[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 20 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (5e partie)
Dans l’optique de la libération entreprise et actuellement conduite en faveur de l’Afrique, l’Éternel Dieu a saisi un esprit impur dénommé « L’Opinion publique », symbole des bavardages, des théories, des conceptions, des discours, des bruits inutiles et incapables d’aider à la libération et au salut de l’Afrique, libération dont l’Éternel Dieu fait déjà pourtant voir des signes majeurs. Parmi ces signes, on peut citer la lutte louable menée contre la domination française, par le gouvernement de transition du Mali d’Assimi GOÏTA. On peut également citer le refus massif de la vaccination par les africains, et la mise en échec conséquente de l’agenda caché du coronavirus, agenda dont les enjeux se résumaient en la tentative de reconquête de l’Afrique par les Occidentaux, et la soumission des africains à la puissance de la Bête incarnée par le Nouvel Ordre Mondial.
L’esprit de l’Opinion publique a d’ailleurs expliqué que le récent Sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union Européenne et de l’Union Africaine avait pour but de faire le bilan, afin de tenter la relance de l’agenda annexé au mensonge du coronavirus, et à la vaccination y relative. Il a malheureusement été souligné que les dirigeants africains ayant pris part à ce Sommet sont tous des poltrons, des marionnettes incapables d’œuvrer pour la libération de l’Afrique, et sa délivrance du néocolonialisme. La preuve en est qu’au préjudice de leurs peuples, ils ont à nouveau accepté de poursuivre l’implémentation de la pseudo vaccination contre le coronavirus, au lieu de la dénoncer vivement et de s’en dissocier catégoriquement.
L’esprit de l’Opinion publique a aussi indiqué qu’en dehors des contrats de servitude signés d’avec les pères fondateurs africains, si les Occidentaux ont longuement pu dominer les Africains, c’est parce qu’ils ont réussi à les déconnecter de Dieu, en les endormant et en les embrigadant par la religion, les divisions, la traîtrise, les théories démocratiques, etc. Les religieux catholiques ont caché la Bible, l’ont mystifiée, et n’ont pas inculqué aux africains l’habitude à la lire. Pire, à l’exemple de la Bible TOB ou de la Bible de Jérusalem, ils ont produit des versions de Bible contenant des livres apocryphes et anti-bibliques. Profitant de la fragilité déjà installée dans les esprits par la religion, les occidentaux en ont de surcroît profité pour tromper les africains avec leurs systèmes et leur démocratie. Sous couvert de la lutte pour la démocratie, les occidentaux imposent par exemple des dirigeants qui sont leurs pions et leurs valets en Afrique. C’est le schéma qu’ils tentent de reproduire contre le gouvernement de transition du Mali incarné par Assimi GOÏTA, Choguel MAÏGA, etc.
Pour sa libération tant spirituelle qu’économique et politique, pour le succès des mouvements d’émancipation comme celui en cours au Mali, il est donc nécessaire et primordial que les africains se déconnectent du système de la religion essentiellement incarné, véhiculé ou porté par le catholicisme et l’islam. Il faut également qu’ils se déconnectent des fausses églises, et retournent à leur vraie source qui est Dieu, par la foi, la connaissance de la parle, la communion, l’obéissance et l’intimité authentiques avec Jésus-Christ. Dieu, en effet, est la Fondation, le Repère, la Force, l’Appui.
Les Africains veulent se libérer du néocolonialisme, ils veulent s’en dégager, mais ils ne peuvent pas le faire d’eux-mêmes, avec du bavardage, avec le charisme et le leadership naturel. Au préalable, ils doivent retourner au Dieu Créateur, Père de notre Seigneur Jésus-Christ, car contrairement à l’opinion publique communément répandue, il faut savoir que la politique n’est pas un domaine laïc, étranger à Dieu. Dieu, par exemple, aux temps anciens, a régné sur le peuple d’Israël, en lui prescrivant ses commandements et les principes de la royauté, par le biais de ses prophètes. Ainsi, quand il est arrivé que les enfants d’Israël réclament au prophète Samuel un roi qui marcherait devant eux comme dans les autres nations, Dieu a répondu ceci à Samuel : « Ce n’est pas toi que ce peuple rejette, mais c’est moi, car ils ne veulent plus que je domine sur eux ».
Naturellement, les africains ont toujours su que c’est Dieu qui devait les diriger. Malheureusement, à un moment donné, ils sont allés se mettre sous la botte de l’Occident. Il faut qu’ils quittent cette botte, et se laissent à nouveau diriger par Dieu et par sa parole, son évangile.
Cela dit, il ne faut pas faire la politique politicienne, avec les théories, les doctrines et la mouvance des hommes, mais en s’inspirant et en prenant appui sur les recommandations de Dieu. De même, au risque de combattre contre la lumière, contre les desseins du Très-Haut, au risque de travailler et de faire la propagande d’un agent, d’une équipe ou d’un système diabolique, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a souligné qu’il est sage de s’abstenir de soutenir de quelconques candidats, lorsqu’on n’a pas une claire directive venant de Dieu.
Puisque la politique implique nécessairement un combat entre Dieu et satan, puisque la politique est nécessairement une affaire de guerre spirituelle entre Dieu et satan, par l’entremise de leurs représentants respectifs, l’esprit de l’Opinion publique a ainsi relevé que de leur côté, les sectaires, les sorciers et les représentants des ténèbres ne manquent pas de faire la propagande de leur monde et de leur dieu. Ils en vendent et en vantent audacieusement l’image. C’est pour cela qu’ils veulent par exemple imposer des lois ou des comportements iniques et diaboliques comme l’homosexualité, les transgenres, les LGBTQI, l’avortement, prenant pour prétexte le fameux argument perverti de la liberté humaine. Il est autant nécessaire que les africains se libèrent en menant la politique par les principes du Dieu Créateur, car il n’y a que deux camps.
Puisque l’action politique implique nécessairement un combat entre Dieu et satan, puisqu’elle est nécessairement une affaire de guerre spirituelle, c’est donc une erreur et un aveuglement imputable à l’opinion publique, que de penser ou de croire que l’État est laïc, que les dirigeants africains peuvent mener la révolution ou l’éveil des consciences en mettant Dieu et l’évangile de côté. Jésus-Christ déclare : « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira ». Saisissant la pertinence de ces propos du Seigneur, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a expliqué que seul un acteur véritablement éclairé et affranchi par Christ peut travailler à libérer et à éclairer les autres, étant lui-même plein de bravoure et de courage, ne craignant ni le diable et ses agents, ni les tyrans de l’Occident, sachant surtout qu’au-dessus des perspectives politiques, militaires, diplomatiques ou économiques, le véritable enjeu est celui du salut des âmes, pour la libération éternelle. C’est dans ce sens qu’il faut recadrer, redresser et orienter l’éveil des consciences au Mali, au Burkina-Faso, en Guinée Conakry, au Niger, au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Ghana, en Algérie, en Érythrée, en RDC, au Bénin, au Cameroun, etc. La seule solution de l’Afrique, c’est revenir au Dieu Créateur. L’opinion africaine doit comprendre que l’enjeu et le fondement des combats actuels, c’est Dieu
Au terme de toutes ces clarifications, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé l’esprit de l’Opinion publique en enfer. Qu’il s’agisse des dirigeants ou des hommes du peuple, vivement que chacun africain retourne à Dieu, pour mener le combat de la libération intégrale de l’Afrique, en marchant sur la victoire de Christ.
Amen.[:]