[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « LES PÈRES FONDATEURS », « LA SPIRALE APOCALYPTIQUE », « LA MALÉDICTION », « L’AVERTISSEMENT », « LES TRÉSORS », « LE SERPENT D’AIRAIN », « LES CONSÉQUENCES DU BLASPHÈME », « LES ESPRITS FAMILIERS », « LES INQUIÉTUDES », « LA MANIVELLE DE L’INDÉPENDANCE », « LE ROULEAU PERSONNEL », « LES MENOTTES », « LA CAGE », « LA BAGARRE » ET LE POISON[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (DIMANCHE 03 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie)

Les fidèles ont été interpellés par les esprits ci-dessus énumérés.  Ces interpellations nous ont permis de tirer plusieurs leçons salutaires, en fonction des remarques et des reproches qui ont été adressés aux uns et aux autres. Elles ont également été le lieu des prescriptions.  Le présent compte-rendu classifie ces leçons et ces prescriptions en fonction des esprits interlocuteurs, et d’après la répartition ci-dessous :

 

— LES ESPRITS D’« INQUIÉTUDES » :

Ne nous inquiétons pas, soyons en paix, et ne nous tourmentons pas à l’idée d’un éventuel emprisonnement calomnieux orchestré contre le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA. Mettons notre confiance en Dieu, non en un homme. Déposons tout aux pieds de Dieu. Soignons notre propreté corporelle, afin de ne pas gêner les autres pendant les cultes. Ne nous soucions pas pour la progéniture, ni pour nos vies, mais mourons en nous-mêmes et dans nos pensées, en nous abandonnant totalement à Dieu.

 

–« LA MANIVELLE DE L’INDÉPENDANCE » ET « LE ROULEAU PERSONNEL » :

Ne mettons pas une pause à notre course chrétienne. Si nous en étions encore à marcher, courons dès maintenant ! Si nous avons trébuché et qu’une interpellation s’en est suivie, ne restons pas sans rien faire, mais relevons-nous, rectifions nos vies et poursuivons la course chrétienne. Que ceux qui ont trébuché se relèvent et continuent la course ! Ne nous soucions pas parce qu’on désire se marier. L’esclave de Dieu doit être sourd, muet et aveugle, en cela, ne nous mêlons pas des bavardages et des causeries inutiles. Chassons de nous tout esprit de peur, et faisons preuve de courage dans la défense des intérêts de Dieu. Quelques questions récurrentes nous ont été posées, en l’occurrence : « Dieu peut-il compter sur toi par ta détermination à persévérer jusqu’à la mort ? », « À quel niveau es-tu avec ta chrétienté ? », « Dieu peut-il compter sur toi ? », « Quels fruits de l’Esprit portes-tu pour Dieu ? ». Nous devons déchirer tous nos plans B, et tous nos rouleaux de programmations. Au lieu de divaguer, appelons le calme dans nos pensées, tranquillisons-nous et restons focalisés sur ce qui est important, c’est-à-dire aimer Dieu et le servir. Ayons la vérité au fond du cœur, délaissons le mensonge et l’hypocrisie. Soyons ponctuels aux cultes, et prenons part aux différentes phases du service : intercession, cantiques, louanges, adoration, etc. Quand on met Dieu de côté et qu’on prend des vacances envers lui, on se met soi-même dans le pétrin et dans des difficultés, même dans le cadre socioprofessionnel ; ne prenons jamais les congés avec la foi.

 

–« LE POISON » :

Lorsqu’on est déjà intoxiqué par le « Poison », en l’occurrence les soucis, les inquiétudes, etc., on ne peut plus rien comprendre des interpellations de Dieu, des enseignements qui sont dispensés. On ne prend non plus plaisir, et on est mal à l’aise dans la présence de Dieu. Les inquiétudes et les soucis sont vraiment un poison. Elles foirent et enlèvent à la chrétienté son goût. Elles poussent à ne plus supporter, à ne plus aimer la présence du Seigneur. Il faut donc s’en défaire.

 

— « LES CONSÉQUENCES BLASPHÈME » ET « LA MORT » :

Le blasphème entraîne la mort, et expose à des conséquences telles que les accidents de circulation, les maladies. Les adolescents et les personnes qui désertent les cultes pour ne revenir que vers la clôture ont été appelés à se ressaisir, à abandonner un tel comportement. Les adolescentes ont aussi été invitées à nouer une communion avec le Seigneur, de peur de dévoyer définitivement et de récolter des grossesses. Les jeunes gens et les jeunes filles ont été avertis du fait qu’ils doivent se ressaisir, de crainte de répéter les erreurs et les péchés du passé, notamment l’impudicité. Quand on ne compte que sur Dieu seul, ne lui faisons pas de chantage et humilions-nous sous sa puissante main, au risque d’écoper des conséquences telles que les maladies incurables, et les douleurs. Rappelons-nous que le salut est personnel, travaillons-y donc, sans nous laisser distraire par l’entourage, par le mari, par les enfants, etc. Nous empirons la situation et empêchons ou retardons la résolution des problèmes, lorsque nous résistons à Dieu. Ressourçons-nous constamment et continuellement en Dieu, car l’ennemi est toujours prêt à nous attaquer. Ayons de l’amour entre nous, supportons-nous, pour cela, développons le caractère chrétien, c’est-à-dire le fruit de l’esprit dont parle Galates 5 : 22-23. Sachons qu’on blasphème à partir des inquiétudes, des raisonnements ou des faux questionnements, des soucis auxquels on se livre.

En tant qu’ouvriers du Seigneur, soyons des collaborateurs et des soutiens engagés de l’homme de Dieu. Travaillons d’une même voix, sans dissonance d’échos. Versons la bonne eau, et non de l’eau trop glacée entre les mains du révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA. Si nous n’agissons pas ainsi, l’esprit du « Blasphème » nous enveloppera, nullifiant ainsi notre service. Faisons l’œuvre de Dieu sans négligence, de peur que Dieu ne nous rejette et ne nous maudisse, car sa parole dit ceci : « maudit soit celui qui fait avec négligence l’œuvre de l’Éternel, maudit soit celui qui éloigne son épée du carnage !» (Jérémie 48 : 10). Soyons conscients de la tâche, soyons responsables, soyons rigoureux et fermes dans le service, mettons-nous à l’œuvre ! Suivons la ligne droite, afin de ne pas laisser des failles dans le service. Soutenons-nous et suppléons-nous lorsque l’un est épuisé. Puisque nous sommes appelés à servir Dieu, sachons que la lutte n’est pas contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes (Éphésiens 6 : 12). Si nous avons déjà la qualité de la discrétion, demeurons-y, sans jamais chercher à nous faire voir. Manquer de la qualité de la discrétion nous livre aux attaques des esprits malins. Le service que nous rendons à Dieu ne peut pas porter du fruit, quand on est colérique.

N’oublions jamais d’où Dieu nous a tirés. Rappelons-nous qu’il est le même, qu’il n’a pas changé, qu’il est le même pour nous secourir, et pour prendre les fardeaux que nous consentons à déposer à ses pieds. Ne prenons donc pas nous-mêmes nos charges en main, sinon, nous nous ferons écraser inutilement par les problèmes. Ne cherchons pas d’autre secours en dehors de Dieu, ne nous appuyons non plus sur nous-mêmes. Si nous estimons par exemple que les charges sont plus fortes que nous, cela montre combien on est devenu indépendant. Or, dans le passage d’Ésaïe 42, Dieu lui-même promet d’être le soutien de son serviteur, de son esclave, donc celui qui porte ses charges. Dieu dit qu’il ne partage sa gloire sa gloire avec personne, il aime donc que nous nous soumettions entièrement à lui en supportant les épreuves, afin que lui-même nous élève au temps convenable, et tire satisfaction des louanges et des cris de reconnaissance que nous lui élevons, au regard de ses bienfaits. Soyons reconnaissants envers Dieu, car il aime les cœurs reconnaissants. Retenons que le manque de reconnaissance entraîne l’indépendance

 

–« LA SPIRALE APOCALYPTIQUE », « L’AVERTISSEMENT », « LES TRÉSORS », « LE SERPENT D’AIRAIN », « LA MALÉDICTION », « LES PÈRES FONDATEURS » :

 On peut être pauvre et ne pas être esclave. Par contre, une fois qu’on est esclave, on est nécessairement pauvre. Levons-nous pour faire le travail de Dieu, en mettant les inquiétudes de côté, et sachant que chacun rendra des comptes à Dieu. Nos cœurs ne doivent pas peser, ils ne doivent pas être peuplés de soucis, d’autant que cela nous expose par exemple aux agressions et aux attaques des malfrats. Rassurons-nous de mettre au top nos communions avec Dieu, lorsque des reproches, ou lorsque des remarques nous sont faites. Les voyages ou les déplacements que nous effectuons ne doivent pas nous amener à nous déconnecter de la « maison », c’est-à-dire du Tabernacle de la Liberté. Cela dit, restons connectés aux enseignements malgré l’éloignement, prenons part aux cultes et aux intercessions. Les maris qui ont encouragé, incité ou exigé à leurs femmes de manquer le culte de samedi ont été appelés à se repentir, à changer et à ne plus se comporter de la sorte. Les maris ne doivent pas restés à la maison, ni interdire ou empêcher à leurs épouses de prendre part aux cultes. Les travailleurs ont été invités à entretenir de bons rapports avec leurs supérieurs hiérarchiques. Ne perdons jamais de vue que nous sommes des esclaves de Dieu à vie, faisons donc attention, afin de ne céder ni à la moindre distraction, ni à la chasse aux choses de ce monde. Ne laissons pas que l’amour de l’argent prenne la place et l’amour de Dieu dans nos cœurs. Ces questions ont souvent été posées : « Es-tu esclave de Dieu ? », « Es-tu encore dans cette maison (au Tabernacle de la Liberté ? », « Que cherches-tu dehors ? »

 

–« LA BAGARRE » :

Recevons l’instruction et la parole de Dieu avec douceur. Ne boycottons pas, ne manquons pas les cultes et les Séminaires. Une fois qu’on devient un bloc de glace, qu’on n’éprouve plus du plaisir à poursuivre la chrétienté, à venir au culte, etc., cela indique qu’on bagarre déjà contre Dieu. Et quand on bagarre déjà contre Dieu, on prend prétexte sur des bobos, afin de manquer les cultes, et de rester à la maison.

 

–« LES MENOTTES » :

Entre autres affaires, ces esprits ont rappelé aux femmes et aux jeunes dames qu’elles ne doivent pas prier pour le mariage, car c’est l’homme qui cherche la femme, non l’inverse.

Tirons donc profit de ces leçons et de ces différentes prescriptions, pour notre salut, pour des communions pleines, et pour un service efficace à notre Dieu.

Amen.

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