DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – L’HISTOIRE ÉDIFIANTE DE SŒUR KAMENI CARTER : UNE MIRACULÉE DÈS SA CONCEPTION

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Pendant le culte de ce dimanche, le Seigneur a saisi le démon personnifiant feu MOUBITANG Zéphirin, géniteur de sœur Eugénie KAMANA. Parlant dans le corps de celle-ci, MOUBITANG a ressassé l’histoire et a rappelé les déboires par lesquels est passée celle qui fût autrefois sa fille, mais aussi la victime et la captive de ses œuvres de méchanceté, de ses pratiques de sorcellerie. Dans le même temps, MOUBITANG a rappelé en mémoire les attaques par lesquelles sœur KAMENI Carter, fille d’Eugénie, est passée dès de sa conception. Voici, plus explicitement, ce que « monsieur » MOUBITANG a fait savoir de bout en bout, en répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA :

« Je pensais que je l’avais détruite. On ne sait pas d’où l’enfant-ci (KAMENI Carter) est sortie, pour se retrouver dans la coque vide-ci (Eugénie KAMANA). C’est pour cela qu’on voulait en finir avec elle (Carter) dans le ventre de sa mère. Quand sa mère est tombée enceinte, on a vu que l’enfant n’était pas notre semence. La mère a commencé à avaler les remèdes (pour avorter), car il fallait éliminer l’enfant directement. Elle a avalé les remèdes, ça n’a pas donné. Comme elle était à Nanga, et que les secousses du mauvais état de la route étaient réputées être en mesure de faire avorter, elle a voyagé de Nanga à Yaoundé, aller-retour, mais rien n’est sorti. Elle est ensuite partie à l’hôpital, le docteur lui a dit que ce n’est pas le genre de grossesse qu’on peut enlever en donnant simplement les remèdes, mais qu’il fallait ouvrir le col de l’utérus. On a ouvert le col, l’enfant a refusé de sortir. Elle est retournée à l’hôpital voir le médecin, le médecin a prescrit les remèdes… Le fœtus était toujours là dans le ventre. Quand la phase là est finie, elle est partie chez le marabout. Curieusement, quand elle arrive là, on met les remèdes, et le marabout commence à lui dire que c’est une fille qu’elle va accoucher.

« Puis elle était partie au marché acheter les écorces traditionnelles. Si je te dis qu’une seule goutte de sang est sortie, je serai en train de mentir. L’enfant a fait douze mois dans le ventre au lieu de neuf), pour rattraper sa croissance qui avait été freinée par les multiples tentatives d’avortement. Quand elle était partie faire l’échographie à 6 mois, le médecin lui avait dit que l’enfant a un retard de trois mois, et qu’elle doit poser ses genoux au sol pour prier, sinon l’enfant va sortir avec des malformations. Vu tout ce qu’elle avait avalé pour avorter, le médecin lui avait conseillé de prier, de crainte que l’enfant ne sorte avec la malformation. C’est là qu’elle avait dit qu’elle implore votre Type (Dieu), et l’enfant est sortie normalement. On n’a même pas eu besoin de faire des massages à l’enfant, comme c’est souvent le cas, lorsqu’un enfant sort par exemple avec une tête longue. L’enfant (Carter) est sortie normalement ».

– Pasteur Caleb : Et la maladie qu’elle a est venue d’où ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : La maladie que l’enfant a, est venue de nous.
– Pasteur Caleb : Comment ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Fille, te souviens-tu de ta tante ?
– Carter : L’esprit parle de la feue petite sœur de ma maman, prénommée Marie Noëlle.
– Pasteur Caleb : Sa feue petite sœur, Marie Noëlle ? Elle a fait quoi ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : C’est elle qu’on a utilisé pour faire notre travail, vu tout ce qu’on avait déjà fait sans succès, pour éliminer l’enfant. Devait-on laisser l’enfant indemne ? Il fallait lui mettre la maladie dans le corps, pour que cette maladie ralentisse au moins le processus du machin… Il fallait mettre quelque chose dans la chair de l’enfant, pour qu’elle ait les regrets et autres, pour qu’elle ne se focalise pas sur votre Type (Jésus-Christ).
– Pasteur Caleb : Vous avez utilisé Marie Noëlle pour faire quel travail ? … Fille, tu dis que Marie Noëlle ne vit plus ?
– Carter : Non pasteur, elle est décédée.
– Pasteur Caleb : Quand ?
– Carter : Je crois que je faisais la classe de 3e en ce moment-là. Je ne sais plus en quelle année exactement.
– Pasteur Caleb : Et savais-tu que c’est elle qui avait été utilisée pour te donner la maladie ?
– Carter : Non pasteur.
– Pasteur Caleb : Toi démon, comment cela s’est-il passé ? Qu’est-ce qu’elle a fait ? Parle !
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Marie Noëlle savait qu’elle était malade, et c’est à travers la lame qu’elle utilisait, soi- disant pour couper les ongles de l’enfant, qu’elle lui avait transmis la maladie. C’était volontaire, et elle était consciente/
– Pasteur Caleb : Ah ! Voyez-vous la méchanceté ? Ikyiiii ! Metôm !
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Elle a fait le bon travail, mais cela n’a pas donné comme on voulait. On ne sait même pas comment elle a fait pour se retrouver ici. C’est la l’enfant-là qu’on voulait anéantir depuis le ventre, parce que si elle n’existait pas, sa mère ne serait certainement.

– Pasteur Caleb : C’est à cause de ta maladie que vous êtes arrivés ici. Quel âge avais-tu ?
– Carter : J’avais 13 ans.
– Pasteur Caleb : Tu en as combien aujourd’hui ?
– Carter : 23, pasteur.
– Pasteur Caleb : Vous vous rendez compte ? Ils ont décidé d’anéantir l’enfant, et ils ont dit : ‘‘Cela n’a pas réussi dans le ventre. Même comme tu es née, on va seulement t’avoir’’. C’est ainsi que la sorcière blesse, dit qu’elle va couper les ongles à l’enfant, alors que c’était pour lui transmettre la maladie, le VIH.

– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Quand sa mère était quitté de Nanga et qu’elle est descendu au village, on avait empoisonné l’enfant quand elle avait deux ans, mais elle n’est pas morte. Quand j’appelle cette enfant du nom de « Sorcellerie », ne comprends-tu pas depuis ? C’est la « sorcellerie » ! Demande à sa mère si elle peut l’envoyer au village. Sa mère pourrait envoyer tous ses enfants au village, sauf celle-ci. On ne peut même te dire les « incantations » (les prières) qu’elle avait faites, quand l’enfant avait commencé la maladie. C’était un 20 mai, elle était sortie pour aller faire la fête. Elle a laissé l’enfant avec la mère, c’est comme cela qu’on va l’empoisonner, à l’âge de deux ans. L’histoire avait commencé de cette manière : elle était sortie pour aller acheter les beignets, avec son enfant au dos. Elle passait, et la sorcière avait dit qu’on a déjà arraché l’enfant. Elle a compris, mais elle fait comme si elle n’a pas entendu. Ce n’était pourtant pas encore arrivé au niveau de l’empoisonnement. C’est quand elle était partie au défilé, qu’on était resté empoisonner l’enfant. Ce jour, en quittant la fête, elle était partie dormir chez son oncle, et quand elle est rentrée à la maison, sa mère a commencé le bavardage : « Hoooh ! Tu sors, tu ne rentres pas, l’enfant et moi n’avons pas pu dormir dans la nuit ! ».

Comme elle avait gardé les galettes à l’enfant, elle a appelé l’enfant à plusieurs reprises, de venir vers elle, mais l’enfant restait entre les mains de sa grand-mère. Elle est venue arracher l’enfant, l’enfant chauffait, la température était à 41. Elle dit à la grand-mère de l’enfant qu’il y a quelque chose qui ne va pas, la mère répond que : « C’est la jaunisse. Comme elle vomit, cherche les herbes, tu lui donnes ». Elle réplique que ce n’est pas sa jaunisse. Elle a dit à la grand-mère (donc sa mère) : « Parle à tes gens ! Si toi-même tu es dedans… L’enfant-ci n’est pas yambassa, elle est bamiléké. Si un cheveu de sa tête bouge, le bamiléké va rafler ce village, et les arbres vont pousser dans les maisons. Même la mouche qui a entendu, la mouche là va mourir ». C’est ce qu’elle avait dit à sa mère, puis elle a porté l’enfant et elle a pris la direction de l’hôpital. Nous sommes arrivés à l’hôpital avec elle. On ne sait même pas d’où… L’histoire-là (Jésus-Christ) a envoyé… Je ne veux même pas appeler son nom. Le médecin avait tout fait, rien ! Pendant que ce temps, elle pleurait du fait que l’enfant s’était évanouie. Elle voulait s’adosser au mur, mais au lieu du mur, c’était sur une porte, et elle s’est retrouvée dedans, dans une chambre, avec l’enfant. Une femme était assise à même le sol, à l’hôpital, et lui a dit « Wèh mâ’a ! Quand tu es arrivée depuis, je t’ai vue, je t’attendais. On a empoisonné ton enfant, mais ne t’inquiète pas, hein ? Ton enfant ne va pas mourir. Vois-tu la bouteille qui est au fond de la salle ? (C’était une bouteille contenant les écorces, avec un gobelet posé dessus). Prends cette bouteille et vient me la donner.

Elle est allée prendre la bouteille, tandis que la femme avait déjà porté l’enfant. Elle a donné la bouteille à la femme, qui a versé le liquide dans le gobelet et lui a dit : « Uhn ! Porte ton enfant, donne-lui toi-même ». Comme l’enfant buvait constamment de l’eau, l’enfant croyait qu’il s’agissait de l’eau, mais avait aussitôt repoussé, en se rendant compte qu’il ne s’agissait pas de l’eau. Mais l’enfant a finalement bu, et quelques minutes après, la température a baissé. L’enfant a dormi de 10 à 15 heures. De temps en temps, elle partait regarder et toucher le cœur, pour se rassurer que le cœur de l’enfant battait encore. La femme lui a dit : « Ne crains riens ».
– Pasteur Caleb : La mère-là était-elle infirmière dans cet hôpital ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Quel hôpital ? La femme n’était pas une infirmière, c’était le machin que votre Type (Jésus-Christ) avait envoyé. La chambre dans laquelle elle s’était retrouvée avec cette femme et l’enfant, était-ce même l’hôpital ? (Ce n’était pas l’hôpital). On te raconte qu’elle a vu le mur, a voulu s’adosser et s’est retrouvée dans une pièce dont on ne connaît pas l’origine. Quand le médecin est venu, puisque l’enfant allait déjà mieux, le médecin lui a dit : « Vous pouvez rentrer. Tous les matins, vous viendrez prendre les injections ». Pourtant, le médecin les avait déjà hospitalisés.
– Pasteur Caleb : Qu’est-ce que tu racontes ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : c’est la « sorcellerie », c’est sa « sorcellerie » que je suis en train de te raconter. On a fait tout…

– Pasteur Caleb : La femme qui a donné la potion à boire, c’était à l’hôpital, non ?
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Elle n’était même pas de l’hôpital. La salle-là, ce n’était pas la salle de l’hôpital. C’est votre Père (Dieu), c’est votre Type-là… était-ce le remède… Si c’était une infirmière ordinaire, comment aurait-elle fait pour savoir qu’il y aurait un cas d’empoisonnement ce jour-là, au point d’apprêter le remède ?
– Pasteur Caleb : C’était donc une vision…
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Est-ce que la femme-là était de l’hôpital et attendait qu’on va amener un cas d’empoisonnement ? Et cette femme était assise à même le sol, comme je le suis actuellement. Elle n’a pas revu la femme après. Connaît-elle même ne serait-ce que le nom de cette femme ? Cela a été ainsi pendant trois jours successifs, pendant lesquels elle partait à l’hôpital, et on lui donnait le remède. Le troisième jour, que finissait le traitement, elle n’a pas demandé le nom de la femme. Aujourd’hui, elle ne peut pas t’expliquer quel teint avait cette femme. Quand le traitement était fini, n’ayant pas pu accomplir notre mission mystiquement, c’est là que nous sommes venus physiquement à la maison, à travers la coépouse de sa mère, qui avait déclaré que l’enfant a quatre yeux (c’est-à-dire que l’enfant serait sorcière), que ce n’est pas un enfant. Plus tard, cette coépouse était revenue, pour lui dire : « Si tu aimes ton enfant-ci, déménage avec elle. Ne dis à personne. Si tu n’as pas l’argent, je te donne l’argent. Fuis le village ! ». Entre temps, quand elle s’était dit en elle-même : « Celle-ci, dont tout le village sait qu’elle est sorcière, quand elle me dit déjà de fuir avec l’enfant, c’est certainement, soit parce qu’ils ont déjà tué mon enfant, elle veut donc que j’entre dans la voiture et que l’enfant aille mourir par accident… Si mon enfant doit mourir, elle va mourir ici, mais ce que fera son père dans ce village, ce sera du venez voir ! ». Elle n’avait parlé de tout cela à personne, ni même à sa mère.

Trois jours après, la sorcière est venu voir sa mère et lui a dit : « J’ai dit quelque chose à ta fille, mais comme c’est une enfant, elle n’a rien compris. Dis à ta fille de fuir le village avec son enfant » (…). Elle était couchée, et dès qu’elle a entendue cela, elle est sortie et elle a dit à la sorcière : « Héhéhé ! Stop ! Ne parle pas des choses de mon enfant. Si cela me concerne, parle, mais si c’est mon enfant, c’est moi-même qui en parle ! Voilà ta coépouse, si toi-même tu es dedans…. Vous allez seulement déranger mon enfant que vous la dérangez maintenant. Mais si un seul cheveu seulement saute ! Ce que le Bamiléké… Mon enfant n’est pas yambassa, c’est une bamiléké. Si quelque chose lui arrive, son père va raser le village-ci, les arbres vont pousser dans les maisons, même la mouche… ». La sorcière est partie, puis la fille a rechuté, sa mère lui a dit « Va voir le mari de la sorcière, il faut qu’elle verse… ». En fait, il y a un rite chez eux, qui dit qu’il faut verser l’eau sur l’enfant pour que la température baisse. Elle a regardé sa mère, puis est allée et a trouvé la sorcière assise sur la natte, et le sorcier sur la chaise. Elle lui a dit : « Papa, maman m’a envoyé pour te dire de verser l’eau sur l’enfant, parce que ça ne va pas ». La sorcière s’était aussitôt exclamé : « Hum ! », et le sorcier n’a rien dit. Elle a passé au moins quinze minutes devant eux, personne ne parlait. Après le sorcier lui a répondu : « J’ai compris. Pars, j’arrive». Elle est rentrée. Quelques minutes après, le sorcier est venu avec un petit sac, dans lesquels il y avait les écorces, la queue du serpent boa, un morceau de tissu blanc vierge. Il a déposé cela au sol, il a pris ses écorces, les a versés et a dit : « déshabille l’enfant, tu enlèves les chaussures, tu poses l’enfant sur le tissu blanc.

Puis il s’est mis à lancer les bambous en les posant sur la tête en disant : « Si c’est telle chose qui dérange, que cela nous montre, en tombant pile ou face… ». C’est ainsi que le sorcier lançait et posait les bambous. Et, il a laissé les maladies dont il demandait la nature, et il s’est mis à dire que si c’est le père de l’enfant qui dérange l’enfant, les bambous doivent être lancés et tomber sur le côté face. Il a lancé les bambous une première fois, c’est tombé côté pile ; puis une seconde fois. La troisième fois, les bambous sont tombés du côté face. Et il a dit : « Voilà ! C’est le père d l’enfant qui dérange l’enfant », puisqu’elle s’était séparée avec le père de l’enfant, le bamiléké. Le sorcier a ajouté : « Pour qu’on fasse le traitement maintenant, il faut deux poules, à savoir une mère poule et le poussin ». En fait, la mère poule c’était la mère (Eugénie), le poussin c’était la fille (Carter). On devait amener la poule et le poussin en bas du baobab, pour faire le rite. Quand le sorcier est partie, elle (Eugénie) a dit à sa mère : « Maman, depuis que je suis née, je n’ai jamais entendu parler du genre de maladie dont on dit que c’est le père de l’enfant qui dérange l’enfant. Aussi, je n’ai jamais entendu le genre de rite-là. Donc, si tu cherches ta poule et ton poussin, sache aussi que c’est toi qui va aller faire le rite là, pas moi ni mon enfant ». Sa mère lui a répliqué : « Tu es toujours comme ça ! Tu es toujours que, quand on te dit de faire quelque chose… ».

Entre temps, l’enfant chauffait. Puisqu’elle ne voulait pas faire le rite, la grand-mère a décidé alors qu’elle porte l’enfant et qu’elle l’amène à l’hôpital. Dès qu’elles ont porté l’enfant et qu’elles ont quitté le cadre du village, la maladie est finie. Elles sont parties se balader à Ombessa, l’enfant était bien. Le soir arrivé, ils sont rentrés au village, l’enfant se portait bien et elle a bien dormi. Le matin, la sorcière s’est présentée et leur a dit : « On a cherché le remède de l’enfant. Vous étiez où ? ». Elle a répondu de sa bouche à la sorcière : « On était à l’hôpital avec l’enfant. Ça va mieux ». La sorcière est entrée dans la chambre, là où dormait l’enfant, dès qu’elle est en sortie, c’étaient les cris. Elle a appelé l’enfant : « Bébé viens ! Bébé viens ! ». Mais l’enfant n’est pas sortie. Quand elle est allée dans la chambre, c’était la catastrophe ! Elle (Eugénie) a dit à sa mère que trop c’est trop ! Après cela, la sorcière est tombée, en manifestant les mêmes symptômes que l’enfant avait. C’est ainsi que la sorcière a fait trois jours à l’hôpital (…).

Pour couper court, quand l’enfant avait encore rechuté, elle a pris son enfant et elle a pris la route, pieds nus, sans savoir où elle allait. Son cousin la suivait derrière, pour lui donner les babouches. C’est ainsi qu’elle s’est d’abord retrouvée dans le village de sa mère, où elles ont passé trois mois. Arrivés là-bas, l’enfant a guéri. C’est là-bas, dans le village de sa mère, qu’on lui a apporté ses habits et ceux de son enfant, qu’elles avaient laissé de l’autre côté. C’est comme cela qu’elles sont venues ici à Yaoundé. Depuis ce jour, elle n’a plus jamais mis pied avec celle-ci au village. Que va-t-elle aller y faire ?

– Pasteur Caleb : Donc, tu sors de loin, hein ?
– Carter : Oui pasteur.
– « Monsieur » MOUBITANG Zéphirin : Quand elle était arrivée ici, le ventre était comme celui d’une femme enceinte. C’était à cause du poison-là, qui avait mis long dans son corps. Un tel poison laisse toujours les séquelles… J’ai dit que je suis le père de celle-ci (Eugénie). Je suis MOUBITANG NJOLO Zépherin, j’étais un « bon » (grand) sorcier. Comme Nimrod, j’étais un bon chasseur.
– Carter : Fille, tu dois faire comme Job, ne pas maudis pas Dieu (…). Rendons grâce à Dieu. Oh Seigneur, tu es merveilleux pour ce que tu as fait. À toi l’a gloire, l’honneur, la puissance, la force, oh grand Dieu ! Alléluia ! Béni soit ton nom, Seigneur. Amen !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES DE LA DIASPORA SORTIS DE LA CAPTIVITÉ DES FORÊTS, DES EAUX (FLEUVES, MERS, ETC.), DES CAGES…

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Voici la prière que le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a conduite en ce dimanche, afin de briser les cages, les animaux, les sirènes, les esprits familiers et les gardiens des traditions, qui œuvraient à maintenir l’esprit de chaque fidèle de la diaspora dans la captivité :

« On se lève maintenant. La prière est concentrée en faveur des fidèles de la diaspora… Où que vos esprits aient été maintenus captifs dans vos pays d’origine, alors que vous êtes vous-mêmes en Occident, que ce soit dans les forêts, les fleuves, les mers, allez dehors ! Sortez de là au nom de Jésus ! Vos esprits reviennent en vous-mêmes, quels que soient le nombre de multiplications qu’on a fait de vos esprits aux fins de les disperser ! Esprit de Dieu, souffle de partout, rassemble ces esprits et remets-les dans ces coques vides. Merci Esprit saint ! Les amis, vous devez comprendre que vous n’avez pas droit au repos, quand vous avez reçu l’attouchement de Dieu. Quand il vous a par exemple touché hier, il faudrait rester tout près de lui à tout moment. Il vous faut un attouchement de la part de Dieu. Tout le monde levez les mains maintenant, pour vous consacrer au Seigneur. Consacre ton corps, ton âme et ton esprit au Seigneur. Consacre-lui ton être tout entier… Dis : ‘‘Seigneur, prends mon corps, prends mon âme, prends mon être tout entier’’. Déposez vos êtres à l’autel de Dieu ». Amen !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – EUGÉNIE KAMANA ET LE RESTE DES FIDÈLES SORTENT DE LA CAPTIVITÉ LONGTEMPS IMPOSÉE PAR LES ESPRITS FAMILIERS, LES GARDIENS DES TRADITIONS ET LES SIRÈNES (Part 2/2)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Dans la continuité de son action de brisement des cages, des bouteilles, des animaux et autres entités maléfiques embrigadant les esprits des fidèles, le Seigneur a également saisi, en dehors des esprits familiers et autres, les démons personnifiant les gardiens des traditions, au nombre desquels figurait l’esprit personnifiant la religion, la religion décrite à juste titre comme « la gardienne des gardiennes ». Des interpellations ont suivi, et il en est ressorti des éclaircissements édifiants

Par exemple, certains couples ne peuvent pas faire des enfants, engendrer ou procréer, parce que l’un parent, sorcier et méchant, s’est interposé, par ses multiplications maléfiques, entre les conjoints. C’était le cas de frère AMENE Jean Bienvenue et de son épouse EDINGA Christelle Ninive. Il a été précisé que la mère de frère AMENE était sa femme spirituelle, et que de ce fait, lorsque sa femme est en période d’ovulation, il souffre de dysfonctionnement érectile. Il est également ressorti que le fils de frère AMENE, âgé de 21 ans et issu de son mariage avec première épouse et désormais défunte, est un casse-tête qui s’impose dans la maison, au point qu’il prend la place de parent, et que les parents prennent la place d’enfants. Les démons personnifiant les gardiens des traditions ont donné ce conseil à frère AMENE : « Quand tu vas commencer à être vrai, tu vas constater qu’elle (parlant de sa maman, sa femme spirituelle) a plié bagage, qu’elle est partie, et que ta maison a changé ».

– Les esprits familiers et autres : C’est elle (la mère d’AMENE) qui lui donne les directives, car quand il a quelque chose, au lieu de se confier à sa soi-disant côte, elle se confie plutôt à sa mère (…).
– Les esprits familiers des forêts du Mbam : NGOA, sais-tu que celui-ci (papa Prospère WAGNACK) est perdu dans la forêt ? Tape sur sa tête.
– Les Gardiens des traditions : Il est à la fois dans la forêt et dans l’eau. Il y a au moins une quinzaine de sirènes debout, devant sa cage. Et c’est pour garder son esprit en lieu sûr, pour qu’il n’en sorte pas. Nous sommes dans sa maison, on se met à l’aise dans sa maison. C’est seulement une partie de son esprit qui vient de sortir de la cage ; le reste est encore dedans, dans la cage. Sortir de la cage est une question de cœur (une question d’ouverture du cœur à Jésus). Il y a quelqu’un qui a fui, où est-il ? Tu fais quoi dehors, là où tu es (s’adressant à papa WAGNACK) ? (…). Comment allons-nous faire aujourd’hui ? (…). L’exorciste est mort, et c’est son esprit qui est dans ta maison (s’adressant toujours à papa WAGNACK). Il dort sur ton lit, il est entré dans ta côte (l’épouse). La cote ne vient plus à l’église, parce qu’elle suit les désirs de la chair… Il doit demeurer esclave (parlant toujours de papa WAGNACK)… S’il décide de s’en aller, on va le maintenir dan l’esclavage, jusqu’à ce qu’il descende en enfer. Empêcher au simple d’être connecté à son Créateur et de jouir et la vraie vie, c’est là notre objectif
– Les esprits familiers et autres : NGOA, vois-tu, quand les esprits des humains sont dans les cages, c’est parce que nous n’arrivons pas à travailler avec. Pour que les esprits en question ne fassent non plus le travail de votre Type (Jésus-Christ), on les met dans les cages, et les humains restent avec des coques qui se baladent et font des dégâts là-bas dehors. Alors on utilise cette coque comme on veut, les démons, les animaux entrent dans ces coques et font ce qu’ils veulent.
– Les Gardiens des traditions : Le père-ci (papa WAGNACK) doit prendre sa place, parce que c’est lui qui est madame dans la maison, exactement comme ABOYA dont on parlait…
La belle famille est assise dans la maison de la mère-ci (maman TCHUENTE Élise), et elle-même est dans la forêt de l’Ouest. Madame, quand tu as fait le deuil de ton mari, quel est le premier animal que vous avez égorgez le jour-là ? Rappelle-toi bien, au village. Tu connais la nourriture des gens de l’Ouest, n’est-ce pas ? Tu connais ce qu’ils aiment manger, je parle de la viande qu’on met souvent dans le kondrè. De quelle viande s’agit-il ? NGOA, son esprit est dans la chèvre, as-tu compris ? Comprends-tu ce qu’on est en train de dire ?

– Les esprits familiers et autres : Elle n’est jamais revenue (parlant de maman Élise), depuis qu’elle est allée enterrer son mari. Elle a accompagné son mari – dans la tombe -.
– Les Gardiens des traditions : Ne sais-tu pas qu’il y des femmes dont les hommes (les maris) sont morts, elles n’ont jamais allées accompagner la motte de terre dans la tombe ? Il a suffi que tu prennes la route de l’enterrement en tant que veuve, pour qu’on récupère ton esprit. Le comprends-tu ? C’est là qu’on a pris ton esprit. Où est ton fils aîné ? On a besoin de lui (…)
– Pasteur Caleb : On parle d’André.
– Les Gardiens des traditions : Tu es tellement naïve, quand on parle de ton fils aîné, sache qu’on parle de celui qui élu dans les choses de votre Type (Jésus-Christ). On ne parle pas des choses de la chair. Voici ton aîné. Tout ton esprit n’est pas encore là/
– Pasteur Caleb : Voici Jacob, Ésaü sert à quoi ? Il est occupé par les choses profanes, dans les choses de cette vie.
– Les Gardiens des traditions : Tu sais ce que Jacob avait fait, n’est-ce pas (s’adressant au frère André) ? C’est ce que tu es en train de faire. Quand Jacob avait vu son frère, avec quoi était-il venu ? Et qu’est-ce que son frère a dit ? Il est venu avec des troupeaux, et son frère Ésaü lui dit qu’il est dans l’abondance. Transforme-toi donc, mire-toi donc dans cet exemple.
– Pasteur Caleb : Comprends que tu n’es pas Dieu (s’adressant à maman Élise), et que tu n’es pas dans le secret de ses programmations. Tu es dans le regret, à cause de l’autre fils. Tu n’es pas Dieu, laisse Dieu faire comme il a programmé, et toi, dis seulement « Ainsi soit-il ». Le comprends-tu ?
– Maman TCHUENTE Élise : Oui papa.
– Pasteur Caleb : Je sais que tu ne fais pas confiance à Dieu. Je suis en train de vous enseigner de ne pas regarder ce qui frappe aux yeux.
– Maman TCHUENTE Élise : Je n’ai pas tellement le cœur en l’aîné, je l’ai laissé entre les mains du Seigneur.
– Pasteur Caleb : Si tu l’as laissé entre les mains du Seigneur, ce n’est pas parce que tu fais confiance au Seigneur, c’est par le découragement que tu l’as fait. Et comme on te révèle maintenant qu’il n’est pas le choix de Dieu, cela t’abat davantage. C’est pour cela que je veux te remonter, as-tu compris ?
– Maman TCHUENTE Élise : J’ai compris papa.

– Les Gardiens des traditions : NGOA, d’où sortait le père de la fille à qui tu es en train d’imposer les mains (parlant de sœur Viviane MOUKOUDI) ? Appelle-moi ta mère. Madame, le père de l’enfant-ci sortait d’où ? Il venait de quel village ?
– Maman Eugénie : De Nkongsamba.
– Les Gardiens des traditions : L’esprit de l’enfant-ci (Viviane) se trouve au moins dans quatre endroits différents. Nous, les gardiens, on s’est rassuré de mettre la plus grande partie de son esprit dans les eaux, dans le Wouri. C’est là qu’on a mis la première partie, on a mis la deuxième partie là où sa mère vient de prononcer le nom, dans les forêts de Nkongsamba. La troisième partie qu’on a prise à Nkongsamba, on a porté et on a amené à l’Ouest Cameroun tu. Madame, connais-tu l’Ouest Cameroun ? On a amené une partie de son esprit là-bas. Et maintenant, en rentrant de l’Ouest, on s’est rassuré de jeter le reste de son esprit, qui était dans un tout petit flacon. On l’a jeté en traversant la Sanaga. Donc, Wouri, Sanaga, Ouest, Nkongsamba, voilà les différents endroits où l’esprit de l’enfant-là se trouve. Elle gonfle (prend du poids) parce que son corps est rempli d’eau. L’enfant-ci avait son esprit, mais on s’est rassuré de tout vider, de remplir la coque d’eau. Voilà notre travail, elle-même le sait.

– Pasteur Caleb : Le physique trompe, elle croit qu’elle est d’embonpoint.
– Les Gardiens des traditions : Ce que tes enfants doivent comprendre, c’est que la solution doit être désirée par la personne même, pendant qu’elle est en train de céder son cœur à votre Type (Jésus-Christ), comme vous l’avez chanté il y a un moment. Ainsi, on n’a pas besoin d’aller dans les profondeurs des eaux, puisque votre Type lui-même a vu le vouloir de la personne et il délègue aussitôt les « oiseaux » (les anges), qui vont prendre la personne (la libérer de la cage, de la captivité)…NGOA vois-tu la mère-ci (maman AYANGMA, mère de sœur Reine ATSENA) ? Tout son esprit est logé dans le fleuve qui est traversé quand on va chez eux, la Sanaga. Tout son esprit y est. Quant-à celui-ci (frère MELI, le menuisier), son esprit est à l’Ouest, c’est dans une forêt, départagé en deux. Tu sais que même si le prunier est à Ngog-Mapubi, l’écureuil va voyager pour aller prendre la prune. C’est comme cela qu’est son esprit ; son esprit se balade dans deux écureuils différents. L’esprit de celui qui est au Sénégal (frère Bertrand TCHANCHE) se balade à l’Ouest Cameroun.

Après tout ce qui vient d’être dit, le révérend a à nouveau invité les fidèles à prier, afin briser toutes les cages, toutes les bouteilles et les entités les maintenant dans la captivité. Merci Seigneur Jésus ! Merci pour ta délivrance !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – EUGÉNIE KAMANA ET LE RESTE DES FIDÈLES SORTENT DE LA CAPTIVITÉ LONGTEMPS IMPOSÉE PAR LES ESPRITS FAMILIERS, LES GARDIENS DES TRADITIONS ET LES SIRÈNES (Part 1/2)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Saisis dans le corps d’une jeune dame et s’exprimant d’un ton révolté, les esprits familiers se sont adressés au révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, et ils ont expliqué de quelle manière ils

« NGOA, méfie-toi. Nous sommes les esprits familiers, on a vu la petite lumière là depuis, avant même que sa mère ne la conçoive (parlant de sœur Eugénie KAMANA). Cette lumière, c’est son étoile. Nous sommes les esprits familiers de la femme dont nous possédons le corps, nous sommes mélangés avec les esprits familiers de plusieurs fidèles de ta maison. Pourquoi nous fais-tu cela ? On a passé… À cause d’elle et du gourdin que tu nous as dosé hier, on a passé la nuit dans tous les états. On était dans tous nos états, tu sais qu’avant que ce jour n’arrive, on était au courant qu’il va va arriver, et c’est ce qu’on ne voulait pas. C’est pour cela qu’on a délégué sa mère, car quand elle est venue, on l’a accompagnée. Sa mère n’est pas notre agent, mais nous nous sommes accrochés sur elle. Quand nous sommes arrivés, elle (Eugénie) nous a bloqués dehors, en sorte qu’on ne pouvait pas entrer avec sa mère dans la maison. On est donc resté dehors, on errait. C’est le gourdin que tu as dosé hier qui nous amène. Elle n’était même pas disponible, et elle murmurait. Quand sa mère a appelé (pour lui dire qu’elle est en train de venir), elle a fini d’assainir sa maison, d’envoyer le feu, disant que rien n’entre ici.

« On est venu pour te dire de la laisser la tranquille, ce n’est pas ton enfant. On a mis son esprit en cage à plusieurs endroits. La partie qui est dans la forêt, c’est son père même qui l’a fait, comme il était chasseur, comme Nimrod. Son père a placé le genre de piège qui sert à attraper les animaux en brousse. Quand elle est partie chercher les prunes comme les autres, les autres personnes sont passées. Mais dès qu’elle est arrivée, le piège a pris son pied, en sorte que la tête était en bas et les pieds en l’air. C’est comme cela que son esprit est resté accroché là-bas, et on a encore mis la cage tout autour d’elle. Elle est accrochée là-bas depuis, cela s’est passé quand elle pouvait avoir 8 ans, elle en a 46 aujourd’hui. Les animaux l’entourent, les oiseaux sont en haut, puis viennent les gorilles, les panthères et autres, en ce qui concerne cette partie de son esprit, que son père a mise en cage là-bas. L’autre partie de son esprit, qui est restée en elle, a été prise et mise en cage quand son père était « rentré » chez lui, en enfer. Où son père devait-il aller, si n’est en enfer ? À quel lieu était destiné son père, si ce n’est en enfer ? Puisqu’il était chasseur comme Nimrod (tueur d’hommes), devait-il la laisser ? (…) Sa fille (Eugénie) comptait parmi ses gibiers.

« On a vu la petite lumière et il fallait l’attraper, pour que ce jour n’arrive jamais. Quand son père était entré en enfer, on a commencé à manipuler sa vieille mère. Quand elle était arrivée ici, elle t’avait dit que son nom est écrit dans liste de ceux qui doivent mourir, car c’est ce qu’on avait dit à sa veuve de mère. Alors sa mère l’avait amenée chez le marabout pour laver la malchance. C’est ainsi que le marabout a coupé une petite portion de son esprit, l’a mise dans la bouteille et est allé la mettre dans l’eau, et la gardienne de cette partie, c’est la sirène. Le marabout avait ensuite dit à sa mère d’aller la laver avec la poule blanche, pour enlever les mauvaises paroles qu’elle avait prononcées contre elle, et ouvrir ses portes. Il avait ajouté qu’il fallait aller jeter la poule en brousse, là où la poule ne peut plus retrouver le chemin retour. C’est ainsi que sa mère est allée jeter la partie restante de son esprit en brousse, à travers la poule blanche ; ainsi, elle erre dans la forêt et elle n’arrive pas à en sortir. Demande-lui comment sont ses rêves, car elle se retrouve toujours en forêt. Parfois, dans ses rêves, elle va chercher le bois en forêt avec d’autres personnes. Les autres personnes qui sont avec elle arrivent à en sortir, mais elle, elle y reste. C’est le reste de son esprit que la mère a mis dans la poule, c’est d’ailleurs pour cela que cette fille (Eugénie) a le cerceau de la poule. Son cerveau est petit, en sorte que si tu veux lui dire quelque chose, parle-lui un peu et terre à terre, sinon elle ne se retrouve plus.

« Si tu veux lui dire quelque chose, parle-lui un peu et ne bavarde plus beaucoup, sinon elle va se perdre. Cela fait qu’elle oublie trop. Son père était un Nimrod, un grand chasseur, qui pouvait se mesurer à lui au village ? Elle-même, elle a grandi au village. Puisque son père était chasseur, elle n’a consommé les trucs de feuilles, les légumes ; elle n’a pas grandi en consommant les légumes, mais le gibier, tous les jours. Quand on mettait les feuilles de kpem dans la marmite qu’on en préparait, c’est simplement parce que son père voulait en manger. Quand les autres sont venus à son secours, on a détaché uniquement sa chair, en sorte que la coque est partie, mais elle-même, mais son esprit est resté attaché dans le piège. Et ce piège ne pouvait plus attraper autre chose, puisqu’il avait déjà attrapé son gibier et était de ce fait occupé… NGOA, celui au sujet duquel tu me poses la question (papa MOUNGANG Jean Benoît), erre dans la forêt, il y a été balancé par ses esprits familiers. Tu crois que qui sont ceux qui balancent les esprits des gens dans les forêts et les cages, si ce sont les esprits familiers ? ».

« Prenant la parole à leur tour, les esprits personnifiant la chair et ses désirs, ou les désirs de la chair, ont affirmé ce qui suit : « NGOA, vois-tu tes machins-ci (parlant péjorativement des fidèles) ? Ils sont chacun sous votre couverture, mais quand la chair lâche un peu, chacun se voit vraiment là où il est, dans son état réel. Mais après, nous, les ‘‘Désirs de la chair’’, on vient et on leur dit que ce n’était qu’un rêve. Ainsi, on leur montre un chemin contraire, comme on en a fait l’illustration avec les babouches. Celle-ci, en qui nous parlons (Eugénie) a eu à ouvrir son cœur à votre Type, d’autres personnes ici l’ont également fait. De nature, elle ne bavarde pas souvent trop. Quand elle le fait, ce sont les animaux qui prennent les devants, et nous, les désirs de la chair, tu nous verras dans le ‘‘fouka-fouka’’ (les bruits, les agitations, le tintamarre). Les animaux en question sont venus avec nous, mais ils ont d’abord fui, parce que le lieu-ci chauffait. Quand tu te verras faire un rêve, le même rêve vient, après cela revient, c’est le Type d’en haut (Dieu) qui te montre. Mais la chair prend le dessus. Donc, si chacun ici prend le dessus sur la chair, puisqu’ils sont des coques vides, si chacun s’ouvre un peu… Je ne peux pas parler d’entrer dans la conscience, puisqu’ils sont des coques vides. Si déjà chacun peut un peu prendre le dessus sur sa chair, il va voir.

« Beaucoup ici se considèrent comme des étrangers, comme étant en prison dans cette maison (le Tabernacle de la Liberté). Ainsi, ils estiment que c’est stricte ici, qu’on leur prive de liberté, de bonheur. Or comme ils viennent d’ouvrir un peu leur cœur à votre Type (Dieu), juste un peu, beaucoup de gardiens (les gardiens maléfiques, tels que les animaux, les panthères, les gorilles, les sirènes, etc.) ont déjà été dégagés, je parle des gardiens des cages dans lesquelles leurs esprits sont enfermés. Mais, maintenant, ce qu’ils doivent faire… Ce sont eux-mêmes qui doivent s’ouvrir un peu, pour sortir, pour se dégager des cages, des bouteilles, parce là il n’y a plus les gardiens, donc la sortie est facile. NGOA, qu’ils ouvrent leurs bouches et qu’ils prirent pour se dégager ! NGOA, qu’ils ouvrent leurs bouches ! Appelez votre Type (Jésus), appelez votre Type (Jésus) ! Appelez votre Type (Jésus) ! NGOA, ceux qui ont honte, qui ne vont pas s’ouvrir un peu, vont rester dans les cages ».

En encourageant les fidèles à prier et à se briser les cages de leur captivité, le révérend les a encouragés en ces termes : « Quand les apôtres ont demandé à Jésus de leur augmenter la foi, il leur a dit, que, si vous avez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à ce sycomore : déracine-toi, et plante-toi dans la mer ; et il vous obéirait (Luc 17 : 6). La foi n’a va pas besoin d’être grande, il faut seulement s’ouvrir au Seigneur. Il faut juste un peu de sincérité. Ouvrez vos cœurs au Seigneur, ouvrez vos cœurs ! Priez ! Priez ! Sortez de cette forêt ! Sortez, au nom de Jésus ! ».

Entre temps, le Seigneur a saisi le démon personnifiant le défunt géniteur d’Eugénie KAMANA. S’exprimant dans le corps de celle-ci, il a déclaré ce qui suit :

– Zéphirin MOUBITANG : NGOA, tu fais quoi ? NGOA, Okalag (méfie-toi) ! Je suis son papa Moubitang ANJOLO Zéphirin, le lion. Crois-tu que tu peux entrer chez moi, prendre ce qui m’appartient ? Je te pose la question !
– Pasteur Caleb : Est-ce toi le Dieu Créateur, hein ? Parle non ! Qu’est-ce qui t’appartient ? Elle n’est pas à toi.
– Zéphirin MOUBITANG : Elle est à moi ! Ça ne peut jamais arriver, qu’elle ne soit plus à moi.
– Pasteur Caleb : Je te perce l’œil !
– Zéphirin MOUBITANG : Je ne me suis pas encore fâché ! Je te dis que tu ne peux pas entrer chez moi, et tu prends ce qui m’appartient ! Non ! Tu n’es pas encore né ! Tu n’es même pas encore né ! C’est moi qui suis le propriétaire, tu sors de nulle part, tu viens entrer dans ma maison pour prendre ce qui m’appartient. Attends, tu es né quand ?
– Pasteur Caleb : Tu es avec qui ?
– Zéphirin MOUBITANG : Dois-je être accompagné ? Je suis le seul lion dans la maison.
– Pasteur Caleb : Il y a un seul Lion dans toute cette création, c’est le Lion de la tribu de Juda (Jésus-Christ).

Sur ces paroles, le révérend a décapité le démon personnifiant feu MOUBITANG, puis il l’a chassé en enfer. Immédiatement, les sirènes ont été exposées par le Seigneur et se sont exprimés en ces termes : « Wèh !!! NGOA, détache nous d’abord. Nous sommes les sirènes, versez un peu d’eau ici, on a besoin de l’eau, car c’est dans l’eau que nous sommes bien. Non ! Non ! On n’a pas besoin de ta part d’eau ! ». Le Seigneur a également exposé les démons personnifiant la séduction, l’insatisfaction, le monde, le moi. Ces démons ont continué à interpeller les fidèles, pendant que le révérend leur imposait les mains.

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TON ESPRIT REVIENT EN TOI ! LES MERS, LES MONTAGNES, LES FORÊTS, LES ROCHERS, LES CAGES, LES BOUTEILLES, LES ANIMAUX, LES SIRÈNES DE TA CAPTIVITÉ SONT BRISÉS !

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

À l’effet d’amener les fidèles à céder leurs cœurs à Jésus-Christ, et à se défaire ou à briser les mers, les montagnes, les forêts, les rochers, les cages, les bouteilles, les animaux, les sirènes, etc. qui travaillent à maintenir leurs esprits captifs, le révérend a invité l’assemblée à chanter le cantique 53. « Le refrain de ce cantique dit : ‘‘Cède, cède ton cœur à ton sauveur’’. Commençons par le 1er et 2e couplet. En fait, c’est le rappel du prix payé par ton sauveur, et en te rappelant de cela, il faut lui céder ton cœur. Cède ton cœur à ton sauveur. Commence à prier, confesse tes péchés. Je ne sais pas ce qui t’a amené ici, peut-être que tu n’es pas venu là pour donner ta vie à Jésus, pour être un vrai chrétien. Christiane, ton esprit est où ? Est-ce que tu veux la délivrance ce matin ? Toi qui me regarde, cède ton cœur à ton sauveur… Confessez vos péchés à Dieu, et sachez que vous n’êtes pas venus ici pour votre bien-être physique ; c’est pour le ciel. Priez et écoutez le cantique, pendant que vous priez », a-t-il dit.

CANTIQUE 53 DES CHANTS DE VICTOIRE

1. Souviens-toi du Calvaire,
De l’angoisse à la croix,
Du combat solitaire,
Qu’Il a livré pour toi.

Refrain :
Cède, cède, ton cœur à ton Sauveur.
Cède, cède, ton cœur à ton Sauveur.

2. Souviens-toi des épines.
Blessant son noble front,
Des compassions divines
Supportant chaque affront.

3. Pense à son agonie,
Pour toi, pauvre pécheur ;
Sa tendresse infinie
Devrait briser ton cœur.–

4. Crois, oh ! Crois à sa grâce,
Ne désespère plus ;
Jésus a pris ta place,
Tous par lui sont reçus.

5. Enlève ma misère,
Enlève mon péché…
Toute douleur amère,
Et tout fardeau caché !

« Soyez dans la prière, priez ! Priez ! Cédez votre cœur ! Soyez dans la prière, priez, priez ! Cédez votre cœur ! Soyez dans la prière ! Priez ! Priez ! Cédez votre cœur ! Priez ! Priez ! Soyez dans la prière, priez ! Priez ! Cédez votre cœur ! Cédez vos cœurs au Seigneur. Saint-Esprit, ouvre ces cœurs au Seigneur. Souvenez-vous tous de tout ce qu’il a fait à la croix pour vous. Souvenez-vous de sa souffrance, de son sang versé… Quel que soit l’endroit où ton esprit est caché, quel que soit l’endroit où ton esprit a été enfoui, ton esprit doit revenir maintenant, quels que soient ces endroits, si tu cèdes un peu seulement ton cœur à ton sauver. Oh Seigneur interviens ! Oh Seigneur interviens ! Interviens Seigneur, dans ta grâce, interviens dans ta grâce Seigneur, ramène ces esprits dans ces carcasses vides ! Oh Dieu, s’il te plaît Seigneur, interviens (parler en langues) ! Décide toi de te donner à Jésus, de lui donner ton cœur, de lui donner ta vie entière, décide-toi, décide-toi ! Laisse les histoires de la chair et de ses désirs, laisse cela ! La chair et ses désirs t’amènent où ? En bas, en enfer.

« La chair et ses désirs t’amènent en enfer. Le positionnement selon les hommes, le positionnement selon le monde, c’est ce que tu envies ; enlève ton cœur dans ces choses-là. Je n’entends pas votre prière ! Priez le Seigneur ! Esprit de Dieu, s’il te plaît, parcoure tous ces lieux où ces esprits ont été enfouis, parcours ces mers, ces forts, ces rochers, ces déserts, tous ces lieu où ces esprits ont été enfouis, Seigneur, et ramène-les, au nom de Jésus ! Au nom de Jésus ! Revenez en vous-mêmes ! Au nom de Jésus, l’Esprit de Dieu vous ramène, l’Esprit de Dieu souffle dans ces déserts, dans ces mers, dans ces forts, dans ces montagnes, ces roches, et il ramène vos esprits. Esprit de Dieu souffle ! Esprit de Dieu souffle ! Au nom puissant de Jésus (parler en langues) ! Esprit de Dieu souffle, ramène ces esprits, ramène-les dans ces coques vides, au nom puissant de Jésus. Toutes ces bouteilles, toutes les marmites sont brisées ! Ces cages où on a enfoui ton esprit sont rompues et brisées, au nom puissant de Jésus (parler en langues) ! Votre esprit revient en vous ! Votre esprit revient en vous ! Au nom de Jésus (parler en langues) ! Seigneur, interviens ! Votre esprit revient en vous, au nom de Jésus ! Ton esprit revient, sors de cette forêt, au nom de Jésus ! Votre esprit revient, il revient, il revient, au nom de Jésus ! Priez ! Priez ! Ton esprit est où ? Il revient au nom de Jésus ! Restez dans la prière, ne soyez pas spectateurs ! ».

Amen ! Merci Seigneur !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CÈDE TON CŒUR À TON SAUVEUR ; SÉPARE-TOI DE LA RELIGION, DE LA RÉBELLION, DE LA CHAIR ET DE SES DÉSIRS, DU MONDE, DE L’INSATISFACTION… (Part 3/3)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

À la suite du message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de GALATES 5 : 16-17, GENÈSE 28 : 6-7, 2 CHRONIQUES 20 : 20, le Seigneur a saisi plusieurs esprits impurs, à l’effet de libérer les fidèles de leur emprise. Il s’agissait des démons personnifiant la religion, la rébellion, l’ignorance, le mort, l’aveuglement, la précipitation, la ruine, le moi, la chair et ses désirs, ainsi que les esprits familiers, et les démons symbolisant la bagarre et l’insatisfaction.

Tout au long de la délivrance, le révérend a fait des observations édifiantes, et il a exhorté les fidèles, en les amenant à se séparer des esprits susmentionnés. Voici, en substance, quels ont été les propos du révérend :

« Je l’avais déjà enseigné, que la croix n’est pas le symbole du christianisme, il faut le dire aux gens, aux autres, parce que la Bible dit que maudit est quiconque est pendu au bois (Galates 3 : 13). Retenez cela une fois pour toutes aujourd’hui. Quand on vous donne une instruction et que vous vous opposez à cela, vous êtes en train de manifester l’esprit de la religion. Qui de vous connais la Bible assez ? (…). En fait, ma vraie question est la suivante : Qui sait que c’est le conseil de la Bible qu’il lui faut suivre absolument ? Bon, est-ce que c’est ce que vous faites ? Je sais que beaucoup bouchent leurs oreilles, quand ils veulent désobéir, bien que sachant ce que la Bible enseigne. Ils disent qu’il ne faut pas suivre la Bible bêtement, n’en parlons pas si l’instruction ou l’enseignement est sorti de la bouche du pasteur, celui-là va te pousser à la rébellion, à t’opposer à l’instruction et à l’enseignement, en te demandant si tu ne connais pas la Bible. Lorsqu’ils veulent désobéir ou alimenter la religion, d’autres disent : ‘‘ Nous sommes tous des pécheurs. Ton pasteur ne pèche-t-il pas aussi ? (…)’’. Tu seras séduit par de tels propos, pourtant Jésus a dit les scribes et les parisiens sont assis sur la chaire de Moise, faites ce qu’ils enseignent, et non ce qu’ils font. Je sais que la religion et les prêtres ont pris ces propos de Jésus en leur faveur.

« Suivez-vous ce qui se pass là ? Vous avez vu certaines personnes être délivrées de certains esprits, et vous êtes étonnés qu’elles ont rétrogradé de manière vertigineuse. C’est ce phénomène qui se passe : ces gens sont des coques vides, que la parole de Dieu a effleuré de temps en temps. Il peut même y avoir manifestation des démons et délivrance, mais la personne n’est pas encore dans sa conscience, pour prendre elle-même la décision de suivre Jésus. Carrelle est vide… Elle n’a jamais pris conscience. Carrelle, as-tu déjà fini la lecture du livre La Réalité du Saint-Esprit ? »
– Carrelle : Non pasteur.
– Pasteur Caleb : Tu es normale ? Tu as fini la formation, et la semaine surpassée, je t’ai donnée rendez-vous la semaine ci, n’est-ce pas ? Qu’est-ce que tu racontes, hein ? Ta petite fille-ci a quoi au juste ?
– Papa Olivier : (…) Ce que je peux dire, c’est que l’enfant-ci a un problème, parce que tu as pris rendez-vous avec elle aujourd’hui, et on a passé le temps à le lui rappeler. On a même pris les dispositions pour qu’elle ne reste pas à la maison, mais qu’elle vienne à l’église (…).

– Pasteur Caleb : Que chacun se lève, mettez-vous debout. J’aimerais que vous compreniez encore très bien. Ici là, moi-même je suis capable de désigner ceux qui sont dans les cages. Vous-mêmes, depuis que vous êtes au Tabernacle de la Liberté, qu’est ce qui s’est passé avec vous ? Est-ce que vous avez évolué ? Est-ce que vous avez fait un pas dans la chrétienté ? Beaucoup sont passés ici, non parce qu’ils cherchaient Dieu, mais pour la solution à leur problème. Ils n’ont pas ouvert leurs cœurs au Saint esprit, pour que le Saint-Esprit vienne résider en eux. Le Saint-Esprit les a juste effleurés. Vous êtes à quel niveau ? Les amis, voulez-vous naître de nouveau ? Votre esprit est où ? C’est la même chose avec la petite fille qui est ici devant (Leila Élisée ÉKODÉ), je ne sais pas où est son esprit. Tu as quel âge, petite fille ?
– Leila : Papa, j’ai 14 ans.
– Pasteur Caleb : KUEFFOUO, ton esprit es où ? As-tu as suivi la réponse ?
– Lionel KUEFFOUO : l’esprit a dit que c’est dans la forêt.
– Pasteur Caleb : Oh Seigneur ! Est-ce que vous pouvez un peu ‘‘céder à votre sauveur’’ aujourd’hui ? Je crois qu’il y a un cantique qui le dit. Est-ce que vous pouvez céder un peu votre esprit à votre sauveur aujourd’hui ? Pourquoi n’as-tu pas souvent été intéressé par les choses de Dieu ? C’est parce que c’est ta coque qui suit les messages ici – et non ton esprit, qui est éparpillé, dispersé ou en cage ailleurs – (…).

À la suite de ces observations, le révérend a invité les fidèles à se lever et à prier, afin de céder leurs cœurs à Jésus-Christ, et de se défaire ou de briser les mers, les montagnes, les forêts, les rochers, les cages, les bouteilles, les animaux, les sirènes, etc. qui travaillent à maintenir leurs esprits captifs.

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CÈDE TON CŒUR À TON SAUVEUR ; SÉPARE-TOI DE LA RELIGION, DE LA RÉBELLION, DE LA CHAIR ET DE SES DÉSIRS, DU MONDE, DE L’INSATISFACTION… (Part 2/3)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

À la suite du message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de GALATES 5 : 16-17, GENÈSE 28 : 6-7, 2 CHRONIQUES 20 : 20, le Seigneur a saisi plusieurs esprits impurs, à l’effet de libérer les fidèles de leur emprise. Saisis en second lieu, ou du moins en même temps que les esprits de religion et de rébellion, les démons personnifiant la chair et ses désirs ont affirmé ce qui suit, parlant dans le corps d’une jeune dame et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA :

« Nous sommes la ‘‘Chair et ses désirs’’. Les religieux aiment jurer en traçant le sol du doigt. Quand ils font leur soi-disant baptême, ils accrochent la croix au cou, soi-disant que c’est ce qui les protège, et sans savoir qu’ils se placent sous la malédiction. Nous nous appelons ‘‘la chair et ses désirs’’. Dans sa parole (la Bible), votre Type (Jésus-Christ) dit ce qui est bien, mais nous, la ‘‘chair et ses désirs’’, nous venons enseigner et montrer l’inverse ou le contraire à l’être humain. Par exemple, votre Type (Jésus-Christ) vous dit de porter les chaussures comme cela est bien, c’est-dire en mettant le pied gauche dans la chaussure gauche, et le pied droit dans la chaussure de droite. Mais nous, ‘‘la chair et ses désirs’’, nous renversons et nous disons de mettre plutôt le pied droit dans la chaussure de gauche, et le pied gauche dans la chaussure de droite. On fait savoir à l’humain que c’est bien, quand il renverse la manière de porter les chaussures. C’est comme cela que la chair et ses désirs s’opposent à votre Type (Jésus-Christ), tout cela c’est la rébellion. Votre Type (Jésus-Christ) te dit de marcher sur le droit chemin, ce chemin est bien. Mais la chair te dit que ce n’est pas bien ; la chair te dit que c’est ce qui se passe dans le monde qui est bien. C’est ainsi qu’étaient Ésaü avec toute sa descendance (ils marchaient selon la chair, non selon les instructions, la parole de Dieu).

« À travers ses désirs mondains, la chair va te dire : ‘‘Ne vois-tu pas comment il est plus jolie de porter les chaussures en inversant les pieds ? C’est comme cela que les autres portent là-bas dehors’’. C’est de la même manière que font tous ceux qui entendent la parole (l’évangile de Christ) avec les oreilles de la ‘‘chair et ses désirs’’. Ils font les choses à l’envers, et ils se donnent raison en disant que c’est comme cela que tout le monde fait dehors. Quelqu’un dira donc : ‘‘Si je vois les gens marcher dehors sans caleçon, moi aussi je marche sans caleçon. Si je vois les gens mettre les greffes qui arrivent aux fesses, moi aussi je mets de telles greffes. Si les gens se décapent, moi aussi je le fais’’. Parfois, quand il suit la chair et ses désirs, le cœur de celui qui est humain lui dit de laisser. Parfois il laisse, mais la chair lui dit : ‘‘Regarde comment tu es devenue’’, et la personne retombe… Tu as dit ta vérité (s’adressant ici à papa Olivier), en affirmant que que tu te bats à appliquer la Bible… Quand ils veulent désobéir, la rébellion et l’indépendance montent en surface, puis ils disent que les choses évoluent, qu’il ne faut pas suivre la Bible bêtement.

« La patronne de la fille en qui je suis (sœur Eugénie KAMANA) lui a dit réfléchir un peu avec sa tête, de ne pas s’aligner à tout ce que lui dit le pasteur. ‘‘ Utilise ton cerveau pour réfléchir, au lieu de t’aligner à tout ce que dit le pasteur. Là où nous sommes, là, nous sommes les êtres humains, et tout le monde pèche. Même ton pasteur-là pêche. Tu es un être humain, ne te focalise pas sur ce que dit ton pasteur ; nous sommes dans le monde. Comme vous dites que vous ne buvez pas l’alcool, on t’envoie d’en acheter, tu refuses, tu dis que tu ne peux pas toucher la bouteille (de bière) ou entrer dans le bar. Or, même Jésus a transformé l’eau en vin. Ce que la Bible dit, c’est qu’on ne doit pas exagérer dans tout ce qu’on fait. Ma fille, lis ta bible, utilise ton cerveau’’, lui a dit sa patronne. Elle part, elle s’assoit aussi, elle dit… D’ailleurs, le ‘‘Dossier’’ qui la concerne est derrière… Tu as commencé quand même à toucher le ‘‘Dossier’’ en question (parlant des esprits qui affectent la vie d’Eugénie et l’empêchent de vivre la vie chrétienne normale), parce que le gourdin que tu as dosé a fait quelque chose. Nous, la chair et ses désirs, quand nous sommes sortis et que nous nous sommes manifestés aujourd’hui, nous portions les chaussures à l’envers, comme tu le vois maintenant ».

Par la suite, le Seigneur a exposé les esprits relatifs au ‘‘Dossier’’ de sœur Eugénie, il s’agissait des démons personnifiant la chair, ses désirs, la bagarre, et l’insatisfaction. Parlant dans le corps d’Eugénie et répondant aux questions posées par le révérend, ces démons ont affirmé ce qui suit : « Nous venons tous par rapport à la fille dont nous possédons le corps. Vois-tu comment les babouches sont portées à l’envers ? C’est comme cela qu’elle se comporte, quand elle suit la parole. Elle suit bien, et depuis que ses délivrances ont commencé, quand la parole vient ou quand nous disons des choses en causant entre collègues, cela peut lui donner les frissons. C’est comme cela que la parole vient en elle. Quand la parole lui donne les frissons, elle se lâche un peu et elle se retrouve dans ‘‘les situations qu’elle prend pour inconfortables’’ (le fait d’être utilisée par Dieu comme canal des délivrances prophétiques). Quand une délivrance finit et qu’elle se relève, elle part encore s’asseoir… Les machins qui sont derrière, les esprits familiers, vont bien vous expliquer, car elle est la coque vide, là où elle est là. C’est pour cela que depuis qu’elle est dans votre maison, c’est la chair qui suit les messages… Quand elle se lève d’une séance de délivrance et qu’on rentre avec elle, elle peut faire un semblant de regret, après on reprend notre cours normal dans sa vie.

« Dans la parabole des semences, il y a les graines qui sont tombées entre les rochers (les endroits pierreux), où il y a un peu de terre. Une telle semence pousse un peu, puis elle meurt. C’est exactement comme cela que la parole fonctionne, quand les désirs de la chair empêchent qu’elle s’enracine. Tu as fait quelque chose hier, ne répète plus jamais cela. Le gourdin que tu as dosé hier, ne refais plus jamais cela, au grand jamais ! Tout ce que j’ai cité, l’insatisfaction et autres, tournent autour de la chair. Elle vient s’asseoir pendant les cultes, elle écoute la parole. Hier, quand elle est rentrée, elle est partie s’asseoir. Ses frères… Je ne peux appeler ou dire qu’il s’agir de ses frères, parce qu’elle ne sait jamais sentie à l’aise dans la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté, ‘‘Église de tous les peuples’’). Elle n’a jamais considéré la maison-ci comme sa famille, parce que quand elle a un problème, elle préfère se confier aux gens du dehors, et non à la famille chrétienne. Donc elle fonctionne avec ses réserves, en se disant que dès qu’il y a un problème, elle peut appeler sa famille pour explique la situation. La chair et ses désirs peuvent-ils rompre avec les esprits familiers ?

« Qu’est-ce les esprits familiers utilisent le plus pour ramener les gens dans le nid familial ? C’est la chair et ses désirs ! On utilise cela, parce que même quand elle se décide à marcher avec votre Type (Jésus-Christ) et qu’elle rencontre l’obstacle, nous nous positionnons, nous, ‘‘la chair et ses désirs’’. Ainsi, au lieu de crier, d’appeler le secours du Père d’en haut (Dieu), elle ne le fait pas. Elle prend elle-même le problème en mains, car pour elle, elle doit trouver la solution d’elle-même. C’est comme cela que ‘‘la chair et ses désirs’’ influencent. Hier, quand tu as dosé le gourdin, elle s’est assise et elle s’est demandé : ‘‘ Pourquoi chaque fois que je me lève ou que je sors d’une délivrance, c’est la « bastonnade » qui est sur moi ?’’. Elle appelle cela la « bastonnade » (les appels du pasteur l’invitant à se convertir véritablement). ‘‘Pourquoi est-ce comme cela tout le temps ? Après elle laisse le questionnement et elle soupire en disant : ‘‘Je suis fatiguée’’. C’est ainsi qu’elle a commencé à appeler le nom de votre Type (Jésus-Christ), disant qu’elle est fatiguée. ‘‘ Aide-moi, je suis fatiguée, pardonne-moi…’’. On ne veut pas prononcer le nom de celui à qui elle criait. Elle pleurait, si tu voyais ses yeux ! C’est là qu’elle a bougé un peu, et que son esprit, qui est quelque part, a un peu bougé, un peu.

« Puisque tu poses la question, il y a effectivement beaucoup de coques vides ici dans l’assemblée. Il faut que la personne prenne d’abord un peu conscience, pour que le Père d’en haut (Dieu) agisse. Celle-ci (Carrelle PONGA) n’a jamais pris conscience, là où elle est. Son esprit est dans une bouteille. Il faut savoir que tous ceux qui sont passés chez les marabouts, comme elle, à qui les marabouts ont dit qu’ils enlèvent la malchance et autres, en les lavant, c’est plutôt leur esprit qu’on était en train de prendre. Celle-ci (Carrelle PONGA), son esprit est dans l’eau, dans les profondeurs, dans la bouteille. Même celle en qui je parle (Eugénie KAMANA), son esprit est gardé dans une bouteille, dans l’eau ; son esprit est gardé par la sirène des eaux. Il faut savoir que la chair, la coque vide, ne peut pas recevoir le Saint-Esprit. Donc, même si vous donnez à celle-ci (Carrelle PONGA) à lire La Réalité du Saint Esprit (livre écrit par le révérend par révélation divine, portant globalement sur le Saint-Esprit, la manière de le recevoir, les obstacles à sa réception, son langage, ses manifestations, ses œuvres et l’entretien ou le maintien de son feu chez le croyant) mille ans, elle ne va jamais recevoir le Saint-Esprit. Celle qui est derrière (Eugénie), c’est pareil, surtout avec l’histoire qu’on a encore mise, disant qu’elle a mal aux yeux, elle va lire quoi ? Elle a mal aux yeux, et quand elle met la Bible devant elle, c’est flou. Hier, on a même brouillé les ondes de la radio, qu’elle écoute constamment…

« Ce que tu racontes là (s’adressant à papa Olivier), à savoir que tu n’as pas eu de difficulté à lire La Réalité du Saint-Esprit et à être baptisé du Saint-Esprit, c’est parce que tu es venu ici étant effectivement à la recherche de vote Type (Jésus-Christ) ; on ne t’a pas forcé. Il faut donc d’abord que la personne elle-même accepte votre Type (qu’elle lui ouvre son cœur). Si elle n’a pas accepté, comment voulez que les bouteilles qui maintiennent son esprit captif se cassent ? Comment voulez-vous que les cages qui la maintiennent son esprit captif s’ouvrent ? Ces bouteilles et ces cages ne peuvent pas se casser, puisque c’est par là que leurs esprits familiers les maintiennent. Même si une telle personne est dans votre maison (même si elle vient à l’église), tu vas voir que ses esprits familiers vont revenir les chercher, comme cela avait été le cas pour celle-ci (Carrelle PONGA). Et quand ses esprits familiers étaient revenus la chercher (l’enlever de l’église), c’est en ce temps qu’elle voulait déjà s’ouvrir à votre Type (Jésus-Christ).

« Quand la chair et ses désirs sont en surface, tu vas par exemple voir quelqu’un prétendre qu’il n’a pas de problème avec son frère. Mais tu vas l’entendre dire : ‘‘Quand je suis passé, tel m’a regardé un genre’’, d’où les rancunes, les amertumes, etc. Un autre, quand il veut causer avec sa sœur ou son frère – qui est habituellement utilisé comme canal des délivrances prophétiques -, dira qu’il lie d’abord, pour que ce qui va se dire ne vienne pas sortir sur le ‘‘tatamis’’ (arène ou espace des délivrances prophétiques). Celle en qui je suis faisait cela, elle disait qu’elle lie, s’il y a quelque chose, qu’elle bande les yeux… Sachez que les esprits familiers utilisent les eaux et la forêt, pour y maintenir les esprits des uns et des autres captifs, en cage. Dans la forêt, il y a beaucoup de bruits et quand les esprits familiers partent y mettre les esprits en captivité, il y a les bêtes, qui se chargent d’assurer la garde. Et comme il y a beaucoup de bruits dans la forêt, quand la voix de votre Type (Jésus-Christ) tonne, ceux qui sont ainsi gardés dans les forêts peinent à entendre, d’autant que les animaux sont les gardiens de leur esprit. L’esprit du corps que je possède (Eugénie) est dans la forêt, où il y a les bruits, la distraction. Tous ceux et toutes celle qui sont dans une telle situation ne peuvent pas comprendre, quand la voix de votre Type (Jésus-Christ) tonne.

« L’esprit de celle-ci (Leila Élisée ÉKODÉ) est dans l’eau, et c’est la reine des eaux qui utilise sa coque (son corps). Et sa mère (maman Céline ÉKODÉ) doit faire, car elle n’habille pas sa fille avec les habits que doit porter un enfant. Quand elle habille sa fille, elle l’habille comme une femme. Dis-lui d’habiller sa fille comme une petite fille de son âge, car quand elle l’habille comme une femme, là-bas dehors, on la regarde comme une femme, non plus comme une enfant. Madame, habille-la comme un enfant de son âge. Car quand tu l’habilles comme tu le fais actuellement, dehors, l’homme ne voit pas l’enfant, mais l’homme voit une femme bien bâtie, belle. En plus, que porte-t-elle encore quoi ? Les talons ! Dans ces conditions, la reine des eaux est là en elle, à l’aise, et toi la maman, tu fais pour nous un bon travail. C’est pour cela que la jeune fille ne s’est jamais sentie à l’aise dans votre enclos-ci, que vous appelez maison…. NGOA, ce que tu as fait là n’est pas bien ! Normalement, ce n’était pas notre temps (…). Elle (maman Céline ÉKODÉ) n’est pas la seule qui, dans sa maison, habille ses enfants (ses filles) comme des femmes. Dis-je quelque chose ? Voici un autre exemple de jeune fille que la maman habille de cette manière ; je parle de la jeune fille qui arrête et qui me tend le micro… L’esprit de celle-ci (Reine) est dans la forêt. D’autres sont ou se sentent dans cette maison (le Tabernacle de la Liberté) comme des captifs dans une prison, c’est pour cela qu’ils ne peuvent pas être satisfaits. Quel que soit ce qu’on fait pour eux, ils ne peuvent jamais être satisfaits. Puisque leurs esprits sont captifs en forêt, ils ont souvent des réactions qui – ne cadrent pas avec la vie chrétienne normale -. Celle en qui je parle (Eugénie), son esprit est à la fois dans les eaux et dans la forêt. Depuis que je parle, chacun se reconnaît et sait que son esprit n’est pas en lui, ou en elle »

Vers la fin du culte, après avoir demandé aux fidèles de se séparer de tous les démons susmentionnés, le révérend les a aussitôt décapités, et il les a chassés en enfer. Merci Seigneur.

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CÈDE TON CŒUR À TON SAUVEUR ; SÉPARE-TOI DE LA RELIGION, DE LA RÉBELLION, DE LA CHAIR ET DE SES DÉSIRS, DU MONDE, DE L’INSATISFACTION… (Part 1/3)

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

À la suite du message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de GALATES 5 : 16-17, GENÈSE 28 : 6-7, 2 CHRONIQUES 20 : 20, le Seigneur a saisi plusieurs esprits impurs, à l’effet de libérer les fidèles de leur emprise. Saisi en premier et répondant aux questions posées par le révérend, l’esprit de religion a déclaré ce qui suit :

« C’est moi, je suis la Religion… Couchez-vous ici, mettez-vous à l’aise… Voyez-vous comment vous êtes bling bling ? Ne vous en faites pas ! Si on te faisait un peu la facicure (équivalent de la pédicure pour les soins du visage), si on t’enlevait les rides, tu devrais être bling bling, toi le vieux-ci…. Si on te montre le visage d’OYEDEPO quand il monte sur le pupitre (après une séance de facicure), tu ne vas pas croire que c’est un martin, parce que la facicure est passée… Tu ne vas pas reconnaître qu’il vient de Mars… Je suis au rendez-vous du donné et du recevoir. Je suis avec les gens-ci (parlant des démons personnifiant la chair et ses désirs). Ne parlez pas, si je ne vous ai pas donné la parole (s’adressant aux démons tantôt mentionnés, à qui le révérend demande de se présenter). On est dans le contingent de l’esprit de ruine. Laisse-nous tranquille… Je suis la Religion, je suis accompagnée de la Rébellion (l’esprit de rébellion). Crois-tu que le feu me fait peur ? Même si tu m’envoies le feu, il n’y a pas de problème, car je suis habitué au choc. Tu sais que c’est moi qui commande, moi la Religion. Je commande, et mon bâton de commandement c’est la rébellion. Effectivement, comme tu le demandes à le savoir, tous les religieux sont des rebelles, ne le savais-tu pas ? C’est pour cela qu’ils soutiennent les soi-disant rebelles dans les pays africains, comme au Congo démocratique.

« Si tu observes bien toute personne maléfique, tu verras que quand la situation a déjà cuit (quand les choses vont ou s’annoncent mal), elle fait le signe de croix. Je suis tranquille, je ne vais pas me plier pour un rien du tout. Les simples ne savent pas ce que le symbole de la croix signifie. Tu sais que la croix c’est d’abord la malédiction (cf. Galates 3 : 13), et quand tu es déjà maudit, tu jures d’aller jusqu’au bout dans ta malédiction, et le bout c’est quoi ? C’est l’enfer. Donc, le symbole ou le signe de croix que portent ou que font les uns et les autres, est un ascenseur qui leur donne l’atterrissage, directement, chez nous en enfer. On prend (on utilise) des choses simples pour avoir l’humain… Je suis la Religion, ai-je dit. Cite-moi les autres esprits de mon contingent, monsieur (s’adressant à papa Olivier). Je suis avec les autres (les autres démons), qui sont passés ici jeudi, à savoir : les esprits d’ignorance, de mort, d’aveuglement, de précipitation, de ruine, et le moi. Voilà le contingent qui est venu en premier lieu, et moi je viens fermer avec ma délégation, qui est composée des esprits représentant la rébellion, la chair et ses désirs. Les religieux ne connaissent pas la Bible, ils inventent des versets qu’ils attribuent à la Bible. Ils disent par exemple que dans la Bible, il est dit : « Aide-toi et le ciel t’aidera ». En fait ce sont là, non les paroles de la Bible, mais de la religion, et il y a des gens qui décident eux-mêmes de tuer leur conscience, de la tuer au dernier degré. Le monde c’est le libertinage, l’évasion, le laisser-aller ; voilà comment on se comporte chez nous ».

Vers la fin du culte, après avoir demandé aux fidèles de se séparer de tous les démons susmentionnés, le révérend les a aussitôt décapités, et il les a chassés en enfer. Merci Seigneur.

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – DÉPÈCEMENT DE LA MARQUE DE LA BÊTE (666), AVEC SES SECTES VERSEUSES DE SANG (ROSE-CROIX), ET LA SORCELLERIE

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (DIMANCHE 07 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Saisi dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, un esprit impur a affirmé ce qui suit :

« C’est pâ’a lucifer qui est notre papa… C’est moi, je suis le 666. Tu as eu la chance que je ne suis pas dans mes états. Tu sais que ces jours-ci, je ne pourrais pas m’envoler du ciel camerounais ; je suis seulement là… Je suis avec les Sectes, les Sectes les Sectes. Elles sont effectivement nombreuses, il s’agit des sectes dans lesquelles on boit le sang, comme la rose-croix. Tu sais que tant que la Grande maîtresse (l’esprit de la franc-maçonnerie) n’a pas fini la régénération, et c’est pour un temps… Il faut que la Grande maîtresse reprenne la relève. Cette maison (le Tabernacle de la Liberté, ‘‘Église de tous les peuples’’, nous l’avons fichée chez nous (en enfer, dans les abîmes). Vous n’allez pas vous en sortir, vous, les petits chrétiens, soi-disant. Vous n’allez pas vous en sortir. Il faut leur dire que chez nous en bas, quand quelqu’un parmi vous a essayé de lever le pied et a contribué au dépècement de la Grande maîtresse, il ne doit pas s’amuser, parce ce que si celui-là s’amuse, son cas risque d’être fatal… C’est effectivement la rose-croix qui fait actuellement la pluie et le beau temps en lieu et place de la franc-maçonnerie. Tu sais que nous on ne manque pas d’imiter à notre manière votre Type (Dieu). Il a dit : ‘‘Qui est-ce que j’enverrais-je ?’’, et toi-même tu sais qui s’était présenté. ».

Sans tarder, le révérend a invité l’église à se lever et à prier, afin de dépecer la rose-croix, les différentes sectes et les démons de sorcellerie venus suppléer la franc-maçonnerie. « Assemblée levez-vous ! A-t-il dit, mettez le feu sur la rose-croix, sur les différentes sectes, et même sur la sorcellerie. Le feu sur les sorciers du village ! Le feu sur tout ce qui fait le relais de la franc-maçonnerie, quel que soit le nom, quelle que soit l’appellation ! Envoyez le feu ! Émiettez ! Émiettez-les ! ».

Finalement, le révérend a décapité les démons personnifiant le 666, la rose-croix et les autres sectes, puis il les a chassés en enfer. Brisons constamment leurs renforts et leurs renouvellements !

DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : ATTENTAT DÉJOUÉ AU BURKINA FASO EN FAVEUR DU PRÉSIDENT IBRAHIM TRAORÉ

SÉMINAIRE DU MOIS DE SEPTEMBRE 2025 (SAMEDI 06 SEPTEMBRE), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (12ème partie)

Écroué dans le corps d’un jeune homme, un démon a avoué qu’il personnifie l’attentat planifié par la France au Burkina Faso, contre le Président Ibrahim TRAORÉ. « Je suis l’Attentat, je suis au Burkina Faso, c’est contre le Président, et c’est la France qui m’envoie là-bas. Je suis actuellement fatigué parce qu’un pied m’a porté, cela a fait le tourbillon, donc il faut que je retrouve mes esprits ».

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a préservé le Président Ibrahim TRAORÉ des manœuvres de la France, en décapitant l’esprit mis en cause, et en le chassant en enfer. Merci Seigneur !