CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 21 SEPTEMBRE 2025, SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA VIE CHRÉTIENNE NORMALE (21ème partie)
Interceptés par le Seigneur et embrigadés dans le corps d’un jeune homme, les esprits familiers ont déclaré ce qui suit, alors qu’ils répondaient aux différentes questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA :
« Tu vois ? Les gens aiment souvent entendre ! Les gens aiment souvent entendre ! Nous sommes fatigués ! Là où on est là, je dis que, comme on est venu aujourd’hui, on est venu dire à NGOA : ‘‘ Laisse partir les enfants des gens !’’. Tu ne peux pas accoucher ton enfant, attendant manger la dot, et les malédictions se succèdent, et les malédictions sont là assises ici ! Les filles ne sont pas mariés, les garçons ne sont pas mariés ; ils font donc quoi ici ? Hein collègue ? NGOA, laisse les enfants des gens partir oh ! Parce qu’ils doivent s’occuper de nous, ils doivent nous nourrir. Quand on est malade, ils doivent nous amener à l’hôpital. On veut les petits-fils ; c’est quoi ? On va donner le transfert à qui ? Regarde les conneries qui sont debout ici ! Vous croyez que qui va vous épouser à quarante ans ? Hein ? Bientôt, vous n’allez même plus plaire à quelqu’un ! Même le grand-père qui a les plantations au village ne va pas vous épouser, parce qu’il aime le sang frais. Rentrez à la maison ! NGOA ! Laisse nos enfants rentrer, tu as trop dérangé ! Vois la malchance ! Les gens sont devenus l’ombre d’eux-mêmes. Et il y a une au couloir, qui dit qu’elle n’est pas faite pour le mariage… Ils doivent nous suivre, car quand on les a accouchés, on n’a pas demandé leur permission, pour savoir s’ils veulent naître. Prenez vos sacs, on part ! Prenez vos sacs, on part ! Vraiment, on a besoin du sang à sacrifier, donc prenez… Ce n’est pas ce qu’on voulait dire, on voulait dire ceci : ‘‘Venez, on rentre à la maison’’. Wèh ! Comment se fait-il que nous ayons parlé plus vite que la parole ? Regarde, voici l’autre ! Elle est assise devant la porte, bientôt elle aura quarante ans, sans mari. L’héritage que tu vas nous laisser c’est lequel ? Bientôt tu ne pourras plus accoucher, alors qu’on a accouché ton père, et il vous a accouchés.
« Éh ! Voici l’autre malchance ! Toi qui es assis sur la chaise ! Il a fui le mariage, il refuse le mariage ! Te voilà assis, les os et les articulations font mal. Qui te masse alors ? Pourtant, la mère-là pouvait faire le feu et les feuilles au village, pour te masser les genoux. Tu fais quoi là ? Veux-tu qu’on se lève d’abord, pour que tu nous répondes ? Tu vivais dans le château, c’était tout un prestige ! Tu as abandonné tout un château au village, pour venir dormir dans une chambre. Tu as même le matelas là où tu dors ? Wèh ! C’est quelle malchance ? Pourquoi a-t-on maudit ces gens ainsi ? Est-ce lui (allusion au révérend) qui vous a lavé le cerveau ? Vous a-t-il lavé le cerveau ? Pardon, voici les élections qui viennent, les conteneurs ‘‘d’huile de palme’’ (de sang) sont vides. NGOA, laisse nos enfants, pour qu’on rentre avec eux à la maison. Notre objectif est de les faire dévier pour les sacrifier ».
À la question qui leur a été posée par le révérend, les fidèles ont répondu qu’ils ne veulent aucunement rentrer avec les esprits familiers. Au nom puissant de Jésus, le révérend a stoppé l’offensive aventureuse de ces démons, en les décapitant et en les chassant en enfer. Ne répondons point à leurs multiples appels ! Ne nous laissons point affecter par leurs intrigues !