[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)
L’Éternel Dieu a saisi les esprits impurs ci-dessus énumérés, et il a permis qu’ils interpellent certains fidèles, afin que ces derniers changeassent et se repentissent.
Les esprits d’Accidents ont indiqué qu’au cas où les concernés ne se ressaisissent et ne changent pas, ils les frapperont par des AVC, en dehors des accidents de circulation. En somme, il faut comprendre que lorsqu’on ne dépend pas entièrement de Dieu, lorsqu’on manque de foi, de confiance et d’assurance en lui, lorsqu’on se lamente à cause des épreuves, des outrages, lorsqu’on brise la communion avec lui, on s’expose soi-même immédiatement aux accidents. Les esprits d’accidents ont souligné que les épreuves par lesquelles Dieu nous fait passer sont comme des CV, et il faut s’en rappeler lorsque surviennent d’autres épreuves ou difficultés. Un tel rappel nous permettra de ne pas fléchir et de garder une entière confiance en Dieu, sachant qu’il est le même, qu’il n’a pas changé, et qu’il nous fera également traverser les nouvelles épreuves auxquels on fait face.
Au lieu de se faire du souci et de succomber face aux épreuves, gardons donc une pleine et entière confiance en Dieu. Rejetant tout oubli, nous devons nous rappeler les épreuves et les situations difficiles, non pour nous lamenter, mais pour prendre confiance en rendant grâce à Dieu, au regard des délivrances qu’il nous a accordées pendant ces moments. Même en sentant les soubresauts de la douleur, le chrétien qui a été guéri et délivré ne doit céder ni au doute ni à l’incrédulité. En cela, en s’adressant par exemple à Leila Vanessa NOMBO, camerounaise résident au Canada, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA nous a rappelé que nous ne devons pas nous appuyer ni sur nos sensations ni sur ce que nous voyons autour de nous. Bien au contraire, nous devons nous appuyer sur Dieu, et ne pas douter de sa bonté
Les esprits familiers et les esprits d’accident se sont aussi adressés à monsieur Emmanuel NYAME, en lui demandant de supporter son fils BAKA Freddy, et de ne pas le renvoyer chez sa génitrice, de peur qu’il n’y soit sacrifié et tué. Ces esprits ont également indiqué qu’ils ont la possibilité d’atteindre et de frapper madame ZIBIKOU (fidèle de la diaspora, d’origine ivoirienne), parce que celle-ci leur ouvre les portes par la distraction et par ses faux questionnements. Dans la suite, d’autres fidèles ont été interpellés, d’après le compte-rendu ci-dessous :
— Marlyse MODE : il a été dit qu’elle veut prendre les raccourcis dans la foi, parce qu’elle n’est pas assez patiente à attendre le changement et la conversion des personnes à qui elle annonce l’évangile.
— Henriette TSAKEM : il a été dévoilé qu’elle court la menace d’un accident, parce qu’elle est spirituellement vide, championne des raccourcis, et ne se concentre pas à cultiver la mentalité du pauvre en esprit.
— Geneviève AMNE : la jeune dame a été rassurée quant au fait que Dieu voit la clarté et la pureté de son cœur. Par conséquent, il lui a été dit de ne pas plonger dans l’incertitude, mais de se donner à fond pour Dieu, au risque de sombrer dans des raccourcis qui l’amèneront à se lamenter, à nourrir de faux raisonnements, et à regretter le fait qu’elle soit célibataire et sans enfant.
— Hortense TCHIENDJO : elle a été exhortée à supporter son mari demeuré païen, à apprendre à subir de lui des coups, des outrages et des injures, mais sans toutefois murmurer, vu que les murmures détruisent la foi.
— NTSAMA BETOUKOU : le jeune homme a été appelé à se tenir droit et à pratiquer la justice, de peur de participer au versement du sang innocent, et de subir la malédiction générationnelle caractéristique du corps de la police auquel il appartient.
— ABENDOU Wilson : il lui a été demandé de se détacher de ses origines, c’est-à-dire de ses esprits familiers, s’il veut réussir sa vie.
— Jean Paul OUMBÉ : le jeune homme a été appelé à ne pas prendre les raccourcis venant des secours et des appuis humains, mais à savoir supporter tranquillement le désert et les épreuves par lesquelles Dieu permet qu’il passe.
— Éliane MAGNE TATCHINKOU : elle a été appelée à abandonner les petits questionnements, au risque de se laisser entraîner dans les raccourcis.
— Anne KAMGAING : il lui a été demandé de ne pas s’inquiéter pour sa grossesse, et de se débarrasser de la paresse aigue, afin de mieux s’occuper de l’enfant à venir.
— Abraham SIYADJE : il lui a été demandé de rechercher la présence de Dieu, plutôt que de regretter l’absence de ses enfants.
— Agnès AMOUGOU : il a été relevé qu’elle invite ses esprits familiers par le refroidissement et le feu de paille, d’où la nécessité qu’il y a qu’elle se ressaisisse, afin de courir pour Christ et pour le salut de son âme, sans plus jamais s’arrêter.
— Catherine YOP : elle a été appelée à ne plus s’inquiéter pour ses enfants.
— Élise MAKWET : il lui a été demandé de ne plus faire de la rébellion de son enfant un souci, mais d’en décharger le fardeau auprès de Dieu.
— Azaria YONG : remarque a été faite que le jeune homme a un cœur sincère à servir Dieu, mais entre cependant dans des troubles inutiles, à cause des épreuves endurées, et des planifications manquées de sa vie.
— Aurèle ZANGUE : le jeune homme a été appelé à délaisser l’amour des raccourcis, et la vitesse à moto, de peur de subir un accident de circulation.
Une fois ces différentes interpellations terminées, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et refoulé les esprits familiers dans les abîmes, ainsi que les esprits d’Accidents, les esprits d’« Impatience », de « Raccourcis », « d’oubli », « de légèreté », et de « Chasse ».
Merci Seigneur.[:]