DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : ENFANT DE DIEU, LE ‘‘MOI’’ ET LA PRÉCIPITATION PLONGENT TA VIE ET TA CHRÉTIENTÉ DANS LA RUINE

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (JEUDI 04 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

À la suite du message prêché ce jeudi par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de NOMBRES 24 : 15 – 20, le Seigneur a saisi un contingent d’esprits impurs, et les a encellulés dans le corps d’un jeune homme. Prenant la parole et répondant aux questions posées par le révérend, l’esprit de ruine a déclaré ce qui suit : « Je dis, hein ? Partez un peu dans le passage que tu as lu aujourd’hui, cela nous a intéressés. Nombres 24, c’est intéressant. Nous sommes un contingent, et c’est moi qui ferme la porte/ Mais les gens qui sont avec moi ne sont pas encore là. Je veux ruiner celui qui veut être ruiné, c’est celui-là que je ruine, le comprends-tu ? »

– Lecture Nombres 24 : 15-20 par le révérend : « Balaam prononça son oracle, et dit : Parole de Balaam, fils de Beor, Parole de l’homme qui a l’œil ouvert, 16Parole de celui qui entend les paroles de Dieu, De celui qui connaît les desseins du Très-Haut, De celui qui voit la vision du Tout-Puissant, De celui qui se prosterne et dont les yeux s’ouvrent. 17Je le vois, mais non maintenant, Je le contemple, mais non de près. Un astre sort de Jacob, Un sceptre s’élève d’Israël. Il perce les flancs de Moab, Et il abat tous les enfants de Seth. 18Il se rend maître d’Edom, Il se rend maître de Séir, ses ennemis. Israël manifeste sa force. 19Celui qui sort de Jacob règne en souverain, Il fait périr ceux qui s’échappent des villes. 20Balaam vit Amalek. Il prononça son oracle, et dit: Amalek est la première des nations, Mais un jour il sera détruit. »

– L’esprit de ruine : Amalek est quoi ?
– Pasteur Caleb : La première des nations.
– L’esprit de ruine : Mais un jour ?
– Pasteur Caleb : Il sera détruit.
– L’esprit de ruine : Voilà ! Tu vois que je suis venu en premier lieu, les autres viendront après moi, ils ne sont pas encore là. Nous sommes d’abord venus à deux, le ‘‘Moi’’ et la ‘‘Ruine’’, le comprends-tu ? Il y a une partie dans ce passage, à partir du verset 17…
– Pasteur Caleb : « 17Je le vois, mais non maintenant, Je le contemple, mais non de près. Un astre sort de Jacob, Un sceptre s’élève d’Israël. Il perce les flancs de Moab, Et il abat tous les enfants de Seth ».
– L’esprit de ruine : Qu’est-ce qui se lève ?
– Pasteur Caleb : Un astre sort de Jacob.
– L’esprit de ruine : On dit bien que c’est un astre qui se lève
– Pasteur Caleb : Il est dit qu’un sceptre se lève d’Israël, et un astre sort de Jacob.
– L’esprit de ruine : Voilà ! C’est le sceptre qui s’élève d’Israël
– Pasteur Caleb : Ughm hughm ! Le sceptre se lève d’Israël, et l’astre sort de Jacob)
– L’esprit de ruine : Voilà ! Ce que je veux dire…
– Pasteur Caleb : C’est la même chose, parce qu’Israël et Jacob, c’est la même personne.

– L’esprit de ruine : Et Israël s’était confié à qui ?
– Pasteur Caleb : À Dieu.
– L’esprit de ruine : Et qui est sorti de lui ?
– Pasteur Caleb : Un astre.
– L’esprit de ruine : Et l’astre là c’était qui ?
– Pasteur Caleb : C’est Jésus.
– Le ‘‘Moi’’ : Voilà ! Tu vois donc que moi, le ‘‘Moi’’… Malgré tout ce qui s’était passé, Jacob s’est toujours attendu à qui ?
– Pasteur Caleb : À Dieu
– Le ‘‘Moi’’ : Il a toujours mis qui en premier lieu ?
– Pasteur Caleb : Dieu était toujours devant.
– Le ‘‘Moi’’ : Il (Jacob) n’a jamais fait état de sa propre personne.
– Pasteur Caleb : Jamais !
– Le ‘‘Moi’’ : C’est la raison pour laquelle moi je suis là, parce que la majorité de ceux qui prétendent être chrétiens, ont toujours pris la place de celui qui doit être là. Jacob a toujours su qu’il doit être effacé, qu’il doit être à la maison mais étant effacé, parce qu’il voulait écouter (le conseil de Dieu donné à travers ses parents Isaac et Rebecca), parce qu’il avait vu et avait compris que sans votre Dieu, il ne peut rien, et il ne peut…

– Pasteur Caleb : Jacob avait toujours su que sans Dieu, il ne peut rien, et il n’est rien.
– Le ‘‘Moi’’ : Raison pour laquelle moi, je suis toujours là, moi le ‘‘Moi’’, dans la vie de celui qui prétend prendre Celui-là (Jésus-Christ) et le mettre au centre de toute chose, au commencement de toute chose. Je suis dans sa vie, car, une fois qu’une situation se présente, il oublie qu’il avait mis Celui-là (Jésus-Christ) au centre ou comme fondement de sa vie. Comme il a oublié, il se met à me lamenter. Si quelqu’un a même besoin de quelque chose et qu’il présente son besoin à Celui-là (Jésus-Christ), et Celui-là (Jésus-Christ) lui confirme que la chose est là, il va cependant oublier ce qu’il s’est dit avec Celui-là (Jésus-Christ). En fait, il va partir plus vite en besogne. La personne qui est supposée parler de ce que je suis en train de dire, du fait d’aller vite en besogne, n’est pas encore là. Il est patient, il n’est pas pressé, il prend tout le temps dont il a besoin pour s’accomplir dans une vie.

Or, votre Type (Jésus-Christ) fait les choses comme il veut, comme il pense, et non comme les hommes veulent. Pourtant, celui qui est animé par le moi, vois-tu, ne fait aucun cas de votre Dieu. Il s’attend toujours à lui-même, il se lève et il décide des choses comme il veut, et comme il pense. Il va plus vite que votre Type (Jésus-Christ), ou alors, quand il constate que votre Type (Jésus-Christ) est déjà en train d’aller avec lui, il prend les devants et il arrive avant votre Type (Jésus-Christ). C’est la raison pour laquelle celui ou celle qui est avec moi, et qui ferme la porte, à savoir l’esprit de ruine, agit dans la vie du concerné. Voilà comment est fait l’arrivée de tous ceux qui ont décidé de partir plus vite que le temps que votre Dieu a fixé dans leurs vies. En allant plus vite, ils vont croiser mon collègue de derrière, la ‘‘Ruine’’.

C’est moi, le ‘‘Moi’’, qui décide dans la vie de celui-là qui ne s’attend pas au temps fixé par votre Type (Jésus-Christ). C’est le moi qui prévaut dans sa vie. Donc, je suis comme un soubassement, comme une fondation qui se lève et qui finit par aboutir à la ruine. Vois-tu un peu ? Qu’est-ce qu’un vivant (le chrétien) peut envier ou vouloir d’un cadavre (le païen, le mondain)
– Pasteur Caleb : C’est la grande question.
– Le ‘‘Moi’’ : Vu que tous ceux qui n’ont pas votre Type (Jésus-Christ) sont morts, bien qu’ils sont debout. Mais toi (le chrétien) qui a l’Astre qui brille, l’Astre qui éclaire, l’Astre qui illumine (Jésus-Christ), tu te mets à contempler un motte de terre (le païen, le mondain), tu te mets à convoiter, à envier un mort.
– Pasteur Caleb : Cela n’a pas de sens. Cela n’a pas de sens, franchement ! Dis donc, le ‘‘Moi’’, vous êtes combien d’esprits en tout ?
– Le ‘‘Moi’’ : Nous sommes beaucoup, environ sept. On ne connaît pas où sont les cinq autres, car chacun vient à tour de rôle.

Au terme de l’interrogatoire et des réponses y relatives, le révérend a mis les esprits de moi et de ruine en cage.

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