CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 31 AOÛT 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (20ème partie)
Saisi ce jour dans le corps d’un jeune homme et répondant aux différentes questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, l’esprit d’avertissement s’est introduit en ces termes : « Je suis l’Avertissement et ses Conséquences. Appelez-moi le père (frère ÉKODÉ) de la maison dont on a retrouvé l’enfant (Leila Élisée), appelez également sa côte ».
– Pasteur Caleb : frère ÉKODÉ, viens avec ta maison. Vendredi, quand l’enfant a été retrouvé, Je leur ai rappelé que quand leur cas est sorti et a été posé sur la table jeudi, j’ai demandé s’ils étaient là, et certains m’ont dit qu’ils ne viennent pas au culte les jeudis, après on m’a fait savoir qu’ils étaient présents au culte ce jeudi. Vendredi, quand l’enfant a été retrouvé, je leur ai dit : ‘‘Vous ne devez plus manquer les cultes, les jeudis’’.
– Les Bloqueurs de prière : Comme ils se sont réveillés, qu’ils ne s’arrêtent pas… Celle qui criait et qui nous a dérangés, qu’elle ne s’arrête pas. Que cela continue comme elle l’a fait, car jeudi, elle a prié comme elle ne l’a jamais fait.
– L’Avertissement : Je commence par la ministre de l’intérieur (madame Céline ÉKODÉ). Je suis l’Avertissement… La mère-ci, tu sais que c’est en majeur partie toi qui est responsable de certaines choses, du genre le libertinage, le laisser-aller, concernant ta fille. Tu le sais, n’est-ce pas ?
– Pasteur Caleb : Tu veux trop mettre ta fille à l’aise, n’est-ce pas ?
– L’Avertissement : Tu donnes tous les privilèges à ta fille, alors que tu devrais être en train de la traiter comme une mère est supposée traiter une fille qui doit gérer la maison, quand la mère n’est pas là. Mais ce n’est pas ce que tu fais. Aussi, à un moment donné, tu prends les devants, pendant que la « mère » (frère ÉKODÉ) est derrière. Voilà le « père » avec le nœud papillon sur la tête (madame Céline ÉKODÉ). Ton père disait tout à l’heure qu’il ne t’a pas vu danser… Le père-ci (s’adressant au frère ÉKODÉ), tu dois prendre tes responsabilités, tu dois conduire ta maison comme tu es supposé la conduire, c’est-à-dire prendre les devants et être soutenu par ta côte. Elle ne doit pas prendre les décisions quand elle est là, elle ne doit pas prendre la parole. C’est toi qui donne les décisions, et elle t’assiste, non pas qu’elle prend la parole… Tu vois que tu es effacé, et n’importe qui atterrit et fais n’importe quoi dans ta maison, parce que tu es effacé.
– Les Bloqueurs de prières : C’est son interpellation de dimanche qui a un peu freiné ce qui s’est devait se passer…
– L’Avertissement : Je m’adresse maintenant à la fille (Leila), puis ce sera aux frères. Fille, ce qui t’arrive maintenant, c’était juste une de mes conséquences, car, si tu ne te ressaisis pas, à la prochaine conséquence, on va ramasser tes morceaux. Donc, l’engagement que tu as pris depuis vendredi, le Père d’en haut (Dieu) y a mis le cachet. Il n’y a plus d’erreur ; si tu fais encore l’erreur, tu descendras directement en enfer. Quant-à vous, les frères, vous devez travailler en association, vous devez travailler en équipe. Vous connaissiez ce qui se passe, mais personne n’a ouvert la bouche – pour dire que votre sœur dit qu’elle va aller au États-Unis-. Vous avez couvert le mal, puis le mal a germé jusqu’à donner les fruits/
– Pasteur Caleb : Comment n’avez-vous pas dis à vos parents que votre sœur a dit qu’elle va aller aux États-Unis ? Vous avez participez, vous devriez trahir.
– L’Avertissement : Tartempion (s’adressant à papa Olivier) ! Jusqu’ici, le Père d’en haut (Dieu) apprécie, comprends-tu cela ? Seulement, il y a une chose que tu dois comprendre, c’est que le degré, le pourcentage doit aller croissant. Voilà, c’est très délicat dans ta maison. Vois-tu comment ton pasteur est assis ? Est-ce qu’il fait état de sa maison ? C’est la chose qui te manque, parce que de temps à autre, tu te déportes. Il y a de cela quelques jours, il y a eu une situation dans ta maison, je parle de la maison de celui qui a atterri avec 9, 75 chez nous. Toi-même tu sais que la situation dont je parle a fait une petit ouf, avant que les collègues ne se manifestent, parce que tu étais dans l’inquiétude et tu disais : « Cela fait longtemps que je n’ai pas vu la femme de mon frère. Qu’est-ce qui se passe au village ? ».
– Papa Olivier : Effectivement, parce que je n’avais pas des nouvelles d’elle et de sa fille depuis 2024. J’entendais seulement qu’elles ont des problèmes au tribunal (…).
– L’Avertissement : Du coup, le pan des inquiétudes s’est ouvert (…).
– Pasteur Caleb : Assemblée, il y a certains d’entre vous, vous vous plaisez à faire de mauvais rapports. Quand des nouvelles ne peuvent pas bénir quelqu’un, ne lui donnez pas de ces nouvelles, sinon vous allez aider à sa chute, vous allez ouvrir la porte des inquiétudes dans sa vie. Je ne sais s’ils m’écoutent. Vous m’entendez bien ? Ne soyez pas les rapporteurs des mauvaises nouvelles, la Bible dit : ‘‘Qu’ils sont beaux, les pieds de ceux qui apportent de mauvaises nouvelles’’. À l’opposé, comment sont les pieds de ceux qui apportent de mauvaises nouvelles ? Ils sont maudits. Donc, ne soyez pas de ceux-là qui apportent de mauvaises nouvelles, s’il vous plaît. Je sais qu’il y a des gens qui se plaisent dans cela, car quand ils donnent les informations, c’est dans le but de détruire la personne à qui ils donnent ces informations, parce qu’ils vont y ajouter ou y soustraire leur part, pourvu que cela choque la personne qui va recevoir l’information. J’espère que je me fais entendre.
– L’Avertissement : Tu vois que j’ai commencé par la montée (s’adressant toujours à papa Olivier), et tu sais qu’avec votre Père (Dieu), tu peux bien faire, mais dès qu’il y a un petit truc, tout le bien là part d’abord de côté. C’est pour cela que je t’ai dit de faire gaffe. Tu dois monter la colline davantage, et en t’agrippant sur le Roc qui est Jésus-Christ, parce que ton cas est très sérieux. Tu sais que tu portes toute une maison, fais donc gaffe de ne pas trébucher, car en atterrissant, la maison va s’émietter, c’est ce que je suis venu te dire.
– Papa Olivier : J’ai compris, gloire à Dieu.
– L’Avertissement : Je vais à présent m’adresser à un couple, dont l’homme est géant, long. Oui, il s’agit du couple NGWESE. Tu as vu le cas de tout à l’heure (le cas de monsieur et made ÉKODÉ) ; l’homme c’est la femme, et la femme c’est l’homme.
– Pasteur Caleb : FBI ! Monsieur NGWESE, tu vois que la femme était parmi ceux qui faisaient les recherches (pour retrouver Leila ÉKODÉ).
– L’Avertissement : Voilà à quelle heure monsieur arrive ! Quand je dis la ‘‘mère-ci’’, je m’adresse en fait au père. Donc le père, je vais te faire comprendre une chose : à maintes reprises, on t’a parlé de prendre ta place, mais est-ce que tu as pris ta place comme il se doit ? – Frère Kevin NGWESE : Pas totalement.
– L’Avertissement : C’est très dangereux, parce que voilà une graine (sa fille Améthyste) qui est sous ton pied. Regarde la graine qui est sous ton pied, la graine ci, la graine qui est en train de fuir. Tu as vu cette graine, non ?
– Frère Kevin NGWESE : Oui, j’ai vu.
– L’Avertissement : Et tu sais qu’à cause de toi, la graine-ci a été affectée par le chagrin, le sais-tu ? C’est à cause de toi qu’elle a été affectée par le chagrin. Tu connais cela, non ? Il sait qu’il a été une grosse porte d’ouverture à la naissance de la graine, je ne lui rappelle rien… Maintenant, tu constitues une sorte de blocage pour l’atterrissage d’une autre graine (un autre enfant), parce que si votre Type (Jésus-Christ) te tend la main et que tu n’arrives pas à prendre en compte, et que tu n’arrives pas à gérer comme il se doit les biens qu’il t’a donnés, pourquoi voudrais-tu en avoir plus ? Du moment où tu es une source de blocage, tu t’attends à quoi à la fin ? Si tu ne veux pas prendre la bénédiction, tu t’attends à quoi ?
– Frère Kevin NGWESE : Je ne peux pas prononcer ce mot (la malédiction).
– L’Avertissement : Arrange-toi donc, pour que ce ne soit pas cela (la malédiction).
– Pasteur Caleb : Sortez un peu là. Monsieur NGWESE, tiens ta femme. De toi-même à ta femme, tu es témoin que Dieu a préféré récupérer l’autre graine (l’enfant) qui devait vous être offerte. Il a préféré récupérer avant le temps. Repentez-vous, repens-toi, Dieu n’est pas rancunier, et son magasin ne tarit pas. Il n’est pas à court de provision, son magasin est rempli de tout genre de provisions. Seigneur, pardonne à ce couple, pardonne à monsieur NGWESE, Seigneur ton pardon, s’il te plaît. Lave-les dans le sang de Jésus, immerge-les dans le sang de Jésus, et permets qu’ils puissent en ressortir étant tout neufs, tous les deux. Permets qu’ils sortent du sang de Jésus étant purifiés, nettoyés, rajeunis, rafraîchis. Seigneur s’il te plaît, enlève la malédiction, accorde la bénédiction. Enlève le malheur, accorde la grâce, accorde ta faveur dans leur vie, s’il te plaît Seigneur.
Agis Seigneur, merci pour ton pardon, merci pour ta restauration, merci pour ton salut, alléluia ! Comment se fait-il que l’homme a déjà sa main gauche sur les reins. Que la femme pose sa main droite sur son sein (les entrailles, le ventre), et que le monsieur garde sa main gauche sur les reins… Seigneur, merci pour ta main de grâce qui repose sur eux maintenant. Recevez la bénédiction de Dieu, recevez le fruit des entrailles, recevez le fruit des reins, que cela se multiplie, sans chagrin. Au nom de Jésus ! Merci, ô Dieu, pour ton ciel que tu ouvres sur eux, et merci, pour ces fraîches rosées qui descendent et qui les envahissent. La rosée du ciel descend et vous envahit ! Le ciel s’ouvre sur vous maintenant, au nom de Jésus ! Oh Dieu ! Merci pour ta grâce (souffle du Saint-Esprit). Merci Seigneur, merci Jésus, alléluia ! Merci Seigneur. Levez-vous. Vous êtes graciés, vous êtes pardonnés, vous êtes bénis. Assemblée, rendons grâce à Dieu avec eux… Monsieur et madame NGWESE, allez à présent à vos places.
– L’Avertissement : Allons à la tente une. Je cherche un père de famille, il est dans une salle, il se reconnaît. Cameraman, entre par la porte, pour que je vois la salle, la personne se reconnaît, qu’elle sorte (frère Anaël). Le père-ci, tu connais les arrangements que tu as avec votre Type (Jésus-Christ), non ?
– Frère Anaël : Oui, je connais.
– L’Avertissement : Tu sais très bien que lui, son nom c’est le Fidèle, n’est-ce pas ?
– Frère Anaël : Oui.
– L’Avertissement : Cela veut dire qu’entre toi et lui, s’il y a arrangement, il y a mariage, n’est-ce pas ?
– Frère Anaël : Je pense que cela a toujours été le cas.
– L’Avertissement : Je viens te faire comprendre qu’il y a eu infidélité. Alors, de vous deux, qui a trahi l’autre ? Est-ce lui ?
– Frère Anaël : C’est moi. Je peux savoir ?
– L’Avertissement : Tu veux que je te dise ? Peut-être que je suis marabout, comme tu veux que c’est moi qui te dise à quel niveau tu es infidèle. Tu connais là où tu l’as trahi, et tu sais très bien que tu devrais normalement arranger cela. Fais très attention, ton cas est très sérieux, c’est pour cela que je me suis fait accompagné des ‘‘Conséquences’’. Et tu sais quel jour nous sommes, non seulement nous sommes son jour de culte, mais aussi le dernier jour d’un mois. Cela veut dire que : soit tu enterres le mois-là avec cette infidélité, soit tu sautes et tu continues avec l’infidélité et ses conséquences négatives. C’est bon ?
– Frère Anaël : Bon, je pense que le Seigneur va m’aider.
– L’Avertissement : La cinquième personne. Ho ! Ta mère est où (questionnant sœur Carole) ? Où est la mère de l’enfant-ci ? Si quelqu’une reconnaît l’enfant qui a les chapeaux et les lunettes comme étant sa mère, qu’elle sorte ici… Oui, la mère-ci, je suis l’Avertissement, tu étais là quand je parlais à celui (frère Anaël) qui était juste avant toi. As-tu suivi mon introduction ? Qu’est-ce que j’ai dit à ton frère Anaël ? J’ai dit qu’entre ton frère et votre Type (Jésus-Christ)… Vu que votre Type (Jésus-Christ) s’appelle le Fidèle, quand tu t’engages et que tu signes un mariage avec votre Type (Jésus-Christ), tu décides en même temps d’épouser son nom. J’ai dit que son nom c’était quoi ?
– Maman Virginie : Le Fidèle.
– L’Avertissement : Cela veut dire que tu lui dois la fidélité, mais à ce que je sache, est-ce tu lui dois la fidélité ?
– Maman Virginie : Je ne sais pas.
– L’Avertissement : Voilà une femme mariée, qui ne sait pas si elle doit de la fidélité à son mari. Rien que cette incertitude prouve que tu es fidèle. Je suis venu t’avertir, je m’appelle l’Avertissement.
– Maman Virginie : Je comprends, mais je ne sais pas à quel niveau tu m’avertis.
– Pasteur Caleb : Il t’avertit sur le fait tu es infidèle dans les engagements que tu as pris envers ton Dieu. C’est cela, il ne faut pas qu’on perde le temps.
– Maman Virginie : Je ne comprends pas, je veux qu’il m’oriente.
– Pasteur Caleb : Tape ta tête ! Ta tête s’est-elle à présent ouverte (pour comprendre) ?
– Maman Virginie : Oui, je suis là.
– Pasteur Caleb : Tu étais où ?
– Maman Virginie : Me voici, je suis là.
– Pasteur Caleb : Es-tu là depuis ce matin ? C’est comme si tu avais voyagé et tu es revenue. Comment ne comprends-tu pas tes interpellations.
– Maman Virginie : Peut-être que je ne prie plus comme il faut.
– Pasteur Caleb : Bon, quelque chose dans ce genre. Il faut revoir tes engagements vis-à-vis de Dieu.
– L’Avertissement : C’est cela, elle a pris des engagements, mais ne les respecte.
– Maman Virginie : Je sais que je ne participe pas à l’enseignement du mardi, et l’intercession, je la fais à 5H30, quand je suis à la maison. Le jeudi, je viens aussi tard au culte, parce que je quitte tard du travail. Le poste que j’ai actuellement ne permet pas que je quitte toujours du travail à 15h30, car je suis dans l’administration. C’est quand le directeur (de l’hôpital) part, que je pars aussi (…).
– Pasteur Caleb : Les avantages d’un tel travail suivent-ils chez toi là-bas ?
– Maman Virginie : Oui pasteur.
– Pasteur Caleb : Il y a une infidélité quelque part dans tes engagements, rectifie le tir, c’est à cela que tu es appelée.
Finalement, le révérend a stoppé les esprits mis en cause, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !