DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : SÉPARE-TOI DE L’INGRATITUDE, DE L’OUBLI, DE LA RÉBELLION, DE LA JUSTIFICATION PERSONNELLE

CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 10 AOÛT 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (20ème partie)

À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de LUC 17 : 10, MATTHIEU 25 : 14-30, le Seigneur a saisi les démons personnifiant l’ingratitude, l’oubli, la rébellion et la justification personnelle. Écroués dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, ces démons ont affirmé ce qui suit :

« C’est nous, nous sommes : l’Ingratitude, l’Oubli, la Rébellion. Nous sommes dans la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté). Nous sommes là parce qu’on doit être là, nous sommes là parce qu’on nous maintient là, nous sommes là parce qu’on nous appelle là. Ceux qui nous appellent sont tes enfants (parlant des fidèles). Crois-tu qu’on refusera de venir quand on nous appelle ? Moi, l’Ingratitude, je dors, je soupe, je mange, je fais tout avec plus de la moitié de ta maison-ci (le Tabernacle de la Liberté). Je parle en me vantant, car ils manifestent l’ingratitude vis-à-vis de votre Dieu, comme le troisième serviteur, bien évidemment. Ce troisième serviteur estimait que son maître récolte là où il n’a pas semé, et qu’il est un maître est méchant. Pareillement, certains ici disent que votre Dieu est très méchant. Ils disent qu’il fait pleuvoir sur le toit des autres, mais que chez eux, c’est la sécheresse. Il faut vraiment commencer par leur poser la question qu’au regard une telle ingratitude, ils ont fait quoi pour se lever ce matin ? Qu’ont-ils fait pour prier, s’ils ont prié. L’ingrat pense qu’il vit grâce à lui-même, il est lui-même son propre Dieu. C’est pour cela que le troisième serviteur a fouillé un endroit et il y a gardé le talent que lui avait donné le maître, pourtant, il savait très bien ce qu’il devait faire avec l’argent là. Cameraman, pars dans une salle, je veux parler à une fille. Pars dans la salle qui est à côté de la côte de quelqu’un, à la salle 12. La petite fille en bleu (sœur Nelly), c’est toi que je cherche ; je commence par toi. Tout va bien ? ».

– Sœur Nelly : Non !
– L’esprit d’ingratitude : Qu’est ce qui ne va pas ?
– Sœur Nelly : J’ai régressé.
– L’esprit d’ingratitude : et qui est à l’origine de la régression ?
– Sœur Nelly : Moi-même.
– L’esprit d’ingratitude : Quelles sont tes raisons ? Si tu n’arrives pas, je vais t’aider, parce que tu es tout feu tout flamme, tu estimes que tu es tellement occupée ; vrai ou faux ? Tu estimes que tu as trop de charges. N’est-ce pas cela ?
– Sœur Nelly : Oui.
– L’esprit d’ingratitude : Vois-tu comment elle répond ? Elle répond en soupirant. Te souviens-tu que ton père (le révérend) a dit ce matin que, c’est à celui qu’on aura beaucoup confié, qu’on va aussi beaucoup demander ? Petite fille, laisse-moi en paix, je suis l’Ingratitude. Laisse l’ingratitude en paix. Qui est l’aîné de la maison de ton père ?
– Sœur Nelly : C’est moi.
– L’esprit d’ingratitude : Qui est supposé jouer pleinement le rôle de femme de maison ?
– Sœur Nelly : C’est moi.
– L’esprit d’ingratitude : Tourne-toi, et vois la personne qui est assise derrière toi. Qui est-ce ?
– Sœur Nelly : C’est ma grand-mère.
– L’esprit d’ingratitude : Tel qu’elle est posée là-bas, elle est l’un de tes fardeaux, n’est-ce pas ?
– Sœur Nelly : Oui-oui.
– L’esprit d’ingratitude : Voilà ! As-tu vu comment elle soupire (parlant de Nelly et se tournant vers le révérend) ? C’est ainsi qu’elle soupire, même quand elle est seule, en sorte qu’elle n’arrive même pas à élever les mots à votre Type (Jésus-Christ). Et quand elle veut ouvrir la bouche (pour prier), elle pleure. Elle dit : « C’est trop pesant ! C’est fatiguant ! Décharge-moi de ce genre de fardeau ». Et à un moment donné, elle en veut à quelqu’un. Imagine à qui elle peut en vouloir.
– Pasteur Caleb : Elle en veut à son père.

– L’esprit d’ingratitude : Petite fille, sache que c’est à cela que tu es appelée. Tu vas vivre pour t’occuper de ta famille, de tes frères, de tes sœurs, jusqu’à ce que celui ou celle-là soit enlevé. À la gloire de qui ton soupir doit-il être ?
– Sœur Nelly : À la Gloire à Jésus.
– Pasteur Caleb : Elle a même fondu physiquement, parce qu’elle voit qu’elle porte beaucoup de charges. Tu es ingrate ma fille.
– L’esprit d’ingratitude : Or la louange à votre Dieu devrait être dans sa bouche.
– Sœur Nelly : Je demande pardon à Dieu, je supplie sa grâce afin qu’il me relève… Je sais qu’être dans sa maison, c’est déjà pour moi une grâce (…).
– Pasteur Caleb : Que vient de dire l’esprit d’ingratitude ? C’est à toit de laisser l’ingratitude. Ne soit plus ingrate, soit reconnaissante à Dieu. Voilà ton talent que tu es en train d’enterrer. Ton talent, contrairement à ce que tu pensais, ce n’est pas de coudre les habits. C’est de de t’occuper de ceux qui t’entourent, de ta grand-mère. Tu enterres ton talent pour te plaindre de la lourde charge qui pèse sur toi. Lève-toi petite fille. Le père (papa Roger), ce n’est pas pour toi l’occasion d’ajouter des charges sur elle. M’as-tu bien compris ? Tu dois porter ta charge aussi, tu dois faire valoir ton talent de père. Me comprends-tu bien ?

– L’esprit d’ingratitude : Le père-ci (papa Noé), lève-toi. Tu n’as pas encore toussé. Tu sais ce qui t’a amené ici, n’est-ce pas ?
– Papa Noé : Oui, je le sais.
– L’esprit d’ingratitude : Peux–tu me le rappeler ? Parce qu’il paraît que je suis accompagné d’un collègue qui essaie de brouiller les ondes (l’esprit d’oubli). Qu’est-ce qui t’a amené ici ?
– Papa Noé : Je suis venu ici pour le salut de mon âme et pour servir Dieu.
– Pasteur Caleb : Connaissais-tu cela ?
– Papa Noé : c’est ce que j’ai constaté quand j’ai cru.
– L’esprit d’ingratitude : On te demande qu’est-ce qui t’a amené ici ?
– Papa Noé : Le salut.
– Pasteur Caleb : Tu dis quoi ?
– Papa Noé : Je suis venu ici pour être séparé de la sorcellerie, je fuyais la sorcellerie.
– Pasteur Caleb : Tu n’étais pas intéressé par les choses de Dieu. Tu déposais ta femme à l’église, et toi-même, tu restais dans la voiture. C’est pendant que tu écoutais que tu t’es dit : « Je me peux cacher ici ». Tu as pris l’église comme la cachette.
– L’esprit d’ingratitude : Voilà donc quelqu’un dont les ondes ont été brouillées. Il prétend qu’il est venu ici pour sauver son âme et servir Dieu. C’est ce que tu as prétendu chemin faisant. Mais aujourd’hui, à quel niveau te trouves-tu ?
– Pasteur Caleb : Au niveau de la foi, ça va.
– Pasteur Caleb : Pour toi, la foi c’est quoi ? Si tout allait bien dans ta foi, est-ce que tu allais être interpellé ? Comprends-tu ma question ? Ou bien, ne sais-tu pas ce qu’on appelle la foi ? Tu dis que ta foi va bien, alors que tu es interpellé par les esprits d’oubli, d’ingratitude, de rébellion. Tu sors d’où avec cela, si tu as la foi dans ton cœur ? Il ne faut pas empirer ta situation, car si tu as été interpellé, c’est pour te débarrasser de ces trois machins. N’empire donc pas ta situation. Ta femme peut-elle te rejoindre là ?

– L’esprit d’ingratitude : Tu sais que le collègue, l’esprit d’ingratitude, marche toujours avec la justification personnelle.
– Pasteur Caleb : Effectivement, c’est comme on le voit avec le troisième serviteur ; il donnait des raisons pour se justifier, pour ne pas multiplier l’argent de son patron… Qu’est-ce qui t’a amenée ici, madame ?
– Maman Élaudite : Je fuyais également la sorcellerie, et la mort.
– Pasteur Caleb : Est-ce ton père qui était marabout ? Vit-il encore ?
– Maman Élaudite : Il ne vit plus, il était marabout, et c’est ma génitrice qui est sorcière.
– L’esprit d’ingratitude : Ils oublient tout cela, et ils commencent à jongler, à se justifier.
– Pasteur Caleb : Dieu aime beaucoup la femme-ci. Quand elle est venue ici… Akié ! Yésùs ! Partant du fait qu’elle avait un père marabout et une mère sorcière, elle avait tous ces mélanges en elle. Elle a commencé à vouloir faire la voyance, les machins-là… Mepouk Mivu mebe nya à nyué. Elle voulait déjà devenir Magne-sî. Éh Dieu ! Tu es bon ! Pour la contenir, ce n’était pas facile ! En même temps, elle avait commencé à écrite les tracts pour évangéliser, avec ces esprits qui l’inspiraient. Je lui avais dit : « Ma fille, vas-y doucement ; arrête d’abord ». Wèèh ! Dieu est bon ! Heureusement qu’elle avait compris ! C’est quand on était venu nous déranger ici… J’avais gardé ces machins, pour les lui montrer plus tard et pour lui dire : « Voici tes livres ». Elle avait encore un problème. Madame, c’était lequel ?

– Maman Élaudite : c’était le problème d’accouchement.
– Pasteur Caleb : Quand tu es venue ici, tu avais combien de fils ?
– Maman Élaudite : Deux.
– Pasteur Caleb : Maintenant, tu en as combien ?
– Maman Élaudite : J’ai accouché Bénédiction, et je suis encore enceinte.
– Pasteur Caleb : Tu es enceinte Grâce. Que Dieu vous aide à lui être utiles ; débarrassez-vous de ces machins : l’Oubli, l’Ingratitude, la Rébellion.
– L’esprit d’ingratitude : Ici, il y a des gens qui savent qu’ils sont dans un sens interdit, mais ils demandent à Celui-là (Dieu Créateur) que : « Qui a mis le sens interdit ? ». Vois-tu un peu leur rébellion ? C’est le genre que, quelqu’un connaît très bien qu’il y a un sens interdit, mais il dit : « Pardon, je continue ma route ». N’oubliez pas l’esprit de justification personnelle, parce que l’esprit d’ingratitude et lui sont doublés. Il y a une fille dans ton Département de Communication ; elle marche comme si elle veut tomber…
– Pasteur Caleb : Aurélie.
– L’esprit d’ingratitude : Je m’en fous de son nom.

– Pasteur Caleb : Toi qui m’écoutes, qu’est-ce que tu as fait pour avoir l’équilibre qui te permet de t’asseoir, de conduire, etc. ? Crois-tu que c’est parce que tu as été à l’auto-école que tu conduis ? C’est de la méchanceté que vous développez, et vous pensez qu’il s’agit d’une simple ingratitude… Bonjour Aurélie !
– Sœur Aurélie : Bonjour papa.
– L’esprit d’ingratitude : Te sens-tu à l’aise dans ton milieu ?
– Sœur Aurélie : Pas tellement !
– L’esprit d’ingratitude : Et pourquoi ?
– Sœur Aurélie : Je revois ma connexion avec le passé.
– L’esprit d’ingratitude : Pourquoi revois-tu ta connexion avec ton passé ?
– Sœur Aurélie : Ceux qui m’environnement ne cessent de me rappeler cela.
– Pasteur Caleb : Est-ce à la maison, ou là à l’église ?
– Sœur Aurélie : À la maison.
– Pasteur Caleb : La Bible dit que si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.
– L’esprit d’ingratitude : As-tu suivi cela ?
– Sœur Aurélie : J’ai suivi.
– L’esprit d’ingratitude : Si tu es encore affectée par la passé, cela veut dire toi-même, le passé que tu dis être passé, dort encore en toi. Ce passé soupe et fait tout avec toi, sinon, ce que ton entourage dit n’allait pas t’affecter. Si cela t’affecte, cela veut dire que le passé est encore en toi. Et pourquoi le passé est-il encore en toi ? C’est parce que tu as oublié comment tu es arrivée ici.

– L’esprit d’oubli : Moi, l’Oubli, je suis très « important » dans la vie d’un chrétien. Il faut qu’elle oublie (parlant d’Aurélie) les choses et les bienfaits de votre Type (Jésus-Christ) par mon influence. Mais elle ne doit pas oublier le passé.
– Pasteur Caleb : On continue- les interpellations -.
– L’esprit d’ingratitude : Tout à l’heure, j’appelais un Toupouri ; il travaille pour Rambo. Où est-il ? Tu as chanté tout à l’heure que votre Dieu est infiniment grand (s’adressant à AKTABAI), n’est-ce pas ?
– AKTABAI : Oui, il est grand.
– L’esprit d’ingratitude : Ok. Qu’est-ce qui t’a amené ici ?
– AKTABAI : Ce sont les problèmes de la vie.
– L’esprit d’ingratitude : Les problèmes de qui ?
– AKTABAI : Les problèmes de la vie.
– L’esprit d’ingratitude : Et maintenant, comment sont les problèmes de la vie? Sont-ils résolus, ou bien, les problèmes de la vie sont-ils toujours là ?
– AKTABAI : par la grâce de Dieu, ça va aller. Ça va.
– L’esprit d’ingratitude : Moi qui te parle, je suis l’Ingratitude, et je suis collé à l’esprit de rébellion. Vois-tu le nœud-ci, c’est ainsi qu’on est attaché sur ton pied. Toi-même tu sais que tu joues tellement avec votre Type (Jésus-Christ), n’est-ce pas ?
– AKTABAI : Oui, je sais.
– L’esprit d’ingratitude : NGOA, ce qui est bien avec le Toupouri-ci, c’est qu’il a le cœur pour votre Type (Jésus-Christ). C’est ce qui le sauve, sinon la tanière des oiseaux… Connais-tu ce qu’on appelle « la zoiseau » (les sorciers) ? Les « Oiseaux » (les sorciers) auraient déjà fini de picorer la graine de que tu es. Les « oiseaux » de la famille l’environnent, et ces oiseaux donnent la passe aux oiseaux qui habitent là où il vit… Ignores-tu ce qu’on appelle « la zoiseau » ?

– Pasteur Caleb : Je n’ignore pas, mais je veux savoir.
– L’esprit d’ingratitude : On est unanime, on fait donc la passe aux « oiseaux » qui sont à côté de lui, s’ils peuvent faire le travail.
– Pasteur Caleb : Il n’est pas prudent par rapport à cela. Il ne fait rien, ou alors il oublie. Oublies-tu ?
– AKTABAI : Non, je n’oublie pas, pasteur.
– Pasteur Caleb : Et comment cela t’arrive-t-il toujours de te connecter aux sorciers ? Ce n’est pas que tu ignores, mais quand bien on t’avertit en te disant que voilà les sorciers, tu ne fais rien. Et tu sais que tu es quitté de ta famille, où les sorciers sont nombreux. On l’a vu ici. Pourquoi t’appelle-t-on ‘‘Akwa’’ ?
– AKTABAI : J’ai amené une fille qui était sorcière, et tu as demandé comment est-ce qu’on appelle le feu, pour qu’on lui envoie le feu dans la langue maternelle ; c’est ainsi que le nom ‘‘Akwa’’ est calé sur moi.
– Pasteur Caleb : Voilà donc l’héritage de ta famille ! Tu as cette instruction d’éviter les sorciers de ta famille. Malgré cette instruction, tu pars prendre les gens de sa famille pour les faire travailler chez les sorciers. C’est au point qu’un jour, je t’ai demandé si tu ne serais pas sorcier, car comment cela se fait-il que tu t’entends avec eux ? Es-tu avec eux dans l’histoire-là ?
– AKTABAI : Quelle histoire, pasteur ?
– Pasteur Caleb : La sorcellerie. Es-tu avec eux dans l’histoire-là ?
– AKTABAI : Jamais ! Noooh ! Comment ?
– Pasteur Caleb : Tu dis que tu n’es pas avec les sorciers. Alors que fais-tu quoi avec eux ?
– AKTABAI : Je ne fais rien avec eux. Est-ce que je suis avec eux ?
– L’esprit d’ingratitude : Comprends qu’il oublie ! L’oubli agit comme un sommeil de courte durée dans son cerveau. Son cerveau est entrecoupé par l’oubli. Quand l’oubli le prend comme un léger sommeil, c’est là qu’il atterrit et qu’il se relève. Mais fais très attention !
– Pasteur Caleb : Sépare-toi de l’oubli, de l’ingratitude, de la rébellion, de la justification personnelle.

– L’esprit d’ingratitude, etc. : caméraman, pars dans la même salle, celle qui est juste après ; pars dans la salle 02. J’ai au moins trois personnes – à interpeller – dans cette salle. Toi qui fait le signe des deux cornes de papa lucifer sur les lèvres, sors (parlant de Marc)… Toi qui es vêtu de bleu, sors également (parlant d’Herman). Qui est au coin là ? Je ne vois pas bien. La mère là, c’est toi que je cherche (maman NGO MANDENG)… Père de famille (Jean-Marc), c’est comment ? Il est frais, il est beau, il a enlevé la coiffure….

Je vais voir si tu peux être honnête (revenant sur Marc). Nous sommes : la Justification personnelle, l’Ingratitude, la Rébellion et l’Oubli. Reconnais-tu quelqu’un parmi nous ?
– Marc : la justification.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : tu as été honnête pour une minute. Et pourquoi te justifies-tu ?
– Marc : Parfois, il arrive qu’on m’accuse de faussetés, et quand je dis la vérité, on ne m’écoute pas, alors je me justifie pour avoir raison.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Tu te justifies, sachant pourtant que c’est quelque chose que tu n’as pas faite, n’est-ce pas ? Chemin faisant, quelle est la conclusion de ta justification. NGOA, tes adolescents-ci croient qu’ils sont sages. Tu n’as pas dit la vérité à ce niveau, et je vais t’aider. Quand tu fais quelque chose et il s’avère que c’est cela, tu te justifies pour donner les raisons, pour expliquer pourquoi c’est arrivé jusque-là. Mais ce n’est pas ce que tu as dit. Sais-tu qui nous sommes ? Quand tu fais quelque chose et il s’avère que c’est cela, séance tenante, tu te justifies, au lieu d’être vrai… Il se justifie, et à un moment donné, son ingratitude se développe vis-à-vis de votre Type (Jésus-Christ) et de celui qu’il appelle son père… Tu sais que tu es ingrat vis-à-vis de ton père, n’est-ce pas ?
– Marc : je le reconnais.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Tu estimes donc que celui que le Père d’en-haut met à coté de toi n’est rien, tu vois qu’il ne vaut rien. Crois-tu donc que c’est celui qui est en haut que tu respecteras ?

– Pasteur Caleb : Jamais ! Le premier commandement qui le concerne en tant qu’enfant, c’est de respecter son père et sa mère.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Et comme son père est un « mouton » !
– Pasteur Caleb : Es-tu un mouton (s’adressant au frère Sylvester) ?
– Marc : Je prie Dieu de me pardonner, je prie mon père et l’assemblée de me pardonner.
– Pasteur Caleb : Assemblée, vous lui pardonnez, n’est-ce pas ?
– L’assemblée : Oui.
– Pasteur Caleb : Dieu te pardonne aussi, va à ta place.

– L’esprit d’ingratitude, etc. : Tu nous connais, n’est-ce pas (S’adressant à Herman) ? Penses-tu qu’il y a un seul parmi nous qui n’existe pas chez toi ? Au nombre de combien sommes-nous ?
– Pasteur Caleb : Les connais-tu tous ?
– Herman : La Justification personnelle, l’Ingratitude, et l’Oubli.
– Pasteur Caleb : Et la Rébellion
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Il oublie l’élément fondamental qui siège au centre de sa vie.
– Pasteur Caleb : Il va se justifier. Ce n’est pas la rébellion, n’est-ce pas ? Herman, tu vois que tu n’es pas sérieux, Dieu t’aime beaucoup. Herman m’a écrit une longue lettre de justification soit une feuille, donc deux pages. Je n’ai pas fini de lire la lettre, que je me suis rendu compte que c’était la justification qui y était étalée. Je crois que c’était hier. Quand m’as-tu envoyé cette lettre ?
– Herman : C’était hier.
– Pasteur Caleb : Tu vois donc que tu n’es pas vrai. Tu es rebelle. Comment dis-tu que tu n’es pas rebelle, alors que, quand le père te dit de ne pas faire pas telle chose, tu la fais. Ou alors, quand il te dit de faire telle chose, tu ne la fais pas. Est-ce cela que tu appelles la soumission ? Toute raison que tu peux donner ne sert à rien, c’est de la justification. Il n’y a pas de raison à donner. J’ai arrêté de lire sa lettre hier, voyant que c’était de la justification. Alors j’ai dit : « L’enfant-ci veut me déranger » ; et le voilà qu’on interpelle ! C’est ta grande sœur que je voulais voir, pour lui demander : « Ton petit frère veut même faire quoi dans sa vie ? ». Grande sœur (sœur Flora), viens un peu là. Que fait ton petit frère ?

– Sœur Flora : Bonjour papa. Avant, il cassait les pierres. Maintenant, il se bat à faire la décoration sur les murs. Pasteur, je ne sais pas si je peux parler… Oui pasteur, quand il est venu à la maison, il était malade… Il m’a expliqué qu’après cela, il va se débrouiller à chercher de l’argent. Je n’ai pas réagi quand on demandait qu’il rentre, parce que j’attendais pour voir. Je ne sais pas si j’ai mal réagi.
– Pasteur Caleb : Voilà donc qu’on l’interpelle pour des choses fondées dans sa vie ! Mais je sais qu’il aime se justifier. Casser les pierres et orner les maisons, est-ce ce qu’il est allé faire à Obala ? C’était pour combien de temps ?
– Herman : c’était pendant un an.
– Pasteur Caleb : Donc tu es allé passer un an pour apprendre à casser les pierres et à orner les maisons…

– L’esprit d’ingratitude, etc. : La mère-ci (maman NGO MANDENG), tu as pris tout ton temps pour te lever … Tu nous connais tous, n’est-ce pas ?
– Maman NGO MANDENG : Oui.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Choisis-toi toi-même.
– Maman NGO MANDENG : Je me reconnais dans l’oubli et le sommeil.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Qui a parlé de sommeil ? Donc tu oublies ?
– Maman NGO MANDENG : Oui.
– L’esprit d’ingratitude, etc. : Tu as oublié quoi ? Ne nous dis-tu pas ce que tu as oublié ?
– Maman NGO MANDENG : J’ai oublié ce qui m’a amenée ici.
– L’esprit d’oubli, etc. : Et qui doit te le rappeler ? Est-ce moi l’Oubli ? Ou bien est-ce ton pasteur ? Toi-même tu sais qu’en plus de l’oubli, tu es ingrate. Tu sais cela, n’est-ce pas ?
– Maman NGO MANDENG : Un peu.
– L’esprit d’oubli, etc. : Pas beaucoup ? Tu es très ingrate vis-à-vis de votre Type (Jésus-Christ). Tu es très ingrate ! Hein ? C’est cette ingratitude que tu as manifesté tout à l’heure, car on nous a envoyés vers toi, et tu as failli refuser de te lever. Vois-tu un peu cela ?
– Maman NGO MANDENG : Je me levais, mais j’étais pieds nus. Il fallait que je me chausse avant de sortir.
– L’esprit d’oubli, etc. : Il faut donc arranger ta position envers ton Père (Dieu), parce que c’est très délicat. Nous, on choisit seulement les gens qu’on nous a envoyés choisir, le reste ne nous intéresse pas. On a fini avec toi, pars t’asseoir.

Ma co’o ! C’est toi que je viens chercher, avance (s’adressant à sœur Ludivine)… Toi qui as la main à la bouche (Mbotiri Jonathan), sors également. Le reste ce sont les Ntàh zéro, on n’a rien à faire avec eux. Je suis l’Oubli, je suis l’Ingratitude, je suis la Justification personnelle, je suis la Rébellion. Qui suis-je ?
– Ludivine : Je me reconnais dans la justification personnelle.
– L’esprit d’oubli, etc. : Et tout ça pourquoi ? Peux-tu nous dire pourquoi on soupe et on danse avec toi ?
– Ludivine : C’est à cause de l’ingratitude.
– L’esprit d’oubli, etc. : Ton ingratitude, c’est vis-à-vis de qui ?
– Ludivine : Dieu.
– L’esprit d’oubli, etc. : Pourquoi es-tu ingrate envers ton Dieu ?
– Ludivine : C’est à cause de l’oubli ?
– L’esprit d’oubli, etc. : Et maintenant, quand bien tu n’oublies pas, tu fais quoi ? (Tu sais faire ton travail, caméraman)… Je disais donc que quand tu n’oublies pas, qu’est-ce que tu fais ?
– Ludivine : Je lui rends grâce.
– L’esprit d’oubli, etc. : Quand tu ignores de lui rendre grâce, et que tu n’as pas oublié, qu’est-ce que tu fais ?
– Pasteur Caleb : Elle se rebelle. Ta réaction-là, c’est de la rébellion.
– L’esprit d’oubli, etc. : Voilà comment tu es (s’adressant à Ludivine). C’est pour cela que je t’ai dit je suis l’esprit d’oubli…. Nous tous, tous les quatre, on t’accompagne dans tes marches quotidiennes, et même dans tes prières… Le petit qui est derrière (Jonathan MBOTIRI), toi-même dis-nous qui tu es.

– Jonathan MBOTIRI : Je peux dire que je suis concerné par les quatre esprits que vous êtes. Je sais déjà de quoi il s’agit.
– Pasteur Caleb : Est-ce le fils de Sobadjo ? Ne te convertis-tu pas ?
– Jonathan MBOTIRI : Il y a des trucs un peu troublants.
– Pasteur Caleb : Où est la maman ?
– Jonathan MBOTIRI : Elle est à la maison.
– Pasteur Caleb : Ta petite sœur est-elle là ?
– Jonathan MBOTIRI : Elle est à la maison, elle n’est pas avec moi ; je suis seul actuellement.
– Pasteur Caleb : Et ton père, où est-il ?
– Jonathan MBOTIRI : Là-bas c’est un autre monde !
– Pasteur Caleb : Écoutent-ils même le culte à la radio ?
– Jonathan MBOTIRI : Je ne sais pas s’ils écoutent à la radio. Pour le père, c’est déjà allé trop loin, il s’est déjà trop avancé dans sa vie qu’il mène dehors. Il est entré dedans, dans la vie de dehors, les mains, les pieds, toute la tête.
– Pasteur Caleb : Le salut est individuel, garçon, tu sais cela ?
– Jonathan MBOTIRI : Je le sais.
– Pasteur Caleb : Tu as des petits (sœurs et frères) qui sont déjà aussi un peu grands, n’est-ce pas non ?
– Jonathan MBOTIRI : Je comprends dans quel sens vous parlez.
– Pasteur Caleb : Tes petits frères et sœurs ne se décident-ils pas pour Jésus ?
– Jonathan MBOTIRI : Ma petite sœur est à l’école. Elle est toujours à l’université, elle part au niveau 2.
– Pasteur Caleb : Et toi-même ?
– Jonathan MBOTIRI : Je suis au niveau 2.

– Pasteur Caleb : Tu n’as pas beaucoup évolué.
– Jonathan MBOTIRI : J’avais eu des soucis avec mes notes.
– Pasteur Caleb : C’est la foi qui est importante. Il faut te décider pour Jésus et le servir avec fidélité. Les problèmes de la maison-là ne se ne se résolvent pas avec le cerveau. Dans ce cas, vous devez vous considérer comme des orphelins, puisque vos parents sont en train d’abandonner leurs responsabilités vis-à-vis de vous, et Dieu est le Père des orphelins. Vas-tu continuer à cheminer avec ces quatre démons ?
– Jonathan MBOTIRI : Non pasteur.
– Pasteur Caleb : Fais donc ce que tu as à faire, fais cela maintenant.

– L’esprit d’oubli, etc. : Allons dans la diaspora, j’y cherche la fille de la « prophétesse ». Si tu connais que tu es la fille de la « prophétesse », je vais commencer par toi.
– Pasteur Caleb : Je pense que c’est Boga qu’on cherche ; Christelle BOGA. Ta caméra n’est pas activée, BOGA. Ha ! La voilà ! Bonjour Christelle.
– L’esprit d’oubli, etc. : Te rappelles-tu ce qui t’a amenée ici ? Te rappelles-tu ce qui t’a connectée à ce lieu ?
– Christelle BOGA : Oui.
– L’esprit d’oubli, etc. : Sais-tu ce qui t’a connectée à ce milieu ?
– Christelle BOGA : Je disais oui.
– L’esprit d’oubli, etc. : Nous écoutes-tu ?
– Christelle BOGA : Ce qui m’a amenée dans ce lieu, c’est l’amour particulier que le Seigneur a eu pour moi. J’étais captive d’une mauvaise relation, et le Seigneur m’a sortie de là. Cet amour a fait que je me donne à lui, en lui ouvrant mon cœur.
– L’esprit d’oubli, etc. : Chemin faisant, est-ce que tu as respectée cet amour ?
– Christelle BOGA : J’essaie chaque jour.
– L’esprit d’oubli, etc. : Tu essais, mais tu ne le fais pas, et la majorité des engagements que tu as pris, tu en as négligé d’autres.
– Christelle BOGA : J’ai baissé dans la prière.
– L’esprit d’oubli, etc. : Tu n’as pas baissé, mais tu es juste ingrate. Vois-tu un peu ce que nous voulons dire ? Tu développes de l’ingratitude vis-à-vis de ton Créateur, tu privilégies d’autres choses.
– Christelle BOGA : Je lui demande pardon.

– L’esprit d’oubli, etc. : Va chez l’ivoirienne, celle qui s’appelle KONAN. Tout à l’heure, on disait que l’un de tes fils avait le cerveau entrecoupé par l’oubli. C’est la même chose avec la mère-ci.
– Pasteur Caleb : Sœur Léocadie, bonjour !
– Sœur Léocadie KONAN : Bonjour papa.
– Pasteur Caleb : As-tu même suivi ce que l’esprit a dit ?
– L’esprit d’oubli, etc. : Ton esprit est entrecoupé par l’oubli. De temps à autre, tu oublies, comme c’est le cas de tes engagements. Et parfois, ce qui t’a amené en ce lieu n’est pas ton seul problème. À un moment donné, tu es aussi rebelle ; le vois-tu ?
– Sœur Léocadie KONAN : C’était ma nature dans ma jeunesse. Je pense que je me suis assagie.
– L’esprit de rébellion : Non, c’est moi, la Rébellion, qui te parle en personne.
– Sœur Léocadie KONAN : D’accord, je vais faire des efforts.
– Pasteur Caleb : Esprit de rébellion, tu te mires dans sa vie ?
– L’esprit de rébellion : Oui. Quand on a toujours eu à opérer dans la vie d’un chrétien et qu’il reconnaît notre présence, on se dissimule sous une autre forme et on avance avec lui. C’est le cas avec la mère-ci.

– L’esprit de rébellion, etc. : Allons quelque part dans un champ. Êtes-vous connectés dans le champ de cannes ? Il s’agit du court Joël, c’est lui qu’on cherche, en tout cas (…). On disait que ce jeune homme est ingrat. Jeune homme, le comprends-tu ? On va te le dire. Les aspirations de départ que ce jeune homme avait, à un certain moment, quand il avançait, il a prétendu déposer ces aspirations pour servir votre Type (Jésus-Christ). Quand on dépose, ce n’est pas pour venir reprendre. Demande un peu où est-ce qu’il a déposé ses aspirations. Il les a déposés dans sa poche. Et quand il avance, à un moment donné, il se souvient qu’il y a quelque chose dans sa poche, alors il se demande s’il doit continuer à patienter, ou si ce n’est ce Type qui lui perd le temps. Il se pose cette question à lui-même, puisque ses aspirations et ses programmations étaient déjà établies. Il estime que le temps passe et qu’ici aussi, on perd trop le temps.
– Pasteur Caleb : Comment ?
– L’esprit de rébellion, etc. : Ici, on doit souffrir pour gagner, or s’il avait été de l’autre côté de la rivière, on lui aurait déjà probablement acheté quelque chose. Jeune homme, toi-même tu sais que tu es ingrat, n’est-ce pas ?

Au terme de ces interpellations, le révérend a invité les fidèles à se lever et à louer Dieu avec reconnaissance. « Levez-vous, assemblée ! Rendons grâce au Seigneur. Ne soyons pas ingrats, soyons reconnaissants pour tout ce que Dieu fait, pour tout ce qu’il a fait.

ADORATION : MERCI, D’UN CŒUR RECONNAISSANT

Merci d’un cœur reconnaissant
Merci o Seigneur trois fois saint
Merci car tu as donné Jésus-Christ
Ton Fils

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Maintenant que le faible dise
Je suis fort
Et que le pauvre dise
Je suis riche
Car Dieu a fait de grandes choses
Pour nous merci
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Finalement, le révérend a décapité les quatre démons susmentionnés, puis il les a chassés en enfer. Merci Seigneur !

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