SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)
Dans la continuité de son action de brisement des cages, des bouteilles, des animaux et autres entités maléfiques embrigadant les esprits des fidèles, le Seigneur a également saisi, en dehors des esprits familiers et autres, les démons personnifiant les gardiens des traditions, au nombre desquels figurait l’esprit personnifiant la religion, la religion décrite à juste titre comme « la gardienne des gardiennes ». Des interpellations ont suivi, et il en est ressorti des éclaircissements édifiants
Par exemple, certains couples ne peuvent pas faire des enfants, engendrer ou procréer, parce que l’un parent, sorcier et méchant, s’est interposé, par ses multiplications maléfiques, entre les conjoints. C’était le cas de frère AMENE Jean Bienvenue et de son épouse EDINGA Christelle Ninive. Il a été précisé que la mère de frère AMENE était sa femme spirituelle, et que de ce fait, lorsque sa femme est en période d’ovulation, il souffre de dysfonctionnement érectile. Il est également ressorti que le fils de frère AMENE, âgé de 21 ans et issu de son mariage avec première épouse et désormais défunte, est un casse-tête qui s’impose dans la maison, au point qu’il prend la place de parent, et que les parents prennent la place d’enfants. Les démons personnifiant les gardiens des traditions ont donné ce conseil à frère AMENE : « Quand tu vas commencer à être vrai, tu vas constater qu’elle (parlant de sa maman, sa femme spirituelle) a plié bagage, qu’elle est partie, et que ta maison a changé ».
– Les esprits familiers et autres : C’est elle (la mère d’AMENE) qui lui donne les directives, car quand il a quelque chose, au lieu de se confier à sa soi-disant côte, elle se confie plutôt à sa mère (…).
– Les esprits familiers des forêts du Mbam : NGOA, sais-tu que celui-ci (papa Prospère WAGNACK) est perdu dans la forêt ? Tape sur sa tête.
– Les Gardiens des traditions : Il est à la fois dans la forêt et dans l’eau. Il y a au moins une quinzaine de sirènes debout, devant sa cage. Et c’est pour garder son esprit en lieu sûr, pour qu’il n’en sorte pas. Nous sommes dans sa maison, on se met à l’aise dans sa maison. C’est seulement une partie de son esprit qui vient de sortir de la cage ; le reste est encore dedans, dans la cage. Sortir de la cage est une question de cœur (une question d’ouverture du cœur à Jésus). Il y a quelqu’un qui a fui, où est-il ? Tu fais quoi dehors, là où tu es (s’adressant à papa WAGNACK) ? (…). Comment allons-nous faire aujourd’hui ? (…). L’exorciste est mort, et c’est son esprit qui est dans ta maison (s’adressant toujours à papa WAGNACK). Il dort sur ton lit, il est entré dans ta côte (l’épouse). La cote ne vient plus à l’église, parce qu’elle suit les désirs de la chair… Il doit demeurer esclave (parlant toujours de papa WAGNACK)… S’il décide de s’en aller, on va le maintenir dan l’esclavage, jusqu’à ce qu’il descende en enfer. Empêcher au simple d’être connecté à son Créateur et de jouir et la vraie vie, c’est là notre objectif
– Les esprits familiers et autres : NGOA, vois-tu, quand les esprits des humains sont dans les cages, c’est parce que nous n’arrivons pas à travailler avec. Pour que les esprits en question ne fassent non plus le travail de votre Type (Jésus-Christ), on les met dans les cages, et les humains restent avec des coques qui se baladent et font des dégâts là-bas dehors. Alors on utilise cette coque comme on veut, les démons, les animaux entrent dans ces coques et font ce qu’ils veulent.
– Les Gardiens des traditions : Le père-ci (papa WAGNACK) doit prendre sa place, parce que c’est lui qui est madame dans la maison, exactement comme ABOYA dont on parlait…
La belle famille est assise dans la maison de la mère-ci (maman TCHUENTE Élise), et elle-même est dans la forêt de l’Ouest. Madame, quand tu as fait le deuil de ton mari, quel est le premier animal que vous avez égorgez le jour-là ? Rappelle-toi bien, au village. Tu connais la nourriture des gens de l’Ouest, n’est-ce pas ? Tu connais ce qu’ils aiment manger, je parle de la viande qu’on met souvent dans le kondrè. De quelle viande s’agit-il ? NGOA, son esprit est dans la chèvre, as-tu compris ? Comprends-tu ce qu’on est en train de dire ?
– Les esprits familiers et autres : Elle n’est jamais revenue (parlant de maman Élise), depuis qu’elle est allée enterrer son mari. Elle a accompagné son mari – dans la tombe -.
– Les Gardiens des traditions : Ne sais-tu pas qu’il y des femmes dont les hommes (les maris) sont morts, elles n’ont jamais allées accompagner la motte de terre dans la tombe ? Il a suffi que tu prennes la route de l’enterrement en tant que veuve, pour qu’on récupère ton esprit. Le comprends-tu ? C’est là qu’on a pris ton esprit. Où est ton fils aîné ? On a besoin de lui (…)
– Pasteur Caleb : On parle d’André.
– Les Gardiens des traditions : Tu es tellement naïve, quand on parle de ton fils aîné, sache qu’on parle de celui qui élu dans les choses de votre Type (Jésus-Christ). On ne parle pas des choses de la chair. Voici ton aîné. Tout ton esprit n’est pas encore là/
– Pasteur Caleb : Voici Jacob, Ésaü sert à quoi ? Il est occupé par les choses profanes, dans les choses de cette vie.
– Les Gardiens des traditions : Tu sais ce que Jacob avait fait, n’est-ce pas (s’adressant au frère André) ? C’est ce que tu es en train de faire. Quand Jacob avait vu son frère, avec quoi était-il venu ? Et qu’est-ce que son frère a dit ? Il est venu avec des troupeaux, et son frère Ésaü lui dit qu’il est dans l’abondance. Transforme-toi donc, mire-toi donc dans cet exemple.
– Pasteur Caleb : Comprends que tu n’es pas Dieu (s’adressant à maman Élise), et que tu n’es pas dans le secret de ses programmations. Tu es dans le regret, à cause de l’autre fils. Tu n’es pas Dieu, laisse Dieu faire comme il a programmé, et toi, dis seulement « Ainsi soit-il ». Le comprends-tu ?
– Maman TCHUENTE Élise : Oui papa.
– Pasteur Caleb : Je sais que tu ne fais pas confiance à Dieu. Je suis en train de vous enseigner de ne pas regarder ce qui frappe aux yeux.
– Maman TCHUENTE Élise : Je n’ai pas tellement le cœur en l’aîné, je l’ai laissé entre les mains du Seigneur.
– Pasteur Caleb : Si tu l’as laissé entre les mains du Seigneur, ce n’est pas parce que tu fais confiance au Seigneur, c’est par le découragement que tu l’as fait. Et comme on te révèle maintenant qu’il n’est pas le choix de Dieu, cela t’abat davantage. C’est pour cela que je veux te remonter, as-tu compris ?
– Maman TCHUENTE Élise : J’ai compris papa.
– Les Gardiens des traditions : NGOA, d’où sortait le père de la fille à qui tu es en train d’imposer les mains (parlant de sœur Viviane MOUKOUDI) ? Appelle-moi ta mère. Madame, le père de l’enfant-ci sortait d’où ? Il venait de quel village ?
– Maman Eugénie : De Nkongsamba.
– Les Gardiens des traditions : L’esprit de l’enfant-ci (Viviane) se trouve au moins dans quatre endroits différents. Nous, les gardiens, on s’est rassuré de mettre la plus grande partie de son esprit dans les eaux, dans le Wouri. C’est là qu’on a mis la première partie, on a mis la deuxième partie là où sa mère vient de prononcer le nom, dans les forêts de Nkongsamba. La troisième partie qu’on a prise à Nkongsamba, on a porté et on a amené à l’Ouest Cameroun tu. Madame, connais-tu l’Ouest Cameroun ? On a amené une partie de son esprit là-bas. Et maintenant, en rentrant de l’Ouest, on s’est rassuré de jeter le reste de son esprit, qui était dans un tout petit flacon. On l’a jeté en traversant la Sanaga. Donc, Wouri, Sanaga, Ouest, Nkongsamba, voilà les différents endroits où l’esprit de l’enfant-là se trouve. Elle gonfle (prend du poids) parce que son corps est rempli d’eau. L’enfant-ci avait son esprit, mais on s’est rassuré de tout vider, de remplir la coque d’eau. Voilà notre travail, elle-même le sait.
– Pasteur Caleb : Le physique trompe, elle croit qu’elle est d’embonpoint.
– Les Gardiens des traditions : Ce que tes enfants doivent comprendre, c’est que la solution doit être désirée par la personne même, pendant qu’elle est en train de céder son cœur à votre Type (Jésus-Christ), comme vous l’avez chanté il y a un moment. Ainsi, on n’a pas besoin d’aller dans les profondeurs des eaux, puisque votre Type lui-même a vu le vouloir de la personne et il délègue aussitôt les « oiseaux » (les anges), qui vont prendre la personne (la libérer de la cage, de la captivité)…NGOA vois-tu la mère-ci (maman AYANGMA, mère de sœur Reine ATSENA) ? Tout son esprit est logé dans le fleuve qui est traversé quand on va chez eux, la Sanaga. Tout son esprit y est. Quant-à celui-ci (frère MELI, le menuisier), son esprit est à l’Ouest, c’est dans une forêt, départagé en deux. Tu sais que même si le prunier est à Ngog-Mapubi, l’écureuil va voyager pour aller prendre la prune. C’est comme cela qu’est son esprit ; son esprit se balade dans deux écureuils différents. L’esprit de celui qui est au Sénégal (frère Bertrand TCHANCHE) se balade à l’Ouest Cameroun.
Après tout ce qui vient d’être dit, le révérend a à nouveau invité les fidèles à prier, afin briser toutes les cages, toutes les bouteilles et les entités les maintenant dans la captivité. Merci Seigneur Jésus ! Merci pour ta délivrance !