CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 19 JUIN 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (18ème partie)
À la suite du message prêché ce jeudi par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de MATTHIEU 13 : 18 – 23, PHILIPPIENS 4 : 4 – 7, MATTHIEU 24 : 35, 1 TIMOTHÉE 6 : 3 – 10, le Seigneur a saisi les esprits personnifiant la stérilité et les ‘‘épines’’. Écroués dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, ces esprits ont déclaré ce qui suit : « C’est nous, nous sommes la ‘‘Stérilité’’ et les ‘‘Épines’’… Comme tu nous vois là, nous sommes ici dans ta maison (le Tabernacle de la Liberté). Tu sais que vous avez mentionné certains aspects en parlant des soucis du lendemain, tels que le mariage et autres. Pour pouvoir se débarrasser des soucis du lendemain, chaque fidèle a besoin d’être alimenté et nourri. Cependant, il y en a qui n’ont rien à voir avec l’aliment essentiel (la Bible, la parole de Dieu). Dis-moi, comment ce genre de cœur pourrait-il être attaché à votre Type (Jésus-Christ). C’’est pour cela que moi, ‘‘Stérilité’’, je suis là. Dis-moi, quel genre de fruit porterait un cœur qui n’est pas alimenté par l’aliment fondamental, si ce ne sont les fruits du siècle présent ? Beaucoup sont secs, d’où ma présence en eux. Je suis avec les ‘‘Épines’’, qui renvoient aux soucis du lendemain. Croyais-tu qu’on était déjà parti, comme certains ont prétendu qu’ils prient ? Ils ont juste versé l’eau sur le dos du canard, c’est ce que beaucoup ont fait ici. On veut s’adresser particulièrement à un petit garçon. Vois-tu l’enfant-ci (parlant de NOUMBI Pierre) ? Il est resté sur place. C’est même à cause des interpellations qu’il s’est alors bien assis (expression du statu quo). Là présentement, il veut trouver la solution par lui-même, et chaque jour que votre Type (Jésus-Christ) a créé, son esprit est focalisé sur ce qui s’est passé ».
– Pasteur Caleb : garçon, pourquoi es-tu statu quo ? Veux-tu trouver la solution par toi-même ? Cela te dit-il quelque chose ?
– Pierre NOUMBI : oui pasteur.
– Pasteur Caleb : pourquoi ne fais-tu donc rien ?
– Pierre NOUMBI : je fournis les efforts.
– Pasteur Caleb : alors qu’on dit que tu es sur place ?
– Pierre NOUMBI : ça va changer, pasteur.
– Pasteur Caleb : on espère que ça va vraiment changer.
En reprenant la parole et en partant du cas de Pierre NOUMBI, les esprits mis en cause ont affirmé ceci : « Voici une personne que les soucis du lendemain et les préoccupations de ce siècle ont très vite rattrapé, avec le support des esprits familiers. Et beaucoup de fidèles sont comme lui, ils se préoccupent des choses du siècle présent. Quand quelqu’un est préoccupé par les soucis du lendemain, les esprits familiers sont son soutient absolu, son soubassement. Parfois, les esprits familiers posent des questions en passant par des personnes physiques (des questions et des remarques telles que : ‘‘Tu ne fais rien de ta vie ? Cherche à nous faire des enfants !’’. Tes enfants-ci ne comprennent pas, car quand on parle des esprits familiers, ils se disent qu’il s’agit forcément de la personne avec qui ils ont une liaison (le lien charnel) directe. Ils oublient qu’on peut passer par n’importe quel moyen, vu que nous avons pour propre l’unité dans le mal. Qu’ils ne s’attendent donc pas à voir leur tante, leur père, leur mère, leur oncle ou leur petit frère – leur poser des questions en rapport avec la possession des choses du siècle présent-, car nous, on utilise maintenant d’autres stratégies. Par exemple, on entre même dans leurs collègues au travail, ou dans leurs voisines, etc. C’est comme cela qu’on fonctionne, on n’est plus dans le ‘‘direct-direct’’.
« Les épines sont supposées étouffer la parole dans le cœur. Si les épines viennent et qu’il n’y a pas la parole dans un cœur, elles vont étouffer quoi ? Tu vois donc qu’on arrive dans un cœur stérile, qui n’a pas de fruits proprement dits, et on continue juste. Quand tu sais à qui (Jésus-Christ) tu t’attends, que tu ais mangé ou pas, qu’il pleuve ou qu’il neige, tu t’attends à lui. Mais ce n’est pas le cas si tu es en train de te soucier, de te dire : ‘‘Ma première fille est encore à la maison, je n’ai pas encore mangé sa dote, et j’irai au ciel ?’’. L’autre se soucie en se disant ceci : ‘‘Mon camarade qui ne connaissait rien à l’école est déjà procureur, et on me dit de ne pas chercher le tuyau ! On me dit de ne pas chercher le tuyau, alors que celui qui était ‘‘ntàh-zéro’’ (nul) est déjà procureur’’ ».
Finalement, au nom puissant de Jésus, le révérend a décapité les esprits mis en cause et il les a chassés en enfer. Au terme de la délivrance, il a conduit la prière dont voici le condensé : « Levez-vous, priez le Seigneur, en vous repentant d’avoir négligé la parole de Dieu, de ne l’avoir pas consommé suffisamment ou pas du tout, d’avoir cherché des solutions par vous-mêmes… On doit porter du fruit, et du fruit qui demeure… Merci Seigneur d’aider ton peuple à se défaire de ses tares, pour te ressembler ». Amen !