[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « L’AVERTISSEMENT », « LE SERPENT D’AIRAIN ET LA MALÉDICTION », « LA MORT », « LA PEUR DU LENDEMAIN ET LE TRANSFERT D’ÉNERGIE », « LES TRÉSORS », « LE DOIGT ACCUSATEUR »[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 10 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (9e partie)

Les esprits ci-dessus nommés ont interpellé quelques fidèles du Tabernacle de la Liberté. Globalement, les interpellations ont consisté à rappeler chacun à l’ordre, pour l’amener à mettre à profit son trésor temps, par la participation régulière, sérieuse et assidue aux prières qui sont faites dans la chaîne d’intercession du ministère, en vue du salut des âmes, et pour l’avancement de l’œuvre de Dieu. Nous ne devons pas dormir pendant les intercessions, ni prier avec légèreté et désinvolture. Soyons donc présents aux intercessions d’esprit, non pas uniquement de corps. Remettons tous nos fardeaux entre les mains de Dieu, en nous considérant réellement comme ses enfants. Ne privilégions pas nos activités séculières et le business, au point de négliger l’intercession. Donnons à Dieu un temps précieux, non pas les temps morts dont nous n’avons pas besoin. Donnons la priorité aux choses de Dieu.

Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a rappelé que le service rendu ou à rendre à Dieu est une affaire d’investissement personnel, car chacun recevra du Seigneur ce qu’il aura fait étant dans sa chair. Les richesses de ce monde sont vouées à la rouille et aux charançons, et les richesses qui demeurent se résument en la somme de nos diverses actions en faveur de l’œuvre de Dieu. Nous devons payer le prix de l’intercession, pour que le réveil spirituel soit entretenu et porte du fruit à travers les nations. Portons le fardeau de l’œuvre de Dieu, ressentons-en l’urgence dans nos cœurs, afin d’être efficaces dans nos actions. Cessons l’ingratitude envers Dieu.

Nous avons également compris que nous ne devons pas développer la peur du lendemain. Pour cela, nous ne devons pas avoir pour trésor le devenir, les futurs fictifs qui poussent à hésiter à s’engager pour Dieu, parce qu’on cherche une fausse sécurité et une fausse garantie dans les biens et les possessions de la terre. Cessons de bagarrer avec les enseignements, prétextant qu’ils sont durs et que nul ne peut les mettre en pratique. En effet, la Bible nous enseigne que les commandements de Dieu ne sont pas pénibles, nous devons seulement avoir la bonne volonté.

Quant-à lui, l’esprit appelé « Doigt accusateur » a interpellé ceux qui se plaignent qu’ils ne trouvent pas un bon travail suffisamment rémunérateur. Cessons d’accuser Dieu ou son serviteur. Dieu est l’unique de qui nous vient le secours, comment pourrions-nous donc l’accuser, en estimant qu’il nous fait du mal, qu’il ne nous aime pas, qu’il ne nous bénit pas, ou pas assez ? N’accusons non plus l’assemblée, sous prétexte qu’on n’y aiderait pas assez les gens.

Quand on est inutile à l’œuvre du Seigneur, retenons qu’on est mort, quoique vivant. Que chacun conserve donc sa délivrance, en se conformant aux différents conseils donnés pendant les interpellations. Amen.[:]

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