SÉMINAIRE DU MOIS DE MAI 2025 (VENDREDI 02 MAI 2025), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (8ème partie)
À la suite du message prêché ce jour par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et inspiré GENÈSE 25 : 29-34, le Seigneur a saisi l’esprit personnifiant l’arbre du mal. Écroué dans le corps d’un jeune homme et répondant aux questions du révérend, cet esprit a déclaré ce qui suit :
« Quand tu vois un étranger arriver, tu dois d’abord le saluer, c’est cela la règle de morale. Tu n’as donc pas à me voir venir et à demander : ‘‘Toi c’est qui ?’’. Moi qui parle, je suis l’Arbre du mal, comprends-tu ? Tu sais que c’est comme ça qu’on m’a conçu (…), parce que ma représentation est dans chaque être qui vient sur la terre des vivants. Je suis alimenté, ou alors, mon soubassement est constitué des us, des coutumes, plus la tradition. Du coup, quand je suis en une personne, la sève qui coule en elle, c’est la religion, et la religion enfante différents fruits, qui sont les fruits de la chair. Donc, on était un groupe, mais les autres sont venus depuis dimanche (les esprits familiers, et les ‘‘Forteresses’’ telles que l’ignorance, la négligence, la naïveté). On est venu pour ton programme (le présent séminaire). Les esprits familiers sont arrivés depuis dimanche… Ce que tes enfants (les fidèles) doivent comprendre, c’est qu’ils naissent et trouvent le soubassement des us, des coutumes et de la tradition. Ils naissent sous leur emprise. Maintenant, s’ils familiarisent avec les us, les coutumes, la tradition, s’ils leur donnent la possibilité de contrôler leurs vies, alors ils prendront le dessus sur eux. Et souvent, les us, les coutumes et la tradition ont toujours eu le dessus sur eux.
« Les uns et les autres sont nés sous le manteau du péché, et ils n’ont jamais confessé le nom de votre Type (Jésus-Christ). Parce qu’il faut savoir que du moment où une personne confesse ce nom, le soubassement des us, des coutumes et de la tradition s’émiette, se disloque, et le soubassement devient le Roc (la parole de Dieu). Désormais, la sève qui va couler en la personne ce n’est plus la religion, mais c’est le Saint-Esprit, pour donner les fruits de l’Esprit… Tu veux savoir de quel ‘‘Saint-Esprit’’ parlent les catholiques, puisqu’ils sont dans la religion. Toi-même, si on te disait nous et nos gens (les catholiques) avons le Saint-Esprit, pourras-tu le croire ? Si on te disait que l’Esprit Saint est dans un corps mauvais, peux-tu l’accepter ? Le véritable Saint-Esprit n’existe pas dans notre monde. Quand les catholiques, leurs évêques, archevêques ou nonces apostoliques parlent du Saint-Esprit, ils font allusion à la fille aînée de la Franc-maçonnerie (donc à la religion, en l’occurrence le démon du catholicisme). Je t’ai dit que c’est la religion qui coule comme sève dans l’arbre du mal. Quand ils parlent donc du ‘‘Saint-Esprit’’, ils font allusion au catholicisme…
« Les vrais africains sont contents d’Ibrahim TRAORÉ, mais tous ceux qui sont dans notre camp ne sont même pas un peu contents de lui… J’étais en train de t’expliquer, comme tu le disais aujourd’hui, que la majorité des fidèles sont encore dans le soubassement des us, des coutumes et de la tradition, soubassement qui est lui-même alimenté par la sève de la religion. Or, quand ils viennent à votre Type (Jésus-Christ), le soubassement des coutumes est disloqué, et le soubassement devient le Roc. Quelle est la véritable définition du Roc sur lequel ils sont supposés se hisser ? C’est la Parole, et toujours la Parole. Il y a trois mots principaux qui définissent ce Roc, car votre Type (Jésus-Christ, le Roc) dit qu’il est le chemin, la vérité et la vie. C’est la vérité qui au centre, et c’est elle qui définit la qualité du chrétien. Mais la majorité des gens préfèrent donner la première place aux us et aux coutumes, pour que les us et les coutumes contrôlent leurs vies, et en fassent ce que bon leur semble. C’est la raison pour laquelle ils ne sont pas capables de se défaire de leur passé proche ou lointain. C’est la raison pour laquelle d’autres reculent sans avancer.
« Il y a un enfant qui s’est échappé de nos mains (frère Arnaud Odilon MELI), devant les portes de l’enfer. L’enfant-là nous a échappé ! Sais-tu ce qui a fait qu’il nous échappe ? C’est le fait que, dans son dernier ‘‘ouf’’ (soupir, expiration), il a appelé le nom de votre Type (Jésus-Christ), qu’il se souvienne de lui. Et c’est ce nom qui l’a sorti de l’enfer où il allait. On était dépassé ! Devant les portes de l’enfer ! Je te dis que l’enfant-là nous a échappés. Tu sais que, c’est dimanche passé que le cœur de cet enfant s’est ouvert. C’est comme s’il sentait que quelque chose qui ne donnait plus. Dimanche passé, on a dit que la semaine-ci ne doit pas finir – sans qu’on ne l’ait fauché -, nous, les esprits des us, des coutumes et les esprits familiers. Mais à la porte de l’enfer, il a crié le nom-là (le nom puissant de Jésus). Dès qu’il a crié ce nom comme l’éclair, il y a aussitôt eu métamorphose. On ne sait même pas comment cela s’est passé. Ça nous fait mal ! Nous avons raté la viande ! Nous avons raté la viande ! De tous tes enfants (les fidèles), personne n’a compris qu’il y a eu échappatoire, qu’il nous a échappé.
« Beaucoup de tes enfant ne comprennent pas souvent la réalité-là, qu’ils doivent faire appel à votre Type (Jésus-Christ). Ainsi, quand celui-là est devant une situation, il ne laisse pas Celui (Jésus-Christ) qui est supposé l’aider à porter son fardeau. Il donne plutôt la place au mal qui est en train de le ronger. Nous sommes en train de prendre l’exemple du ‘‘voleur’’ qui s’est envolé devant les portes de l’enfer. Il est tombé, il a étouffé, et il n’a pas crié : ‘‘Ah ! Le mal-ci’’. Il a plutôt crié le nom de votre Type (Jésus !). Il sentait cet étouffement depuis. Quand il est tombé, c’était juste le point final. Quand il y a une telle situation, comme ce problème d’étouffement, on appuie pour finir une fois avec la personne. Et tu sais qu’on cherche ces enfants ! S’il descendait en enfer, le traitement qu’on devait lui donner n’allait pas avoir de nom. Mais c’est le ‘‘ouf’’ de la dernière minute-là (qui l’a sauvé) ! Il a dit : ‘‘Ici, je ne peux pas !’’ ».
Finalement, le révérend a mis les différents esprits susmentionnés en cage. Merci Seigneur !