[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « L’AVERTISSEMENT », « LE SERPENT D’AIRAIN », « LA MALÉDICTION », « LA SPIRALE APOCALYPTIQUE », « LES CONSÉQUENCES DU BLASPHÈME ET LES MALÉDICTIONS », « LA MANIVELLE DE L’INDÉPENDANCE ET LE ROULEAU PERSONNEL », « LA BAGARRE », « LES MENOTTES » ET « LES INQUIÉTUDES »[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (JEUDI 31 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie)

À la suite du message prêché par son serviteur le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA (lequel invitait chaque fidèle à comprendre qu’être pauvre, c’est accepter de prendre la place d’esclave de Dieu), l’Éternel Dieu a saisi les esprits ci-dessus énumérés, et dont voici le récapitulatif des rôles :

— « LES CONSÉQUENCES DU BLASPHÈME ET LES MALÉDICTIONS » : comme l’a souligné le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA pendant les précédents cultes, le blasphème consiste à ridiculiser consciemment et volontairement les œuvres du Saint-Esprit, afin de décourager, de dérouter, de détourner les personnes qui veulent croire en Dieu. Nous avons compris que le blasphème est particulièrement manifeste chez tous ceux qui mal parlent, critiquent, murmurent contre les délivrances prophétiques faites par le Seigneur au Tabernacle de la Liberté. Si les blasphémateurs et leurs collaborateurs (ceux qui les entendent, mais ne disent rien pour les reprendre et les stopper) ne se repentent pas authentiquement, ils subiront des malédictions, des attaques, les maladies et les foudres de la mort. Blasphémer contre les délivrances prophétiques, c’est également croire ou dire qu’elles sont le lieu des partis pris et des règlements de compte d’individu à individu, par exemple entre la personne qui est saisie par le Saint-Esprit, et celle dont les comportements et les agissements sont mis à nus.

Les jeunes gens utilisés comme canaux des délivrances prophétiques ont directement été invités à ne plus s’en plaindre, mais à en être fiers et à se soumettre comme premiers esclaves de Dieu. Le révérend a encore martelé que l’esclave n’a ni de volonté ni de propriété propre. Par conséquent, prier dans le but de ne pas être utilisé par comme canal des délivrances prophétiques, et croire qu’on a été exaucé en la matière, constitue en soi un blasphème. Pire encore est le blasphème de ceux qui jouent les démons, et font semblant d’être possédés ! C’est l’extrême blasphème, que de faire le démon ! Retenons que la vie normale d’un esclave se résume à être, à se mettre au service de son maître. Nous ne devons donc pas choisir ou chercher à diriger le Saint-Esprit, mais nous devons seulement nous soumettre la volonté de Dieu. Ne dictons pas des choses, ne donnons pas des ordres à Dieu, ne lui disons pas qu’il doit faire telle ou telle chose avant telle ou telle date.

— « LA MANIVELLE DE L’INDÉPENDANCE, ET LE ROULEAU PERSONNEL » : l’esprit dit de « manivelle de l’indépendance » a expliqué qu’il caractérise les croyants désobéissants, c’est-à-dire ceux qui sont maîtres d’eux-mêmes, choisissent eux-mêmes ce qu’ils doivent devenir dans la vie, refusent de se soumettre comme esclaves de Dieu, mais préfèrent suivre leurs programmations personnelles. Les programmations personnelles représentent le « rouleau » des ambitions et des objectifs que les uns et les autres se sont fixés eux-mêmes, ou encore les choses qu’ils choisissent d’appliquer, au lieu de suivre pleinement la voie que Dieu nous indique. Nous devons plutôt faire la volonté de Dieu en nous inspirant du modèle de Christ, qui a accepté de quitter ses privilèges et la royauté, afin de faire la volonté de Dieu, selon qu’il est écrit : « c’est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m’as formé un corps ; tu n’as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j’ai dit : voici, je viens -Dans le rouleau du livre il est question de moi- Pour faire, ô Dieu, ta volonté » (Hébreux 10 : 5-7).

— « L’AVERTISSEMENT, LE SERPENT D’AIRAIN, LA MALÉDICTION ET LA SPIRALE APOCALYPTIQUE » : agissant en groupe, ces esprits impurs avaient pour porte-parole celui appelé « La Spirale apocalyptique ». L’esprit dit de « Spirale apocalyptique » a expliqué qu’il est fait mention de lui dans le passage d’Ésaïe 42, passage qui a d’ailleurs fait l’objet de la prédication de ce jour. « La Spirale apocalyptique » a affirmé qu’elle agit comme un voile, ou comme un manteau qui contrôle les mouvements des personnes qui ont véritablement accepté christ et se sont engagées à le suivre, à le servir et à lui obéir comme des esclaves. Plus concrètement, la « Spirale apocalyptique » a pour mission d’empêcher l’action, de retarder les voies, de freiner ou de pousser les véritables esclaves de Christ à la démission. Pour y parvenir, elle utilise la peur, la panique, les inquiétudes et le découragement.

— « LA BAGARRE » : comme son nom l’indique, cet esprit caractérise les croyants qui ne sont pas des esclaves de Dieu, puisqu’ils bagarrent contre les programmations de Dieu, et contre sa parole, voulant plutôt accomplir leurs propres programmations, leur « rouleau » personnel. Or, un esclave doit être soumis, et il n’a rien à dire ou à répliquer à son maître.  Parallèlement, en tant qu’esclave de Dieu, le chrétien doit savoir qu’il n’a pas de volonté propre.

— « LES MENOTTES » : ces esprits ont précisé qu’ils caractérisent les fidèles qui n’éprouvent plus du plaisir, de la joie ou de la satisfaction à être chrétiens, parce qu’ils sont plutôt préoccupés par les programmations personnelles, les soucis du lendemain et les inquiétudes. De tels fidèles ne sont plus épanouis, mais vivent ainsi la présence de Dieu, la parole de Dieu, les cultes et la chrétienté comme une torture, comme une gêne, comme des coups difficiles à supporter.

— « LES INQUIÉTUDES » : ces esprits ont souligné que lorsqu’on s’inquiète pour sa propre vie, lorsqu’on poursuit des programmations personnelles ou lorsqu’on se fait du souci pour le lendemain, on souffre inutilement, croyant qu’on souffre pour Dieu et qu’on est son esclave.

Après qu’ils aient dévoilé leurs différentes missions, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a mis les esprits ci-dessus en cage. Puis il a invité les fidèles à la prière, afin que chacun implorât Dieu de lui donner la grâce d’être toujours vrai et d’avoir la vérité au fond du cœur, car c’est la vérité qui affranchit, et c’est elle qui libère (Jean 8 : 32).

Amen.[:]

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