SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Saisi dans le corps d’un jeune homme, l’esprit de mort a affirmé que sa mission est d’emporter veuve NDONGO et sa fille Cécile NEME. « Je suis la Mort, je suis dans une famille. Il y a une femme-là, que je cherche ici à l’église, celle dont le père avait dit qu’il irait au ciel avec 9 fort », a dit l’esprit de mort, d’entrée de jeu. Prenant la parole, veuve NDONGO a fait savoir que sa belle-famille, notamment le petit frère de son défunt mari et une autre dame résidant en Allemagne, lui ont porté plainte à Monatélé, parce qu’ils veulent s’accaparer des richesses que leur frère a laissé. « Ils disent que je suis comme une jeune fille, que je peux aller chez moi me remarier », a-t-elle ajouté.

Interrogée par l’esprit de mort sur la façon dont elle prend la chose, Cécile NEME a répondu qu’elle estime que les membres de la famille de son père, qui veulent leur arracher leurs biens (la maison construite au village et les plantations), sont simplement des fous. Bref, l’esprit de mort a fait savoir que veuve NDONGO et sa fille ont été posées à l’autel du sacrifice par les sorciers de la famille de son défunt mari, qui ont réussi à les atteindre à cause du fait qu’elles avaient déjà rétrogradé. À titre d’indices, celles-ci avaient déjà passé des mois et des mois, sans assister aux cultes, sans venir à l’église, parce qu’elles étaient davantage concentrées ou emportées et distraites par le procès et ses audiences. « Fille, reste tranquille, ce procès ne peut pas vous prospérer », a répliqué le révérend en s’adressant particulièrement à Cécile NEME.

L’esprit de mort a ajouté que du fait de leur relâchement dans la foi, la maison familiale des concernées, celle bâtie par le père ou l’époux au village, est devenue le lieu de prédilection, le site de réunion des sorciers : « La maison-là est le lieu de rencontre des sorciers. C’est là qu’on atterrit, c’est là qu’on prend les décisions. On a mis l’autel (du sacrifice) au centre de la maison, et c’est vous qui êtes posées sur l’autel en question, parce que vous êtes vides. La seule chose qui sauve les gens-ci, c’est la couverture qu’on met souvent (à la fin des cultes), sinon la mère, qui est assise, serait partie (morte) depuis. Elle sait elle-même comment elle sent son corps maintenant. Le sorcier ne peut pas vaincre Dieu, n’ayez pas peur, mais soyez fidèles à Dieu. Renouez votre foi, renouez votre confiance en Dieu, c’est tout », a rassuré et a exhorté le révérend. Veuve NDONGO a fait savoir que l’affaire a commencé à passer au tribunal sensiblement au mois février 2025. « Ils sont tous plaignants (la famille de son défunt mari). Celle qui dit qu’elle sort de l’Allemagne est allée donner de l’argent chez le sous-préfet, 500 000 francs… Ils disent notre maison c’est ici à Yaoundé, et qu’au village, je ne dois pas mettre pied là-bas… Le partage de la cacaoyère s’est fait en 1994, ils reviennent en force parce que leur frère est décédé », a-t-elle ajouté.

À son tour saisie comme démon et parlant dans le corps d’un jeune homme, dame Marthe MESSINA, qui réside en Allemagne, a déclaré ce qui suit : « Tu n’as encore rien vu (s’adressant à veuve NDONGO). Tu te plains, n’est-ce pas ? Tu n’as encore rien vu, tu vas mourir. Moi, je vais te tordre le cou. Tu as l’audace de parler de mon nom ! Me connais-tu bien ? Peux-tu prendre l’avion, traverser des km et arriver là où j’étais ? Tu perds la tête ! Tant que je ne t’ai pas ruinée au dernier degré… Je vais te tordre le cou (…) ».

Immédiatement, le révérend a élevé la prière en faveur des sœurs interpelées. « Assemblée, a-t-il dit, lève-toi, couvrons cette maman et sa fille dans le sang de Jésus. Merci Seigneur, parce que tu les renouvelles par ton Esprit. Oh Esprit saint ! Ouvrez vos cœurs à l’Esprit de Dieu, pour qu’il vous renouvelle maintenant. Cela ne coûte rien que vous soyez renouvelées. Soyez simplement disposées. Esprit saint, touche-les ! Remplis-les, au nom puissant de Jésus. Esprit de Dieu, habille-les de toi ! Habille-les de toi, habille-les de ta présence, au nom de Jésus. Merci Seigneur, merci Seigneur, merci Seigneur, pour ton Esprit qui les envahit. Soyez envahies, soyez enveloppées par l’Esprit de Dieu. Soyez enveloppées de la tête aux pieds, par l’Esprit de Dieu, au nom puissant de Jésus. Merci Seigneur ! Merci Jésus ! Merci Jésus ! Merci Jésus ! Merci Seigneur ! (Parler en langues) Merci Seigneur ! Alléluia ! Merci Seigneur ! Rien ne va vous arriver ! Vos ennemis sont déjà détruits. Allez-vous asseoir. »

Au nom puissant de Jésus, le révérend a finalement décapité l’esprit de mort et le démon suppôt de dame MESSINA, puis il les a chassés en enfer. Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Interceptés et exposés par le Seigneur, des démons, répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, ont déclaré qu’ils incarnent les divisions que Ferdinand NGOH NGOH (Secrétaire général de la Présidence de la République) et les membres du gouvernement veulent semer au sein de l’armée camerounaise.

Sans tarder, le révérend a invité l’église à se lever, à prier et à combattre, afin d’assainir l’armée camerounaise dans ses différents corps. Puis, au nom puissant de Jésus, il a sabré les démons mis en cause et les a chassés en enfer. Alléluia ! Merci Dieu !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

« C’est nous, nous sommes les Troubles, les Soulèvements, les Émeutes, les Guerres tribales. Nous sommes programmés… Nous venons du côté du Tchad, nous sommes programmés au Cameroun », ont déclaré ce jour des esprits impurs. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA a empêché l’accomplissement de leur mission, en les décapitant et en les chassant en enfer. Alléluia ! Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Nous bénissons le Seigneur, qui a exposé des démons chargés de provoquer des inondations à travers le Cameroun. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé ces démons, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Pendant le culte de ce vendredi, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a abordé une affaire mettant en lumière le faux, l’injustice, l’extorsion et l’escroquerie que plusieurs hommes d’affaires véreux font subir à des employés ou débrouillards, en complicité avec les forces de maintien de l’ordre, en l’occurrence la gendarmerie nationale (brigades, compagnies, etc.).

Cela dit, le révérend a pris le cas d’un fidèle du Tabernacle de la Liberté (frère Aurèle), livreur de pains, qui, au motif de manquants non attestés par des bordereaux de livraison et des documents comptables faisant foi, a été arrêté et mis en cellule au poste de gendarmerie d’Ebom, par le Directeur et les responsables de Noblesse SARL, une entreprise locale spécialisée dans la boulangerie, la pâtisserie, l’alimentation générale et la grande distribution. Il est vaguement reproché au frère Aurèle un manquant de 900 000 F CFA revu à 600 000 F CFA.

Quand il a été jeté en cellule à Ebom, il lui a été exigé, sans revue et vérification préalable des comptes, une avance d’environ 400 000 F CFA, comme condition de sa relaxe. Après avoir exposé cette affaire aux dessous scabreux, le révérend a invité les fidèles à prier, afin de détruire les manœuvres orchestrées contre les citoyens par les hommes d’affaires (les propriétaires de Noblesse SARL) et les forces de maintien de l’ordre (la compagnie de gendarmerie d’EBOM), d’une part. D’autre part, la prière visait à sceller la ruine de la société Noblesse. Voici l’extrait de cette prière : « Ce pays, est le pays de Dieu, et ceux qui ne sont pas encore convertis doivent l’être. La Bible dit que là où le péché a abondé, la grâce de Dieu a surabondée. En réalité, le mal a vraiment abondé dans ce pays, le Cameroun. Hier, après la phase des délivrances, on m’a tenu informé d’une situation à laquelle l’un des enfants ici (Tabernacle de la Liberté) a été victime. La chose en question n’est pas nouvelle. J’en parle parce que les faits se sont passés tout près de moi. Je parle donc pour dénoncer. Cette boulangerie dénommée Noblesse et toutes ses filiales, qui prennent l’argent des innocents, sont maudites au Nom de Jésus ! L’ARGENT qu’ils ont pris aujourd’hui entre les mains de ce jeune homme, est contre eux. Cet argent qu’ils sont pris aujourd’hui est la source de leur chute. Et ils deviennent misérables au Nom de Jésus ! D’après les faits, il lui a été demandé de payer la somme de 900 000 F CFA pour obtenir sa liberté, suite à une plainte déposée contre lui par les dirigeants de la boulangerie NOBLESSE située à l’entrée Simbock. Et comme si cela ne suffisait pas, après même que le jeune ait payé cette somme, il lui a été exigé cette fois-ci de donner les pistes permettant de traquer les autres ouvriers de la Boulangerie qui seraient recherchés.

« N’est-ce pas là un abus ? Nous mettons le feu sur ce réseau ! Le feu de Dieu calcine tous ceux qui sont pareils ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le feu de Dieu ! Le commandant MBIDA AVELE Thomas Georges est calciné au Nom de Jésus ! Il est calciné ! Leur vie d’escroquerie est exposée au Nom de Jésus ! Merci Seigneur parce que Tu rends justice à tous ces innocents qu’on a eu à dépouiller ! Seigneur, tu rends justice à tes enfants ! Nous te faisons confiance parce que Tu as écouté nos prières. Nous dispersons les personnels et responsables de la boulangerie Noblesse ! Nous mettons le feu sur eux ! Ils sont dispersés par le feu ! Le feu ! Le feu de Dieu sur eux ! Nous mettons le feu sur tous les gendarmes corrompus de Compagnie d’Ebom ! Qu’ils soient tous traqués au Nom de Jésus ! Nous mettons le feu sur eux ! Le feu ! Le feu de Dieu sur eux ! Ils sont calcinés par le feu au Nom puissant de Jésus ! Merci Seigneur parce que Tu venges ton peuple ! Tu venges ton peuple ! Tu venges tes enfants Seigneur ! Réponds à leurs ennemis ! Ce qu’ils ont fait aujourd’hui met fin à leur business, à leur escroquerie !

« LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES ! LA BOULANGERIE NOBLESSE TOMBE AVEC TOUTES SES FILIALES, AU NOM DE JÉSUS ! Merci Seigneur, parce que tu nous écoutes et tu nous exauces. Le Cameroun a besoin des gens honnêtes, intègres ! Dieu nous a écoutés aujourd’hui, vous aurez des nouvelles ! ».

En exaucement à cette prière, le Seigneur a saisi les démons incarnant l’unité maléfique, la corruption, le vol, l’injustice, le faux, l’impunité. Écroués dans le corps d’un jeune homme, ces démons ont répondu aux questions posées par le révérend, et ils ont déclaré ceci : « C’est nous : ‘‘ l’Unité dans le mal’’, la Corruption, le Vol, l’Injustice, l’Impunité. C’est nous, comme tu nous vois là. Tu as abordé un sujet qui nous est propre, le sujet concernant ton fils, ton fils, ton bien-aimé fils, qui était en partenariat avec Noblesse. Ah ! Tu sais que quand tes enfants… Ce qui… As-tu vu comment on a utilisé celui-là qui était dans les situations ? Parfois, quelqu’un est pressé, vois-tu un peu ? Quand quelqu’un ne connaît pas attendre le temps convenable, il veut aller plus vite que le temps marqué par votre Type (Jésus-Christ). Quand c’est le cas, vous vous retrouverez dans des situations comme celle-là. Je m’explique. Moi qui parle, je suis l‘‘Unité dans le mal. Tu vois que quelqu’un se lève le matin, il a l’habitude d’avoir une certaine intimité avec votre Type (Jésus-Christ), Mais il arrive un moment où l’amour de l’argent fait en sorte que tel ou tel oublis ce qui est important dans ton existence. Et qu’est-ce qui le plus important dans l’existence d’une personne ? En qui l’être humain, en qui le chrétien doit-il se confier ? Il doit se confier en celui qui sa bannière, son tout. Quand tu te lèves, tu pars, tu oublies celui qui est ta bannière, ton tout (Dieu Créateur), il te met dos au mur face à ce que tu désires plus que lui ? Alors, tu vas aller faire un faux pas, et c’est là que tu reviendras en toi.

« Tu sais que c’est la prière d’hier qui a sauvé l’enfant-là (frère Aurèle). On était là où on était, et les chaînes ont commencé à se briser. On était dans un village. C’est la prière qui l’a sauvé, la prière que tu as faite, disant : ‘‘Tous ceux qui méditent du mal contre toi, leur mal retourne contre eux-mêmes. C’est cette prière qui nous a faits telle que nous sommes, sinon il devait confirmer. Il se lève, il part là où il est parti, et il embrasse les gens pour embrasser. Voilà le salaire ! Il a eu de la chance. Tu sais que les esprits familiers ne dorment pas, nous sommes unis dans le mal. Si on te demande qui on cherchait, au point qu’on a proposé de l’argent (combien) à ton fils pour qu’il livre la personne ! Le responsable de Noblesse ne savait-il pas là où se trouvait la personne ? Les gens-là le savaient, mais ce n’est pas cette personne qu’on voulait. On voulait plutôt éprouver ton fils, on voulait qu’il cède et qu’il prenne les 100 000 francs qui lui étaient proposés. Les Mbouda qui travaillent à Noblesse sont des esclaves. Pourquoi as-tu fait ce genre de prière ? Pourquoi dis-tu que les structures et les famla-men comme Noblesse vont tomber ? Crois-tu qu’on vous laissera encore que quelqu’un d’autre soit sauvé (dans la famille DOUANGLA), comme ton fils a été sauvé ?

« Le Famla ne peut pas louper l’autre ci. Vous avez l’habitude d’envoyer les gens dans la ‘‘Rigole’’ (allusion péjorative au ciel), mais cette fois-ci, il n’y aura pas moyen d’envoyer quelqu’un d’autre dans la rigole, en ce qui concerne la maison de la veuve joyeuse (veuve DOUANGLA, maman Nadège). Ils travaillent le famla, c’est pour gagner quoi ? Il travaille pour le compte du boss, celui-là peut te dire qu’il gagnait quoi ? On doit prendre l’un des deux (Fabrice ou Willy) avant la fin de l’année. La dernière fois, comme on s’est retrouvé avec deux cercueils dans la morgue, le tour-ci, ce sera quatre cercueils. Les deux-ci (Fabrice et Willy) n’auront pas le temps de souffrir comme l’autre a souffert (par la maladie), car vous allez prendre les pelles bêches pour aller ramasser la chair au goudron. Tu parles même à qui ? Parles-tu à celui qui est habillé en blanc/noir ? Celui qui est vêtu de blanc et de noir (Fabrice) est encore un peu sur terre. Par contre, celui qui est habillé en jaune (Willy) n’est plus là, il est déjà parti ; attendez la fin de l’histoire. Les ouvriers de Noblesse s’appellent Kalangong (esclaves).

« La dernière fois, c’est le pied (de Willy) qui s’était déformé. Cette fois, ce ne sera plus seulement le pied, il partira (mourra) une fois. Celle-là même qui témoigne – du famla qu’elle a vécu à Noblesse – était déjà l’ombre d’elle-même… Bien sûr qu’on fait aussi les arrestations à minuit. Ceux des employés de Noblesse qui ont été arrêtés à minuit étaient six, à cause d’une boîte de lait qui a disparu. Il leur fallait payer la boîte de lait volée, ce qui revenait à la somme de 300 000 francs…. L’autre dont on parle s’appelle kalangong Fabrice. Il ne travaille pas seulement comme kalangong, il est lui- même kalangong. Les responsables de la société Noblesses et autres sont des voleurs. Ils sont des voleurs en tout. La machine tourne, l’électricité est consommée, ils ne payent pas la lumière, mais ils ne sont pas capables de traiter dignement les employés. Comment me suis-je appelé ? Je me suis appelé ‘‘l’Unité dans le mal’’, car c’est sans frontières, voilà pourquoi la compagnie de gendarme d’EBOM (à Ahala) s’entend avec Noblesse, située à l’entrée Simbock. Normalement, les responsables de Noblesse doivent traverser la brigade de gendarme de Mendong pour aller porter plainte à Ahala ? Combien ont-ils traversé de gendarmeries dans les environs ? Noblesse est la boulangerie des gendarmes d’Ebom… Ceux qui sont censés protéger les citoyens, sont encore là pour les dépouiller. Quelle image ? Quel exemple ? Quel modèle donne la gendarmerie ? ».

Le révérend a répliqué par cette prière : « C’est fini pour Noblesse… Noblesse ne se relève pas, Noblesse est ruinée ! Noblesse a poussé le bouchon trop loin, avec les gendarmes d’Ebom… Nous te disloquons leur unité maléfique. Assemblée, lève-toi. Comme les démons-là sont en surface, il faut les saccager, Noblesse est finie aujourd’hui, et le commandant de gendarmerie d’Ebom est également fini. Ils descendent tous ! Mettez-leur le feu ! L’unité maléfique est saccagée ! Saccagez cela, au nom de Jésus ! Nous disloquons et nous saccageons le faux, l’injustice, la corruption, l’impunité, au nom de Jésus ». Finalement, au nom puissant de Jésus, le révérend a décapité tous les démons susmentionnés, puis il les a chassés en enfer. Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et tiré de NOMBRES 24 : 20, MARC 8 : 36 – 37, le Seigneur a saisi les démons personnifiant l’équation maléfique ou enférique de l’éternité. Écroué dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions posées par le révérend, le porte-parole du groupe a déclaré ce qui suit :

« Il paraît qu’on nous appelle l’Équation ; on s’appelle l’Équation en vue l’éternité. Nous sommes une cohorte de démons, voilà ! Quand on parle de l’éternité… Laisse-nous nous présenter, ne nous étouffe pas ! Quand on parle d’éternité, toi-même tu sais qu’elle peut être l’éternité d’en bas (en enfer) ou d’en haut (le ciel, le paradis). Nous sommes l’Équation. On cherche le Moi (le démon personnifiant le moi) et l’autre collègue. Moi qui parle, je suis la ‘‘Précipitation’’. Je t’ai dit que nous sommes une cohorte de démons. On forme un seul bloc responsable de l’échec des chrétiens, du blocage des chrétiens, pour qu’ils n’aient pas accès à la vie éternelle. Les autres qui sont venus hier n’ont rien à voir avec nous. La ‘‘Convoitise’’ et le ‘‘Moi’’ n’ont rien à voir avec nous. On est comme une tour forte : la ‘‘Précipitation’’, ‘‘l’Immaturité’’… On est nombreux, comme tu nous vois. On ne cite que ceux parmi nous qui sont capables de faire quelque chose. Quand nous disons que nous sommes ceux qui sont ‘‘capables de quelque chose’’, c’est pour dire que nous sommes ceux-là qui nuisent gravement à la santé (spirituelle) du chrétien. Personne parmi nous n’est ‘‘facile’’. Les autres esprits qui nous forment notre groupe sont le ‘‘Monde et ses attraits’’, les ‘‘Désirs de la chair’’… Pourquoi veux-tu qu’on te cite tout le monde qui nous accompagne ? On a cité ceux qu’on pouvait citer, reste donc tranquille, car le reste ne te concerne pas… Moi qui prends à présent la parole, je suis l’esprit de rébellion ; c’est moi qui ai déjà pris les devants. Est-ce à moi que tu t’adresses ? ».

Au nom puissant de Jésus, le révérend a décapité le démon personnifiant la rébellion, puis il l’a chassé en enfer. Les autres démons quant-à eux ont été mis en cage. Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Interceptés par le Seigneur et encellulés dans le corps d’un jeune homme, des démons chargés de provoquer des accidents ont déclaré qu’ils ont été invoqués au Cameroun par leur ami Jean Ernest MASSENA NGALLE BIBEHE, Ministre des Transports. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé ces démons, en les décapitant et en les chassant en enfer. Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (VENDREDI 1er AOÛT), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Saisi dans le corps d’un jeune et répondant aux questions posées par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, un démon vecteur de poison a affirmé ce qui suit :

« Ne nous manque pas le res… le mépris, comme tu nous vois là. Vois-tu ? Nous sommes… Il ne faut pas nous manquer le respect, dis donc ! Je suis le ‘‘Poison’’. Je suis quelque part. Je suis le ‘‘Poison’’. Il y a quelqu’un là, que je cherche. La personne en question est dans ta maison. C’est un père d’enfants, il travaille avec les gens-ci, les gens de la Communication. Le poison est frais-frais. Celui que je cherche est noir. Je suis frais-frais, j’ai atterri ce jour, comme tu me vois là. Celui que je chercher est noir (frère Patrick MFOUMOU), croyais-tu qu’il a fait le maquillage entre temps ? J’ai été envoyé par les gens avec qui il travaille, les gens de la présidence. Tu sais qu’il y a beaucoup de choses, je veux dire qu’il en sait déjà trop ; je suis en train de te dire qu’il en sait déjà trop sur nos choses, le comprends tu ? Il en sait déjà un peu trop.

« Connais-tu ? Il y a un type qui a la tête rasée comme toi, on l’appelle KAMGAING Jackson. Le connais-tu bien ? Dis-tu qu’il n’est plus là ? Vous rêvez ! Il n’est vraiment plus là de corps, mais l’atmosphère n’est que composée de lui, comme je te le dis. S’il n’est plus là physiquement, l’atmosphère n’est que remplie de lui. KAMGAING Jackson a donné le poison que j’incarne à la personne avec qui travaille, en partenariat, main dans la main, celui que je cherche. Ces jours-ci, il y a une personne qui est régulièrement en conversation avec celui que je cherche, et celui que je cherche croit que celui qui porte le poison est quelqu’un de simple. Or, on a pris le temps de façonner de composer, on a pris le temps de formater, on a pris le temps de fabriquer, on a conçu l’ange. Et c’est cet ange-là qui me porte. Il est arrivé à un moment qu’ils causent ensemble, et qu’il ouvre lui-même son cubitenaire pour parler. Ton fils-là ne sait pas ce qui l’attend. C’est bien parce qu’il n’est pas là ».

Au nom puissant de Jésus, le révérend a préservé frère Patrick, en décapitant le démon mis en cause et en le chassant en enfer. Merci Seigneur !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (JEUDI 31 JUILLET), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

Vers la fin du culte de ce jeudi, le Seigneur a saisi l’esprit de mort, et ce dernier a interpellé certains fidèles dans la diaspora, et au sein de l’assemblée locale. Cet esprit de mort a pris la parole en ces termes :« C’est moi, je suis la Mort. Je suis là contre les gens de la maison-ci (le Tabernacle de la Liberté), car ils ne sont pas supposés voter. S’ils doivent voter, ils doivent voter en bas (en enfer). Je veux dire que les esprits familiers m’ont délégué dans la maison ci, pour que certaines personnes partent voter en bas. On commence dans la diaspora, on commence par la belle fille chérie, c’est ‘‘une qui ne voit rien’’. La personne se connaît. Où est celle qui aime ‘‘Oui papa’’ ? Si elle est béninoise, tant pis ! Ivoiriens et béninois, ce sont les mêmes gens, de la même bassecour. Qu’est-ce qui se passe ? Je vais te rafraîchir la mémoire. Qu’est ce qui s’est passé il y deux semaines, belle fille chérie ? Il y a eu quoi entre temps ? Qui t’a appelé entre temps ? »
– Pasteur Caleb : mais tu as parlé des gens qui vont voter ! Va-t-elle voter ici au Cameroun, ou sera-ce dans là-bas dans la diaspora ?
– L’esprit de mort : vous êtes terribles ! Vous êtes terribles… Donc pour toi… Tous les gens que je vais appeler maintenant, les gens de la maison-ci, forment le Cameroun. C’est la maison-ci qui fait le Cameroun. Les véritables électeurs de base, c’est la maison ci. Suis-je folle, moi la Mort, quand je dis qu’ils vont voter en bas ? Regarde comment elle ouvre la bouche. Elle réfléchit, elle pense, pourtant elle connaît de quoi je parle. Elle doit se rappeler elle-même, je ne vais rien lui dire… Réfléchis bien, tu as reçu un message ces jours-ci, venant de quelque part. C’était un colis empoisonné.
– Sœur Pierrette : il y une nièce que j’avais gardée avec moi. Elle m’avait écrit, disant que je lui fasse signe, lorsque je serai en vacance à Cotonou, pour qu’elle vienne me voir. Apparemment, cela a eu lieu il y a deux semaines environ.
– L’esprit de mort : vous me prenez souvent comme le faux billet… C’est un colis empoisonné.
– Sœur Pierrette : actuellement, on est à Natitingou, mais on pense aller ce mois d’août à Cotonou, pour préparer la rentrée des enfants
– Pasteur Caleb : n’embrasse pas le colis empoissonné…

– L’esprit de mort : il y a encore trois personnes que je cherche dans la diaspora. Parton chez l’autre, je ne sais pas si c’est un Mbouda. Je parle du Bamiléké sénégalais (…). Je dis hein, quand toi-même tu dors et que tu rêves, vois-tu comment les rêves-là se présentent ces jours-ci ? Ce sont des beaux rêves, n’est-ce pas ? Je t’ai posé la question, réponds, et je conclue.
– Frère Bertrand TCHANCHE : je ne me rappelle pas.
– L’esprit de mort : c’est bien parce que tu ne te rappelles pas. N’as-tu pas osé manger quelque part, dans tes rêves ? L’autre (sœur Pierrette) a également dit tout à l’heure qu’elle ne se rappelait pas. Quand tu vas te rappeler que c’était quelque chose comme un festin, comme une fête… C’était très beau à voir, mais derrière ! C’était toujours dans les rêves.

– L’esprit de mort : allez à présent chez la mère-ci. Il y a une bamiléké qui aime nous envoyer le feu, avec un foulard sur la tête. Toi qui aimes dire ‘‘Le feu dans ta bouche’’, es-tu là ?
– Maman Hélène TCHIAPPI : le feu dans ta bouche !
– L’esprit de mort : la mère-ci, c’est à toi que je parle.
– Maman Hélène TCHIAPPI : n’as-tu pas fait crash au désert ?
– L’esprit de mort : je n’ai pas fait, parce que j’ai contrôlé mon aviation avant de décoller. La mère-ci, parle comme tu le fais, mais sache tu dois d’abord te débarrasser (du relâchement), car ces jours-ci, ta température a baissé. Donc, le crash que je vais faire au désert, ce sera avec toi, si tu ne remontes pas ta température… Quand je dis qu’elle a baissé (expliquant au révérend), c’est parce qu’elle s’attarde sur certains détails, au niveau des bobos qu’elle a dans le corps, du corps qui fait mal à gauche et à droite. Les choses sur lesquelles elle ne s’attardait, elle s’y est attardé ces temps-ci. Tu sais qu’on attend les petites choses comme celles-là pour accuser, pour doigter le concerné. À cause des bobos, elle sent la fatigue, et elle se dit qu’un peu de sommeil ne fera pas du mal. Du coup, je fais crash (avec elle) au désert.

– L’esprit de mort : technique, reviens ici au pays. Garçon (Georges TINGUE), es-tu là ? Tu avais pris la course –chrétienne -. Cours-tu normalement ? Dis-le à ton père : cours-tu normalement ou as-tu ralenti ? As-tu freiné ? La course de l’enfant c’est le matin.
– Frère Georges : je me repens auprès de Dieu… Je disais que je suis un peu en baisse, je me repens.
– L’esprit de mort : et c’est cela ton travail… Toi-même tu sais que tu travailles, n’est-ce pas ? Et maintenant, tu vois que tu n’offres rien à ton Père (Dieu Créateur) sur le temps que tu lui as donné. Ce que tu trouves à faire, c’est de dormir… Il est debout, mais son esprit est plongé dans le sommeil. Il ne doit pas dire qu’il dort, car il est vraiment plongé dans le sommeil. Bientôt il va entrer dans le mode coma…

– L’esprit de mort : comment as-tu su que c’est toi que je venais chercher (s’adressant à sœur Berthe) ? Dis à ton père si tout va bien. Tout va-t-il bien ? Dis-le à ton père,
– Pasteur Caleb : tu dis quoi ?
– Sœur Berthe : non papa
– L’esprit de mort : qu’est ce qui ne va pas bien ?
– Sœur Berthe : je suis un peu préoccupée par ma carte nationale d’identité. Cela me distrait un peu.
– L’esprit de mort : c’est de loin que les ‘‘oncles, les tantes, les cousins, les cousines’’ (les esprits familiers) ont vu la faille ouverte. À cause ce quoi ? La faille est grandement ouverte.
– Sœur Berthe : chaque fois que je fais la carte, elle ne sort pas, car j’ai un problème de double identité…
– L’esprit de mort : la carte ne sort pas parce que ce n’est pas ton acte. Tu ne comprends pas quoi ?
– Sœur Berthe : l’acte que mon géniteur m’a remis la dernière fois, il m’a dit que c’est mon vrai acte. Mais au commissariat, la dame m’a fait savoir que c’est la photocopie non l’original de l’acte. Elle a dit qu’il faut que j’aille chercher la souche.
– L’esprit de mort : et alors ? Tu ne comprends pas quoi ? Continue à réfléchir, il y a les appartements en enfer. Perds la paix
– Pasteur Caleb : Berthe, reste tranquille. Tu ne m’as même pas dit ce qui se passe… Les amis, restez tranquilles. Cet esprit de mort ne peut pas vous emporter, mais restez tranquilles. Chacun en ce qui le concerne, levez-vous et remettez-vous au Seigneur. Repositionner les pendules de votre chrétienté. Merci Seigneur.

Finalement, le révérend a stoppé l’esprit de mort, en le décapitant et en le chassant en enfer. Alléluia !

SÉMINAIRE DU MOIS D’AOÛT 2025 (JEUDI 31 JUILLET), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (11ème partie)

« Je suis le Coup d’État. Moi qui parle là, je suis destiné au Mali. Je suis envoyé par la Main droite de tous les temps, son nom c’est la France », a déclaré ce jour un démon vecteur de coup d’État. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a stoppé ce démon, en le sabrant et en le chassant dans les abîmes. Merci Seigneur, toi qui préserves le Président Assimi GOÏTA des manœuvres de la France. Alléluia !