[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR « LE MOI », « LA CAGE DES OFFENSES » ET « LE POUVOIR DE L’OFFENSE »[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MAI 2022 (DIMANCHE 22 MAI 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (28e partie)

Pour une énième fois, les esprits ci-dessus ont interpellé les fidèles. Les questions habituelles que voici ont été posées aux uns et aux autres : « Qui t’a offensé ? Qui as-tu offensé ? Avec qui as-tu fait le commérage ? » De ces interpellations, nous retenons les leçons suivantes :

Ne nous laissons pas offenser par des personnes qui ont utilisé les délivrances comme moyen ou tatamis de règlements de compte.  Puisque les réparations doivent être faites, il faut se repentir des actes de mensonge, de méchanceté, de rancune, et des scandales par lesquelles on a fermé le chemin du ciel aux tierces. Cessons le commérage, ne soyons pas de ceux qui médisent des frères et des sœurs. Cela dit, ne recevons non plus des personnes qui viennent nous raconter des choses ou des histoires au sujet des autres. Ne participons plus au colportage, de quelque manière que ce soit. Au lieu de colportage, consacrons par exemple à l’intercession le temps dont nous disposons. Prenons garde, afin de ne pas initier de faux rapports contre un frère ou une sœur. Que chacun se débarrasse de la jalousie et de l’égo.

Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA nous a rappelé que l’amour véritable n’est ni conservateur ni possessif ; en cela, on ne doit pas se sentir gêné ou lésé parce que des personnes sont amies, et que nous ne faisons pas partie de l’amitié en question. Continuons à vanter l’église de Christ, continuons à vanter le Tabernacle de la Liberté, sans tenir compte des critiques des personnes qui veulent nous décourager, nous accuser. En effet, au Tabernacle de la Liberté, on ne cajole pas le mal, même s’il demeure caché, Dieu finit par l’exposer. Ne nous décourageons pas à aimer, à pardonner. Évitons d’offenser les frères et les sœurs, sachant que l’offense est une véritable destruction. Cultivons la bonne attitude d’effacement, persévérons-y. Travaillons pour la cause de Dieu, dans l’harmonie. Ne nous combattons pas les uns les autres, parce que nous voulons nous positionner. Si nous sommes des ouvriers dans la maison de Dieu et nous sommes ignorants dans tel ou tel domaine technique ou professionnel, humilions-nous, soumettons-nous pour apprendre auprès des frères et des sœurs. Exprimons-nous pour arranger les malentendus qui veulent nous diviser, et pour soigner les plaies de nos cœurs ; en cela, abandonnons le faux calme et exprimons-nous.

N’oublions pas que l’offensé est dans l’obligation de pardonner, quelle que soit l’offense, quelle que soit la dimension de l’offense subie. Il doit pardonner, même si l’offenseur ne lui a pas demandé pardon. Ne soyons pas dépensiers, prodigues. Soyons satisfaits, en apprenant à vivre en fonction des moyens que Dieu met en notre disposition, sans rechercher, sans désirer la grande vie. Sachons bien gérer l’argent, ne désirons pas la grande vie aux dépens des autres. Délaissons le mensonge, lorsque nous sommes interpellés, exprimons-nous avec vérité. N’ayons pas des cœurs mauvais, n’offensons pas les gens par de mauvaises paroles, soyons contents du progrès socioprofessionnel de nos frères et de nos sœurs. Le révérend a souligné que les personnes qui ne veulent pas changer (abandonner le commérage, etc.) n’ont qu’à rester chez elles.

Il est également ressorti des diverses interpellations que l’époux et l’épouse doivent réellement former une seule chair, et savoir que leurs biens ou leurs investissements sont communs. En cela, s’ils font dans les activités agricoles, le champ du mari est celui de la femme, et le champ de la femme est celui du mari. Si le mari prévoit défricher son grand champ, il doit également faire défricher le petit champ de son épouse, quand celle-ci le lui demande, le lui réclame.

Certaines personnes (enfants ou jeunes gens, adultes) ont été appelées à abandonner le monde, à se convertir. Sachons que les querelles, les bagarres physiques et les disputes ne doivent pas être mentionnées au milieu de nous. Délaissons la rébellion, ne résistons pas contre la parole de Dieu. Sur la question du mariage, le révérend a particulièrement rappelé que la femme ne doit pas catégoriser tous les hommes à l’église, estimant que personne n’y est de sa pointure, de sa classe, de son goût, de son gabarit. À juger ainsi par l’apparence, la femme risque de passer à côté des plans de Dieu. Si elle campe sur sa position, elle doit donc se concentrer à servir Dieu, et ne plus du tout avoir la question du mariage en vue.

N’oublions pas que les murmures contre les personnes interpellées ne constituent pas la réaction appropriée. Lorsqu’une personne est interpellée pour tel ou tel comportement répréhensible, la bonne attitude consiste plutôt à garder le calme, et à intercéder pour celle-ci. Les parents ne doivent pas être laxistes, mais ils doivent rigoureusement éduquer et discipliner les enfants dans les voies du Seigneur, sans tolérer le laisser-aller, les écarts de comportement. Rappelons-nous que se déconnecter des esprits familiers ou des membres de la famille charnelle est une affaire de position de cœur vis-à-vis de ceux-ci ; il ne s’agit donc pas nécessairement de les quitter, de ne plus les voir pendant des années, etc. Lorsque nous avons commis une gaffe et que nous sommes repris, repentons-nous concrètement ; dans ce cas, ne nous sentons pas offensés. Repentons-nous sans nous justifier. Ne gardons rancune à personne.

Amen.[:]

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