[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU JEUDI 27 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (7e partie)
RÉFÉRENCE BIBLIQUE : LUC 14 : 12-14, 7-11 ;
Alléluia !
Restez debout et prenez vos Bibles pour lire la portion des écritures qui nous présente les conseils de Dieu aujourd’hui !
Nous sommes dans les préalables avant l’entrée en Canaan. Le préalable que nous étudions ces derniers temps porte sur la préparation individuelle ou la préparation de l’église. Ce préalable porte sur L’AMOUR. L’AMOUR que doivent avoir les chrétiens qui forment l’église est la plus grande préparation. Nous devons le pratiquer afin que les âmes soient sauvées.
Prenons la lecture dans l’évangile de Luc au chapitre 14, du verset 12 au verset 14 ! Il s’agit des enseignements de Jésus, des enseignements pratiques sur L’AMOUR. Car, L’AMOUR doit être pratique et non théorique.
Nous lisons au nom de Jésus-Christ :
« Il dit aussi à celui qui l’avait invité : Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, n’invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu’ils ne t’invitent à leur tour et qu’on ne te rende la pareille. Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles. Et tu seras heureux de ce qu’ils ne peuvent pas te rendre la pareille ; car elle te sera rendue à la résurrection des justes. »
Le Seigneur est en train de donner une leçon pratique sur l’amour. C’est ce dont nous parlons. Il nous démontre que l’amour n’est pas la théorie, il est plutôt la pratique. Nous devons être à l’exemple de Dieu lui-même ; comme des enfants bien-aimés, nous devons être ses imitateurs. Il convient ici de vous rappeler les paroles des Éphésiens 4, verset 32 et 5, versets 1 et 2 où il est écrit : « Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ… Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés ; et marchez dans la charité, à l’exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur. »
Si vous pouviez retenir ces paroles et les mettre en pratique, sans vous contenter de les réciter de mémoire, ce serait une excellente chose. Voilà ce que le chrétien est appelé à être. Mais dans la réalité ce n’est pas le cas. Je ne suis pas surpris lorsque des esprits comme ceux qui se sont manifestés dimanche passé interpellent toute l’église. Il s’est agi des esprits dénommés : « l’instinct de survie », « la zone de confort » et tous les autres qui leur étaient associés. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi les gens se déconnectent difficilement de la religion et d’eux-mêmes, pour se connecter à Dieu. Les gens n’arrivent pas à se connecter et à s’abandonner à Dieu, pour ne compter que sur Dieu seul. Cela est difficile ; c’est difficile ! Or, c’est le point de départ de la chrétienté. C’est par là que la chrétienté commence.
Depuis que j’enseigne sur l’amour fraternel et d’interpeller les uns et les autres, je suis surpris, choqué et déçu par les termes contenus dans les lettres que je reçois, des gens qui sont dans cette église depuis longtemps et qui prétendent être des enfants de cette maison. Par les termes de leurs lettres, je conclue que ceux-là n’ont jamais fait partie de cette maison. Comme j’ai insisté que les uns et les autres enfants du Tabernacle de la Liberté doivent poser leurs problèmes à leur père que je suis, plusieurs ont écrit pour exposer leurs problèmes, pour me dire ce par quoi ils passent. J’ai en effet dit à tous dernièrement qu’il est inadmissible d’être enfants d’une maison et connaître des problèmes ou des difficultés sans que leur père que je suis sois au courant. Il est inadmissible qu’ils préfèrent traiter leurs problèmes avec l’aide des autres frères et sœurs, au lieu de mettre leur père au courant pour la recherche de solutions.
Et même, pour ceux qui ont été touchés par mon interpellation, lorsqu’ils écrivent, leur langage est très décevant, très décevant. Seigneur ! Seigneur ! J’arrive à la conclusion que ces gens ne comprennent pas ce qu’ils font. Je pourrais même dire qu’ils n’ont rien à faire avec Dieu. Ils vivent encore comme dans la religion. Cela se dégage de leurs écrits. Je saisis d’ailleurs l’opportunité ici pour rappeler que les lettres adressées au pasteur doivent être précises et concises, comme cela est recommandé dans les annonces. Il ne sert à rien d’écrire de longues lettre alors qu’il s’agit simplement d’exposer les problèmes ou les difficultés que vous rencontrées. Jésus-Christ a dit en cela qu’il ne faut pas multiplier les vaines paroles lorsque nous prions, comme le font les païens qui pensent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Vous devez aller droit au but, parce que votre Père sait de quoi vous avez besoin. Je ne suis certes pas Dieu, mais Dieu que je sers sais de quoi vous avez besoin.
Je crois avoir compris pourquoi certaines personnes n’arrivent pas à voir leurs prières exaucées et leur vie changée. C’est parce qu’ils « bavardent, bavardent, bavardent », sans rien dire de bon à Dieu. Je dois à ce sujet vous rappeler qu’au fur et à mesure que vous bavardez, vous péchez parce que vous dites des choses dénuées de sens. Au fur et à mesure que vous allongez votre écrit ou votre bavardage, vous péchéz certainement. Je l’ai compris ; et j’ai aussi bien mesuré la portée du conseil de Jésus lorsqu’il dit de ne pas multiplier les paroles. Rendez-vous compte que certains m’adressent des lettres de sept pages ! Non seulement ils ne tiennent pas compte que d’autres écrivent aussi, mais en plus, ils ne disent rien de bon dans ces sept pages.
Pour vous le dire sincèrement, lorsque je vois déjà une longue lettre par l’épaisseur des feuilles, une telle lettre sera la dernière que je lirai. Parfois, je la lis par séquence et prends plusieurs jours pour la finir. Je dois dire en cela que vous dérangez. Vous dérangez. Vous devez être capables d’aller droit au but lorsque vous écrivez pour dire l’essentiel. Parfois, je réalise au terme de la lecture de plusieurs pages, que l’objet de la lettre était un problème à exprimer en quelques mots seulement. Malheureusement des gens écrivent des pages et des pages pour raconter des histoires ou pour se plaindre. Ceux-là sont étonnés que la situation qu’ils connaissent ou qu’ils vivent ne changent pas. Comment votre situation peut-elle changer alors qu’il n’y a que du bavardage et des plaintes inutiles dans votre ventre ? Et c’est ce bavardage-là et ces plaintes que vous débitez à Dieu lorsque vous prétendez prier !
Le plus décevant est que parfois, ces longues lettres qui nécessitent parfois plusieurs jours de lecture, contiennent des urgences qui méritaient d’être adressées sans délai. La longueur de la lettre fait ombrage à l’urgence qui y est contenue, et finalement, une telle urgence reçoit réponse avec du retard. Je ne considère pas une lettre de plusieurs pages comme une urgence. Une telle lettre est lue en dernière position et parfois après plusieurs jours. Comprenez bien cela. Comprenez qu’en écrivant de longues lettres pour dire des choses futiles contenues dans votre ventre, si votre lettre contenait une urgence, celle-ci est noyée dans les futilités que vous tenez à coucher sur le papier. Vous vous compliquez donc vous-mêmes la vie ! Vous n’avez pas besoin de déverser tout ce qui est contenu dans votre cœur sur le papier. Dieu n’a pas besoin de cela, il vous connaît. Dieu vous connaît ; il sait ce que vous êtes et ce dont vous avez besoin ; il sait tout ce qui vous concerne. Il sait tout.
Il a donc fallu que j’insiste pour que plusieurs essayent de sortir de leur coquille ! Je constate et conclue que ceux-là sont encore remplis de leur MOI. En lisant ces lettres, on découvre simplement que plusieurs sont remplis du MOI. C’est le MOI qui les gère ! Nous n’en avons pas besoin. On n’a pas besoin du MOI dans la vie de foi. Le Seigneur Jésus nous demande d’être simples, simples, et de prendre son royaume simplement. C’est vous-mêmes qui vous compliquez la situation.
Le texte que nous venons de lire est une partie de l’histoire de Jésus-Christ qui avait été invité à une fête. Les trois versets que nous venons de lire comportent le conseil que ce dernier donne à celui qui l’avait invité. Il avait constaté que les convives arrivaient et occupaient les premiers sièges. Il a donc fait remarquer cela et en même temps il a formulé le conseil que : il vaut mieux occuper les dernières places lorsque vous êtes invités à une cérémonies, quitte à votre hôte de vous déplacer pour vous donner une première. Ce que Jésus avait remarqué est bien ce que pratiquent ceux qui se passent pour des enfants de Dieu aujourd’hui. Comme ils ont été enseignés qu’ils ne sont pas les derniers mais les premiers ; qu’ils ne sont pas la queue mais la tête, par les faux prophètes, ils aiment occuper les premières places dans les cérémonies. Ils veulent prendre les premières places en tout, et prendre les devants en tout.
Lorsque vous découvrez quelqu’un qui est dans le besoin et qui ne parle pas, cela est bien une façon de prendre les devants ; cela n’est nullement une façon d’être humble. Être dans le besoin et ne pas parler pour solliciter de l’aide ne relève pas de l’humilité. Cela relève plutôt de l’orgueil. Ce genre de personne, lorsqu’elles sont interpellées, elles ne diront rien de concret, mais resteront vagues dans leurs déclarations et justifications par orgueil. C’est l’orgueil que ceux-là manifestent. Et cela n’est pas bien, dans la mesure où le Seigneur nous enseigne l’humilité. Lorsque vous êtes dans le besoin, ne fermez pas votre bouche, adressez-vous à qui de droit, au lieu de vous laisser mourir ; ou au lieu d’attendre d’être coincés ou forcés. Lorsqu’une telle personne s’exprime, elle est trahie par l’orgueil qui se manifeste dans son propos.
Certains de ceux qui m’ont écrit ont été interpellés par les esprits, et les autres me suivent en direct en ce moment où je parle. Comprenez tous que vous êtes encore remplis du MOI. Les esprits qui se sont manifestés dimanche passé, à savoir, « l’instinct de survie », « la zone de confort », « l’intérêt personnel » et les autres qui en sont liés, sont des esprits qui entourent et habillent le MOI. Ces esprits qui vous ont interpellés sont ceux qui habillent le MOI. Voyez-vous cela ?
Je voudrais que nous fassions une lecture commentée du conseil de Jésus à ce sujet. Il conviendrait de commencer la lecture depuis le verset 7 de Luc 14. Lisons donc du verset 7 au verset 11. Voici ce qui y est écrit :
« Il adressa ensuite une parabole aux conviés, en voyant qu’ils choisissaient les premières places ; et il leur dit : Lorsque tu seras invité par quelqu’un à des noces, ne te mets pas à la première place, de peur qu’il n’y ait parmi les invités une personne plus considérable que toi, et que celui qui vous a invités l’un et l’autre ne vienne te dire : Cède la place à cette personne-là. Tu aurais alors la honte d’aller occuper la dernière place. Mais, lorsque tu seras invité, va te mettre à la dernière place, afin que, quand celui qui t’a invité viendra, il te dise : Mon ami, monte plus haut. Alors cela te fera honneur devant tous ceux qui seront à table avec toi. Car quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé. »
Le verset 11 du texte que nous venons de lire nous interpelle particulièrement. Ce verset dit que « Car quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé. » Si vous êtes les enfants de cette maison qu’est le Tabernacle de la Liberté, vous n’avez pas besoin de hausser les épaules. Vous n’avez pas besoin de vous considérer grands ou de vous élever. J’ai des enfants naturels et j’ai des enfants spirituels que vous êtes. Les vrais enfants n’ont pas de protocole lorsqu’ils doivent soumettre leurs problèmes à leurs parents en cas de besoin. Je vous ai souvent pris l’exemple des tout-petits qui aiment venir à moi, sachant bien que ce n’est pas moi qui suis compétent pour leur donner à manger. Ils viennent à moi pour me dire : « papa j’ai faim ». C’est moi qui les renvoie chez leur maman, ou leur dis d’aller eux-mêmes à la cuisine chercher à manger. Je les envoie à la cuisine parce que chez-nous, à la maison, le self-service est autorisé.
Je dois d’ailleurs faire remarquer à ce sujet qu’il est bon dans une maison, d’instaurer l’esprit de self-services où les gens peuvent se servir à manger en pensant aux autres, parce que cela permet d’éviter le développement de l’esprit de vol. À contrario, si vous instaurez le système où la nourriture est cachée et personne ne doit y toucher en attendant le partage, vous cultiverez l’esprit de vol de nourriture dans votre maison. Dans ma maison par exemple, je ne sais pas s’il s’agit d’une grâce particulière, mes enfants ne sont pas friands de nourriture. Je suis celui qui les force à manger. Lorsque je passe et trouve que quelqu’un n’a pas fini son plat, je force pour qu’il puisse le finir. Et bien plus, j’ai établi le règlement que, si le plat de nourriture de quelqu’un se décompose, celui-là va obligatoirement le consommer, quitte à lui donner les médicaments à boire après ; le principe étant qu’ils ne doivent pas gâter la nourriture.
Un enfant normal doit pouvoir naturellement exprimer ses besoins à ses parents. Il est dès lors incompréhensible qu’un enfant puissent mourir de faim et même tomber malade à cause de cela, sans s’adresser à ses parents. Il serait à conclure qu’il ne s’agit pas d’un « vrai enfant ». Cela n’est pas normal. Nous comprenons que tous ceux qui viennent ici ne sont pas les enfants de cette maison. Et nous admettons qu’un étranger ne peut pas s’adapter facilement dans un milieu qui n’est pas le sien ; un milieu qu’il ne connaît pas, un milieu à l’image du Tabernacle de la Liberté. Cela n’est pas évident.
Vous autres qui voulez devenir enfants de Dieu et qui demeurez esclaves de votre passé, vous vous trompez. Vous voulez demeurer esclaves de votre milieu familial, de votre vie antérieure ou des milieux que vous avez fréquentés dans le passé, alors que vous avez besoin d’abandonner tout ce passé et toute votre nature, pour adopter la manière de vivre et de faire d’ici. Ma prière est que Dieu vous transforme et que vous acceptiez la transformation, au lieu de vouloir grader la hauteur ou vos talons. Lorsque vous souffrirez de cette façon, qui sera à blâmer ? C’est vous qui serez à blâmer, parce que vous n’avez pas encore intégré le milieu. Vous n’êtes pas encore devenus les enfants normaux de la maison. Vous devez vous humilier.
En gardant la hauteur du passé, vous serez en train de vous élever vous-mêmes. Or, Jésus dit que : « Quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé. » C’est à cela que Jésus nous appelle, à l’abaissement, à l’humilité et l’effacement. Il y a lieu de vous relire les paroles de Luc au chapitre 9, verset 23, qui marquent le début de la chrétienté. Beaucoup semblent ne pas vouloir le comprendre. Voici ce que Jésus dit dans ce verset : « Puis il dit à tous : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. ». Ce que Jésus dit ici signifie que, pour le suivre, la première condition est de renoncer à soi-même. Vous devez renoncer à votre MOI ou à votre orgueil. Quand vous dites que vous allez à Jésus, vous devez renoncer à vous-mêmes. Quel que soit ce que vous avez été dans le passé, quel que soit votre position, quel que soit la manière dont vous avez été éduqués ou élevés, quel que soit le milieu dans lequel vous avez été élevés, tout cela doit tomber dans les oubliettes. Tout cela importe peu.
Quand vous devenez chrétien, vous devez suivre les règles qui vous sont données ; qu’il s’agisse de nouvelles règles ou qu’il s’agisse des règles difficiles d’application et d’adaptation. Vous devez vous humilier et vous devez vous effacer. Humiliez-vous et effacez-vous ! Ne vous laissez pas souffrir pour rien ; et vous risquerez ne pas arriver à la vraie chrétienté pour rien, alors que vous aurez passé plusieurs années dans l’église, pour la simple raison que vous demeurez calés sur vos anciennes méthodes de votre famille, votre maison, votre quartier, votre lieu de service ou autres. C’est déplacé de vouloir demeurer attaché aux anciennes méthodes de fonctionnement alors qu’on entame la foi chrétienne. Nous tous, chacun en ce qui le concerne, a un lourd passé social et familial. Nous avons tous une histoire, et ne devons pas la traîner dans le christianisme et vouloir au demeurant continuer de fonctionner selon celle-ci. Non !
C’est ce dont la Bible parle lorsqu’elle dit dans 2 Corinthiens 5 : 17 que : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. ». Mes amis, je dois vous redire que, même si vous avez été élevés dans une famille riche ou pauvre, une famille honorable ou non, celle-ci n’est pas une référence. Vous ne devez donc plus, étant devenus chrétiens, vous référer à votre famille naturelle. Si vous le faites, vous n’avez jamais été chrétiens. Vous n’avez jamais été chrétiens ! C’est la pure vérité que je vous dis. Contrairement à ce que les gens pensent, à savoir que la chose biblique, la chose chrétienne, est celle des juifs et des hébreux, la plupart des hébreux ne sont pas des croyants. À l’heure actuelle les hébreux ne croient pas en Jésus. Ils ne sont pas des croyants ; ils sont plutôt de gros mystiques pour la plupart. Cette thèse-là est donc fausse. Ceux qui sont informés ou éveillés le savent et d’ailleurs la Bible le dit. Cette thèse est une fausse thèse.
La Bible dit clairement dans le livre des Romains qu’une partie d’Israël a été plongée dans l’endurcissement pour que nous autres païens, nous puissions nous convertir. La Bible n’est donc pas pour un peuple particulier sur la terre. Le peuple à qui on attribue la Bible ne l’applique pas. Elle n’est non plus pour les blancs. Loin de là ! Dieu a écrit la Bible pour ceux qu’ils appellent ses enfants, formant son peuple. C’est l’occasion pour moi de vous exhorter à lire le livre des Romains pour bien comprendre ce que je vous enseigne à ce sujet précis. Vous y comprendrez que les théories que les uns et les autres développent dehors pour dire que la Bible est le livre des blancs ou des hébreux sont fausses.
Les instructions qui sont contenues dans la Bible dépassent toutes les instructions que vous pouvez rencontrer dans toutes les familles et toutes les religions sur cette terre. C’est bien pour cette raison que vous devez rejeter tout votre arrière-plan familial, social ou autres quel qu’il fût, lorsque vous embrassez la vie chrétienne. Vous ne devez plus vous en référer du tout. Vous devez rejeter tout votre passé. Tout doit être nouveau pour vous ; ou mieux, vous devez vivre dans une nouveauté de vie. Si vous n’avez pas encore connu une telle expérience, vous n’êtes pas encore chrétiens. Plusieurs parmi vous sont encore sur leurs talons, sur leur hauteur ; ils ont encore tout leur orgueil à cause de leur façon de vivre antérieure. Ils sont pourtant dans la maison de Dieu, mais ils ne s’accommodent pas aux instructions, prétendant qu’ils ne sont pas habitués à ces nouvelles manières de vivre qui ont tellement d’interdits.
Irez-vous loin, vous qui avez ce genre de comportement ? J’ai bien peur que vous n’alliez pas loin, vous qui vous comportez de la sorte. Comprenez que la chrétienté vous déshabille, vous dénude de vos anciens habits et vous revêt de nouveaux vêtements. C’est là la vraie chrétienté. Ne faites jamais référence à votre passé dans votre vie chrétienne ; ne faites jamais référence à votre ancienne vie dans la chrétienté que je vous enseigne et qui est contenue dans la Bible. Je vous dis de ne point vous en référer même s’il y avait de bonnes choses dedans ; car, ce n’est pas la moralité qui sauve. Ce qui sauve, c’est le Sang de Jésus versé sur la croix. C’est ce sang qui nous lave de nos péchés ; et ce sont ses blessures qui nous guérissent de nos maladies.
Jésus dit que celui qui s’élèvera sera abaissé, et celui qui s’abaissera sera élevé. Et il poursuit en déclarant ce qui est écrit dans les versets 23 et 24 de Luc au chapitre 9 où il est écrit : « Puis il dit à tous : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la sauvera. ». Jusqu’à quand ne comprendrez-vous pas que c’est ici le début de la chrétienté ?
La chrétienté commence par le renoncement au MOI. C’est par là qu’elle commence. Si certains parmi vous n’avez pas encore démarré votre foi ou alors si certains ont démarré et ont mis un arrêt à leur foi, c’est parce que vous n’avez jamais renoncé à vous-mêmes. Vous êtes remplis du MOI. Et lorsqu’il en est ainsi, vous ne comprendrez rien des enseignements bibliques qui suivent ce point de départ qui est LE RENONCEMENT À SOI. Pour en effet comprendre et assimiler les enseignements, vous devez avoir commencé à obéir. Et c’est au fur et mesure que vous obéissez, que vous comprendrez davantage le conseil de Dieu. Mais si vous résistez, rejetez et refusez les instructions, les conseils et les injonctions qui vous sont données, vous ne pourrez pas avancer. La nature de Dieu ne pourra pas s’implanter en vous. Et vous demeurerez alors de piètres religieux.
Vous ne pourrez pas connaître L’AMOUR relevant de la nature de Dieu. Vous ne le connaîtrez pas. Et ainsi, vous ne comprendrez pas tout ce qui peut être enseigné autour de L’AMOUR. Vous ferez une espèce de plagia de L’AMOUR qui n’aura pas de sens parce que ce ne sera pas fait avec le cœur. C’est pourquoi il existe une « zone de confort » et du « superflu « chez ce genre de chrétiens. Vous savez bien que, lorsque nous faisons quelque chose sans y mettre le cœur, cela revêt un caractère superficiel. Cela ne nous touche pas, ça nous effleure seulement. C’est donc du « superflu » pour nous. C’est comme cela que plusieurs mènent leur vie de foi, leur vie chrétienne soi-disant. Ceux-là ne sont pas capables de manifester la nature de Dieu et comprendre la profondeur de ce que Jésus-Christ a enseigné.
Je vous enseigne en comptant sur l’Esprit de Dieu, d’autant que ceux qui étaient enseignés par Jésus, n’étaient pas nés de nouveau. Les enseignements et les conseils de Jésus s’adressent à ceux qui veulent naître de nouveau. C’est à eux que Jésus s’adresse. S’ils se laissent toucher par l’enseignement et y obéissent, c’est alors que l’Esprit de Dieu vient à leur secours ou à leur rescousse pour les transformer. Et si vous vous abaissez vous-mêmes comme Jésus le demande au verset 11 de Luc au chapitre 14, vous ne vous ferez plus humilier devant les gens. En vous abaissant vous-mêmes, vous ne serez pas choqués lorsqu’on vous donnera des instructions que vous ignorez ou qui ne cadrent pas avec votre façon de vivre. Vous ne résisterez pas non plus aux directives qui vous sont nouvelles, au motif que vous ne les connaissez pas. Vous suivrez seulement lesdites instructions parce que vous êtes déjà brisés et connaissez déjà l’humilité. Je peux donc dire que c’est vous-mêmes qui devez travailler votre brisement ou votre humilité ; de telle sorte que, lorsqu’on vous donnera des instructions humiliantes qu’elles ne vous soient pas difficiles parce que vous aurez décidé d’être une « serpillère ».
Lorsqu’en effet vous vous considérez vous-mêmes comme une « serpillère », vous vous laisserez utilisés par n’importe qui pour s’essuyer les pieds sans murmurer, sans vous plaindre. Vous aurez compris que c’est votre nature.
C’est après l’enseignement de Jésus sur l’humilité, qu’il s’était adressé à celui qui l’avait invité, comme cela est écrit dans la portion de texte que nous avons lue formant les versets 12 à 14 de Luc au chapitre 14. Jésus lui avait enseigné la pratique de L’AMOUR. Il lui avait enseigné la manière de donner dans un véritable esprit d’amour qui est différente de la manière de donner dans un esprit de cotisation. C’est pour cette raison qu’il lui recommandait de ne souvent inviter que les pauvres lorsqu’ils organise ses banquets, au lieu d’inviter les riches qui ont aussi la possibilité de l’inviter tôt ou tard, aussitôt qu’une circonstance se présenterait. Si vous comprenez ce que Jésus enseigne ici, il vaut la peine pour vous d’éviter de répondre aux invitations des païens. C’est afin de vous mettre à l’abri des problèmes de conscience lorsque vous ne les inviterez pas à votre tour.
Cela s’applique tout aussi bien dans le cas des assistances. Lorsque les gens vous assistent en cas d’évènement heureux ou malheureux, vous êtes tentés de les assister en retour lorsque ceux-ci ont aussi de tels évènements. Autrement, vous avez un problème de conscience de ne leur avoir pas rendu la pareille. Car au niveau des païens comme je l’ai déjà dit, c’est « la cotisation ». Et c’est d’ailleurs ce qui justifie la création des réunions dites de solidarité, d’entraide ou autres dans les quartiers, les villages, les familles et même des services. C’est dans ce même esprit d’entraide et d’assistance mutuelle. Le chrétien n’a pas besoin de faire partie de ce genre de réunions. J’ai déjà enseigné là-dessus. Seuls les nouveaux peuvent se sentir étrangers dans ce que je dis.
À votre attention donc si vous êtes nouveaux, je dis que vous devez quitter toutes les réunions de cette nature : les réunions familiales, les réunions de quartier, de village, de service ou autres. Vous devez quitter tout ce qui se fait dans un esprit de cotisation. Vous devez quitter cela. Cet esprit qui y règne n’est pas un bon esprit : l’esprit du donnant-donnant. La chrétienté n’enseigne pas cela. C’est pourquoi Jésus nous enseigne ici que, pour montrer que vous avez de l’amour pour les autres, faites-le bien sans espérer d’être remboursés. C’est pourquoi il recommande de donner à ceux qui sont incapables de vous rembourser, c’est-à-dire aux pauvres. Je sais que comme pour les institutions financières, les banques ou autres, vous n’êtes pas prêts à donner à ceux qui ne peuvent pas vous rembourser. Vous consentez à ne donner davantage qu’à ceux qui peuvent vous venir en retour en aide lorsque vous seriez en difficultés. Lorsque vous aider de cette manière, ce n’est pas de l’amour que vous manifestez. Vous le faites parce que vous savez que ceux-là vous viendront aussi en aide lorsque vous seriez dans le besoin. Vous n’agissez pas ainsi dans un esprit d’amour ; vous agissez par motif d’intérêt, par spéculation.
Vous agissez de la sorte dans un esprit de calculs ; alors que Jésus nous demande de donner sans espérer quoi que ce soit en retour, bien que celui-ci annonce une récompense à « la résurrection des justes » au verset 14. Je crois que je reviendrai sur cet enseignement au cours du séminaire qui aura lieu pour le compte du mois de février 2022. Il sera pour nous une occasion de creuser davantage sur ce sujet de L’AMOUR et du DONNER. Lorsque je parle de L’AMOUR et DU DONNER, il faut comprendre que L’AMOUR se définit par LE DONNER qui est le sacrifice. Celui qui dit qu’il aime et qui ne peut pas donner ou se sacrifier, est un bavard stérile. Il n’aime pas, c’est pourquoi il ne donne pas. Quand on n’aime pas on ne peut pas se sacrifier pour celui qu’on prétend aimer. AIMER, C’EST SE SACRIFIER ; C’EST DONNER SANS ATTENDRE QUELQUE CHOSE EN RETOUR. Il me vient à l’esprit le cas de ces parents qui prétendent aimer leurs enfants et qui investissent sur eux en les envoyant à l’école. Ces enfants sont en fait pour eux comme un fonds de commerce dont ils attendent des retombées ou des remboursements. On peut comprendre que ces derniers n’ont jamais élevé et dépensé de l’argent sur leurs enfants par amour. Ils l’ont fait par intérêt personnel.
Vous devez vous laisser habiter par l’Esprit de Dieu. L’Esprit de Dieu doit vous habiter. C’est lui qui permettrait que vous puissiez faire du bien au gens sans chercher votre intérêt personnel. C’est lui qui permettrait d’aider les gens pour rien, pour rien. Les amis, je voudrais vous dire une chose. Pour vous qui êtes au Tabernacle de la Liberté et qui avez des activités, si vous constatez que vos activités ne prospèrent pas, c’est parce que vous n’avez pas de l’amour dans votre cœur. Vous n’y avez pas de l’amour. Je vous dis la pure vérité. Cette maison qu’est le Tabernacle de la Liberté, c’est la véritable maison de Dieu. Et les instructions qui vous y sont données sont pour la réussite de votre vie, afin que vous puissiez vous sauver et sauver les autres. Si vous n’appliquez pas ces instructions qui vous sont données, vous ne verrez pas du bien, vous ne verrez pas du bien. C’est la pure vérité que je vous dis.
J’insiste à vous enseigner d’abandonner l’amour de l’argent. Jésus enseigne d’abandonner Mammon. C’est Jésus qui le dit ce n’est pas moi. Lorsque je suis les enseignements de Jésus, à voir comment vous vous comportez, je me dis que vous ne connaissez rien, parce que vous ne lisez pas la Bible ; ou que vous ne comprenez rien si vous la lisez. Je sais que vous ne lisez pas votre Bible. Mais, comme je vous ai prescrit la lecture biblique quotidienne à compter de cette année 2022, j’ai bon espoir que vous la lirez chaque jour. Je vous dis de lire votre Bible chaque jour ; lisez-là chaque jour. Jésus enseigne clairement que vous devez vous occuper des autres. Les gens à qui il enseignait n’étaient pas des convertis. Il leur disait donc que lorsque vous croirez en moi, occupez-vous des autres. Il demande aux chrétiens de s’occuper des autres.
Lorsque Jésus enseignait, parfois en s’adressant aux douze, ce n’était pas seulement à eux qu’il s’adressait en fait pour dire d’abandonner la pêche ou son travail de perception (le cas de Matthieu), ou tout autre travail. Il s’adressait à tous ceux qui viendraient à sa suite, pour leur dire d’avoir un esprit libéré, ouvert et dégagé d’une part ; et d’être prêts à distribuer leurs revenus et leurs avoirs aux autres. Il dispensait un enseignement de dépouillement total. Il n’avait jamais enseigné d’amasser les avoirs. Or, vous autres aujourd’hui, vous avez vos activités pour amasser les revenus et les avoirs. Vous voulez amasser et accumuler. C’est pour cette raison que vos activités ne marchent pas. Il vous manque l’esprit d’amour consistant à rendre service et à aider gratuitement. Il n’est pas bon d’avoir un tel esprit qui ne recherche que l’accumulation. Le résultat d’un tel esprit est que vous n’arrivez pas à gagner ce que vous voulez gagner. Vous ne le gagnez pas !
Puisque j’évoque ce sujet, je me verrai obligé d’interpeller directement la sœur MBARGA Danielle qui est couturière. Elle m’a écrit pour se plaindre que, les gens (les frères et sœurs) lui imposent 3 000 francs CFA pour des modèles de robes qu’ils devraient payer à 5 000 francs CFA. Écoutez-vous bien son langage ? Par ce qu’elle déclare, nous comprenons qu’elle rend ainsi service à contre cœur, en murmurant. Comment peut-elle être bénie ayant un tel état de cœur ? Ma sœur, comment peux-tu espérer être bénie avec un tel esprit ? Tu démontres que tu fais le travail qu’on te donne avec un mauvais cœur, comme forcée de le faire. Ne peux-tu pas le faire pour rien ?
Elle n’a pas l’esprit à l’aide ou au secours de ceux qui sont démunis ou qui sont dans le besoin. Voyez-vous cela ? Il s’agit ici d’une question d’esprit. Le Seigneur nous demande d’avoir l’Esprit d’entraide qui est aussi l’esprit d’amour. Si vous n’avez pas cet esprit que je définis, étant ici au Tabernacle de la Liberté, vous ne prospérerez pas dans vos activités. Vous n’allez pas prospérer, malgré que vous bagarrez n’importe comment de toutes vos forces. Vous ne prospérerez pas, pour la simple raison que vous vous battez pour vous remplir les poches ; c’est pour vous-mêmes que vous le faites et non pour aider les autres. Vous voulez vous construire des quartiers entiers pour vous-mêmes et non pour aider les autres. C’est bien pour cette raison que ça ne marchera pas pour vous. Ça ne peut pas marcher pour vous.
L’amour dont il est question ici, ce n’est point des paroles en l’air, c’est la pratique. Il faut avoir un esprit de sacrifice. Je voudrais que nous lisions dans Luc 12, avant de conclure pour aujourd’hui. Il est question d’écouter ce que Jésus-Christ a enseigné à tous. Lisons à partir du verset 29 :
« Et vous, ne cherchez pas ce que vous mangerez et ce que vous boirez, et ne soyez pas inquiets. Car toutes ces choses, ce sont les païens du monde qui les recherchent. Votre Père sait que vous en avez besoin. Cherchez plutôt le royaume de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne crains point, petit troupeau ; car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume.
Vendez ce que vous possédez, et donnez-le en aumônes. Faites-vous des bourses qui ne s’usent point, un trésor inépuisable dans les cieux, où le voleur n’approche point, et où la teigne ne détruit point. »
Dans le verset 29 ci-dessus, Jésus veut dire que, dans tout travail que nous faisons, nous ne devons pas être concentrés sur nous-mêmes. Cette activité ne doit pas être le centre de notre vie parce que c’est elle qui doit nous nourrir, nous permettre de construire notre maison ou d’acheter notre voiture ou notre moto. Elle ne doit pas être le centre de toute notre attention parce que c’est elle qui doit améliorer notre condition de vie. C’est ce que Jésus-Christ veut nous faire comprendre ici. Et au verset 30, il nous révèle que ce sont les païens du monde qui se comportent de la sorte. Ce qui veut dire que plusieurs parmi vous, vous vous comportez comme les païens. Vous vous comportez exactement comme les païens du monde !
Pour les païens du monde, son activité est pour lui, pour son bien-être, son présent, son futur et le futur de ses enfants. Son activité n’est pas pour quelqu’un d’autre. Ce ne doit pas être le cas pour vous autres qui vous dites chrétiens. Pour les chrétiens que vous êtes, la seule chose qui doit vous préoccuper, c’est le royaume de Dieu, tel qu’il le dit au verset 31. Vous devez être préoccupés pour entrer dans ce royaume et vous devez aussi être préoccupés pour y envoyer les gens.
Et Jésus enfonce le clou au verset suivant, soit au verset 33 où il vous recommande de vendre ce que vous possédez pour le donner en aumône. Cette déclaration de Jésus nous renvoie à ce qu’avaient fait les membres de l’église primitive qui avaient vendu ce qu’ils possédaient pour en mettre le fruit à la disposition de tous. Je comprends qu’ils avaient appliqué l’enseignement de Jésus. Et c’est bien pour cette raison que le Saint-Esprit avait approuvé leur action. C’est aussi pourquoi l’Esprit de Dieu avait été très fâché contre les bandits comme Ananias et Saphira.
Les croyants de l’église primitives avaient mis l’enseignement de Jésus en pratique ! Vous autres êtes concentrés sur vous-mêmes et vous dites que vous aimez ? Non, vous blaguez. L’amour de Dieu est pratique et est porté vers l’autre ; il est porté à aider autrui ou le prochain. C’est cet amour qui doit être dans notre cœur et c’est lui que nous devons mettre en pratique.
Nous parlerons davantage de ce sujet lors du prochain séminaire, et nous en parlerons déjà encore dimanche prochain. Car, vous devez être transformés et être à l’image de Dieu. Ceux qui sont sur leurs talons et qui sont choqués parce qu’ils sont interpellés, doivent simplement couper leurs talons s’ils veulent aller au ciel. Si vous voulez aller au ciel, descendez de vos talons !
Car, la parole de Dieu ne pourra jamais vous caresser dans le sens du poil. Elle est une épée à double tranchant qui pénètre jusqu’à la moelle. Son rôle est de vous pénétrer, non pour faire du mal, mais simplement pour extirper ce qui est mauvais en vous, afin de vous rendre semblables à Dieu. Vous devez être à l’image de Dieu.
Levez-vous pour prier Dieu !
Amen ![:]