la personne qui t’a guérie ». À son tour interpellé, Francis MELONE a répondu qu’il donne à Jésus-Christ la première place à Jésus dans son cœur.
– Le Verdict : moi-même, le ‘‘Verdict’’, je me plie et je « reconnais » que tu lui donnes la première place. Toi-même tu sais que tu n’es pas vrai, n’est-ce pas ? Ou bien tu veux qu’on aille détail par détail.
– Francis MELONE : je sais.
– Le Verdict : c’est bien, parce que tu essaies d’être un peu vrai, en disant que tu sais, parce que je voulais rentrer en profondeur pour te rappeler des choses. Voici le conseil que je vais te donner : la raison fondamentale qui habite ton cœur, qui prend la totalité de ton cœur, enterre la raison-là, et donne ce canapé de ton cœur Celui qui mérite le canapé. Le comprends-tu ? Vas de l’avant, sinon tu comprendras la suite.

– Le Verdict : ‘‘Kah Wala’’ (s’adressant à sœur Geneviève KENFACK), as-tu suivi la deuxième et la troisième question ?
– Pasteur Caleb : pourquoi tu t’es convertie ?
– Geneviève KENFACK : pour sauver mon âme et participer à sauver les âmes des autres
– Le Verdict : tu connais ce qui t’a amenée dans cette maison. Qu’est-ce qui t’a amenée ici ? Tu veux te justifier, alors que tu sais que la réponse que tu as donnée, ce n’est pas celle que tu as dans le fond du cœur.
– Geneviève KENFACK : quand je suis venue, mon objectif, d’abord… Puisque la fondation n’était pas comme il fallait, mon objectif c’était la réussite d’abord. C’est en avançant que j’ai compris que mon objectif premier, c’est sauver mon âme et contribuer à sauver les âmes des autres.
– Pasteur Caleb : on veut savoir les raisons qui t’ont amenée ici, les origines même de ta venue dans cette maison. Tu voulais la réussite dans quel sens ?

Entrant dans les détails, sœur Geneviève KENFACK a répondu que la pauvreté était de trop dans sa vie, et que sortir de la pauvreté est ce qui l’a motivée à venir à l’église, car les membres de sa famille savaient qu’elle n’allait rien devenir. Elle s’était donc donner comme challenge de sortir de la pauvreté, sans toutefois s’appuyer sur Dieu. Les membres de sa famille l’intriguaient d’ailleurs à cette époque, en lui faisant savoir qu’ils verront si c’est le pasteur qui paiera sa formation. « Je cherchais l’argent, ce n’était pas pour blaguer. Je ne faisais plus la part des choses, je mélangeais les choses », a-t-elle ajouté.
– Pasteur Caleb : Cette ambition est-elle finie ?
– Geneviève KENFACK : c’est finie, je sais ce qu’est le salut de son âme et le salut de l’âme des autres.
– Le Verdict : toi-même tu sais que ce n’est pas encore cela au sujet des raisons que tu viens de donner et dont tu dis être sûre, à savoir sauver ton âme et les âmes des autres… Comprends que ce n’est pas encore cela. Ton pasteur a pris de l’avance sur nous. On te dit que ce n’est pas encore ça. Tu dois encore te mettre au travail, et toi-même tu sais que l’argent, l’argent, l’argent, c’est ton souci majeur. Et c’est même l’argent là qui ouvre beaucoup d’autres pans négatifs dans ta vie.

– Pasteur Caleb : NGUIMEYA Grégoire, quelles sont les raisons qui t’ont amené à l’église.
– Papa Grégoire NGUIMEYA : aller au ciel…
– Le Verdict : est-ce tu ignores les raisons secondaires de ton cœur ? Tu n’aimes pas l’argent, n’est-ce pas ?
– Papa Grégoire NGUIMEYA : qui n’aime pas l’argent ?
– Le Verdict : tu n’aimes pas l’argent ?
– Papa Grégoire NGUIMEYA : j’aime l’argent.

À son tour interpellée par le ‘‘Verdict’’ au sujet de la 3e question, maman Faïssatou NGOA ATANGANA a reconnu que ce qui est subtil, et qui peut faire une petite ombre entre elle et Dieu, c’est la distraction. « Ma distraction est celle-ci : par exemple, quand je me lève le matin, que je commence ma prière, et que le téléphone sonne ou qu’on cogne à la porte, je m’interrompe dans la prière…», a-t-elle dit, tout en prenant l’engagement de ne plus donner accès à une telle distraction, de manière à donner la priorité exclusive à ses moments de communion avec Dieu. Pierre Brice BOUNOUNG a également été interpellé par le Verdict. Il a reconnu que sa consécration à Dieu n’est pas totale, car il lui arrive de prendre du repos, et ainsi, de se laisser distraire en zappant son téléphone. Il lui a été demandé de sortir de cette distraction, en prenant exemple sur le modèle du révérend, qui ne dispose d’ailleurs pas de téléphone.

À son tour interpellée sur le contenu de l’enseignement du jour, Pamela NJINGA a répondu ainsi : « Le pasteur a enseigné l’art de donner dans le secret, la discrétion. Il a également invité les chrétiens à ne pas faire les choses pour les yeux des autres, et à se rassurer qu’ils font les choses pour la gloire de Dieu ».
– Le Verdict : et toi, de tout ce que tu viens de dire, tu te retrouves dans quelle partie ? (…). Toi tu te retrouves dans quelle partie des choses que tu viens de citer ? Toi-même tu sais qu’assez longtemps tu as fait la religion. La religion a été ton manteau, ton partenaire de chambre.
– Pamela NJINGA : quand j’arrivais ici, ce n’étais pas dans le but de mettre Jésus devant. Et dans mon parcours, j’ai deux fois fonctionné avec cet esprit-là.
– Le Verdict : et crois-tu que cet esprit-là t’a déjà quittée ? Dis juste que là où tu es. La hauteur de tes talons n’a pas encore été brisée. Dis-je quelque chose ?
– Pamela NJINGA : j’écoute.
– Le Verdict : voici la question que j’ai posée : est-ce que tu ignores que la hauteur de tes talons n’a pas été brisée ?
– Pamela NJINGA : si même elle n’a pas été brisée, je sais qu’elle a été considérablement diminuée.
– Le Verdict : je parle du brisement, et toi tu parles de la longueur des talons. Si le talon n’a pas été brisé, comment la longueur va-t-elle diminuer ? (…) Mes questions, je ne les ai pas abordées avec toi. J’ai plutôt parlé du message (…). J’étais de disance que, est-ce que la hauteur de tes talons a déjà été brisée ? (…). La hauteur de tes talons n’a pas été brisée, puisque tu dis : ‘‘brisée ou pas, allons seulement’’ (…). Tu vois donc que ton moi là n’est pas prêt à descendre. La chose qui te gère, c’est la hauteur, la grandeur, depuis fort longtemps. Voilà les choses qui te gèrent. Tu n’as pas besoin d’un tour de magie, il suffit que tu aies la vérité dans ton cœur, car tu es encore toi-même ton propre dieu… Descends de ta hauteur, enlève tout ce qui est assis sur le canapé de ton cœur, et donne à votre Type (Jésus-Christ) la place qui lui revient

L’esprit personnifiant le verdict s’est ensuite adressé à Michelle Catherine NGUÉLÉ en ces termes : « As-tu suivi ma première question ? Es-tu chrétienne ? En qui as-tu cru ? ».
– Michelle Catherine NGUÉLÉ : j’ai fonctionné dans la religion. Des douze ans que j’ai passées, je ne pense pas que j’ai fait 03 ans de chrétienté.
– Le Verdict : ma question a été claire : Es-tu chrétienne ? Si tu es chrétienne, en qui as-tu cru ? Et tu sais qu’il n’y a pas de demi chrétienté, ni de grande chrétienté. Si tu dis avoir fait 12 ans, comprends que tu n’as jamais été chrétienne, toi-même tu le sais, n’est-ce pas ?
– Pasteur Caleb : en 12 ans, tu fais quoi ?
– Michelle Catherine NGUÉLÉ : mon souci est que je puisse plaire à Dieu pour devenir enfant de Dieu.
– Pasteur Caleb : donc tu cherches à te convertir.
– Michelle Catherine NGUÉLÉ : oui pasteur.
– Pasteur Caleb : vas-tu trouver ?
– Michelle Catherine NGUÉLÉ : oui pasteur, par sa grâce.
– Pasteur Caleb : c’est un peu bizarre, quand les non-chrétiens font comme les chrétiens, quand ils sont mélangés aux chrétiens, au point que les non-chrétiens oublient qu’ils doivent se convertir, puisqu’ils font déjà en apparence comme les chrétiens.
– Le Verdict : tes enfants doivent comprendre que la conversion, ce n’est pas seulement pour devenir chrétien. On peut aussi se reconvertir pour le camp adverse, pour rentrer dans la religion… Ce sont leurs actes qui déterminent de quel côté ils ont été convertis.

– Pasteur Caleb : NJINGA Pamela, tu dois te convertir. Tu dois descendre, parce que là où tu es montée, c’est plus haut que l’arbre de Zachée. Toi-même tu le sais, et je crains vraiment pour toi, parce que je me demande si tu veux vraiment descendre de cet arbre. Ce n’est pas que tu ne peux, pas, mais je demande si tu veux descendre. C’est une question de volonté, pas une question de pouvoir. Est-ce que tu veux descendre – de ton arbre, de tes talons – ?
– Pamela NJINGA : bien sûr que je le veux, pasteur.
– Pasteur Caleb : ta façon m’a toujours impressionné. Tu n’as jamais répondu par oui ou non. Tu composes d’abord des phrases. La chrétienté est simple, ne la complique pas, et Dieu est simple. Si Dieu n’était pas simple, les tartempions comme moi n’allaient pas se convertir. C’est la vérité, Dieu est simple, Dieu n’est pas compliqué, il est très simple. Donc il faut vraiment que tu descendes, il faut tout simplifier. Je ne sais pas si je t’ai posé une question un jour, et tu as répondu par oui ou par non.
– Le Verdict : ce sont les même gens. Elles doivent prendre un départ vrai et sincère, les deux femmes-ci (Pamela NJINGA et Catherine NGUÉLÉ).
– Pasteur Caleb : Pamela, est-ce qu’il t’est vraiment arrivé de dire oui à Jésus un jour.
– Pamela NJINGA : le dimanche 17 juillet 2016, je me suis convertie. Et c’est une expérience que je ne peux discuter avec personne !

– Pasteur Caleb : et ta conversion a mis combien de temps ?
– Pamela NJINGA : pasteur, je sais que j’ai trébuché (…).
– Pasteur Caleb : Jésus a dit : Souviens-toi d’où tu es tombée, souviens-toi de tes premières œuvres.
– Le Verdict : j’ai dit quoi tout à l’heure ? J’ai dit que son problème c’est la hauteur. Voilà ça ! Maintenant elle a le doigt accusateur chez l’autre. Elle dit que ce n’est pas parce que quelqu’un a trébuché qu’on va remettre en cause sa conversion. Chez votre Type (Jésus-Christ), tu peux avoir marché avec lui 10 ans, mais tu tombes, les dix ans sont oubliés…
– Pasteur Caleb : Lis Ézéchiel. Tu gâtes les larmes. Descends, fille ! Ce n’est pas un petit moi… J’ai dit que son arbre dépasse l’arbre de Zachée, là où elle est perchée. Jésus a dit à Zachée : « Hâte-toi de descendre ». À celle-ci, quand on lui dit : « Hâte-toi de descendre », elle monte…

Pendant cette délivrance, sœur Ida TCHAMEN a soumis au révérend le cas de sa maman, qui veut rentrer au village malgré son état invalide, sous prétexte qu’elle veut aller y voir son petit-fils. Il a été révélé que si elle descend au village, elle ne va plus revenir. Le révérend a immédiatement invité les fidèles à prier pour la maman. « Assemblée, a-t-il dit, lève-toi, prions pour cette maman. S’il te plaît Seigneur, ferme les oreilles de cette maman par rapport à cet appel mystique, cet appel de sorcellerie… Nous bouchons ses oreilles au nom de Jésus… Nous la couvrons avec le sang de Jésus. Sauve cette âme Seigneur, ne permet pas qu’elle aille se livrer à ces gens…. Tu es couverte avec le sang de Jésus. Merci Seigneur, parce que tu l’interpelles, au nom puissant de Jésus. Merci Seigneur. Amen ».

Pendant que Pamela NJINGA était interpellée, le révérend a libéré sœur Géraldine NGAH, en la faisant sortir de la période d’excommunication. Le Seigneur a saisi l’esprit de fausseté. Écroué dans le corps d’une jeune dame, cet esprit a affirmé qu’il marche avec la religion, qui se caractérise essentiellement par l’hypocrisie. « Quelqu’un qui est religieux est faux », a ajouté l’esprit de fausseté.

Finalement, le révérend a décapité tous les esprits susmentionnés (les esprits familiers, la Religion, le Verdict, la Semence du mal, la fausseté), puis il les a chassés en enfer. Merci Seigneur pour cette délivrance !

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