[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

À l’intention de l’assemblée tout entière, l’Éternel Dieu a permis que les esprits ci-dessus interpellent un échantillon de fidèles, pour nous permettre de gagner en sagesse, de restaurer et de perfectionner nos communions respectives avec le Seigneur.

Ces questions ont été posées aux uns et aux autres : « qu’est-ce qu’un pauvre ? Es-tu pauvre ?». On y répond que le pauvre en esprit est celui qui sait qu’il ne peut rien sans Dieu, qui a besoin de lui et s’appuie sur lui en tout, sur tout, partout, en suivant ses directives et s’abandonnant totalement à lui. Le pauvre s’abandonne à Dieu, quoiqu’il arrive, selon les paroles de ce cantique : « oui amen Seigneur, quoique tu demandes, à mon cœur de faire aujourd’hui, oui amen, Seigneur ». Le pauvre obéit et ne discute pas, ne murmure pas, mais ne désire que la volonté de Dieu et s’y soumet. Levons donc totalement les mains vers Dieu, en délaissant les inquiétudes, les soucis, etc. Nous devons être pauvres à chaque instant, et non en dents de scie. Cela dit, ne cédons pas aux pressions familiales, aux pressions externes destinées à nous faire douter de Dieu, à nous faire sortir des voies de l’obéissance. Dans nos activités socioprofessionnelles, ne comptons pas sur nos capacités, mais sur Dieu, car telle est l’attitude du pauvre. Ceux qui sont des techniciens et des prestataires ont été invités à rembourser le reliquat ou l’argent dû aux clients, car être pauvre, c’est avant tout se sanctifier.

Les enfants et les adolescents ont été appelés à naître de nouveau, à nouer une communion véritable avec Dieu et à être d’esprit à l’église. En cela, il a été souligné que les adolescents ne doivent pas venir à l’église parce qu’ils suivent leurs parents, mais pour servir Dieu en esprit et en vérité, en bâtissant une communion et une relation personnelles avec lui.

Savoir qu’on est pauvre, ce n’est pas le réciter, mais le vivre ! En cela, Dieu doit être le seul trésor de nos cœurs, et nous ne devons pas nous laisser influencer par des possessions et des choses que nous aurions perdues ou perdrons sur cette terre. Ces trésors terrestres peuvent renvoyer aux enfants, à la progéniture que Dieu nous a donnés. Rien ne doit nous affecter si nous dépendons réellement de Dieu, ni aucune nouvelle, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Ne cédons pas au chantage des hommes, restons fermes dans la foi, et si nous sommes appelés à faire des choix, choisissons Dieu sans réfléchir, sans aucun compromis. Accrochons-nous à Dieu en nous souvenant de nos débuts dans la foi, en nous rappelant combien nous étions attachés à lui, dès la conversion. Les attaques et les pressions viendront certainement de toutes part, mais nous ne devons pas lâcher.

Pendant les interpellations, nous avons également été appelés à prendre part aux intercessions qui se font dans la chaîne de prière du ministère, avec fidélité, sincérité, au risque de subir les conséquences du relâchement et de la négligence, en l’occurrence les attaques diverses, la mort, les accidents routiers, etc. Prenons part aux cultes, sans laisser que nos esprits s’éparpillent et se dispersent dans la distraction, la convoitise, les calculs d’intérêt, les programmations personnelles, etc. « Un même cerveau ne peut être en train de convoiter, de compter l’argent, et de suivre la prédication », a-t-il été dit. Lisons régulièrement et quotidiennement nos Bibles. Ne nous précipitons pas, de crainte d’être des obstacles au salut des âmes. Ne manquons pas les cultes et les séminaires, à cause de la poursuite des choses de ce monde. Nourrissons nos esprits et non nos corps, car nos corps ne sont que des mottes de terre !

Dans la maison de Dieu, soyons présents d’esprit et non pas seulement de corps, ne soyons pas des amas de glace, mais servons le Seigneur de tous nos cœurs. Ne soyons pas des peureux, ni dans nos lieux de service, ni ailleurs, mais défendons-y les intérêts de Dieu. À l’exemple de Moïse, n’oublions pas que le pauvre en esprit est courageux, étant prêt à agir pour la libération des enfants de Dieu ; ce courage nous est donné par l’esprit de Dieu, auquel chacun de nous doit se connecter à chaque seconde.

L’esprit appelé « Lien pour le mal » a notamment interpellé trois fidèles dans la diaspora. À Leila Vanessa NOMBO, il a été demandé de redevenir à Dieu, d’abandonner la distraction, la dispersion d’esprit et la religion. Monsieur Stanislas, internaute du Bénin, a pour sa part été invité à ne plus jeter des coups d’œil de convoitise envers les femmes, de crainte de se faire racler par le « Lien pour le mal ». Sandrine OBAM, internaute vivant en France, a été avertie à ne pas jouer la double vie, c’est-à-dire à ne pas rentrer dans ses anciennes vomissures, à savoir la relation d’avec son ex-partenaire, car en cela, elle rétrograderait.

Amen.[:]