DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : SÉPARE-TOI DU MAUVAIS ÉTAT DE CŒUR (MONDANITÉ, MAUVAIS DÉSIRS, ETC.) ET DU MOI

CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 28 AOÛT 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (20ème partie)

À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de GALATES 1 : 10, JEAN 14 : 1 – 3, le Seigneur a saisi les démons personnifiant le mauvais état de cœur et le moi. Écroué dans le corps d’un jeune homme et prenant la parole, le démon personnifiant le mauvais état de cœur a déclaré ce qui suit :

« ‘‘Sous-chef’’ ! C’est moi… Je suis ‘‘L’état du cœur’’ des ‘‘crétins’’ (appellation péjorative de chrétiens) de ta maison. Ce cœur est occupé avec les choses, les choses et les choses de cette vie. Tu sais que… Tu connais où se trouvent les choses de cette vie, elles se trouvent dans le monde, et tu sais que la plupart des ‘‘crétins » sont préoccupés par la mondanité, par le monde et ses attraits. Leur état de cœur est donc sale, sale et sale. Je suis avec le ‘‘Moi’’. Tu sais qu’en fait, nous deux-là, nous sommes inséparables. Nous ne sommes avec personne d’autre, car on se suffit. Tu sais que nous sommes deux-en-un, et nous constituons ici l’obstacle principal de celui qui dit ‘‘oui’’, ‘‘oui’’, ‘‘oui’’ (celui qui dit oui et accepte ainsi de donner sa vie à Jésus, de le suivre). Nous sommes là pour dire juste que nous avançons avec plusieurs, comme certains pensent qu’ils avancent vers les appartements privés (le ciel, le paradis) de votre Type (Jésus-Christ). Nous aidons ceux-là à avancer vers le bas (l’enfer). Ceux avec qui nous avançons sont là. Est-ce à nous que tu demandes où ils sont ? Ils sont ici. Celle qui a le foulard, et que le caméraman vient de passer, le foulard rose, elle (Carrelle PONGA) et son compagnon de chaise (Wilfried GUEGUANG)…

« Celle que nous venons d’interpeler (Carrelle) est la petite fille de quelqu’un, son grand-père est ici dans la salle, et son père est dans le Département de Communication de votre maison. Voilà, je t’ai déjà donné l’identité de la personne. Demande-lui (à Carrelle) si elle a déjà fini de lire le livre (La Réalité du Saint-Esprit). Le garçon que j’ai interpellé, c’est celui dont les grands parents cherchaient la mère un temps-là. Nous sommes ‘‘L’état du cœur’’ et le ‘‘Moi’’. Nous sommes chez les chrétiens dont l’état de cœur est sale, en sorte qu’il n’y a aucune place pour le Saint-Esprit, aucune ! Tu sais que le Saint-Esprit ne cohabite pas avec les mauvais désirs, avec les attraits de ce monde, les pensées vaines, ou toute chose qui est opposée à la volonté de votre Type (Jésus-Christ). Et la première chose qui s’oppose à la volonté de vote Type (Jésus-Christ), c’est mon collègue le ‘‘Moi’’. Il y a un de tes enfants, il est déjà vide, et cela est arrivé entre temps. Il va porter la tenue, le voici ici (frère Joseph), il dort. Voilà comment sont plusieurs, à cause de l’abondance du mauvais état de cœur. Ainsi, ils courent après le vent »

– Pasteur Caleb : As-tu fini de lire La Réalité du Saint-Esprit ? (s’adressant à Carrelle).
– David : Elle dit ‘‘Non’’.
– Pasteur Caleb : Pourquoi ?
– Carrelle : Pasteur, je veux que ma formation finisse d’abord.
– Pasteur Caleb : Ta formation finit quand ?
– Carrelle : samedi prochain.
– Pasteur Caleb : Le dimanche du Séminaire, je demanderai si tu as fini de lire… Wilfried, pourquoi n’es-tu pas encore né de nouveau ? Quand vas-tu naître de nouveau ? Wilfried ! Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Veux-tu voir le royaume de Dieu ? Tu dois naître de nouveau, ce n’est pas un jeu… Assemblée, que chacun de vous se lève et fasse un regard introspectif, pour voir comment est son cœur… Nettoie ce cœur. Heureux ceux qui ont les cœurs purs, car ils verront Dieu. Nettoie ton cœur pour pouvoir voir Dieu. Oh Seigneur ! Que chacun de vous nettoie son cœur. Seigneur s’il te plaît, nettoie ces cœurs, enlève-y tout mauvais désir, enlève toute mauvaise pensée, enlève la mondanité. S’il te plaît Seigneur, interviens dans chaque cœur maintenant, s’il te plaît… Tu connais ton cœur, même si on ne t’a pas interpellé, même si on ne t’a pas indexé. Ce n’est pas quelqu’un qui doit te dire que ton cœur est mauvais, toi même tu connais l’état de ton cœur. Seigneur merci, parce que tu travailles dans ces cœurs, au nom puissant de Jésus.

Joseph, toi tu voulais le travail, non ? Tu as eu le concours, non ? Et maintenant ? Que sert-il à un homme de gagner le monde entier, s’il perd son âme ? As-tu eu le concours-là pour perdre ton âme ? Voilà donc le contraste, la vanité des vanités, la poursuite du vent. Te voilà, nous voici, Dieu est là au ciel, il voit tous, il connaît tout. Si tu n’avais pas eu ce concours, et que tu sois devenu vide comme tu l’es là, tu allais dire que c’est parce que Dieu ne t’a rien donné. Et maintenant qu’il t’a donné ce que tu voulais, tu as été vidé. Les amis, l’exemple de celui-ci doit nous servir de leçon. Toi qui es dans les lamentations et qui veut la bénédiction à tout prix, quand elle va venir, resteras-tu encore dans la foi ? Peux-tu m’aider à poser cette question à ton voisin ? Ha ! Ou quand cette bénédiction ne viendra pas, resteras-tu encore dans la foi ? Pose cette question à ton voisin, parce que c’est dans les deux sens. Vous conditionnez votre foi à la bénédiction, selon qu’elle vienne ou pas. Et dans tous les cas, ce n’est pas la bénédiction ou le manque qui fait que nous gardions la foi, ou pas. Oh ! Joseph ! Yosep ! Donc il est l’ombre de lui-même ?

– ‘‘Le Mauvais état de cœur’’ : Le voilà, pose-lui la question à lui-même, est-ce qu’il à Douala ? N’est-il pas là avec nous ici à Yaoundé ? Il sait que lorsqu’il est arrivé le premier temps (dans son lieu de formation), il a essayé de prier. Après toutes les menaces, il est entré dans sa coquille. Tu connais notre adage qui dit que « La paix est bien ». C’est ce qu’il a dit, et quand tu vois quelqu’un dire que « La paix est bien », cela veut dire qu’étant déclaré persona non grata, il a dit : « Faites vos choses là-bas ». S’il pouvait faire quelque chose dans le sens du bien, il va plutôt dire : « Faites vos choses là-bas », et c’est pour qu’on ne lui dise pas : « Voilà les Yéçu Kpem ! ». Pourtant, dans votre livre, il est dit : Tu connaitras la vérité, et la vérité te rendra libre. C’est cette vérité (le saint évangile de Jésus-Christ), qu’il se refuse de proclamer, qui doit pourtant aider les autres à devenir libres autour de lui.

Au nom puissant de Jésus, le révérend a finalement stoppé les esprits mis en cause, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

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