[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (DIMANCHE 10 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (17e partie)
L’actualité renseigne que la Banque mondiale a à nouveau débloqué un crédit de 168 milliards de F CFA, pour la reconstruction intégrale du tronçon routier Mora-Dabanga-Kousseri, situé sur la nationale numéro 1. Ce tronçon est d’une importance à ne plus démontrer, quand on sait que la route nationale numéro 1 représente un véritable poumon économique dans la sous-région Afrique centrale, puisqu’elle permet par exemple la desserte des marchandises qui partent du port de Douala, et ouvre sur des pays comme le Tchad, le Nigéria.
Lancés et interrompus en mai 2014 à la suite d’une attaque (par Boko-haram) de la société chinoise Sinohydro alors chargée d’exécuter le marché, les travaux de réhabilitation du tronçon Mora-Dabanga-Kousseri ont été relancés en mars 2018, après quatre années d’interruption, et ils ont été confiés au Génie militaire, pour un linéaire de plus de 200 km. Des entreprises (PAC International, Millenium et Sombti) ont également été recrutées en urgence comme sous-traitants par le Ministère des Travaux publics, afin de boucler les travaux au plus tard à la fin du mois de juin 2020. Malheureusement, depuis la relance de 2018, les milliards sont parties en fumée, car les détournements de fonds ont sapé et empêché la réalisation de ce projet de réhabilitation initialement financé par la Banque mondiale à environ 70 milliards de F CFA.
À présent qu’une nouvelle dette de 168 milliards de F CFA a été contractée auprès de la Banque mondiale, mais cette fois-ci pour la reconstruction (et non plus pour la réhabilitation) intégrale du tronçon routier Mora-Dabanga-Kousseri, on se pose des questions sur l’usage et la gestion qui seront réservés aux fonds ainsi alloués, dans un environnement où les projets sont souvent transformés en « mangeoires » par les ministres et par les inconditionnels de la mafia. Cette gestion et cet usage seront-ils rationnels, efficaces, transparents, sains et efficients ? Considérant ces interrogations, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a porté le dossier en prière, et l’Éternel Dieu a exposé les entités et les acteurs prédisposés à faire couler le projet :
— « L’ESPRIT DE VOL » : saisi dans le corps d’une jeune dame, cette entité maléfique a déclaré que des ministres comme Emmanuel NGANOU DJOUMESSI (Ministre des Travaux publics) et le Directeur du Génie militaire (le colonel Jackson KAMGAIN) s’apprêtent à voler à nouveau tout l’argent du projet, lequel englobe, d’après des informations données par monsieur Patrick MFOUMOU EKAE, un pont de 300 mètres de longueur, des écoles et des centres de santé au bénéfice des populations riveraines. Fidèle du Tabernacle de la Liberté, monsieur Patrick MFOUMOU a une bonne connaissance du dossier ‘‘Mora-Dabanga-Kousseri’’ et des réseaux de vol y affiliés, car depuis l’an 2017, il y a assumé diverses charges et fonctions, notamment dans le domaine de la gestion des ressources humaines, de la coordination administrative, juridique et marché. Interrogé par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, monsieur Patrick MFOUMOU a relevé qu’à lire les attitudes et les réactions, on sent bien que les uns et les autres veulent effectivement renouer avec le vol et la mauvaise gestion du projet, puisqu’une entreprise compétente n’a véritablement pas encore été désignée, et que les prestataires de l’ancien marché réclament des impayés oscillant autour de 5 milliards de F CFA.
Bien que le colonel KAMGAIN Jackson et le Génie militaire avaient déjà été définitivement écartés de l’ancien projet, l’esprit de vol a indiqué que ce colonel (Directeur du Génie militaire) n’est cependant pas parti, et cherchera encore à voler dans le nouveau projet, à partir des entreprises prête-noms. L’esprit de vol a également relevé que les bailleurs de fonds (la Banque mondiale et compagnie) savent bien que la menace est réelle, et que l’argent pourrait être volé comme d’habitude. Cependant, il a été noté que le vol arrangerait ceux qui ont prêté l’argent au Cameroun, puisque cela contribuerait davantage à mettre les camerounais en colère, et à les soulever contre le Président Paul BIYA, pour un éventuel coup d’État. Cela dit, il a été relevé qu’à bien y voir, les 168 milliards sont en réalité une somme fictive, car les fonds que la Banque mondiale mettra à disposition du Cameroun n’atteindront pas ce montant. Bien que les papiers indiqueraient la somme de 168 milliards, dans les faits, il s’agira plutôt d’un montant de moindre facture destiné à assouvir la cupidité des ministres. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé cet esprit de vol dans les abîmes.
— « EMMANUEL NGANOU DJOUMESSI » : saisi comme démon dans le corps d’un jeune homme, Emmanuel NGANOU DJOUMESSI, Ministre des Travaux publics du Cameroun, a réitéré que son travail consiste ou se résume à asseoir les stratégies de vol, toutes les fois que les crédits sont débloqués par les bailleurs de fonds et mis à disposition pour l’exécution des projets de sa zone de compétence. Le Ministre DJOUMESSI a précisé qu’il n’est pas seul dans cette sale besogne, puisqu’il collabore avec le Génie militaire, le colonel KAMGAIN Jackson, Jean Ernest MASSENA NGALLE BIBEHE (Ministre des Transports), Luc Magloire MBARGA ATANGANA (Ministre du Commerce), Louis Paul MOTAZE (Ministre des Finances), etc. Précision a également été faite que lorsque de l’argent est ainsi volé, des quotes-parts sont automatiquement versées au Premier ministre Joseph DION NGUTE, ainsi qu’à Ferdinand NGOH NGOH, Secrétaire général de la Présidence de la République. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé dans les abîmes les esprits suppôt du Ministre DJOUMESSI et compagnie.
Nous remercions le Seigneur pour cet assainissement.[:]