DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – CHAQUE FIDÈLE INTERPELLÉ PAR L’ARBRE DU MAL ET SON ÉQUIPE SUR LE BUT DE SA VIE ET SA CONFORMITÉ AU PLAN PARFAIT DE DIEU

SÉMINAIRE DU MOIS DE MAI 2025 (DIMANCHE 04 MAI 2025), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (8ème partie)

À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, lequel était tiré de GENÈSE 25 : 29-34, GENÈSE 27 : 30-40, le Seigneur a saisi l’esprit personnifiant l’arbre du mal. Écroué dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, cet esprit a déclaré ce qui suit :

« C’est moi, je suis ‘‘l’Arbre du mal’’. Je suis avec mon équipe : les esprits familiers, les esprits des us, des coutumes, des traditions, et le ‘‘Moi’’. Nous voilà ! La première question de notre livre, c’était encore laquelle ? J’ai envie de poser cette question avant de conclure mon affaire, cette question qui a été posée à chacun, à savoir : ’’Quel est le but de ta vie ?’’.Toi, quel est le but de ta vie ? »

– Eugénie KAMANA : adorer Dieu et le servir.
– L’Arbre du mal : Comme tout à l’heure, là où tu étais assise, tu adorais Dieu et tu le servais, n’est-ce pas ?
– Eugénie KAMANA : je dormais.
– Pasteur Caleb : as-tu vu ce soldat-là qui dort au front ? Nous sommes en guerre, et toi tu dors ! Oh Seigneur, ta grâce)
– L’Arbre du mal : c’est le sommeil au plan physique, et maintenant, c’est le statu quo au plan spirituel, comme tu as vu sa position… Tu vas donc voir que quand tu vas poser la question à cinq, dix ou quinze personnes, de savoir quel est le but de leur vie, elles vont te réciter la même histoire, que le but de leur vie c’est adorer Dieu et le servir. Or le collègue, l’esprit de religion, s’est déjà assis en et son épaisseur sent en eux… Nous, les ‘‘Us’’, les ‘‘Coutumes’’ et les ‘‘Traditions’’, quand on te dit que tel a coutume de faire telle ou telle chose, cela veut dire que c’est déjà enraciné dans les habitudes du concerné. Ésaü n’avait pas deux choses, il savait que sa vie c’est le « là là là », puis plus rien. Si on lui demandait même de relater l’histoire de sa vie ou de sa naissance, il allait simplement le faire superficiellement, en disant par exemple que le but de sa vie, c’est adorer Dieu et le servir. À celui qui vient de répondre la même chose (Sylvester BANSAK), si on lui demande par quoi passe cette adoration, ce service, si on lui demande la raison de ce service, sa finalité ou son fondement, il dira simplement : adorer Dieu et le servir.

Tu vois que nous, ‘‘Us’’, ‘‘Coutumes’’ et ‘‘Traditions’’, nous sommes bien enracinés. C’est pour cela que nous soutenons la sève qui est dans l’arbre du mal, à savoir la religion, et les fruits. Ces fruits c’est quoi ? Il s’agit des fruits de la chair, simplement. Ésaü ne comprenait rien ; quel genre de bénédiction voulait-il recevoir, alors que la hotte était déjà vide, alors qu’il n’y avait plus la bénédiction. Ce n’est que la malédiction qu’il pouvait recevoir.

– Pasteur Caleb : c’est comme ça que vous êtes. Vous insistez sur les choses qui sont interdites, pour avoir quoi ? La malédiction ! Mettez-vous un peu debout, car je vois que certains dorment… Comme je sais que vous avez des sujets sur la table, que vous dites à Dieu que vous voulez telle ou telle chose… Je vais te poser la question à toi. Honnêtement, est-ce que Dieu veut ce que tu veux là ? Est-ce que ce que tu demandes là est dans la volonté parfaire de Dieu ? Ce que tu demandes à Dieu, ce que tu veux faire, est-ce que tu es sûr que c’est ce que Dieu veut pour toi, là ?
– Michelle LOUBISSI : pasteur, je n’ai aucune idée, je n’ai pas demandé à Dieu si c’est ce qu’il veut pour moi
– Pasteur Caleb : es-tu donc différent d’Ésaü ? Que chacun se tourne vers son voisin et lui demande : « Ce que du demandes à Dieu maintenant, est-ce que tu es sûr que c’est ce qu’il veut pour toi maintenant ? Ce sur quoi tu insistes à demander à Dieu maintenant, est-ce que tu es sûr que c’est la volonté de Dieu pour toi ? ». Qu’est-ce que ton voisin là t’a répondu ? Vous voyez que vous vivez comme des animaux. La journée se lève, vous vous levez avec elle. En journée, sous le soleil ou la pluie, vous êtes dans vos activités à gauche à droite. La nuit venue, vous vous couchez. Vous vivez comme des animaux, vous n’êtes pas différents d’Ésaü, même pas un peu…. La volonté de Dieu pour vous est dans sa parole. Est-ce que tu te mires pour voir s’il y a un modèle, un exemple dans la Bible. La majorité, leur soubassement, ce sont les us, les coutumes, les traditions. Cela se ressent par la légèreté, la lourdeur, le sommeil. Quand on donne un passage à un ignorant, il va faire comme si c’est tombé du ciel, alors qu’il a cela entre les mains.

– L’Arbre du mal : Je vais te poser la question (s’adressant au frère Aurèle ZANGUE : ce matin, avant de venir dans votre maison-ci, as- tu médité votre livre ?
– Aurèle ZANGUE : je n’ai pas médité la Bible ce matin.
– L’Arbre du mal : voilà quelqu’un qui demande comment reconnaître la volonté de son père ! Mais tu ne t’abreuves pas dans la source qui t’oriente, qui te remplit, qui te rend mature… Quand tu te couches sur ton lit, pendant que tu es en train de dormir, quel concours fais-tu pour que le jour se lève tu te réveilles ? Et quand tu te réveilles, tu ne connais pas les combats qu’il y a eus pendant que tu ronflais. Mais tu te lèves : « Il était obligé (parlant de Dieu) de me donner la vie. Tu sors de la maison, tu prends la Bible que tu n’as pas lue. Tu viens t’asseoir tout peinard, tu chantes, tu danses, puis tu dis que tu ne connais comment reconnaître sa volonté (la volonté de Dieu) dans ta vie. Comment la sauras-tu, quand tu ne connais qui t’a fait dormir, qui t’a soulevé pour que tu viennes jusqu’ici ? Vous ne savez pas que nous, les démons, on a été condamnés. Si on pouvait donner quelque chose pour revenir !

En revenant sur le cas du frère Arnaud MELI, qui est récemment retourné vers Dieu, et en pointant sa photo, l’esprit personnifiant l’arbre du mal a déclaré ceci : « Vois-tu l’enfant-ci ? Montre-nous sa photo. Les ‘‘gens’’ (les esprits impurs, les esprits familiers) dormaient déjà, soupaient déjà sur son toit, au point où il ne comprenait plus rien. Quand il est monté -, qui t’a dit qu’il est monté ? Avant d’apprendre qu’il est monté, qui t’a contactée ?
– Carine MELI : la copine du frère René, la copine du grand frère.

– L’Arbre du mal : quel rapport ? Quel lien ? Toi qui était avec lui, qui prétendait marcher avec lui, mais ce sont les esprits familiers qui t’appellent pour te dire qu’il est mort. Sur sa toiture, sur ma maison, on soupait, on dansait… Tu comprends que le dépotoir – des esprits familiers -, est dans celui-là (René)… Ton frère (Arnaud MELI) est venu au culte dimanche. Tu sais que votre Type (Jésus-Christ) ne partage sa gloire avec personne. Quand ton frère (Arnaud MELI) est venu au culte dimanche, comme il est venu, son enlèvement a été net comme celui de votre type du Nigéria (le prophète TB JOSHUA). Il est venu (frère Arnaud MELI), il a ouvert son cœur, et il a raconté à son Père (Dieu) des choses, comme il ne l’avait jamais fait. Et son Père (Dieu) a donc décidé que comme il lui a raconté les choses (la repentance) comme il l’a fait, il doit rentrer au bercail (au ciel). Voyez combien de fois – il est bon -, combien il a plutôt arracher celui-ci (Arnaud MELI) du feu et l’a renvoyé chez lui (au ciel), alors qu’il serait allé dans le feu – de l’enfer -. Mais tu vas te lever un matin, sans chercher à consulter Celui qui est tout pour toi, Celui qui fait ta force. Ta fondation, tu ne la maîtrises pas… Leur grand-mère portait tout le village sur sa tête, maintenant, le dépotoir, c’est chez le frère René…

Par la suite, frère Blanchard a pris la parole, afin de répondre au frère Aurèle, qui se demandait comment faire pour reconnaître et suivre la volonté de Dieu dans sa vie. Frère Blanchard a ainsi fait lire le Psaume 119 : 9-10 : « Comment le jeune homme rendra-t-il pur son sentier ? En se dirigeant d’après ta parole. Je te cherche de tout mon cœur : ne me laisse pas égarer loin de tes commandements ! »

« En dehors de cela, a ajouté le révérend, le Seigneur nous a fait seulement grâce, car avant que vous ne connaissez cette église, les piliers étaient déjà fixés, les fondements étaient déjà là. Il y a des documents qui vous édifient dans tous les aspects. J’ai pris l’exemple sur le mariage. N’y a-t-il pas la réponse sur cette question, à travers le livre intitulé : ‘‘Le mariage, une institution divine dédiée aux humains’’ ? Vous allez dire que c’est cher, ou que c’est volumineux. Préfèreriez-vous donc vous égarer ? Au niveau même du comportement, de la vie chrétienne normale, il y a le livre intitulé : ‘‘La pitié, aimer Dieu et être dévoué pour ses choses’’. Tu dis que tu as cru au Seigneur, la première des choses avec laquelle le chrétien doit être en contact, c’est avoir le Saint-Esprit, qui va te guide t’orienter. Vous voulez quoi ? Il y a tout dans tous les livres que j’ai écrits. Les livres peuvent se lire plus facilement, que la grosse Bible qui a des milliers de page… Je me rends compte que beaucoup de mes enfants, que beaucoup de chrétiens sont comme Ésaü. Ils sont profanes, mais ils veulent les bénédictions. Ils veulent avancer, mais de quelle manière ? Ils sont profanes ; c’est ce qui dérange les chrétiens. Ils ne veulent pas faire les efforts pour savoir ce que Dieu veut, ce que Dieu dit. On a vu qu’ayant déjà raté la bénédiction, Ésaü est parti forcé, voulant que le père le bénisse. Et quand le père a ouvert la bouche, ce qui en sorti, ce sont les malédictions, parce qu’Ésaü était bête, idiots. C’est comme cela que nous faisons aujourd’hui, nous nous engageons dans des voies, dans des activités, sans consulter Dieu. Dieu ne peut pas se contredire, il fait ce qu’il a planifié pour nous. Quand tu forces ce qu’il n’a pas programmé pour toi, ou quand ce n’est pas encore le moment, les esprits familiers vont donc te donner ce que tu veux, comme le mariage. Les esprits familiers vont te dire que va dehors, ton calibre n’est pas encore là. Pourquoi ? Parce que tu insistes sur le mariage. Très peu de chrétiens sont enseignés sur ce sujet, et cela fait mal. Que Dieu aide son église… ».

Le révérend est également revenu sur les récents évènements, concernant le départ de frère Arnaud MELI. Voici, en substance, ce qu’il a déclaré :

« Cette famille venait à l’église, la maman et ses quatre enfants. La maman est montée au ciel en 2008, il y a 17 ans aujourd’hui. À l’époque, je m’occupais des enterrements, je faisais les deuils, comme tout le monde. Mais après, Dieu m’a ouvert les yeux, j’ai compris que je ne devais plus faire comme ça. Qu’est-ce qui fait en sorte que Dieu m’ouvre les yeux ? Après le départ de cette maman, la famille, surtout la grand-mère, s’est soulevée contre moi. C’était comme par miracle. Deux des enfants me sont devenus hostiles, l’aîné et le cadet. Les benjamins, les jumeaux, sont restés fidèles. Le reste de la famille s’est liguée contre moi. Je n’ai pas compris les raisons. On a pris soin de cette maman quand elle était malade, on priait pour elle à l’hôpital. On a fait le deuil jusqu’au village à Bangang. Et puisque elle était une veuve… En fait, cette maman, en partant, m’a laissé avec ces enfants, les quatre. Même ses frères étaient au courant que c’est moi qui devait être le père des orphelins. Je n’ai pas compris comment les deux aînés ont rejoint la grande famille pour me combattre.

« Ces gens-là voulaient me mettre en prison. Vous vous imaginez qu’ils sont partis manigancer avec un commandant de brigade, pour que le procureur m’envoie un mandat d’amener. J’ai dit : ‘‘Mais j’ai fait quoi ?’’. Donc, sa mère (la mère d’Arnaud MELI) était déjà partie depuis… Je parle des choses de 2015, quand ils me combattaient… Aujourd’hui, ils sont venus demander pourquoi l’église est silencieuse – par rapport au départ d’Arnaud MELI -…. S’ils acceptent qu’on enterre, on va le faire. Mais on ne peut pas s’associer à eux pour dire qu’on fait le deuil. S’ils veulent qu’on participe, mieux on enterre. À défaut, ils se chargent de tout. C’est la même chose qui s’applique à vous. Si un membre meurt, c’est vous qui l’enterrez. Si la famille vient s’interposer, on les laisse avec le corps, car on ne bagarre pas pour les corps. Si c’est toi le chef de famille, fais-le, enterre, sans qu’on ne t’impose rien… Pourquoi va-t-on bagarrer pour la dépouille, la carcasse ? Comme ils ont récupéré le corps, qu’ils enterrent sans rien espérer de moi. Comme ils disent que c’était mon fidèle, qu’ils me laissent donc enterrer. On ne discute pas, on ne bagarre pas pour les corps, jamais. »

Finalement, le révérend a décapité les démons personnifiant l’arbre du mal et le reste de son équipe, puis il les a chassés en enfer. Merci Seigneur !

Laisser un commentaire