DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – SŒUR EUGÉNIE KAMANA SÉPARÉE DE L’AMERTUME, DES MURMURES, DE LA COLÈRE

CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 11 SEPTEMBRE 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (21ème partie)

Saisis par le Seigneur et écroués dans le corps de cette dernière, les esprits d’amertume, de murmures et de colère ont expliqué de quelle manière ils ont récemment fait la tentative d’affecter sœur Eugénie. Voici ce qu’ils ont déclaré, en répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA :

« Nous sommes l’Amertume, les Murmures, la Colère. Vois-tu la ‘‘chose’’ qui est derrière-là, la femme que nous possédons ? Ce qui s’est passé chez sa patronne, c’était nous : la Colère, les Murmures, mais c’est la colère qui a saccagé là-bas. Nous qui parlons maintenant, nous sommes les Murmures. Regarde ce qui s’est passé. Elle est partie arracher les dents. La nuit, elle a d’abord écrit à sa patronne que sa santé ne donne pas, car tout le corps lui faisait mal, accompagné des maux de tête. Quand elle est partie lundi, elle disait qu’elle ne va pas murmurer, que ce sera zéro murmure. Comme je te l’ai dit, les gens-là (les esprits familiers) cherchent toujours à ce qu’elle dans les cages… Elle a donc envoyé le message à sa patronne qu’elle ne se sent pas bien, et elle est partie à l’hôpital. Quand elle y a fini, le téléphone a sonné de la part de sa patronne, pour lui dire : ‘‘On ne se retrouve pas dans tes choses. Quand elle est arrivée, ce n’était plus au niveau où on lui disait de chercher les choses, car on lui a demandé de cuisiner le riz sauté. Elle a accepté, en se disant qu’avant que l’anesthésie ne finisse son effet, elle aurait fini de préparer le riz. Puis, on lui a envoyé un autre message de monter dès qu’elle aura fini de cuisiner.

« Quand elle est montée, sa patronne lui a fait savoir qu’elle doit apprêter les choses, car elle va recevoir son groupe de prière. Alors est descendue, elle a fouillé le congélateur… Il a suffi que la nounou vienne dire : ‘‘N’as-tu pas déjà fini de faire le riz ? Les autres choses que tu apprêtes-là c’est pourquoi ?’’…. Entre temps, l’anesthésie était déjà finie, et elle se tordait de douleur. La nounou a ajouté : ‘‘ C’est seulement parce qu’il y quelqu’un pour travailler, qu’on fait tout cela ?’’. Donc la nounou a mis l’huile sur le feu, comme elle voyait comment elle se tordait, se douleur (du fait de la dent nouvellement arrachée). C’est alors que nous sommes montés en surface. Quand elle a déposé la nourriture et qu’elle a dit bye, quand elle a tourné le dos, quand elle est quittée là-bas, la manière dont on l’a balancée au sol, nous-mêmes on était fiers ! La patronne voulait l’arrêter, mais il n’y avait pas moyen. Quand elle s’est relevée et dès que la patronne a posé sa main sur elle en l’appelant par son prénom Eugénie, elle a dit à sa patronne : ‘‘Ne me touchez pas !’’. En fait, c’est nous qui étions déjà en surface, et la ngah (la fille) a saccagé. La colère est bien-hein ! », ont rapporté les esprits de murmures.

Prenant la parole à son tour avec violence et énergie, l’esprit de colère, répondant aux questions posées par le révérend, a déclaré ce qui suit : « Tu veux quoi ? Je peux quelque chose ! Je peux ! Je peux ! Veux-tu savoir d’où je sors ? C’est moi, la Colère. Je vaux quelque chose. ‘‘Tu me peux’’ ? Dis-tu que je suis un petit démon ? ‘‘Tu me peux’’ ? Tu peux faire quoi ? Pendant que j’étais en surface, sa petite païenne de patronne tremblait comme une feuille. Mais ce qu’on voulait faire, on n’a pas réussi. Tout notre objectif était de ramener en cage ‘‘l’histoire’’ (Eugénie) que tu as sortie des cages. Nous sommes donc sortis, mais on n’a rien fait. Quand elle s’est relevée, si elle faisait encore les murmures qu’elle prenait auparavant pour des prières, elle allait repartir en cage. Mais notre plan a échoué, notre plan n’a même pas donné comme on voulait. La colère et les murmures n’ont pas fait le travail qu’on voulait faire. On s’attendait à ce qu’elle murmure, quand elle s’est relevée. On voulait qu’elle dise : ‘‘ Une maman comme moi, regarde comme je viens m’humilier’’, mais elle n’a rien sorti comme tel de sa bouche. Au contraire, elle est allée jusqu’à soulever ses mains et à dire : ‘‘ Merci Jésus’’. Cela nous a énervés ! Ha ! C’est aussi ce travail que les esprits familiers voulaient faire là-bas, dans ta maison (le Tabernacle de la Liberté), chez pleins de tes fidèles, chez qui tu les as chassés. Ils voulaient pousser les fidèles à murmurer, afin de les ramener dans les cages.

« Mais, as-tu vu ta maison ? Malgré qu’il ait plu aujourd’hui, est-ce que tes ouvriers ont souffert pour réveiller les gens ? Les autres fidèles, qui ne viennent pas souvent au culte quand la pluie s’annonce et à peine que le vent souffle, sont là aujourd’hui… On a traité la fille en qui nous parlons, au point que sa patronne appelait partout, en France, au Canada, etc., disant qu’elle a les démons au corps. Même si c’est la fourmi qui passait, la patronne lui disait : ‘‘Ma ménagère est possédée, elle doit aller se faire traiter, elle doit être délivrée’’. Certaines personnes lui disaient : ‘‘ Non ! Ne la garde pas, car si elle est à nouveau possédée, elle va te poignarder, on va seulement venir te trouver morte’’. Tout cela se disait devant elle, la concernée. Mais elle ne faisait que dire dans son cœur : ‘‘Merci Jésus’’, au lieu d’avoir honte du fait que tout le monde sait désormais qu’elle a les démons. Sa patronne se prend pour une personne qui prie et le feu sort, soi-disant. Alors elle se demandait : ‘‘Pourquoi le démon refusait-il de sortir, quand je lui disais de sortir du corps ?’’. Or, il a fallu qu’une voix d’homme dise seulement ‘‘Au nom de votre… (au nom de Jésus). La personne n’a même pas prié, a seulement dit ce nom (le nom de Jésus), et le démon est parti. Sa patronne ajoutait : ‘‘Donc ce sont les choses des églises, j’ai vécu cela en direct. Ma ménagère, il fallait voir… Il fallait vraiment voir’’.

« Quand sa patronne racontait cette affaire, elle ajoutait les cubes et tous les condiments. En vivant donc la scène, elle n’a pas vu (réalisé) les églises, ou que l’église dont elle parle est différente de sa religion, elle a plutôt vu que c’est à cause de sa prière et de sa lumière que le démon n’a pas pu lui faire quelque chose. Voici comment l’histoire est finie ; sa patronne lui a dit : ‘‘Je suis désolée, je sais que je vais en souffrir, mais je vais chercher une autre femme de ménage’’. Sa patronne lui a également demandé : ‘‘ Cela a-t-il a commencé ce lundi, ou bien as-tu souvent l’habitude d’avoir ce genre de choses ?’’. Elle a simplement répondu à sa patronne que tout ce que Dieu fait est bon (…). C’est ainsi qu’elle a porté ses pieds, et elle est rentrée à la maison. Donc le travail est fini à cause des démons. Ils ont dit que si ce n’était pas elle, la patronne, la dame de feu, si c’était quelqu’un d’autre, qu’est ce qui devait se passer ? Les gens ont demandé à la patronne si elle a mangé la nourriture que « le démon » lui a servi, elle a dit oui, et les autres ont ajouté qu’elle a le courage… Bref, on n’a pas travaillé, car on nous a anéantis ».

Finalement, le révérend a stoppé les démons mis en cause, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

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