[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 10 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (2e partie)
Suite au message prêché par son serviteur le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, l’Éternel Dieu a exposé l’esprit impur symbolisant l’attitude d’inquiétude que les chrétiens développent face au lendemain.
Il a donc été noté qu’à cause des inquiétudes, de la peur ou des soucis du lendemain, plusieurs sont prisonniers des cages, de la tourmente ou des troubles. Voilà pourquoi ils n’arrivent pas à s’épanouir dans la chrétienté. Nous avons compris que les soucis du lendemain empêchent de se donner totalement à Dieu, de l’aimer, de se sacrifier pour les autres. Si la pauvre veuve de Marc 12 s’était souciée et inquiétée du lendemain, elle n’allait pas offrir à Dieu le nécessaire dont elle avait besoin pour vivre. Si cette pauvre veuve réfléchissait en se disant : « Que mangerais-je demain ? », elle n’allait pas sacrifier son argent. Contrairement à cette pauvre veuve, plusieurs s’inquiètent de leurs propres lendemains ou du lendemain de leur progéniture. Voilà ce pourquoi ils se battent corps et âme.
L’esprit vecteur des menottes, des cages et des tourments engendrés par les soucis du lendemain a souligné qu’il a réussi à piéger Pierre et les disciples après la mort de Jésus. Voilà pourquoi ils retournèrent à l’activité de pêche, au lieu d’attendre la promesse du Consolateur, du Saint-Esprit, et d’entamer le travail évangélique qui leur avait été confié. Pour s’être fait piégés par la cage des soucis, Pierre et les disciples sont rentrés en arrière, reprenant les carrières et les programmations qu’ils avaient abandonnées auparavant.
Pour aider chacun à se séparer de la cage, des menottes, de la tourmente ou des troubles générés par les soucis du lendemain, il nous a été rappelé que le chrétien doit vivre, sachant que ses lendemains se trouvent au ciel, non sur la terre. De ce fait, nos gestes, nos intentions, nos motivations et nos actes doivent être posés en vue du ciel. Quand c’est vraiment le cas, les choses et les privilèges terrestres ne nous diront plus rien, en sorte qu’on se sacrifiera gaiement pour Dieu. Quand le chrétien comprend que ses lendemains sont au ciel, rien ne peut plus le freiner dans sa dévotion, son zèle et son engagement. Quand le croyant comprend cette vérité, il vit chaque jour comme si c’était le dernier, afin de servir Dieu et de secourir les pauvres, travaillant au salut de ceux-ci. Quiconque vit de cette manière ne peut subir l’influence des soucis du lendemain, et il fait avancer le royaume de Dieu.
En somme, nous retenons que pour se débarrasser de la tourmente, de la cage, des menottes et de la tourmente liés aux soucis du lendemain, il faut simplement vivre en gardant la mentalité du pauvre, c’est-à-dire en comptant sur Dieu seconde après seconde.
Amen.[:]