DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – DES FIDÈLES PRÉSERVÉS DE LA MORT

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (JEUDI 31 JUILLET), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Vers la fin du culte de ce jeudi, le Seigneur a saisi l’esprit de mort, et ce dernier a interpellé certains fidèles dans la diaspora, et au sein de l’assemblée locale. Cet esprit de mort a pris la parole en ces termes :« C’est moi, je suis la Mort. Je suis là contre les gens de la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté), car ils ne sont pas supposés voter. S’ils doivent voter, ils doivent voter en bas (en enfer). Je veux dire que les esprits familiers m’ont délégué dans la maison ci, pour que certaines personnes partent voter en bas. On commence dans la diaspora, on commence par la belle fille chérie, c’est ‘‘une qui ne voit rien’’. La personne se connaît. Où est celle qui aime ‘‘Oui papa’’ ? Si elle est béninoise, tant pis ! Ivoiriens et béninois, ce sont les mêmes gens, de la même bassecour. Qu’est-ce qui se passe ? Je vais te rafraîchir la mémoire. Qu’est ce qui s’est passé il y deux semaines, belle fille chérie ? Il y a eu quoi entre temps ? Qui t’a appelé entre temps ? »
– Pasteur Caleb : mais tu as parlé des gens qui vont voter ! Va-t-elle voter ici au Cameroun, ou sera-ce dans là-bas dans la diaspora ?
– L’esprit de mort : vous êtes terribles ! Vous êtes terribles… Donc pour toi… Tous les gens que je vais appeler maintenant, les gens de la maison-ci, forment le Cameroun. C’est la maison-ci qui fait le Cameroun. Les véritables électeurs de base, c’est la maison ci. Suis-je folle, moi la Mort, quand je dis qu’ils vont voter en bas ? Regarde comment elle ouvre la bouche. Elle réfléchit, elle pense, pourtant elle connaît de quoi je parle. Elle doit se rappeler elle-même, je ne vais rien lui dire… Réfléchis bien, tu as reçu un message ces jours-ci, venant de quelque part. C’était un colis empoisonné.
– Sœur Pierrette : il y une nièce que j’avais gardée avec moi. Elle m’avait écrit, disant que je lui fasse signe, lorsque je serai en vacance à Cotonou, pour qu’elle vienne me voir. Apparemment, cela a eu lieu il y a deux semaines environ.
– L’esprit de mort : vous me prenez souvent comme le faux billet… C’est un colis empoisonné.
– Sœur Pierrette : actuellement, on est à Natitingou, mais on pense aller ce mois d’août à Cotonou, pour préparer la rentrée des enfants
– Pasteur Caleb : n’embrasse pas le colis empoissonné…

– L’esprit de mort : il y a encore trois personnes que je cherche dans la diaspora. Parton chez l’autre, je ne sais pas si c’est un Mbouda. Je parle du Bamiléké sénégalais (…). Je dis hein, quand toi-même tu dors et que tu rêves, vois-tu comment les rêves-là se présentent ces jours-ci ? Ce sont des beaux rêves, n’est-ce pas ? Je t’ai posé la question, réponds, et je conclue.
– Frère Bertrand TCHANCHE : je ne me rappelle pas.
– L’esprit de mort : c’est bien parce que tu ne te rappelles pas. N’as-tu pas osé manger quelque part, dans tes rêves ? L’autre (sœur Pierrette) a également dit tout à l’heure qu’elle ne se rappelait pas. Quand tu vas te rappeler que c’était quelque chose comme un festin, comme une fête… C’était très beau à voir, mais derrière ! C’était toujours dans les rêves.

– L’esprit de mort : allez à présent chez la mère-ci. Il y a une bamiléké qui aime nous envoyer le feu, avec un foulard sur la tête. Toi qui aimes dire ‘‘Le feu dans ta bouche’’, es-tu là ?
– Maman Hélène TCHIAPPI : le feu dans ta bouche !
– L’esprit de mort : la mère-ci, c’est à toi que je parle.
– Maman Hélène TCHIAPPI : n’as-tu pas fait crash au désert ?
– L’esprit de mort : je n’ai pas fait, parce que j’ai contrôlé mon aviation avant de décoller. La mère-ci, parle comme tu le fais, mais sache tu dois d’abord te débarrasser (du relâchement), car ces jours-ci, ta température a baissé. Donc, le crash que je vais faire au désert, ce sera avec toi, si tu ne remontes pas ta température… Quand je dis qu’elle a baissé (expliquant au révérend), c’est parce qu’elle s’attarde sur certains détails, au niveau des bobos qu’elle a dans le corps, du corps qui fait mal à gauche et à droite. Les choses sur lesquelles elle ne s’attardait, elle s’y est attardé ces temps-ci. Tu sais qu’on attend les petites choses comme celles-là pour accuser, pour doigter le concerné. À cause des bobos, elle sent la fatigue, et elle se dit qu’un peu de sommeil ne fera pas du mal. Du coup, je fais crash (avec elle) au désert.

– L’esprit de mort : technique, reviens ici au pays. Garçon (Georges TINGUE), es-tu là ? Tu avais pris la course –chrétienne -. Cours-tu normalement ? Dis-le à ton père : cours-tu normalement ou as-tu ralenti ? As-tu freiné ? La course de l’enfant c’est le matin.
– Frère Georges : je me repens auprès de Dieu… Je disais que je suis un peu en baisse, je me repens.
– L’esprit de mort : et c’est cela ton travail… Toi-même tu sais que tu travailles, n’est-ce pas ? Et maintenant, tu vois que tu n’offres rien à ton Père (Dieu Créateur) sur le temps que tu lui as donné. Ce que tu trouves à faire, c’est de dormir… Il est debout, mais son esprit est plongé dans le sommeil. Il ne doit pas dire qu’il dort, car il est vraiment plongé dans le sommeil. Bientôt il va entrer dans le mode coma…

– L’esprit de mort : comment as-tu su que c’est toi que je venais chercher (s’adressant à sœur Berthe) ? Dis à ton père si tout va bien. Tout va-t-il bien ? Dis-le à ton père,
– Pasteur Caleb : tu dis quoi ?
– Sœur Berthe : non papa
– L’esprit de mort : qu’est ce qui ne va pas bien ?
– Sœur Berthe : je suis un peu préoccupée par ma carte nationale d’identité. Cela me distrait un peu.
– L’esprit de mort : c’est de loin que les ‘‘oncles, les tantes, les cousins, les cousines’’ (les esprits familiers) ont vu la faille ouverte. À cause ce quoi ? La faille est grandement ouverte.
– Sœur Berthe : chaque fois que je fais la carte, elle ne sort pas, car j’ai un problème de double identité…
– L’esprit de mort : la carte ne sort pas parce que ce n’est pas ton acte. Tu ne comprends pas quoi ?
– Sœur Berthe : l’acte que mon géniteur m’a remis la dernière fois, il m’a dit que c’est mon vrai acte. Mais au commissariat, la dame m’a fait savoir que c’est la photocopie non l’original de l’acte. Elle a dit qu’il faut que j’aille chercher la souche.
– L’esprit de mort : et alors ? Tu ne comprends pas quoi ? Continue à réfléchir, il y a les appartements en enfer. Perds la paix
– Pasteur Caleb : Berthe, reste tranquille. Tu ne m’as même pas dit ce qui se passe… Les amis, restez tranquilles. Cet esprit de mort ne peut pas vous emporter, mais restez tranquilles. Chacun en ce qui le concerne, levez-vous et remettez-vous au Seigneur. Repositionner les pendules de votre chrétienté. Merci Seigneur.

Finalement, le révérend a stoppé l’esprit de mort, en le décapitant et en le chassant en enfer. Alléluia !

Laisser un commentaire