[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – OSWALD BABOKE, DIRECTEUR ADJOINT DU CABINET CIVIL DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE, CAUTIONNE LES MANŒUVRES D’ÉCOLE BUISSONNIÈRE DE SA FILLE INDIRA[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (DIMANCHE 03 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie)

Puisque des enseignants l’ont dévoilé (à l’instar du cardiologue, le professeur Aimé Bonny), des sources ont relayé l’information qui fait état de ce qu’Indira BABOKE dicte la loi à la Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales de l’Université de Yaoundé I (ex CUSS, Centre Universitaire des Sciences de la Santé), Faculté au sein de laquelle elle suit une formation de médecin, et impose un emploi de temps aux enseignants, à telle enseigne que les évaluations sont reprogrammées, lorsqu’elle s’est absentée pour un concert musical « taillé à sa mesure », vu qu’elle arbore aussi la casquette questionnable d’artiste gospel.

Pendant le culte de ce jour, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a dénoncé l’attitude de la jeune fille, et la situation a été élevée à Dieu, entraînant la saisie de l’esprit suppôt d’Oswald BABOKE son père, qui, parlant comme démon dans le corps d’un jeune homme, s’est vanté de combien ils sont nés pour briller, et combien il serait serviteur de Dieu, autant que sa fille, Monsieur BABOKE a clamé et ajouté que l’école peut attendre, lorsque sa fille a à prester çà et là.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a finalement décapité et chassé le démon suppôt d’Oswald BABOKE dans les abîmes.

Alléluia ![:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « LES PÈRES FONDATEURS », « LA SPIRALE APOCALYPTIQUE », « LA MALÉDICTION », « L’AVERTISSEMENT », « LES TRÉSORS », « LE SERPENT D’AIRAIN », « LES CONSÉQUENCES DU BLASPHÈME », « LES ESPRITS FAMILIERS », « LES INQUIÉTUDES », « LA MANIVELLE DE L’INDÉPENDANCE », « LE ROULEAU PERSONNEL », « LES MENOTTES », « LA CAGE », ET « LA BAGARRE »[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

Les esprits ci-dessus ont interpellé les fidèles en ce jour, en rapport au message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA. De ces différentes interpellations, nous retenons d’abord que les pères fondateurs ont déclaré qu’ils vivent pour faire le mal, car leur passe-temps favori consiste à empêcher le sourire des hommes, à répandre les lamentations, les grincements de dents et les pleurs tout autour d’eux. Les pères fondateurs ont également signalé qu’ils sont déterminés à ruiner le Cameroun, qui les échappe cependant, malgré les multiples programmations conçues pour l’affaisser.

Des diverses interpellations, nous retenons ensuite que lorsqu’on continue à avoir à ses propres programmations, son propre rouleau des ambitions, sa propre corbeille de projets, on n’est ni pauvre ni esclave de Dieu.  Tant qu’on ne se débarrasse pas de son rouleau de programmations personnelles, tant qu’on est habité ou animé par la manivelle de l’indépendance, on ne peut non plus dire qu’on est esclave de Dieu.  Ceux qui préservent leurs rouleaux personnels seront des terreaux fertiles pour le péché, en l’occurrence la fornication ou l’impudicité. Les fidèles qui ont fait de mauvais mariages ont été invités à ne plus perdre du temps à y penser, car ils doivent laisser le passé au passé, et avancer au présent avec Dieu.

Ne détenons plus rien des choses qui appartiennent aux pères fondateurs. Pour cela, dissocions-nous du péché sous toutes ses formes, et soyons réellement des aveugles, des sourds, des muets, bref des esclaves de Dieu. En tant qu’esclaves, ne prétendons donc pas que nous voyons mieux que Dieu en ce qui concerne nos vies, et laissons de côté toutes formes d’inquiétudes, y compris les inquiétudes liées à l’idée d’un éventuel emprisonnement du révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA par les ennemis de Christ.

Les personnes qui ont blasphémé contre les délivrances prophétiques ont été appelées à s’en repentir, étant donné qu’elles ont réellement insulté, ridiculisé et méprisé Dieu. Nous avons aussi compris que lorsqu’on n’obéit pas promptement à Dieu de manière à abandonner les faux mariages (le concubinage légalisé, polygamie), par exemple, on sera rattrapé par un tel acte de désobéissance à l’avenir, et cela créera en nous des frustrations supplémentaires. Il vaut donc mieux obéir à Dieu sur le champ, et quitter les mauvaises unions tête haute, en héros ou en héroïne de la foi. Il est sage d’obéir à Dieu immédiatement, de crainte d’adopter une attitude de blasphème, et de le payer cher à l’avenir. Ne gardons pas rancune aux esprits quand nous sommes interpellés, mais acceptons-les reprochons et corrigeons-nous ! Si nous trébuchons, repentons-nous aussitôt, relevons-nous, reprenons et continuons la course chrétienne.

Nous avons également appris que nous ne devons pas permettre que nos oreilles soient souillées par ceux qui critiquent, murmurent, ridiculisent ou méprisent les délivrances prophétiques. Stoppons les blasphémateurs et ne restons pas bouche close ou fermée, sachant que qui ne dit rien consent. Quand une conversation relève donc du blasphème, dénonçons-la aussitôt.

Nous avons également été invités à cultiver l’amour et à produire le fruit de l’esprit, selon qu’il est écrit : « mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ; la loi n’est pas contre ces choses » (Galates 5 : 23-23). Ces fruits forment et constituent le caractère chrétien. Soyons fidèles à Dieu. Tous les fruits de l’esprit doivent être en place, car ils sont solidaires et indissociables. Lorsqu’un seul de ces fruits manque, la chrétienté est défaillante. Ne prétendons donc pas que nous avons ces neuf fruits en nous, mais en des proportions amoindries, car avec Dieu, c’est oui ou non, il n’y a pas de demi-mesure. On ne peut pas dire qu’on a un peu de haine et un peu d’amour, un peu de trouble et un peu de paix, un peu de patience et un peu d’impatience, etc. On ne peut non plus prétendre qu’on a la joie, alors qu’on n’a pas la paix. Quand on n’a pas la paix, on ne peut non plus dire qu’on est fidèle, car la paix c’est Jésus, et c’est de lui que nous avons la paix, selon qu’il est écrit : « je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point » (Jean 14 : 27). Ne soyons pas rancuniers, car cela est contraire à l’amour. Ne pardonnons pas du bout des lèvres, alors que nos cœurs mijotent le mal, mais pardonnons véritablement.

Il nous a été précisé qu’avoir l’amour, c’est par exemple être heureux de la prospérité d’autrui, c’est partager sa joie lorsqu’il est élevé ou béni. Avoir de l’amour, c’est élever notre prochain, sans attendre que nous soyons d’abord nous-mêmes élevés ; c’est fructifier à son avantage le capital ou les biens qu’il nous confie, sans prendre des réserves, sans assurer nos propres arrières, sans mettre de côté des pourcentages qui nous permettraient de rivaliser le rivaliser, de nous mettre au même niveau que lui. Aimer autrui, c’est assurer la multiplication de ses biens, sans assurer nos propres arrières.

Celles et ceux qui ont des caractères d’animaux (tel que le lion synonyme de fureur, de colère et d’emportement) ont particulièrement été invités à méditer sur le passage d’Éphésiens 6 : 4 : « et vous, pères, n’irritez pas vos enfants, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur ». Les interpellations ont également été le lieu de nous rappeler que nous devons maîtriser nos langues et nos bouches, afin de ne pas en faire des outils de scandale et de malédiction, selon qu’il est écrit : « toutes les espèces de bêtes et d’oiseaux, de reptiles et d’animaux marins, sont domptés et ont été domptés par la nature humaine ; mais la langue, aucun homme ne peut la dompter ; c’est un mal qu’on ne peut réprimer ; elle est pleine d’un venin mortel. Par elle nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l’image de Dieu. De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu’il en soit ainsi. La source fait-elle jaillir par la même ouverture l’eau douce et l’eau amère ? » (Jacques 3 : 7-11).

Marchons au rythme de Dieu, et cessons de regarder la pendule ou la montre, estimant qu’il se fait déjà tard, qu’il faut déjà par exemple qu’on se marie. Délaissons nos « rouleaux personnels », car ces rouleaux ont pour conséquence ou pour effet de nous déprimer, de nous décourager à poursuivre la foi, de nous menotter, de nous maltraiter et de nous tuer à petit feu, de nous donner des pensées d’abandon de la foi. Dieu ne nous a pas pourtant pas appelé pour la démission, abandonnons-nous donc à lui, levons les mains pour nous laisser conduire par lui. Quand on est menotté, indépendant, ou quand on veut réaliser son rouleau de programmations, on n’est plus dégagé, mais la vie et la chrétienté nous deviennent moroses, tristes. Quand on veut réaliser son rouleau de programmations, on devient soi-même sa propre idole, puisqu’on s’appuie sur soi-même, puisqu’on compte sur soi-même et sur ses efforts personnels, sans plus compter sur Dieu.

Les parents ou les tuteurs qui ont des enfants adoptifs à leur responsabilité ont été appelés à les traiter avec amour. Traitons donc les enfants d’autrui avec amour, prenons-les comme nos propres enfants, et même plus que nos enfants biologiques s’ils sont dans la foi, car le spirituel précède et est au-dessus du physique. Évitons de jeter ces enfants dans la rue, surtout s’ils sont mineurs. En retour, les enfants ont été appelés à délaisser l’orgueil, à faire preuve de soumission, d’obéissance, d’abaissement et d’humilité envers les parents et les tuteurs, en prenant en considération la correction et les reproches qui leur sont adressés. Ces enfants ont été appelés à avoir un esprit enseignable et non rebelle, afin de changer. Pour gagner en abaissement et en humilité, les enfants rebelles ont été appelés à se souvenir d’où ils sortent, d’où le Seigneur les a tirés, dans quel contexte, dans quel milieu ils sont nés, comment ils ont grandi, et comment Dieu les a délivrés. D’ailleurs, nous avons tous été appelés à nous rappeler, et à ne jamais oublier le contexte dans lequel nous sommes nés, dans lequel nous avons évolué, et de quelle manière Dieu nous a sauvés, afin de faire de nous ses esclaves.

Les interpellations faites à l’endroit des uns et des autres nous ont aussi rappelé que nous devons être présents aux cultes, en esprit et en vérité. Recevons donc les prédications et la parole du Seigneur, en retenant ce qui est enseigné pour le mettre en pratique. Ne laissons pas nos esprits en dispersion, en divagation dans les activités séculières et professionnelles, mais ramenons-les entièrement et totalement dans la présence de Dieu. Ne bagarrons pas contre les enseignements, et contre les instructions qui nous sont données. Venons aux cultes pour rencontrer effectivement Dieu, et non pour faire acte de présence, et non comme pour contenter les yeux des gens, d’autant que le salut est personnel. Ne faisons pas la chrétienté formelle. Laissons un bon transfert et un bon héritage de la foi à nos enfants. N’oublions pas, comme le reproche en a particulièrement été fait aux mamans, que nous devons être réguliers et ponctuels dans les cultes, au lieu de trainer ou de rester à la maison, prétextant par exemple que nous avons des nourrissons fragiles, et que ceux-ci ne peuvent pas sortir de nuit.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LE CAMEROUN EST ÉPARGNÉ DES INCENDIES DESTINÉS À Y CRÉER LA FAMINE ET DES PÉNURIES ALIMENTAIRES[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

Saisis ce jour dans le corps d’une dame, les esprits d’Incendies ont avoué qu’ils veulent s’étaler et frapper les 10 Régions du Cameroun, notamment les marchés, afin de créer une famine et des pénuries alimentaires bouleversant le pays. Ils ont précisé qu’ils comptent agir à travers les différents gouverneurs des Régions. Mais la mission de ces esprits malfaisants ne réussira pas, puisqu’ils ont tous été décapités et refoulés dans les abîmes par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA.

Gloire à Jésus ![:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LES TYRANS DES GRANDES PUISSANCES VEULENT RÉDUIRE LA POPULATION MONDIALE VIA UN PSEUDO VACCIN ANTI VIH FABRIQUÉ AUX ÉTATS-UNIS[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

Pendant les délivrances prophétiques de ce samedi, l’Éternel Dieu a saisi un esprit impur incarnant le prétendu vaccin du VIH fabriqué aux États-Unis.

Questionné par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, ce démon a expliqué que l’objectif des dirigeants des grandes puissances (les titans et les tyrans) est de réduire la population mondiale, par une tuerie subtile, car ce « vaccin », qui remplacerait les comprimés (les antis rétro viraux) habituels, sera en réalité du poison lent, et les doses y relatives devront être renouvelées après chaque trois mois.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé ce démon en enfer, empêchant ainsi la tuerie camouflée conçue par les tyrans et les titans.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE :  CAMEROUN – LES CINQ MEMBRES DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU PLANIFIENT LA MORT DU PRÉSIDENT PAUL BIYA[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

L’esprit de Mort, saisi ce jour dans le corps d’une dame, a fait savoir qu’il est invoqué, « fabriqué » « formé » et renouvelé toutes les secondes par les membres du Conseil de Sécurité de l’ONU (les présidents ou dirigeants des États-Unis, de la Russie, de la Chine, de la France, de l’Angleterre), contre Son Excellence Paul BIYA. Autrement dit, aussitôt qu’un précédent esprit de Mort est anéanti grâce au combat spirituel mené par l’église et grâce à la bienveillance imméritée du Tout-Puissant, un autre est automatiquement suscité par les tyrans des grandes puissances.

L’esprit de mort a avoué que les cinq veulent éliminer et écarter le Président de leur chemin, car ce dernier les empêche d’accomplir leurs plans de domination, de pillage, de perversion et de reconquête du Cameroun. En effet, il a été souligné que la simple présence de Paul BIYA comme Président leur empêche de faire beaucoup de choses, puisque le Président a un bon état d’esprit, en ce sens qu’il veut le bien du Cameroun, non son mal. L’esprit de Mort a encore relevé que le Président Paul BIYA aime bien Dieu, cependant, la pression ou le remord des mauvaises choses qu’il a faites dans le passé l’empêche d’être libre.

Ces aveux terminés, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé cet esprit de Mort en enfer. Continuons à intercéder pour la sécurité et le salut de Son Excellence Paul BIYA.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : ÉTATS-UNIS/ PASSEPORTS TRANSGENRES – ANÉANTISSEMENT DES PUISSANCES MALÉFIQUES PROMOTRICES DES ABOMINATIONS SEXUELLES (LGBTQI)[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

À compter du 11 avril 2022, à la faveur des transgenres, les États-Unis veulent officiellement lancer les passeports contenant la genre « X », en dehors du masculin et du féminin. Pendant le culte de ce jour, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a fait élever des prières, afin de saccager, et d’empêcher toute évolution de ce plan de perversion conçu par les tyrans des grandes puissances contre l’humanité.

En réponse à cette prière, l’Éternel Dieu a saisi les démons dont voici les noms et les missions :

— « SODOME ET GOMORRHE » : parlant dans le corps d’un jeune homme, ces démons ont laissé entendre qu’ils font le beau temps, et veulent s’accaparer de l’époque actuelle. Plus précisément, ils ont indiqué qu’ils sont spécialement venus sur terre, pour le lancement officiel du passeport américain à trois genres aux États-Unis : les genres masculin, féminin et « X ».  Évidemment, ils ont souligné qu’ils ont pour mission de promouvoir la dépravation sexuelle et les abominations qui vont à l’encontre de la volonté de Dieu, soit le « troisième » genre, le genre « X » relatif aux transgenres, aux homosexuels, aux lesbiennes, etc.

— « L’AMBASSADEUR AMÉRICAIN AU CAMEROUN » :  saisi comme démon dans le corps d’un jeune homme, Christopher LAMORA, ambassadeur des États-Unis en terre camerounaise, a fait savoir qu’il est très fier, et qu’il se prépare pour le lancement officiel du passeport transgenre américain, lui et son équipe.

–« LES ESPRITS DES EAUX » : incarnation de la séduction et du péché sexuel sous toutes ses formes, ces démons ont déclaré qu’ils accompagnent les collègues appelés « Sodome et Gomorrhe ».

— « LES BÊTES » : ces démons ont expliqué qu’ils représentent le règne animal et ses caractéristiques. Plus précisément, ils ont déclaré qu’ils veulent prendre le contrôle de la terre, à partir du lancement du passeport transgenre américain.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et refoulé tous ces démons en enfer, empêchant ainsi la mission de perversion et de dépravation dont ils étaient porteurs.

Merci Seigneur ![:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (DIMANCHE 03 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie) PRÉDICATION : DIEU DÉBLAIE LE CHEMIN DE SON ENFANT EN MISSION[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (DIMANCHE 03 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie)

PRÉDICATION : DIEU DÉBLAIE LE CHEMIN DE SON ENFANT EN MISSION

RÉFÉRENCES BIBLIQUES : ÉSAÏE 42 : 1-9 ; EXODE 4 : 18-19 ; MATTHIEU 2 : 19-20 ; ACTES 12 : 1-2, 3-12, 20-23 ; JEAN 8 : 58-59 ;

 

Alléluia !

Restez debout et prenez votre Bible !

Nous ouvrons dans notre passage d’Ésaïe 42 pour introduire. C’est la fin de ce séminaire du mois d’avril 2022. Comme il s’agit d’introduire l’enseignement du jour, nous ne lisons juste que le premier verset : « Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon esprit sur lui ; Il annoncera la justice aux nations. »

‘‘Voici mon serviteur que je soutiendrai ; voici mon serviteur que je soutiendrai ; voici mon esclave que je soutiendrai’’ ! Qu’est-ce que ceci nous fait comprendre ? Dieu appelle son esclave, nous le présente et nous informe qu’il le soutiendra afin qu’il ne tombe pas. Lorsqu’en effet on parle de soutien, cela sous-entend quelque chose qui est susceptible de tomber ou qui est sur le point de tomber et que l’on soutient pour que cela ne tombe pas. D’emblée, Dieu nous fait comprendre que celui qu’il appelle n’a pas d’autres soutiens que lui seul. Si tu es donc esclave de Dieu, tu ne peux pas tenir le coup tout seul ; tu ne peux pas tenir le coup par tes forces ou par d’autres forces tierces. Tu n’as besoin que d’un seul soutien, le soutien de Dieu seul.

Il n’y a que Dieu pour te soutenir. Ceux qui disent qu’ils sont enfants de Dieu, mais qui comptent sur leur sagesse, sur leur intelligence, sur leur force physique, sur leurs relations, se trompent. Car la Bible dit que, quand Dieu approuve les voies d’un homme, il dispose en sa faveur, même ses ennemis (Proverbes 16 : 7). Je suis souvent étonné de constater que des chrétiens, des gens qui disent qu’ils ont cru, continuent de chercher des supports naturels ou matériels, des supports humains. Ils ne parlent qu’en terme de relations lorsqu’ils veulent entreprendre quelque chose. Lorsqu’ils ont un projet, ils ne pensent qu’à des gens qui sont des connaissances, qui pourraient les aider à le financer ou à le réaliser.

Je vous réitère que, la Bible dit que, lorsque Dieu approuve les voies d’un homme, il dispose en sa faveur, même ses ennemis. Je te dis que, quand ce que tu veux faire est dans les voies de Dieu, quand Dieu approuve ce que tu veux faire, tu n’as pas besoin de chercher des supports, des relations. Dieu lui-même disposera des gens pour te soutenir, y compris des gens qui te détestent, tes ennemis. Tes ennemis se retrouveront à te défendre ou à t’aider. J’insiste à dire que, quand Dieu approuve tes voies, même ton ennemi te défendra ou t’aidera. C’est la pure vérité que je vous dis. Je bénis Dieu parce qu’il m’a donné la grâce de comprendre ces choses très tôt. Je n’ai pas besoin de chercher des relations comme vous me voyez. Mais Dieu utilise même mes ennemis en ma faveur. Dieu utilise mes ennemis en ma faveur. Je n’ai donc pas besoin de chercher des contacts et autres relations. Non, je n’ai pas besoin de cela.

Je me rappelle d’un monsieur qui a appris tous les problèmes que le gouvernement me crée, et qui s’est proposé de m’aider. Je lui ai dit de ne pas se gêner. Malgré que je lui ai dit de ne pas se déranger, parce que je n’ai pas besoin de son secours, celui-ci s’est quand-même engagé à chercher des contacts pour absolument m’apporter la solution. Lorsqu’il s’est butté dans ses démarches, il est revenu me voir pour dire que mon histoire est compliquée. Je lui ai rétorqué que, je n’avais pas besoin de son secours ni de ses relations. J’avais ajouté que je me confie à Dieu seul dans ce que je vis ; je n’ai donc pas besoin que quelqu’un me tienne par la main. Dieu lui-même se charge de solutionner le problème, étant donné que je suis dans ses voies. Car je ne me suis pas improvisé dans ce travail, je ne m’y suis pas improvisé.

Le Ministre de l’Administration Territoriale (MINAT) avait prétendu que je dirige une église clandestine, et avait donc donné instructions à ses collaborateurs territoriaux compétents de sceller l’église. Vous avez tous entendu le témoignage d’un Sous-Préfet à Équinoxe Tv à ce sujet. Je n’ai pas besoin du secours des hommes. Je sais que Dieu va disposer à mon égard, même mes ennemis, parce que je suis dans ses voies. Je fais ce que Dieu m’a demandé de faire ; je fais son travail. Me comprenez-vous ? Je fais son travail. S’il faut seulement parler des églises dites légales, vous savez tous les scandales qui ont cours dans certaines d’entre elles, et notamment dans l’église catholique. Dernièrement vous avez été au courant des scandales qui ont lieu du côté du diocèse de Mbalmayo : des cas de sodomie, de meurtre, de pratiques de sorcellerie et autres. Ce genre de chose n’a jamais eu lieu ici au Tabernacle de la Liberté.

Il est de notoriété publique que tout ce qui est malsain se passe dans les milieux catholiques : pédophilie, sodomie, meurtre, homosexualité, etc. Nous le savons. Et leur chef s’est même levé publiquement pour soutenir l’homosexualité. Voyez-vous cela ? Cela veut dire qu’il la pratique lui-même et que c’est ce qui se pratique au sein de cette secte dite église catholique. Les yeux des gens doivent s’ouvrir ; vos yeux doivent s’ouvrir. Si vous fonctionnez encore dans la logique du soutien des hommes, arrêtez cela ! Arrêtez de chercher le soutien des hommes ! Souvenez-vous que la Bible déclare que « le secours de l’homme n’est que vanité, mais avec Dieu nous ferons des exploits. » (Psaumes 108 : 12-13). C’est ce dont il est question ici, à savoir que Dieu s’engage à soutenir son esclave.

Comprends que tu es l’esclave de Dieu et que tu n’as donc pas de valeur. Tu n’as pas de valeur ; un esclave n’a pas de valeur, on l’achète. Et aux yeux du maître, il n’a pas de valeur du tout, en dehors des services qu’il peut rendre ou fournir. Ce n’est que par ces services rendus ou à rendre qu’une valeur peut être conférée à un esclave. Mais toi, en tant qu’enfant de Dieu, tu as aussi été racheté par le Sang de Jésus. Tu es donc un esclave qui n’est soutenu que par Dieu lui-même. C’est Dieu lui-même qui te soutient, parce que tu ne peux pas tenir par toi-même. Toi-même aussi tu dois savoir que tu ne peux pas tenir par toi-même ; tu as besoin de son soutien, de son secours. Toi chrétien qui étais encore à la recherche des soutiens humains, tu dois le cesser parce que c’est une erreur que tu commets. Ne compte pas sur un homme, ne compte pas sur un homme !

Lorsque je vous dis et insiste à dire de ne pas compter sur un homme, c’est parce que la Bible dit que celui qui se confie à l’homme est sous la malédiction. Voici comment cela est libellé : « Maudit soit celui qui se confie à l’homme. » (Jérémie 17 : 5 ; Psaumes 118 : 8). Simplement, ce qui est un fait est que, ce sont toujours des hommes que Dieu utilisera pour toi, pour te défendre, pour te soutenir ou pour t’aider. Ce sont toujours des hommes que Dieu utilisera. Mais, il ne s’agira pas des hommes de ton choix, mais de son propre choix. Ce sera des hommes ou des choses de son choix et non du tien. Ta confiance doit simplement être en Dieu, qui disposera donc même des hommes ou des choses dont tu n’avais aucune pensée. De tels hommes pourraient être classés parmi tes ennemis. Je sais que pour le commun des mortels, lorsqu’il est coincé dans une situation, ce n’est pas son ennemi qu’il cherche. Ce n’est pas son ennemi qu’il cherche ; il cherche sa relation, une bonne relation.

 

Les amis, voilà où Dieu nous dépasse ! Lui, il utilise n’importe pour soutenir son enfant. Lorsque je dis de ne pas faire confiance à l’homme, je veux dire que tu dois faire confiance à Dieu, à charge pour lui de te secourir en disposant n’importe qui ou n’importe quoi, pour te secourir. Tu ne dois pas faire comme certains qui prie Dieu en disant : « Seigneur touche le cœur de tel pour me secourir ; touche le cœur de tel autre pour me donner ceci ou cela ». Non ! Ceux qui se comportent de la sorte n’ont rien compris. Lorsqu’ils ne seront pas secourus par celui-là sur qui ils ont placé leur confiance, ils le prendront en haine, au motif qu’ils étaient en difficulté et il ne les a pas secourus. Ils ont tort d’avoir telle attitude, parce qu’ils sont déçus simplement au motif qu’ils auront placé leur confiance en celui-là, au lieu de la placer en Dieu.

 

Quand ta confiance est placée en Dieu, il utilisera n’importe qui ou n’importe quoi pour te venir en aide. Rappelons-nous que pour le prophète Elie, Dieu avait utilisé des oiseaux, des corbeaux, pour le nourrir. Et après, il a encore utilisé une pauvre veuve pour le nourrir pendant tout le temps de la famine dans le pays. Dieu avait utilisé une pauvre veuve sans moyens ! Dieu n’avait pas utilisé une femme ou un homme riche pour prendre soin d’Elie pendant le temps qu’avait duré la famine. Mais il avait utilisé une pauvre veuve. En tant qu’enfant de Dieu, ce n’est pas toi qui oriente Dieu dans les choix à opérer ; ce n’est pas toi qui dois lui dire voici ce qu’il faut faire, ou voici qui il faut utiliser. Non ! Tu as seulement besoin de t’appuyer sur lui, et lui-même te mène là où il a préparé.

 

Nous avons vu hier que, les contextes dans lesquels naissent, grandissent et évoluent les serviteurs de Dieu, ont très souvent, sinon toujours, été défavorables. Dieu le fait sciemment en guise d’enseignement à son serviteur, son élu, à ne compter que sur lui, à n’être concentré que sur lui seul. C’est ce que nous avons vu hier. Nous avons à cet effet pris plusieurs exemples dont celui de Moïse en tant que premier prophète, celui de Daniel et ses trois amis, et enfin celui de Jésus lui-même. Je n’ai pas besoin de revenir sur cela aujourd’hui, chacun de vous doit lire sa Bible. Et si vous la lisez, vous vous rendrez compte que c’étaient des gens qui étaient nés et qui avaient grandi dans des contextes difficiles. Mais, c’étaient des gens sur lesquels la main de Dieu reposait. La plupart d’entre vous a pareillement la même expérience.

 

Dieu a toujours les mêmes modèles, il a toujours les mêmes modèles. Et il le fait pour enseigner aux générations futures. Il ne change pas. La Bible ne nous dit-elle pas qu’il est le même, hier, aujourd’hui et éternellement ? Lorsqu’il a donc utilisé un modèle, il s’attend à ce que les générations futures se réfèrent à ce qui s’était passé ou s’est passé avant eux. C’est bien pour cette raison qu’il pouvait dire dans cette prophétie d’Ésaïe 42 au verset 9 que : « Voici les premières se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles, avant qu’elles arrivent je vous les prédis. ». Nous devons nous référer à ce qui s’est passé avant nous, à ce qui s’est passé avec les autres avant nous, afin d’être encouragés et rassurés à notre tour. Pourquoi ne lisez-vous donc pas votre Bible ? Et même, lorsque vous pouvez être enseignés comme je le fais pour vous rappeler le passé, pourquoi n’êtes-vous pas encouragés, et pourquoi ne vous engagez-vous pas sans réserve ? Pourquoi hésitez-vous, pourquoi continuer à hésiter ?

 

Je vous prie aujourd’hui d’arrêter avec l’hésitation. Le Seigneur vous a appelés pour vous confier la mission qu’il définit lui-même dans ce texte d’Ésaïe 42, au verset 1, celle d’annoncer la justice aux nations. Et il vous rassure qu’il vous soutiendra. Pourquoi devez-vous encore hésiter ? Vous savez tous combien l’injustice prévaut dans le monde, en commençant par les familles. Toi qui es élu de Dieu, tu l’as expérimentée dans ta famille. Pour la plupart d’entre vous, vous avez été les rejetés et/ou les négligés de vos familles. L’exemple de David me vient opportunément à l’esprit. Il était un élu de Dieu et un modèle pour montrer comment on peut diriger le peuple avec la crainte de Dieu. Dieu avait choisi David, mais regardez dans quel contexte il était né. Il était né dans une famille pauvre, et il en était le dernier des enfants. Mais c’était à lui qu’on avait confié la garde de l’héritage familial constitué des produits de l’élevage (bœufs, moutons, chèvres, etc.).

Celui-ci ne vivait donc qu’en brousse où il était oublié. Et lorsque Dieu avait désigné la maison de son père pour y élire un roi, et qu’il avait demandé au chef de famille de faire venir tous ses garçons, ce dernier avait fait appel à tout le monde, sauf à David. Vous avez certainement expérimenté une telle situation dans votre famille ou votre milieu de vie, ou vous l’expérimentez même encore. Vous êtes mis à part, ou alors on considère les autres et non vous. Cela ne doit pas vous frustrer et vous gêner. Car, pour le cas de David, avant même de devenir roi et être donc à la tête de son peuple, il avait su nouer une relation intime avec Dieu, parce qu’il avait été rejeté par les hommes en commençant par sa propre famille. C’est pour cela qu’il pouvait chanter en disant : « Mon père et ma mère m’abandonne, mais l’Éternel me recueillera. » (Psaumes 27 : 10). Il ne l’avait pas dit pour exprimer une quelconque rancune, mais, il l’avait déclaré, pour que cela nous serve aujourd’hui, pour savoir que, nous ne devons pas compter sur les hommes, fussent-ils nos parents ; mais, que nous ne devons compter que sur Dieu. C’est ce que Dieu nous rappelle et nous enseigne aujourd’hui, à savoir que nous ne devons compter que sur lui seul.

 

Dieu sait que nous sommes ses esclaves, et il veut que nous ne nous appuyions que sur lui et sur lui seul. Appuie-toi sur Dieu et non sur ta sagesse et ton intelligence !  De cette manière, tu ne pourras pas douter même lorsque les missions qui se présenteront à toi seraient apparemment impossibles ou tout au moins difficiles. Tu ne douteras pas, sachant qui est ton soutien, sachant sur qui tu t’appuies, sachant qui t’a appelé. Celui-ci, c’est le grand Dieu de l’univers, c’est lui qui t’a appelé et c’est lui qui te soutient ; le grand Dieu de l’univers, c’est sa mission que tu conduis. Tu ne dois donc rien douter, et tu ne dois rien craindre. Il permettra que tu puisses accomplir pleinement sa mission en déblayant le chemin, l’itinéraire de ta mission et ton entourage. Il prendra le soin de nettoyer ton entourage immédiat et même lointain, afin que tu puisses bien accomplir la mission pour laquelle il t’a appelé.

 

Revenons encore sur l’exemple de Moïse ! Cet homme avait compris que la main de Dieu était sur lui, et que c’est lui qui devait être le sauveur de son peuple. Il s’était malheureusement précipité à vouloir entreprendre cette mission de salut de son peuple avant le temps de Dieu. C’est ainsi qu’il s’était retrouvé en exil au pays de Madian, parce que Pharaon voulait le tuer. Mais lorsque maintenant le temps de Dieu était arrivé pour que Moïse commence et effectue cette mission de salut de son peuple, celui-ci était devenu réticent. C’est pourquoi Dieu avait tenu à le rassurer. Il convient que nous lisions ce texte qui rapporte cela dans le livre d’Exode. Lisons dans Exode au chapitre 4, du verset 18 au verset 19 : « Moïse s’en alla ; et de retour auprès de Jéthro, son beau-père, il lui dit : Laisse-moi, je te prie, aller rejoindre mes frères qui sont en Égypte, afin que je voie s’ils sont encore vivants. Jéthro dit à Moïse : Va en paix. L’Éternel dit à Moïse, en Madian : Va, retourne en Égypte, car tous ceux qui en voulaient à ta vie sont morts. » Alléluia ! Soulignez le verset 19 dans votre Bible !

 

Moïse avait finalement accepté de partir en Égypte pour y accomplir le travail de délivrance ou de salut du peuple de Dieu. Pour le rassurer qu’il avait désormais la possibilité d’accomplir librement son travail, il l’avait informé que ceux qui en voulaient à sa vie sont déjà morts. Il lui avait dit que le chemin est déblayé, que le terrain est déminé et qu’il pouvait librement accomplir son travail. Et c’est Dieu lui-même qui s’était assuré de faire ce travail d’assainissement de l’aire de travail de Moïse. Nous pouvons encore lire dans le nouveau testament et notamment dans l’évangile de Matthieu. Ouvrez dans le livre de Matthieu au chapitre 2, les versets 19 et 20. Vous savez bien que lorsque Jésus était né, sa vie était en danger par le roi Hérode. Et beaucoup d’enfants et de bébés avaient été victimes, massacrés, à cause de la naissance de Jésus. Il s’agissait des enfants mâles de l’âge de deux ans en descendant. Ils avaient tous été massacrés ; ils étaient tous morts !

 

Dieu avait justement pu délivrer Jésus de la mort en rendant son père Joseph, prophète pour la circonstance. Dieu lui avait révélé que la vie de l’enfant Jésus était menacée par le roi Hérode, et qu’il fallait qu’il fui avec lui au pays d’Égypte. Joseph avait spontanément obéi et était allé se réfugier avec l’enfant en Égypte, suivant l’instruction de Dieu. Le massacre des enfants et des bébés de deux ans et moins de deux ans était passé après, alors que la vie de Jésus était déjà sécurisée en Égypte. C’est y étant que Dieu s’était encore révélé à Joseph. Lisons cela dans Matthieu au chapitre 2 comme je viens de l’annoncer, du verset 19 au verset 20 : « Quand Hérode fut mort, voici, un ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, en Égypte, et dit : Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, et va dans le pays d’Israël, car ceux qui en voulaient à la vie du petit enfant sont morts. » Comprenez-vous cela ?

 

Ceci est pertinent ! Avec Moïse ce fut le cas ; et avec Jésus, ce fut aussi pareil. Voyez-vous ce qui se dévoile ? L’enfant de Dieu naît et grandit dans des conditions difficiles et, la mort est toujours près de lui. Mais Dieu prend soin de le préserver de la mort et de le garder, jusqu’à ce qu’il atteigne la maturité. Pendant ce temps, Dieu lui-même prends les dispositions pour débarrasser de son chemin, tout ce qui peut lui faire obstacle. Dieu lui-même prend soin d’effacer tous les obstacles, pour permettre que son esclave puisse accomplir sa mission. Ces deux grands exemples de Moïse et de Jésus sont très édifiants. Enfant de Dieu, esclave du Seigneur, tu n’as pas besoin de trembler, aie seulement confiance au Seigneur. C’est lui qui t’a appelé et c’est lui qui est ton soutien. Allons-y encore lire dans les actes des apôtres !

 

Dans les Actes des apôtres, nous voyons que, lorsque le réveil spirituel devait commencer, les persécutions avaient commencé. Etienne avait été la première victime. Il était le premier à être publiquement lapidé, pour avoir dit qu’il a vu Jésus debout à la droite de Dieu le Père. Les religieux avaient estimé que cela était un blasphème et l’avaient donc lapidé. Son histoire est rapportée dans les chapitres 6 et 7 des Actes des apôtres. Après la lapidation d’Etienne, les chrétiens avaient continué à être persécutés, comme cela apparaît au chapitre 8. C’est alors que celui qui est finalement appelé l’apôtre Paul était entré dans la danse pour la persécution des chrétiens. Cela ressort au chapitre 9. Le Seigneur Jésus s’était saisi de lui et il avait été sauvé, au point qu’il était devenu prédicateur. Cependant, la persécution continuait avec les autres apôtres par les religieux. Il est rapporté au chapitre 12, qu’ils avaient mis à mort, l’apôtre Jacques, frère de Jean.

 

Le Jacques qui a écrit l’épître de Jacques n’est pas le frère de Jean, mais plutôt le frère ou mieux, le demi-frère de Jésus. Jacques qui était apôtre était mort, comme cela est écrit au chapitre 12 des Actes. Lisons cela dans les deux premiers versets : « Vers le même temps, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l’Église, et il fit mourir par l’épée Jacques, frère de Jean. »

 

Enfant de Dieu, ta vie est soutenue et gardée par celui-là qui est ton Maître, Dieu lui-même. Regardez que la persécution avait continué depuis le meurtre d’Etienne. Même Saule de Tarse s’était converti entre temps, la persécution avait toujours continué. Les religieux voulaient mettre la main sur les piliers de l’église et avaient pu tuer l’un d’eux en la personne de Jacques. Et comme Hérode avait vu que cela plaisait aux juifs, celui-ci avait encore mis la main sur l’apôtre Pierre, dans la même intention de le tuer. Dieu avait intervenu pour dire assez c’est assez, tu ne vas pas tuer Pierre, le chef de la mission, comme tu as tué les autres, Etienne et Jacques. Allons-y voir dans quelles conditions Pierre avait-il été sauvé de la mort. Hérode était après lui de telle sorte que, même après son sauvetage de la mort, il était toujours après lui pour le tuer.

 

Lisons la suite de cette histoire du verset 3 au verset 12 ! « Voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. -C’était pendant les jours des pains sans levain. – Après l’avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l’intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre donc était gardé dans la prison; et l’Église ne cessait d’adresser pour lui des prières à Dieu.

La nuit qui précéda le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats; et des sentinelles devant la porte gardaient la prison. Et voici, un ange du Seigneur survint, et une lumière brilla dans la prison. L’ange réveilla Pierre, en le frappant au côté, et en disant : Lève-toi promptement ! Les chaînes tombèrent de ses mains. Et l’ange lui dit : Mets ta ceinture et tes sandales. Et il fit ainsi. L’ange lui dit encore : Enveloppe-toi de ton manteau, et suis-moi. Pierre sortit, et le suivit, ne sachant pas que ce qui se faisait par l’ange fût réel, et s’imaginant avoir une vision. Lorsqu’ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville, et qui s’ouvrit d’elle-même devant eux ; ils sortirent, et s’avancèrent dans une rue. Aussitôt l’ange quitta Pierre. Revenu à lui-même, Pierre dit : Je vois maintenant d’une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode et de tout ce que le peuple juif attendait. Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient. »

 

C’était une église de prière, une église d’intercesseurs ! Voyez-vous ce que le roi Hérode avait commencé à faire contre l’église : tuer les dirigeants ? Il avait déjà tué le premier et voulait maintenant tuer le second. Mais Dieu était intervenu énergiquement et avait délivré Pierre comme nous venons de le lire. Vous avez remarqué que pendant tout le temps que Pierre était en prison, le soutien de l’église résidait dans la prière. Les frères priaient seulement pour demander à Dieu de le délivrer, mais ne pouvaient imaginer comment Dieu pouvait agir. Ils n’avaient pas fait de démarches, ils s’étaient bornés à s’adresser à Dieu en lui demandant d’agir. Ils n’avaient non plus demandé à Dieu d’agir dans tel ou tel sens. Mais Dieu lui-même était intervenu miraculeusement en envoyant un ange le délivrer nuitamment, au milieu des soldats, jusqu’à ouvrir la porte métallique. C’est ainsi qu’il était allé retrouver ses frères en prière en pleine nuit.

 

Les frères de Pierre étaient dans la prière pendant tout ce temps, même comme ils le faisaient comme des automates, sans véritablement y croire. Car lorsqu’ils avaient entendu la voix de Pierre à la porte, ils avaient plutôt dit que c’était son ange. Ce qui indique qu’ils ne croyaient vraiment pas que Pierre pouvait être secouru et délivré par Dieu grâce à leur intercession. L’essentiel était dans tous les cas que Pierre soit délivré de la mort par Hérode. L’histoire ne s’était pas arrêtée à ce niveau. Il est donc bon de lire encore un autre extrait à partir du verset 20, jusqu’au verset 23 :

 

« Hérode avait des dispositions hostiles à l’égard des Tyriens et des Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d’un commun accord ; et, après avoir gagné Blaste, son chambellan, ils sollicitèrent la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi. À un jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, et assis sur son trône, les harangua publiquement. Le peuple s’écria : Voix d’un dieu, et non d’un homme ! Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers. »

 

Voyez-vous donc comment Hérode fut tué ? Pour que Pierre échappe définitivement au roi Hérode, il avait été tué, rongé par des vers. Qu’est-ce que Dieu avait-il dit à Moïse ? Il lui avait dit : « ceux qui en voulaient à ta vie sont morts ». Et qu’est-ce Dieu avait-il dit à Joseph ? Il lui avait dit : « ceux qui en voulaient à la vie de l’enfant sont morts ». Et qu’est-ce qui se passe avec Hérode qui voulait éliminer Hérode, il était tombé, raide-mort, rongé par les vers de terre. La mission de Pierre n’était pas encore accomplie, et il fallait que ceux qui s’en opposaient périssent. Voilà comment Dieu fait pour déblayer le chemin de son esclave qu’il envoie en mission. Depuis sa naissance, il est épargné de tous les pièges tendus contre lui et tous les complots ourdis contre lui, avant et pendant sa naissance, puis pendant qu’il grandi et qu’il évolue dans l’accomplissement de sa mission.

 

Si nous prenons le cas de Jésus lui-même, celui-ci frôlait la mort à chaque fois. Mais, on n’avait jamais pu l’arrêter et tuer avant la fin de sa mission. Et la Bible précise bien que c’était parce que son temps n’était pas encore arrivé. Il réussissait toujours à s’échapper des mains de ses bourreaux. Il est bon d’en lire un exemple dans l’évangile de Jean par exemple. Prenons l’exemple de Jean au chapitre 8, vous pourrez lire les autres exemples à la maison. Voici ce qui est écrit aux versets 58 et 59 : « Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui ; mais Jésus se cacha, et il sortit du temple. » Il est à se demander comment Jésus avait-il fait pour se cacher au milieu d’eux en plein temple, jusqu’à réussir à sortir du temple ? Des scènes comme celle-ci ont lieu à plusieurs reprises, mais les bourreaux de Jésus n’arrivaient pas à le tuer comme ils le voulaient, parce que son temps n’était pas encore arrivé.

 

Au terme de sa mission, lorsque son temps était arrivé, et que les gens conduits par Judas étaient allés pour l’arrêter, c’est plutôt l’apôtre Pierre qui avait voulu le défendre, jusqu’à couper l’oreille de l’un des agresseurs. Et Jésus avait promptement réagi pour lui signifier qu’il n’a pas besoin d’être défendu par les hommes. Et que si ce n’était pas encore le moment, son Père allait envoyer des anges pour le délivrer des mains des agresseurs. Ce que nous sommes en train de voir est que, tous ceux que le Seigneur appelle et à qui il confie une mission, non seulement ceux-ci naissent et grandissent dans des conditions difficiles, et bien plus, lorsqu’ils entreprennent l’accomplissement de leur mission, ils ne peuvent pas périr avant l’accomplissement de celle-ci. Dieu se rassure de déblayer leur environnement ou leur entourage, afin de pouvoir bien accomplir leur mission, par l’élimination physique de leurs bourreaux.

 

C’est pour cette raison qu’il pouvait dire à Moïse, qu’il peut retourner accomplir sa mission, parce que, « ceux qui en voulait à sa vie sont morts ». C’est ce qui est écrit dans Exode au chapitre 4, verset 19 comme il suit : « L’Éternel dit à Moïse, en Madian : Va, retourne en Égypte, car tous ceux qui en voulaient à ta vie sont morts. » Et c’est la même chose qu’il avait dite à Joseph qui était réfugié en Égypte avec l’enfant Jésus, comme nous l’avons lu. Nous venons aussi de voir comment Dieu avait éliminé par les vers de terre, celui qui voulait tuer Pierre, après que celui-ci eut miraculeusement échappé de la prison, au chapitre 12 du livre des Actes. Si cet homme d’Hérode ne mourrait pas, il allait toujours demander qu’on lance des recherches pour lui retrouver l’apôtre Pierre. Que vais-je dire et qu’est-ce que nous sommes en train de voir ?

Voilà que Dieu t’a appelé pour la mission qu’il définit aux versets 1 et 2 d’Ésaïe 42, et c’est le temps d’accomplir ladite mission, mais tu es menacé de toute part. Comprends qu’il est temps pour Dieu de nettoyer ton alentours. Il va nettoyer ton alentours, pour éliminer tous ceux qui menacent ta vie. Tous ceux qui menacent ta vie, qui qu’ils soient et où qu’ils soient, ils seront anéantis. Dieu se chargera lui-même de les effacer physiquement. Je vous ai dit au début de mon intervention que, ce que Dieu a fait dans le passé, il l’a fait pour nous servir de référence. C’était une manière de vous rassurer que, ce qu’il avait fait dans le passé, il est prêt à le répéter avec nous à cette époque, parce qu’il nous a confié une mission, comme il l’avait confiée à ceux des temps passés. Dieu fera la même chose.

Ceux qui menaçaient la vie de Moïse avaient été effacés par Dieu ; ceux qui menaçaient la vie de Jésus, avaient aussi été effacés par Dieu ; ceux qui menaçaient la vie de l’apôtre Pierre avaient pareillement été effacés par Dieu ; c’est pourquoi, ceux qui menacent ta vie, pour que tu n’accomplisses pas ta mission, seront aussi effacés ; et ceux qui menacent la vie du pasteur Caleb NGOA ATANGANA, pour qu’il n’accomplisse pas sa mission, seront aussi effacés par Dieu. Je vous le dis, ils vont tous être effacés par Dieu. Je n’invente rien. Souvenez-vous que je vous ai dit avant le début du séminaire que le séminaire de ce mois d’avril 2022, est un séminaire déterminant. Ce séminaire est déterminant, il est déterminant, je vous assure. Tous ceux-là qui en veulent à ma vie, afin que je n’accomplisse pas la mission de Dieu, il les effacera.

De même, je dis que, tous ceux-là qui en veulent à ta vie, pour que tu n’accomplisses pas la mission de Dieu, Dieu va les effacer. Je vous dis que Dieu va les effacer. Oh mon Dieu ! Nous avons vu quelques exemples dans les écritures, avec Moïse, avec Jésus, avec l’apôtre Pierre, il y a d’autres exemples que nous ne pouvons tous citer. Je vous démontre que voilà comment Dieu travaille. Tu n’as donc pas besoin de craindre. Tu n’as pas besoin de craindre. Comprends-tu cela ? Tu dois accomplir ta mission, sachant que tu as un soutien. Celui qui t’a appelé, c’est lui ton patron, ton Maître, il ne permettra pas que ce qui n’est pas dans sa volonté t’arrive. Et tous ceux qui en veulent à ta vie, ceux qui veulent te précipiter dans la mort, afin que tu n’accomplisses pas ta mission, Dieu se charge lui-même de les effacer devant toi. Dieu lui-même va se charger de les effacer devant toi. Comprends-tu cela ?

 

C’est sérieux, c’est très sérieux. Nous n’avons pas besoin de tirer de long en large. Voilà le point culminant que nous voulions atteindre après quatre jours d’enseignement et d’analyse des écritures. Quand je me demandais si c’était vraiment le moment au deuxième jour, l’Esprit m’a dit continue ! Comme je vous l’ai annoncé au début en vous décrivant le cheminement, c’est à ce point que nous devrions aboutir. Ceux parmi vous qui êtes dans les inquiétudes et qui avez peur pour moi relativement aux persécutions que j’endure, n’ayez pas peur pour moi. Je vous dirais comme Jésus aux femmes de Jérusalem qui pleuraient pour lui : « Ne pleurez pas pour moi, pleurez pour vous-mêmes et pour vos enfants. » Vous devez implorer Dieu pour le salut des non-croyants, pour le salut des païens.

 

Vous devez pleurer pour que les païens soient sauvés ; vous devez prier pour leur salut ; vous ne devez pas prier ou vous lamenter pour moi. Ne vous souciez pas pour moi ou pour ma vie, je suis l’esclave de Dieu, et c’est lui donc qui me soutient. Si tu es son esclave, sache que c’est lui qui est ton soutien, tu n’as pas besoin d’avoir peur de quoi que ce soit, quel que soit la menace. Tant que tu n’as pas encore accompli ta mission, il te soutient. Et il te soutiendra jusqu’à ce que tu accomplisses totalement et parfaitement ta mission. Jésus-Christ a dit sur la croix : « Tout est parfaitement parfait, c’est-à-dire, tout est accompli. », parce que le temps était arrivé. On peut estimer qu’il n’avait que trente-trois ans seulement, et que sa mort fut donc prématurée. Non, la mort de Jésus n’avait jamais été prématurée. Quand il mourrait, il savait que c’était le moment.

 

En ce qui me concerne, je sais que je n’ai pas encore accompli la mission pour laquelle j’ai été envoyé. Je sais que je vais l’accomplir, avec sa grâce et son soutien. Et ceux-là qui me combattent, étant donné que j’ai le modèle de ceux-là qui m’ont précédé, ce que Dieu a fait avec ceux, c’est ce qu’il fera avec moi en ce temps-ci. Que ceux qui me combattent sachent qu’ils connaîtront le même sort qu’avaient connu ceux qui avaient combattu, Moïse, Jésus, Pierre et les autres. Ils connaîtront le même sort afin que le travail de Dieu qui m’est assigné soit convenablement fait, et que ce réveil spirituel qui est prévu pour ce temps-ci, se déclenche. Ce réveil spirituel doit être déclenché, il doit être déclenché, il doit être déclenché, au nom puissant de Jésus.

 

N’ayez pas peur, n’ayez pas peur, engagez-vous au contraire et avancez dans le travail que le Seigneur vous a confié ! C’est pour cette raison que je vous rappelle une fois encore les paroles de Dieu à votre endroit, tel qu’elles sont écrites dans ce texte d’Ésaïe 42, aux versets 1 à 9 :

 

« Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon esprit sur lui ; Il annoncera la justice aux nations. Il ne criera point, il n’élèvera point la voix, Et ne la fera point entendre dans les rues. Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore ; Il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, Jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, Et que les îles espèrent en sa loi.

Ainsi parle Dieu, l’Éternel, Qui a créé les cieux et qui les a déployés, Qui a étendu la terre et ses productions, Qui a donné la respiration à ceux qui la peuplent, Et le souffle à ceux qui y marchent. Moi, l’Éternel, je t’ai appelé pour le salut, Et je te prendrai par la main, Je te garderai, et je t’établirai pour traiter alliance avec le peuple, Pour être la lumière des nations, Pour ouvrir les yeux des aveugles, Pour faire sortir de prison le captif, Et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres.

Je suis l’Éternel, c’est là mon nom; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles. Voici, les premières choses se sont accomplies, Et je vous en annonce de nouvelles ; Avant qu’elles arrivent, je vous les prédis. ».

 

Alléluia ! Voilà la prédiction de Dieu ! Voilà la prédiction de ce jour et de ce séminaire ! C’est la prédiction de Dieu. Voilà ce qu’il prévoit faire pour que son travail soit fait en ces temps de la fin où vous entendez les bruits de guerre, les mensonges et les manipulations un peu partout à travers le monde ! Le Seigneur Dieu Tout Puissant a décidé d’accomplir ses propres programmations, pas celles du diable et ses agents. Le salut va être révélé aux hommes qu’il a créés à son image et tu es appelé à faire ledit travail ; et je suis appelé à faire ce même travail en tant que son esclave.

 

Lève-toi sur tes deux pieds et remercie-le ! Remercie-le parce qu’il a le contrôle et tu peux avancer en paix, sachant que c’est lui-même qui prend soin de toi et prend ta défense, sachant que c’est lui-même qui déblaie tout autour de toi, y compris ton chemin ! Remercie-le, parce qu’il arrange tout autour de toi et qu’il va effacer tous ceux qui menacent ta vie, qu’ils soient dans ta famille, qu’ils soient dans ton quartier, ta ville, ton pays ou dans le monde. Dieu prend le soin de les effacer, qui qu’ils soient. Dieu est entrain de déblayer ton entourage pour que tu puisses faire son travail. Il le dit et il le fait comme il l’a fait par les exemples que nous avons étudiés. C’est la même chose qu’il fait dans le présent.

 

Lève tes mains et remercie-le, parce que ce combat n’est pas le tien, mais son combat ! Ce combat n’est pas le nôtre, mais c’est le combat de Dieu. Lève tes mains et remercie-le ! Remercie-le, remercie-le ; dis-lui merci, dis-lui merci parce qu’il a le contrôle et qu’il est vainqueur dans ce combat !

 

Il est vainqueur dans ce combat, il est vainqueur dans ce combat ; et avec lui nous faisons des exploits. Avec lui nous faisons des exploits, nous faisons des exploits ; avec lui nous proclamons le salut et la délivrance des nations.

 

Avec Dieu, nous faisons des exploits, nous faisons des exploits, au nom puissant de Jésus ! Merci Seigneur pour tes assurances, merci Seigneur pour ton esprit dont tu nous revêts ! Tu as dit que tu déverseras ton Esprit sur ton esclave, sur ton serviteur, afin qu’il puisse faire ton travail.

 

Merci donc oh Dieu, pour ton Esprit que tu déverses sur tes esclaves que nous sommes ! Merci parce que tu fais réussir cette œuvre entre nos mains, nous tes esclaves ! Merci oh Dieu, nous bénissons ton nom, parce que tu as le total contrôle et tes projets s’accomplissent sur cette terre que tu as donnée aux vivants faits à ton image !

 

À toi la gloire, l’honneur et la puissance, au nom puissant de Jésus !

 

Amen !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS PRÉDICATION : TOUT CHRÉTIEN EST UN PAUVRE ET UN ESCLAVE DE DIEU[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (SAMEDI, 02 AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

PRÉDICATION : TOUT CHRÉTIEN EST UN PAUVRE ET UN ESCLAVE DE DIEU

 RÉFÉRENCES BIBLIQUES : ÉSAÏE 42 : 1-4, 6-9 

 

Alléluia !

Prenez vos Bibles et ouvrez avec moi dans Ésaïe 42, pour lire les 4 premiers versets !

Nous lisons au nom de Jésus :

« Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon esprit sur lui ; Il annoncera la justice aux nations. Il ne criera point, il n’élèvera point la voix, Et ne la fera point entendre dans les rues. Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore ; Il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, Jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, Et que les îles espèrent en sa loi. »

Depuis trois mois aujourd’hui, nous étudions le sous-thème suivant : s’occuper des pauvres, comme manifestation de l’amour, pour se libérer des esprits familiers. Et depuis ce séminaire qui est le 4e de l’année 2022, nous découvrons un synonyme de pauvre qui est serviteur, et mieux, esclave de Dieu. C’est le serviteur ou l’esclave de Dieu qui est pauvre. Si vous vous voyez ou si vous vous reconnaissez esclaves de Dieu, vous êtes forcément pauvres et donc débarrassés des intérêts personnels ou égoïstes. Et lorsque Dieu vous parle, vous ne regimbez pas, vous ne réclamez pas, vous obéissez seulement, parce que vous avez le statut d’esclaves et c’est cela l’attitude d’un esclave vis à-vis de son Maître.

Un esclave n’a en effet pas de suggestion à faire, ni à riposter quand son patron donne un ordre ou une instruction. Il doit simplement obéir et l’exécuter. Et hier vendredi, le Seigneur nous a fait comprendre que son serviteur ou son esclave est un sourd et un aveugle qui se laisse conduire par lui. Aujourd’hui, nous allons parcourir quelques exemples, y compris ceux que nous avons déjà vus, pour étudier et apprécier les conditions et ce qui entoure ceux-là que Dieu a souvent appelés ou ceux qu’il appelle. Je peux d’emblée vous dire que les choses n’ont pas souvent été faciles pour ceux-là. Et même pour ceux d’entre eux qui sont nés et qui ont grandi dans des milieux faciles ou relativement faciles ou privilégiés, comme Dieu les a destinés à être ses esclaves, Dieu permet à un moment donné de leur vie, que les choses se compliquent autour d’eux, afin qu’ils puissent connaître la condition et le statut d’un véritable esclave de Dieu.

Lorsque j’ai fait des investigations dans la Bible, depuis Genèse jusqu’à Apocalypse, je me suis rendu compte qu’il n’y a eu que quelques exceptions des serviteurs de Dieu qui sont nés et qui ont grandi dans un contexte favorable, c’est-à-dire, qui n’ont pas connu la dureté de la vie ou le dénuement. Nous commencerons donc par l’exemple de Moïse qui est le 1er prophète connu. Dans quel contexte ce dernier était-il né ; qu’est-ce qui l’environnait lorsqu’il était né ? Il était né dans un environnement de deuil ou de mort. Il était né alors que le Pharaon de son époque avait déjà statué que tous les garçons hébreux à naître devaient mourir. Ils étaient tous destinés à la mort. Moïse à sa naissance, était donc à priori destiné à mourir. Son environnement de naissance ne lui permettait même pas de vivre ; le diable ayant préparé à l’avance l’élimination de sa vie qui devait commencer. C’était la programmation du diable.

Je peux vous dire que c’est ce qui arrive à la plupart des serviteurs de Dieu. Je fais ce rappel pour vous éviter de vous apitoyer sur votre sort, en vous démontrant que, ce que vous vivez est plutôt normal, parce que c’est ce qui arrive généralement à celui qui est destiné au service de Dieu. Il est important de le faire parce que, pour la plupart d’entre vous, vous croyiez, selon ce que vous aviez appris ailleurs que, avec Dieu ou Jésus, votre condition devait être améliorée, que les choses seraient meilleures pour vous. Car, certains parmi vous, êtes nés dans des conditions similaires à celles de Moïse, où vous étiez à l’article de la mort, et Dieu a permis que vous puissiez vivre. Cependant, la vie n’a jamais été aisée ou facile pour vous ; et c’est pour cette raison que vous avez cherché et trouvé Dieu dans la perspective d’obtenir la solution à vos problèmes. Étant donc venus à Jésus, vous vous attendez naturellement à l’amélioration de votre situation, au changement de votre vie, selon les enseignements initialement reçus ailleurs.

Et même après votre conversion effective, vous vous attendez à l’amélioration de votre vie, parce que vous avez encore les séquelles des faux enseignements en vous. Vous aspirez au changement dans votre vie pour passer à l’étape supérieure. Vous aspirez à une vie meilleure, à une vie réussie sur cette terre. Vous avez oublié ou vous ne saviez pas que, les conditions de ceux que Dieu appelle n’ont pas souvent été faciles ; leur environnement de vie ou leur entourage n’a pas souvent été favorable. C’est ce que je dois vous dire ou vous enseigner ce matin.

Parlant de Moïse, Dieu avait permis que ses parents n’aient pas peur, et leur avait par ailleurs donné la sagesse de tisser un panier et y mettre le bébé qu’ils avaient déposé au bord de la rivière à l’endroit où la fille de Pharaon et ses amis allaient généralement se laver. C’est de la sorte que cette fille de Pharaon avait entendu le cri d’un bébé avant d’envoyer l’une de ses copines le ramasser. La sœur de Moïse était aux aguets, je crois qu’il s’agissait probablement de Marie. C’est comme cela que le bébé avait été récupéré et il lui avait été donné le nom de Moïse qui signifie « tiré de l’eau ». On peut donc dire que cet enfant était déjà noyé, puisqu’il a été tiré de l’eau. C’est après cela qu’il fut adopté par la fille de Pharaon et élevé au palais royal. Mais, par la pure grâce de Dieu, Moïse avait eu le temps de passer ses premiers jours de vie dans sa famille de naissance, jusqu’à un certain âge, le temps nécessaire pour avoir bonne connaissance de ses origines.

Bien qu’étant ainsi élevé au palais royal, celui-ci connaissait bien ses origines. C’est pourquoi, il avait finalement décidé, au temps marqué, de faire corps avec son peuple qui était le peuple de Dieu. Il avait décidé de renoncer aux privilèges qu’il avait au palais royal. Contrairement à certains d’entre vous qui, lorsque Dieu vous tirerait même de l’eau ou de la misère, vous oublierez vos réelles origines célestes. C’est la raison pour laquelle, certains parmi vous finirez votre séjour sur la terre sans accéder aux privilèges auxquels vous aspirez, parce que vous n’êtes pas mûrs. Et Dieu ne voudra pas que vous oubliiez vos origines en lui, à cause des privilèges.

Pour revenir sur l’entourage des serviteurs ou esclaves de Dieu, sachez qu’ils sont très peu qui naissent et grandissent et vivent dans des conditions favorables. Tous ou presque ont connu des conditions de vie précaires. Dans ma revue des serviteurs de Dieu de l’époque biblique, j’ai découvert qu’on ne parle que de Daniel et de ses trois amis, Schadrac, Méschac et Abed Nego, comme étant issus des familles nobles. Eux seuls font exception, mais Dieu avait toujours permis qu’ils connaissent l’humiliation dans la mesure où ils avaient été pris comme esclaves pour aller servir au pays de Babylone. Dieu avait humilié leur peuple en l’envoyant en esclavage auprès de l’empereur Nebucadnezar où ces derniers avaient été sélectionnés pour servir au palais impérial. Dieu les avait donc soumis à l’humiliation parce qu’il voulait les utiliser. Voyez-vous cela ?

Lorsque Dieu vous a destinés à être ses serviteurs, quand bien même vous naîtriez dans un environnement privilégié, il vous brisera forcément pour vous soumettre aux conditions de ses serviteurs, afin que vous connaissiez le passage normal de tous ses esclaves. Il le fait pour vous soumettre à lui, afin que vous sachiez que, c’est lui et lui seul, qui prend soin de vous. Ce fut donc le cas de Daniel et ses trois amis ci-dessus.

Voyons maintenant l’exemple de Jésus le Fils de Dieu ! La Bible nous dit qu’il s’est dépouillé lui-même et Dieu avait choisi qu’il naisse dans une famille extrêmement pauvre. Joseph et marie étaient extrêmement pauvres. Ils n’avaient rien et manquaient de soutien. Voyez-vous, la naissance d’un enfant ne surprend pas ses parents. Ils ont le temps de la préparer pendant les neuf mois que dure une grossesse. Mais dans le cas de Joseph et Marie, ils n’avaient pas pu faire des économies pour pouvoir préparer la layette et faire accoucher Marie dans un hôpital. La Bible précise qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie, ce qui signifie qu’ils n’avaient pas d’argent pour s’offrir les services de l’hôtellerie. C’est pourquoi Jésus était allé naître parmi les chèvres, les moutons et les bœufs derrière la maison de quelqu’un. C’est parmi les animaux que Jésus était né, sur une étable ! Jésus était donc né dans la pauvreté la plus abjecte, et c’est dans ce même contexte de pauvreté qu’il avait grandi. Mais, c’est lui que Dieu appelle son serviteur, son esclave.

Nous pouvons comprendre que Dieu a souvent voulu que son serviteur connaisse le dénuement ou le dépourvu depuis sa conception, sa venue au monde et dans son enfance. Vous devez donc comprendre que, lorsque vous vous convertissez peut-être parce que les choses devenaient difficiles pour vous, ce n’est pas pour l’amélioration de vos conditions de vie sur cette terre que Dieu vous a appelés. Ce n’est pas pour cela qu’il vous appelle. Comprenez plutôt que vous êtes des esclaves de Dieu ; et qu’un esclave n’a rien. Il n’a pas de propriétés, de possessions, de richesses ni d’avenir. Sa vie dépend de son Maître. La vie d’un esclave dépend de son Maître. Ce dernier est même capable de le revendre à un autre Maître, parce qu’il n’en veut plus. Il fait de lui comme il veut ou comme bon lui semble. Voilà la condition, voilà la vie d’un esclave !

Un esclave n’a pas de personnalité propre. C‘est comme cela que nous sommes appelés à être ; c’est comme cela que Dieu veut que nous soyons, vous et moi. Je vous ai montré hier les mentions que j’avais portées sur ce passage d’Esaie 42. Je ne les ai pas portées dans le cadre de la préparation de ce séminaire. Non ! C’est depuis que Dieu m’avait fait comprendre que j’étais son serviteur et donc son esclave, et que son esclave est un sourd et un aveugle qui se laisse diriger et mouvoir par lui. J’avais dit : « c’est mon histoire, j’accepte ». Je me plais dans ce rôle. Car, un vrai esclave de Dieu ne peut se plaindre de la manière dont se déroule sa vie. Pour le serviteur de Dieu, il n’y a pas de lamentations, de murmures et des inquiétudes. Il ne doit pas s’inquiéter parce qu’il n’a plus de vie, celle-ci dépend de son Maître. S’il le fait, cela signifierait qu’il n’a plus de Maître, qu’il n’a plus de directeur. Or, c’est Dieu en personne qui dirige sa vie.

Je vous dis que le contexte de naissance et les conditions de vie des serviteurs de Dieu n’ont pas souvent été faciles. Je ne peux pas vous citer tous les exemples, mais comme je vous ai dit, j’ai parcouru toute la Bible, et je n’ai pas vu des esclaves de Dieu ayant grandi dans des milieux huppés. Ceux qui ont pu avoir des conditions agréables et favorables comme Daniel et ses amis, Dieu avait permis qu’ils connaissent la situation des vrais esclaves de Dieu. Lorsque ces derniers étaient arrivés à Babylone, ils devaient être parmi les jeunes qui devaient être encadrés par la maison royale. Mais, ces enfants connaissaient leur origine. C’est cela qui leur avait permis de refuser de se souiller avec les mets de la table du roi de Babylone. Imaginez la table d’un roi lorsqu’elle est dressée. Il s’y trouve toute sorte de bons mets, de bons vins et autres boissons. Mais ces enfants avaient refusé de les manger et de les boire.

Étant donné qu’on les avait réduits au rang des esclaves, ils avaient été ainsi humiliés et rabaissés, ils avaient compris que c’est dans ces conditions d’esclavage que leur Dieu les avait soumis. Ils avaient donc décidé de ne point manger de la « bonne nourriture » ni boire du « bon vin » de la table du roi ; et ils avaient choisi de ne manger que les légumes. Connaissant leur origine en Dieu, ils avaient décidé de ne pas toucher à la « bonne nourriture » de la table du roi. Ils avaient refusé de « bien se nourrir » malgré qu’ils en eussent le privilège et l’opportunité. Ils avaient compris que, par rapport à leur origine en Dieu, ce qui était présenté devant eux comme nourriture et boisson était un piège. Combien parmi vous auraient réagi comme eux ?

Dieu seul sait que si l’on vous offre une pareille opportunité de « bien manger », de « bien boire » et de « bien être encadrés », en dehors de la volonté de Dieu, comme ce fut le cas pour ces quatre derniers, vous vous compromettrez. Vous accepterez de vous souiller, parce que vous aspirez ou vous voulez une vie meilleure ; alors qu’en tant qu’esclaves de Dieu, vous êtes appelés à subir des privations pour ne faire que la seule volonté de Dieu, en dépit de ce dont vous pourrez souffrir comme conséquence. Plusieurs parmi vous, êtes prêts à vous compromettre. Sinon, pourquoi une jeune fille chrétienne peut-elle se laisser séduire par un païen ? C’est certainement parce qu’elle se dit que, depuis qu’elle a cru dans son église, il n’y a pas les gens de sa classe ou de sa dimension. Lorsqu’elle trouve donc un païen qui est de sa catégorie qui l’accosterait en route, elle est prête à céder et elle cède. Vous connaissez certainement ces jeunes chrétiennes et chrétiens qui ont rétrogradé pour aller épouser des païens et des païennes.

Ce petit exemple indique bien que, si l’on vous offre le privilège d’être dans les conditions de Daniel et ses amis, et qu’on vous offre ce que vous désirez, ou ce que vous convoitez, vous allez céder et vous compromettre. Vous accepteriez la proposition à vous faites sans discernement, parce que vous ignorez qui vous êtes ; vous ignorez que vous êtes esclaves, et non pas enfants du Roi des rois ou enfants du Grand Dieu. Vous êtes esclaves de Dieu, et ne devez donc pas faire par votre tête. Je vous redis que, je prends ces exemples bibliques, pour vous éviter le découragement par rapport à vos conditions de vie actuelles respectives, ou par rapport à tout ce dont vous faites face actuellement. Car, tous ceux qui nous ont précédés avant ou après Jésus, ont suivi le même chemin et connu les mêmes circonstances. Ils sont nés, ont grandi et ont vécu dans des milieux pauvres et défavorables où ils ont expérimenté une vie précaire.

Dieu avait voulu qu’ils soient, qu’ils aient et qu’ils grandissent avec la mentalité d’esclaves et de pauvres dans leur esprit. Dieu leur avait évité d’être là à réclamer la grande vie, l’aisance, la sécurité sociale, matérielle et financière. Si nous revenons un moment sur Moïse, celui-ci ayant constaté et compris que Dieu l’avait choisi et l’avait mis à part pour qu’il soit le libérateur ou le sauveur de ses frères, avait voulu commencer cette mission dans la précipitation et aussitôt, sa vie était encore en danger comme à sa naissance. Après avoir tué un égyptien, Pharaon avait entrepris de le tuer. Sa vie avait commencé à être en danger avant et pendant sa naissance. Ses yeux s’étaient ouverts davantage au danger qui menaçait sa vie lorsqu’il avait commencé sa mission de libération de son peuple, le peuple de Dieu. Celui-ci avait été obligé de fuir pour se réfugier au pays de Madian.

Qui était Moïse pour son peuple ? Il était prévu pour être le sauveur de son peuple. Cela n’avait pas empêché que sa vie soit en danger à sa naissance et dans sa croissance. Avant même sa naissance, sa vie était en danger, après sa naissance ayant grandi, sa vie était de plus bel en danger. Vous comprenez comment cela n’avait pas été facile pour lui. Mes amis, comprenez que la vie et la conduite du travail de Dieu n’ont pas souvent été faciles pour ses esclaves. Voilà l’exemple de contexte dans lequel ils naissent et grandissent. Avec Jésus c’était pareil. Lorsque ce dernier était né, les mages qui avaient eu connaissance de sa venue au monde, étaient allés lui faire des dons et l’adorer. Ils étaient passés par Jérusalem et l’avait annoncé au Roi de son époque, Hérode.

Ils lui avaient dit qu’il y a un roi des juifs qui est né, et nous allons vers lui pour l’adorer. Le roi l’ayant appris s’était demandé dans son for-intérieur : « donc il y a quelqu’un qui est prévu pour me remplacer ? » En rusé, celui-ci avait répondu aux mages que : « allez-y le voir, et lorsque vous l’aurez localisé, vous reviendrez me dire afin que moi aussi, j’aille à mon tour l’adorer. » C’était de la ruse. Et Dieu avait révélé cette ruse aux mages et leur avait dit de ne plus rentrer vers Hérode. Il leur avait dit de prendre un autre chemin pour rentrer, parce que Hérode voulait tuer l’enfant qu’ils étaient allés adorer. Dieu avait dans le même temps alerté Joseph le père de Jésus que, la vie de l’enfant était en danger. Il lui avait demandé de fuir pour se réfugier avec l’enfant en Égypte. Ceci eut lieu juste à la naissance de Jésus ! Regardez vous-mêmes les conditions de Jésus : Dieu avait choisi une famille parmi les plus pauvres pour l’accueillir ; après sa naissance, les choses n’étaient toujours pas faciles ; il s’était retrouvé recherché par Hérode pour être tué.

Je vous dis la pure vérité que, si vous êtes appelés de Dieu, esclaves de Dieu, essayez un peu, chacun en ce qui le concerne, de faire la revue de votre vie, depuis votre naissance, avant et après votre conversion. Vous remarquerez que les choses n’ont pas souvent été faciles pour vous. Si c’est le cas, comprenez que vous êtes appelés de Dieu, élus de Dieu et esclaves de Dieu. Une telle réalité ne doit donc pas vous décourager pour que vous vous considériez comme le dernier des hommes. Oh mon Dieu, ouvre les yeux à ces enfants, donne-leur de comprendre ! Je prie que Dieu vous donne de comprendre que vous n’êtes pas le dernier des hommes, parce que vous êtes nés des familles pauvres, parce que vous avez grandi dans le besoin et le manque, et que même après votre conversion, vous continuez à vivre dans le besoin, le manque, le dépourvu ou le dénuement. Ne pensez pas que c’est une erreur de la part de Dieu.

Comprenez que Dieu avait prévu que vous passiez par-là afin de vous utiliser pour les autres qui passent ou passeront par-là. Dieu veut vous utiliser pour sauver les autres pauvres. Comprenez-vous cela ? Je vous suggère de parcourir la Bible comme je l’ai fait, de la Genèse à l’Apocalypse. Vous découvrirez quelle a été la vie des auteurs des différents livres qu’elle contient, étant donné que chaque livre porte le nom de son auteur. Vous comprendrez tout seuls que leur vie n’avait pas été facile. Certains auteurs racontent même la vie d’autres serviteurs dans les mêmes termes pour constater que leur vie n’avait pas été facile. Ils sont tous passés par ce schéma que je vous décris aujourd’hui. Jésus lui-même étant encore bébé, sa vie était déjà en danger. Voyez-vous cela ?

Et lorsque les mages avaient emprunté un autre chemin après avoir adoré le bébé Jésus, selon l’instruction de Dieu, Hérode ne les ayant plus vus, avait demandé à son armée d’aller tuer tous les enfants mâles qui avaient deux ans et moins. Il supposait que dans tous les cas de figure, le « roi des juifs » qui lui avait été annoncé par les mages serait tué parmi les enfants dont l’âge était compris entre deux ans et moins. C’est ainsi qu’il y avait eu massacre des enfants et des bébés. Il ne savait pas que Dieu qui reste Dieu, avait déjà sécurisé la vie de son serviteur, la vie de son esclave en l’envoyant en Égypte. Voyez-vous dès lors comment il n’est pas étonnant ce que le diable et ses agents ont fait lors de la première guerre mondiale, ni lors de la deuxième guerre mondiale. Ils ont massacré les gens parce qu’ils recherchaient celui qui détenait la clef de l’évangile. Ils cherchaient à mettre la main sur lui, pour l’éteindre et empêcher aux plans de Dieu de s’accomplir dans ce monde.

Il n’est donc pas aussi étonnant de voir ce qu’ils viennent de faire avec le mensonge de l’heure, la prétendue pandémie qui est la troisième guerre mondiale. Imaginez tous les assassinats qui ont eu lieu depuis tout ce temps. Et vous voyez d’ailleurs comment ils ne font que trouver des artifices pour prolonger leur mensonge dans le temps, parce qu’ils sont toujours en train de rechercher la clef de l’évangile pour la récupérer (Luc 11 : 52). Et pourtant, Dieu de son côté avait déjà pris ses dispositions depuis longtemps pour la cacher. Vous pouvez donc constater que cette guerre des ténèbres contre la lumière, n’a pas commencé aujourd’hui. Le combat entre le serviteur ou l’esclave de Dieu et le monde des ténèbres n’a pas commencé aujourd’hui. Le diable est toujours dans sa logique de vouloir empêcher aux plans de Dieu de s’accomplir sur la terre.

Lorsque Dieu donc, permet que son esclave ou son serviteur naisse, grandisse et vive dans des conditions difficiles et des souffrances, c’est pour l’amener à comprendre qu’il doit absolument dépendre de Dieu en tout, pour tout et partout. Autrement, si ce dernier naît, grandit et vit dans l’aisance et le confort, il ne saura pas s’abandonner à Dieu lorsque les choses deviendraient difficiles. C’est pour cette raison que Dieu le prépare avant sa naissance, à sa naissance et pendant qu’il grandit ; une manière de l’emmener à ne faire confiance qu’en lui. Mes amis, comprenez donc que, les circonstances dans lesquelles vous êtes nés, vous avez grandi, et vous vivez avant et après votre conversion ont été préparées par Dieu lui-même, parce que vous êtes son esclave qui ne doit compter que sur lui. Vous ne devez donc compter que sur lui, vous ne devez compter que sur lui.

Certains parmi vous étant encore païens et ayant des parents païens, vous avez été sauvés des situations difficiles, parfois étant encore bébés et donc dans l’inconscience. D’autres ont été préservés de la mort depuis le sein de leur maman par des avortements par exemple, mais Dieu vous avait épargné dans votre inconscience. Certains autres ont été attaqués dans leur enfance ou au cours de leur vie, mais Dieu les a sauvés. Et bien d’autres encore ont été victimes des accidents graves qui n’ont pourtant pas emporté leur vie par la grâce de Dieu, alors qu’ils n’étaient pas encore croyants. Parfois et même plus généralement, Dieu utilise des gens qui ne sont pas ses enfants, pour épargner vos vies. Comprenez qu’il est Dieu et sait ce qu’il fait. Vous n’avez donc pas besoin de vous plaindre. Et je peux vous dire que, ce que Dieu est en train de faire à l’heure actuelle avec nous est déterminant. Lorsque je lui ai demandé ce matin ce qui se passe et comment devons-nous faire ? Il m’a dit évoluez, continuez ! Je sais donc que nous allons y arriver.

Je sais que lorsque je parle de la sorte, plusieurs se demandent où allons-nous même arrivés et qu’est-ce qui sera déterminant. Ceux qui sont intelligents ou mieux ceux qui ont l’Esprit de Dieu comprennent déjà où l’Esprit de Dieu nous conduit. C’est demain que nous clôturerons ce programme, et je suis en train d’évoluer comme je l’ai annoncé depuis le premier jour. Nous sommes en ce moment en train de voir le contexte dans lequel naît, grandit et évolue celui que Dieu appelle. Nous découvrons son environnement de vie et tout ce qui l’entoure, et concluons que ça n’a jamais été facile. À chaque fois ce dernier se trouve à quelques centimètres de la mort. Rien n’est facile pour lui, et à chaque fois on peut penser qu’il est fini, on peut penser que c’est terminé, mais à chaque fois aussi, Dieu par miracle, réussit à le faire sortir de la situation. Mon souhait serait que chacun de vous puisse faire le flashback de sa vie, pour essayer d’analyser tout ce qui lui est arrivé, et comment dans son inconscience, Dieu a-t-il fait pour le délivrer et le garder en vie, jusqu’à ce matin où il suit toutes ces révélations et explications qu’il fait par ma voix.

Comprenez que cela ne tient pas du hasard ; comprenez que Dieu a réellement un plan avec votre vie ; et qu’il veut vous utiliser comme son esclave. Ceux parmi vous qui, même après s’être engagés pour lui, vous avez été égoïstes en vous concentrant à la satisfaction de votre chair, en abandonnant les voies de Dieu pour vous livrer à la dépravation, au péché et tout le reste, vous devez vous ressaisir. Vous devez vous ressaisir parce que ce n’est pas pour cela que Dieu vous a appelés. Dieu ne vous a pas appelés pour la souillure ni au gaspillage de ce qu’il avait mis en vous. Dieu a certainement mis quelque chose en vous qui doit aider les autres pauvres en esprit ; mais, vous voulez étouffer cela à cause de votre égoïsme, parce que vous voulez connaître les plaisirs mondains. Vous sortez des voies de Dieu pour vous engager dans des plaisirs mondains, alors même que ce sont ces mondains que vous êtes appelés à sauver. Ressaisissez-vous !

Souvenez-vous et réfléchissez sur les chemins par lesquels Dieu vous a fait marcher dans votre inconscience jusqu’à ce que vous preniez conscience et connaissance que Dieu est avec vous et qu’il vous conduit. Pensez-y, pensez, faites le flashback ! Vous comprendrez que c’est bien de vous dont Dieu parle dans ce texte d’Ésaïe 42. Vous êtes son esclave et vous avez une mission qu’il vous confie. Et sachez que c’est maintenant, maintenant même que vous devez vous engager pour accomplir cette mission. Dieu reste fidèle pour sa part, et votre protection et votre délivrance, c’est lui-même qui s’en occupe. Vous n’avez donc pas besoin de vous inquiéter, y compris pour l’accomplissement de la mission qu’il vous a confiée, il a tout sécurisé et a tout garanti. De même qu’il vous a sécurisés et délivrés depuis votre naissance, votre vie et tout votre cheminement, il poursuivra l’assainissement de votre entourage ou votre milieu d’influence, pendant que vous effectuez le travail qu’il vous a confié ; c’est par-là que nous évoluons. Nous le verrons demain, et ce sera là le point culminant de ce séminaire.

L’assainissement se produira autour de chacun ; Dieu assainira l’environnement immédiat et même lointain de chacun effectivement pour que vous puissiez faire son travail. Même si vous êtes seuls, votre environnement sera assaini pour que vous puissiez bien faire son travail qu’il vous confie. Même si vous êtes seuls, vous devez faire son travail. Avec qui Jésus était-il à son époque ? Il était tout seul. Nous sommes dans le temps, je vous le dis. C’est le temps de faire le travail de Dieu ; nous sommes bien dans le temps, nous sommes dans ce temps. Comprenez-vous cela ? Dieu est toujours en train de travailler ; il n’a jamais pris de repos, en dehors de celui qu’il avait pris après six jours de travail pour la création du monde. Jésus nous l’a dit lorsqu’il était de passage sur la terre. Il a dit que son Père travaille et lui aussi travaille (Jean 5 : 17). Il répondait ainsi à ceux qui lui faisait le reproche de travailler même les jours du sabbat. Sachez donc que Dieu travaille, il n’est pas au repos.

Enfants de Dieu, comprenez que Dieu n’est pas au repos ! Malgré tout ce qui nous arrive, nous ne devons pas nous décourager. Si cela nous arrive, c’est parce que nous voulons que les choses se passent comme nous le voulons, tel que nous l’avons écrit dans notre rouleau à nous. Nous voulons que ce soit ce qui est écrit dans notre propre rouleau qui s’accomplisse, au lieu que ce soit le projet de Dieu qui s’accomplisse en nous. Nous ne voulons pas laisser Dieu accomplir ses plans en nous comme il l’a prévu ; ceci parce que nous oublions que nous sommes ses esclaves et dépendons donc de lui en tout, pour tout et par tout. Comprenez cela aujourd’hui et cessez de murmurer et de vous lamenter ! Relevez-vous et faites ce que Dieu a prévu que vous fassiez ou ce qu’il vous demande de faire. Ce monde n’a rien de spécial ; ce monde ne nous a rien donné et ne nous donnera rien. Je ne sais pas pourquoi vous vous accrochez tellement à lui.

Comme la Bible l’a si bien dit, ce monde passera. Il passera nécessairement, mais c’est celui qui fait la volonté de Dieu qui vivra éternellement. Aujourd’hui, acceptez que Dieu soit votre seul Maître et engagez-vous à ne faire que sa volonté exclusive. C’est lui qui a le dernier mot sur votre vie ; c’est lui le seul maître de votre vie ; c’est lui le Seigneur de votre vie. Si vous l’appelez Seigneur, comprenez que vous êtes ses esclaves ! Car, le mot Seigneur désigne celui qui a tous les pouvoirs sur son sujet. Et comme vous appelez Jésus, Seigneur, cela suppose que vous êtes ses sujets et donc ses esclaves. Il a donc tous les pouvoirs sur vous et, vous n’avez rien à lui dicter, à lui réclamer ou à lui revendiquer. Soumettez-vous seulement à sa volonté ; faites seulement sa volonté ! C’est à ce prix, et à ce prix seulement que vous connaîtrez le bonheur et l’épanouissement.

Imaginez-vous un esclave qui ne fait pas la volonté de son Maître ? Celui-là sera seulement maltraité, puni, fouetté et même tué à la limite. Vous êtes donc, en tant qu’esclaves, obligés à faire obligatoirement la volonté de votre Maître. Les misères que vous connaissez alors que vous êtes enfants de Dieu, ces misères qui vous font pleurer, vous les connaissez parce que vous n’êtes pas obéissants ; vous n’exécutez pas ce que votre Maître vous demande de faire. Nous trouvons, comprenez-le, notre bonheur en faisant ce que Dieu nous demande de faire. C’est bien là où nous avons le bonheur et la joie, la joie de vivre. Vous devez faire le travail de Dieu avec joie.

Demain disais-je, nous verrons comment Dieu opère l’assainissement autour de celui-là qu’il a appelé et qu’il envoie en mission. Et Dieu va le faire, afin que nous puissions faire son travail en ce temps-ci. Ce travail est primordial, c’est lui qui doit être fait ; et Dieu est sur le point de le faire en assainissant notre environnement pour déblayer la voie, à l’effet de nous permettre d’accomplir son travail, selon qu’il l’annonce dans ce texte d’Ésaïe 42 comme il suit, dans les versets 1 à 4 : « Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon esprit sur lui ; Il annoncera la justice aux nations. Il ne criera point, il n’élèvera point la voix, Et ne la fera point entendre dans les rues. Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore ; Il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, Jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, Et que les îles espèrent en sa loi. »

C’est notre mission ! C’est ce que Dieu a prévu faire avec nous, comme il le précise ou le confirme de fort belle manière dans les versets 6 à 9 comme il suit : « Moi, l’Éternel, je t’ai appelé pour le salut, Et je te prendrai par la main, Je te garderai, et je t’établirai pour traiter alliance avec le peuple, Pour être la lumière des nations, Pour ouvrir les yeux des aveugles, Pour faire sortir de prison le captif, Et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres. Je suis l’Éternel, c’est là mon nom ; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles. Voici, les premières choses se sont accomplies, Et je vous en annonce de nouvelles ; Avant qu’elles arrivent, je vous les prédis. »

Voilà les paroles de Dieu ! Elles sont pour vous et pour moi, pour cette période, pour cette génération, pour ce temps dans lequel nous sommes. Dieu nous a appelés pour le salut ; le salut de nos âmes et le salut des âmes des autres ; le salut des peuples et des nations.

Êtes-vous prêts à vous soumettre à sa volonté, et, à lever les mains comme esclaves ?

Levez-vous sur vos deux pieds pour prier !

Amen !

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[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (VENDREDI, 1er AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS PRÉDICATION : TOUT CHRÉTIEN EST UN PAUVRE ET UN ESCLAVE DE DIEU[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (VENDREDI, 1er AVRIL 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS

PRÉDICATION : TOUT CHRÉTIEN EST UN PAUVRE ET UN ESCLAVE DE DIEU

 RÉFÉRENCES BIBLIQUES : ÉSAÏE 42 : 1-9, 16-19 ; JEAN 14 : 12-14 ; GALATES 2 : 7-9

 

Alléluia !

Prenez votre Bible et allez avec moi dans notre passage d’hier ! Ouvrons dans Ésaïe au chapitre 42 et lisons du verset 1 au verset 9 :

« Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon esprit sur lui ; Il annoncera la justice aux nations. Il ne criera point, il n’élèvera point la voix, Et ne la fera point entendre dans les rues. Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore ; Il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, Jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, Et que les îles espèrent en sa loi. Ainsi parle Dieu, l’Éternel, Qui a créé les cieux et qui les a déployés, Qui a étendu la terre et ses productions, Qui a donné la respiration à ceux qui la peuplent, Et le souffle à ceux qui y marchent.

Moi, l’Éternel, je t’ai appelé pour le salut, Et je te prendrai par la main, Je te garderai, et je t’établirai pour traiter alliance avec le peuple, Pour être la lumière des nations, Pour ouvrir les yeux des aveugles, Pour faire sortir de prison le captif, Et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres. Je suis l’Éternel, c’est là mon nom ; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles. Voici, les premières choses se sont accomplies, Et je vous en annonce de nouvelles ; Avant qu’elles arrivent, je vous les prédis. »

Nous sommes au 2e jour de ce séminaire du mois d’avril 2022. Le Seigneur sait que celui qu’il envoie comme missionnaire ou messager est quelqu’un qui lui est totalement soumis. Il est le genre que l’on appelle ESCLAVE. Il est un pauvre en esprit, mais c’est le mot esclave qui est approprié pour le désigner ou le qualifier. C’est le mot esclave qui est approprié pour nous qualifier, nous enfants de Dieu. En disant simplement que nous sommes pauvres, cela n’exprime pas bien ce que nous sommes devant Dieu. Il nous faut comprendre que nous sommes esclaves et non simplement pauvres, étant entendu que l’on peut être pauvre et ne pas être esclave. Mais au contraire, quand on est esclave, on est forcément pauvre parce qu’on ne possède rien, on n’a rien et on n’est rien.

Souvenez-vous que c’est ainsi que j’avais défini le pauvre. Je l’avais défini comme étant celui qui n’est rien sans Dieu, qui n’a rien sans Dieu et qui ne peut rien sans Dieu, indépendamment de sa classe sociale, et de ses avoirs matériels et/ou financiers. Il est donc mieux de dire que nous sommes des esclaves de Dieu. Nous sommes ses esclaves, c’est ce que le Saint-Esprit veut que nous comprenions en définitive. Si nous disons donc que nous avons donné nos vies à Jésus et que nous appartenons à Dieu, cela veut dire que nous sommes ses esclaves ou ses sujets. C’est lui qui nous conduit et nous dicte ce que nous devons faire. Et nous autres, sommes obligés de lui obéir.

Dans ce chapitre d’Ésaïe 42, il ressort qu’il nous a confié une mission. Il convient de rappeler que cette prédiction concernait Jésus-Christ, le Messie, l’Oint et Serviteur de l’Éternel, le Sauveur, dont on annonçait l’arrivée. Mais comme notre destinée est intimement liée à celle de Jésus, nous faisons donc corps avec lui, et, si « dans le rouleau il est question de lui », cela signifie que « dans ce rouleau il est question de nous ». Comme il était venu sur la terre et avait accompli la mission avant que tous les hommes y soient, et même qu’il n’avait pas parcouru le monde entier, il avait envoyé les disciples pour poursuivre ce travail de salut des hommes. Nous faisons donc partie des disciples qu’il avait envoyé, pour la continuité de son travail.

Ces paroles de Dieu que nous lisons s’adressent donc à nous comme à lui-même à son époque, et je pourrais même dire qu’elles s’adressent à nous plus fortement encore aujourd’hui qu’à son époque. Cela se justifie par plusieurs facteurs dont celui de la population qui s’est accrue, dépassant celle de son époque. Et par ailleurs, le monde n’avait pas encore évolué comme aujourd’hui, de sorte que nous avons plus de défis de nos jours qu’à son époque et à celle de ses disciples directs. Pour en citer un exemple, je pourrais dire que, l’enseignement des dépravations des mœurs par exemple s’effectue en un clin d’œil pour affecter le monde entier. Les mauvaises choses qui se pratiquent en Occident sont en même temps relayées, se voient et se pratiquent dans les fins fonds des villages en Afrique et au Cameroun. Imaginez-vous que les films pornographiques que ces gens produisent circulent dans nos pays et les petits-enfants de 3-4 ans commencent à les voir !

Voyez-vous un tel niveau de corruption morale des enfants ? Cela est bizarre. Vous voyez vous-même que les choses ont négativement évolué plus qu’au temps de Jésus et de celui des apôtres de Jésus. C’est pour cette raison que nous sommes plus qu’interpellés. Nous devons en conséquence nous disposer pour que Dieu puisse nous utiliser efficacement et puissamment pour ces temps de la fin dans ce monde devenu un village planétaire. Oui, le monde est devenu comme un village où tous les habitants se connaissent et où rien ne peut se passer sans que tout le monde en soit au courant. Souvenez-vous que lorsque par exemple, les géants de ce monde ont prétendu que Ben Laden avait bombardé les tours jumelles aux USA en 2001, les télévisions mondiales reportaient l’évènement en direct et le monde entier suivait cela à la télévision. Tous ceux du monde entier qui regardaient cela en direct ont vu comment le deuxième avion était allé percuter la 2e tour. Cela se passait aux USA, mais le monde entier l’a vécu au même instant. Vous rendez-vous compte ?

Aujourd’hui ou de nos jours, nous avons une lourde charge, le fardeau pèse beaucoup plus. Je peux maintenant comprendre les propos de Jésus à l’endroit de nous autres qui devrions le suivre dans l’accomplissement de sa mission sur la terre, dans le texte que j’ai cité hier. Il s’agit de l’évangile de Jean au chapitre 14, du verset 12 au verset 14 que nous relisons :

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. »

Voyez-vous, Jésus avait prévu que celui qui croira en lui fera de plus grandes œuvres que lui. C’est parce qu’il savait, je le crois, que les choses deviendront plus compliquées après lui. Et il faudrait que les œuvres de Dieu se voient de plus en plus grandioses. Jésus n’avait pas fait dans l’égoïsme pour dire par exemple que ceux qui croiront en lui ne feront que des œuvres moins grandioses que les siennes, parce que c’est lui le Maître. Non ! Il avait plutôt prévu que ceux qui croiront en lui fassent des œuvres plus grandioses encore que les siennes. Il savait que le péché se sera accru dans le monde à cause des évolutions diverses, de telle sorte que les gens dans la planète terre soient affectés à la seconde près, d’une mauvaise chose produite dans un coin du globe terrestre. Il fallait donc aussi en conséquence que, son action soit vigoureuse, puissante et grandiose pour pouvoir contrecarrer l’envergure et la vitesse de propagation du péché et de l’abomination dans le monde.

Nous avons donc besoin de nous adonner totalement, sans réserve, à Dieu, afin que celui-ci puisse nous utiliser puissamment comme il avait prévu de le faire. Nous devons nous engager sans réserve. Pour arriver à adopter une telle attitude, nous devons intégrer dans notre esprit que nous sommes les esclaves de Dieu. C’est une telle disposition d’esprit et un tel engagement qui permettront que nous sortions ceux qui sont dans l’esclavage du péché, dans l’esclavage du monde, pour la liberté. Nous devons venir au secours de ceux-là qui sont pauvres. Oh Dieu aide ton peuple à comprendre ton interpellation !

Chers amis, êtes-vous chrétiens, êtes-vous nés de nouveau ? J’ai posé la question hier à toute l’assemblée de savoir qui est esclave. Certains ont eu l’audace de se lever pour se déclarer esclaves de Jésus, esclaves de Dieu ! À l’évidence, il est apparu qu’ils sont esclaves d’autres choses sauf de Dieu. S’ils sont bien esclaves, ils le sont certainement, mais pas de Dieu. Car, un vrai esclave de Dieu impacte forcément son entourage et fait avancer le royaume de Dieu. Cela ne saurait s’ignorer. Nous sommes par exemple engagés dans un combat depuis deux ans environ, à l’occasion de la troisième guerre mondiale commencée en 2020. Combien d’enfants de Dieu, comme d’esclaves de Dieu se sont-ils engagés pour combattre au nom du salut des pauvres ? Combien ? Combien se sont opposés ou ont dénoncé le mensonge de l’heure ? Combien l’ont-ils fait ? Combien l’ont-ils fait tant au Cameroun que dans le monde entier ? Combien ?

Je crois qu’il est plus raisonnable pour moi de demander combien savent même ce qui se passe ; combien le savent depuis ces deux années ? Combien d’entre eux ont-ils su la réalité de ce qui se passe dans le monde et qui ont en conséquence pris position pour la défense de la cause de Dieu ? Combien l’ont-ils fait ? Même ceux qui sont informés comme vous, ou comme plusieurs qui étaient avec nous et qui ont démissionnés, combien parmi vous se sont-ils engagés réellement pour défendre la cause de Dieu ? Plusieurs, aussitôt qu’ils ont vu leur tête menacée, ont succombé et abandonné. Or, un esclave, lorsqu’on lui ordonne d’effectuer un travail, il ne tient pas compte de sa vie, parce qu’il n’en a justement pas. Il n’a pas de vie propre, et n’a donc rien à défendre. Ceux qui sont ou qui ont démissionné ont démontré qu’ils ne sont pas esclaves de Dieu. Pour vous autres, vous jouez au chat et à la souris avec Dieu. Vous prétendez être esclaves de Dieu, alors que vous dandinez et chancelez au point que, si vous voyez que votre tête est menacée, vous jetterez l’éponge pour dire que vous n’en pouvez plus.

Les uns et les autres jetteront l’éponge en prétextant qu’ils ne sont pas venus à l’église pour engager ou pour perdre leur tête, mais bien pour guérir de leurs maladies, pour recevoir la délivrance ou avoir une ou de meilleures condition (s) de vie. Ils diront que leur demander de s’engager pour Dieu au point de perdre leur tête ne donne pas. Ils diront que ça ne donne pas. Ils diront que ce n’est pas leur temps de mourir ou de continuer à souffrir ou à souffrir jusqu’à l’extrême. Je veux dire que plusieurs sont prêts à abandonner comme plusieurs autres l’ont déjà fait. Pour certains autres qui sont encore là, parce qu’ils n’ont pas encore rencontré de réels défis, ils prétendent être encore là, parce que leur tour n’est pas encore arrivé. Ils démissionneront aussitôt qu’ils rencontreront un véritable défi.

Si vous n’avez pas encore compris que votre vie n’est rien, qu’elle ne sert à rien, et même que vous n’avez pas de vie, à cause de votre statut d’esclave, vous abandonnerez aussi. Et vous ne pourrez pas accomplir le travail pour lequel Dieu vous a appelé. Dieu veut réaliser une grande œuvre, c’est pour cette raison que vous êtes interpellés, parce qu’il cherche des partenaires avec qui il l’accomplira. Il cherche, Dieu cherche des partenaires mais il n’en trouve pas. Tous ceux qui sont rassemblés devant lui sont des religieux accrochés à leurs intérêts personnels. Cela est terrible et dommage ! Dieu s’est toujours organisé à nous former pour être des serviteurs ou des esclaves selon son modèle et à ses standards. La plupart des esprits qui se sont manifestés depuis hier qui était le 1er jour du séminaire, sont des démons qui étaient déjà passés ici depuis des années pour nous aider à nous apprêter, mais malheureusement, ce sont eux qui reviennent encore, comme pour démontrer que nous n’avons pas progressé.

Nous nous rendons donc compte que la formation que Dieu a voulue nous donner par l’intervention de ces esprits, n’a pas été fait jusqu’à ce jour où nous sommes sur le point de prendre la dernière ligne droite. Je peux citer en exemple cet esprit appelé « la manivelle de l’indépendance ». Il est un démon qui est passé ici depuis longtemps. Je peux aussi citer un autre esprit qui est passé ici dans le même temps, « les menottes ». Ces esprits s’étaient manifestés au cours d’un enseignement pour nous former. S’ils reviennent aujourd’hui, cela signifie que la leçon n’a pas été retenue depuis ce temps-là. Je souhaite que la communication m’aide, avant le début des délivrances, à retrouver la date de la première manifestation de ces deux esprits dans notre assemblée. Par ailleurs, depuis tout ce temps, il y a une autre vague d’esprits qui travaillent à savoir, l’avertissement, les conséquences, les trésors, le serpent d’airain, etc. Ces esprits sont là depuis tous ces derniers temps, ils semblent s’éterniser et leur travail tarde à finir.

On constate que vous êtes au statu quo. Je suis sûr qu’il y a des gens qui ont déjà été interpellés par ces esprits et qui peuvent encore être interpellés à ce jour depuis que ces esprits se manifestent. Cela veut dire que nous n’évoluons pas. Pourquoi cela ? Pourquoi ça ne bouge pas ; pourquoi ça n’avance pas ? Pourquoi ne voulez-vous pas vous abandonner au Seigneur ? Pourquoi cette résistance ? Nous avons compris que plusieurs sont des blasphémateurs. Plusieurs sont des blasphémateurs au lieu d’avancer, alors que chaque fois, des annonces sont faites pour leur éviter de tomber sous le coup du blasphème par des discussions autour des délivrances prophétiques. J’avais en effet remarqué depuis longtemps que les gens se moquaient et ridiculisaient ce que Dieu fait en ce lieu, et avais demandé que des annonces soient faites à titre de sensibilisation pour vous éviter le blasphème à cause de vos discours et entretiens négatifs sur le phénomène des délivrances prophétiques. Malgré cela, les gens continuent de le faire à leur dépens, sans savoir qu’ils se condamnent. Oh mon Dieu !

Si vous aviez travaillé les domaines dans lesquels le Seigneur interpellait les uns et les autres, vous seriez certainement devenus de vrais chrétiens et auriez compris que vous êtes des esclaves de Dieu. Vous auriez compris que vous devez totalement dépendre de lui, c’est cela le pauvre. Il dépend de Dieu, il ne compte que sur Dieu et il ne peut qu’avec Dieu. C’est cela qui fait de lui l’esclave parce qu’il agit sous les ordres de son Dieu. Voilà le sens de l’esclave de Dieu. Dans le rouleau du livre il est question de lui, l’esclave. Le vrai disciple de Jésus, le vrai chrétien, doit passer par où Jésus lui-même était passé. Nous avons tous ces avertissements.

Dieu a dit au verset 9 que : « Voici les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu’elles arrivent, je vous les prédis. » Nous avons vu hier qu’il a fait les premières choses avec Moïse et les prophètes, ces premières choses, il les a aussi faites avec Jésus puis avec les apôtres, Pierre, Jean et Paul. Aujourd’hui, il veut les faire avec nous. Je n’invente pas ce que je vous enseigne. Allons-y lire dans le Livre de Paul aux Galates ! Lisons dans Galates au chapitre 2 du verset 7 au verset 9 : « Au contraire, voyant que l’Évangile m’avait été confié pour les incirconcis, comme à Pierre pour les circoncis, – car celui qui a fait de Pierre l’apôtre des circoncis a aussi fait de moi l’apôtre des païens, – et ayant reconnu la grâce qui m’avait été accordée, Jacques, Céphas et Jean, qui sont regardés comme des colonnes, me donnèrent, à moi et à Barnabas, la main d’association, afin que nous allassions, nous vers les païens, et eux vers les circoncis.  »

Nous voyons bien ici que Dieu avait confié une tâche précise à Pierre pour l’évangélisation des juifs ; et qu’il avait aussi confié une autre tâche précise à Paul pour les païens, c’est-à-dire les non-juifs. C’est comme cela que Dieu travaille : à chacun sa tâche, à chacun sa mission. Comme il avait réalisé le travail avec ces derniers, il nous a choisis, vous et moi en ces temps de la fin, pour le salut des païens, pour son œuvre ou pour son travail. C’est le même travail que Moïse avait effectué, celui de délivrer le peuple de Dieu qui était en captivité. Jésus avait été choisi pour conduire le même travail pour le monde entier alors sous l’esclavage du péché et de Satan. Nous voyons avec le cas précis de Pierre et de Paul qu’ils avaient été choisis de même, pour la délivrance des juifs et des non-juifs respectivement. C’est de cette même manière que le Seigneur nous envoie aujourd’hui, pour délivrer les nations et les peuples.

Comme je vous l’ai déjà dit hier, l’appel que Dieu nous lance n’est pas celui de nos familles, de nos villages, de nos villes ou de notre pays. C’est l’appel pour la délivrance des peuples et des nations du monde. C’est ce qu’il dit et précise au verset 6, à savoir qu’il nous établit comme la lumière des peuples et des nations. Voilà la mission que Dieu nous confie ! Nous devons donc comprendre une seule chose, nous ne nous dépendons plus nous-mêmes, nous sommes les esclaves de Dieu. Il attend simplement que nous nous disposions entre ses mains, afin qu’il nous utilise comme bon lui semble. Il nous prendra par la main comme il le dit au verset 6 pour nous guider. Que chacun de nous le laisse donc le prendre par la main et nous conduire.

Le Seigneur veut en effet que chacun de nous se laisse guider comme un aveugle, qu’il se laisse ramasser et porter comme un objet. Pourquoi résistez-vous donc, pourquoi voulez-vous revendiquer et réclamer votre indépendance et vos droits ? Pourquoi ? Écoutez, lisons ce qui est écrit au verset 16 de ce texte d’Esaïe 42 où Dieu dit : « Je ferai marcher les aveugles sur un chemin qu’ils ne connaissent pas, Je les conduirai par des sentiers qu’ils ignorent ; Je changerai devant eux les ténèbres en lumière, Et les endroits tortueux en plaine : Voilà ce que je ferai, et je ne les abandonnerai point. ». Comprenez-vous cela ?

Lorsque le Seigneur me parlait à propos de ce passage, j’ai fait un commentaire et ai écrit tout à côté : « c’est mon histoire ». Je souhaite que cela soit l’histoire de tout un chacun de vous tous qui me suivez. Abandonnez-vous donc entre les mains de Dieu comme des aveugles ! Devenez donc des aveugles ! Pourquoi voulez-vous tout connaître ? Pourquoi voulez-vous avoir les détails sur vos vies ? Non, laissez Dieu vous conduire et vous orienter ! Comprenez que votre intelligence et votre réflexion sont semblables à « une idole taillée » dont il est question au verset 17 qui dit ceci : « Ils reculeront, ils seront confus, Ceux qui se confient aux idoles taillées, Ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux ! ». Beaucoup parmi vous marchent en fait selon leur raisonnement et leurs programmations personnelles au lieu de se laisser diriger par Dieu. Plusieurs ont pris leur intelligence comme leur dieu. C’est ce qui justifie qu’ils détiennent leur « rouleau ou leur programmation à eux ». C’est à cela qu’ils se réfèrent au lieu de s’abandonner à Dieu. Les amis, abandonnez votre bible personnelle aujourd’hui !

En lisant les versets 18 et 19, nous découvrons la confirmation que, l’esclave de Dieu est sourd et aveugle. Lisons ces versets : « Sourds, écoutez ! Aveugles, regardez et voyez ! Qui est aveugle, sinon mon serviteur, Et sourd comme mon messager que j’envoie ? Qui est aveugle, comme l’ami de Dieu, Aveugle comme le serviteur de l’Éternel ? ». Voyez-vous ? J’ai encore écrit à ce sujet : « C’est mon histoire ». Nous comprenons et retenons en définitive que, le serviteur, l’esclave de Dieu est pauvre, qu’il n’a aucune possession, mais, il est aussi un handicapé. Il est un handicapé, étant donné que Dieu dit de lui qu’il est sourd et aveugle. Cette description nous fait comprendre que l’esclave, le serviteur de Dieu dépend à 100% de Dieu. C’est ce dont il est question dans tout ce que nous développons depuis hier : dépendre de Dieu à 100%.

Dieu nous démontre que seul son esclave peut être aveugle. Si vous êtes donc ceux qui voient, vous ne saurez être esclaves et pauvres. De même, si vous entendez, vous ne pouvez pas être esclaves et pauvres. Pour être pauvres et esclaves, la condition est d’être sourds et aveugles. Cela suppose que vous vous laissiez diriger par Dieu. Les amis, voilà la leçon que Dieu veut vous donner. J’ai sondé hier pour savoir qui est esclave. Ici à l’église, il y a eu seulement deux esclaves confirmés ou en devenir ; et dans la diaspora, il y en a eu deux aussi je crois. Il y avait le frère René de Côte-d’Ivoire et maman Hélène de France. Je dois préciser que ceux de l’église sont en progression. Comprenez que le Seigneur veut des esclaves à 100%. Et à cet effet, pour que vous soyez des tels esclaves, vous devez devenir aveugles et sourds. Cela veut dire que, vous ne voyez pas et n’entendez pas les autres bruits et sons qui se font dehors. Vous êtes donc connectés à une seule source, qui est votre Dieu et qui vous tient par la main.

En prenant l’exemple de nos frères et sœurs de la diaspora qui nous ont découverts par les réseaux sociaux. S’ils n’ont pas abandonné cette habitude de continuer à zapper ou surfer pour trouver d’autres sites et contacts spirituels, ils ne sont pas aveugles et sourds. Ils sont le style qui se retrouve encore à chercher où on n’a encore prêché telle ou telle autre chose, vous n’êtes pas esclaves de Dieu. Car vous cherchez à entendre et à voir ce qui a été dit ailleurs. À vous de la diaspora je dis, lorsque vous avez la conviction d’avoir trouvé ce que vous cherchiez, à savoir, LA VÉRITÉ, vous ne devriez plus continuer de chercher autre chose ailleurs. Souvenez-vous de ce que Dieu a dit à ce sujet : « Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. » (Jérémie 29 : 13). Si vous aviez mis tout votre cœur à chercher Dieu et que vous l’avez trouvé, pourquoi allez-vous continuer les recherches ?

Concentrez-vous plutôt sur lui, le Dieu que vous avez découvert, en considérant que vous êtes des esclaves qui sont à la fois sourds et aveugles. Ce n’est que dans cette disposition d’esprit que vous pouvez être capables d’accomplir le travail pour lequel il vous appelle : le salut de votre âme et le salut des âmes des autres pauvres en esprit dont la charge vous incombe. Rappelez-vous que c’est le sous-thème de notre séminaire : « s’occuper des pauvres en esprits, pour se dégager de l’emprise des esprits familiers ». Nous avons compris à ce sujet qu’il faut préalablement être pauvres nous-mêmes et esclaves de Dieu, pour s’occuper des autres pauvres. Nous esclaves, privés de liberté, de possessions et de tout ; ne dépendons donc que de notre Maître. Comprenez cela, et que le Seigneur vous aide !

Ne continuez donc pas à voir, à entendre et à vous mouvoir. Sinon vous n’êtes pas des esclaves de Dieu. Si vous continuez à tout faire selon votre pouvoir et votre désir, vous n’êtes pas pauvres et esclaves de Dieu. Pouvez-vous vous abandonner à Dieu aujourd’hui ?

Levez-vous sur vos deux pieds pour lui dire : Mon Dieu, je m’abandonne à toi !

Amen !

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[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (JEUDI 31 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie) PREDICATION : TOUT CHRETIEN EST UN PAUVRE ET UN ESCLAVE DE DIEU[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2022 (JEUDI 31 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (15e partie)

PREDICATION : TOUT CHRETIEN EST UN PAUVRE ET UN ESCLAVE DE DIEU

 RÉFÉRENCES BIBLIQUES : ÉSAÏE 42 : 1-4, 5-9 ; JEAN 14 : 12-14

 

C’est le démarrage du séminaire du mois d’avril 2022. Restez donc debout et prenez votre Bible pour que nous puissions commencer ce programme en ce premier jour. Prenez votre Bible et ouvrez avec moi dans le Livre d’Ésaïe au chapitre 42 !

Le thème de notre séminaire demeure « la délivrance des esprits familiers et de la sorcellerie ». Le sous-thème aussi reste inchangé depuis trois mois consécutifs. Il est basé sur le pauvre en esprit qui doit s’occuper des autres pauvres comme manifestation de l’amour, afin qu’il soit naturellement dégagé de ses esprits familiers.

Nous lisons du verset 1 à 4 juste pour introduire, mais en réalité, c’est tout le chapitre qui est concerné et que vous devez lire :

« Voici mon serviteur, que je soutiendrai, Mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon esprit sur lui ; Il annoncera la justice aux nations. Il ne criera point, il n’élèvera point la voix, Et ne la fera point entendre dans les rues. Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore ; Il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, Jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, Et que les îles espèrent en sa loi. »

Comme je l’ai dit tout à l’heure, c’est pour le troisième mois consécutif que nous parlons de ce sous-thème qui traite de « s’occuper des pauvres comme manifestation de l’amour, afin de se dégager de l’emprise des esprits familiers ». Nous avons compris que ce sont les pauvres en esprit qui peuvent s’occuper des autres pauvres.

Le texte que nous avons lu et qui meublera notre séminaire vise à soutenir les différents exemples de pauvres en esprit que nous avons étudiés jusqu’ici. Nous avons vu l’exemple de David sur lequel nous nous sommes attardés, nous avons vu l’exemple de Jésus lui-même, nous avons vu l’exemple de l’apôtre Paul et celui de Moïse. C’est d’ailleurs sur ce dernier exemple de Moïse que nous sommes encore. Le passage qui nous intéresse aujourd’hui est un message classique de l’appel de Dieu à son enfant ou mieux, son serviteur, le pauvre en esprit, pour la mission qu’il est appelé à effectuer. Si vous avez été sauvés par le Sang de Jésus, si vous êtes appelés enfants de Dieu, ce passage vous concerne particulièrement.

C’était déjà pour Jésus que Dieu a déclaré ces choses par la bouche du prophète Ésaïe. Et comme nous l’avions déjà appris ici, à savoir que notre destinée est liée à celle de Jésus, la déclaration d’Ésaïe pour Jésus s’adresse aussi à nous. Rappelons-nous du rouleau où il est dit : « dans le rouleau il est question de moi, et je viens Ô Dieu, pour faire ta volonté. » (Hébreux 10 : 7). Nous sommes liés à Jésus, nous sommes liés à sa mission, aussitôt que nous avons cru en lui ou aussitôt que nous avons été sauvés. Tout ce qui le concernait, ou le concerne, nous concerne pareillement. Il convient de vous dire à ce sujet que, la mission de Moïse par exemple annonçait celle de Jésus, la mission de libérateur.

Il est en effet vrai qu’il y a eu Abraham, Isaac et Jacob, mais Moïse est réellement le prophète qui a été concrètement vu en activité. Et c’est d’ailleurs lui qui avait écrit l’histoire de ces derniers dans les cinq premiers livres encore appelés ‘’les livres de Moïse ». Il est le tout premier prophète dont nous voyons l’interpellation par Dieu et son envoi en mission en Égypte où il est né et grandi au palais royal. C’est là-bas que Dieu l’avait renvoyé en mission, une mission dont nous n’avons pas encore fini de parler. Aujourd’hui, l’introduction que Dieu donne dans le texte ci-dessus où il dit : « Voici mon serviteur, que je soutiendrai, mon élu en qui mon âme prend plaisir », exige que nous y attardions.

Le mot serviteur ici n’est pas un hasard. Serviteur de Dieu, dans la pensée de Dieu, et selon la compréhension biblique, est synonyme d’esclave. Il n’est en rien ce que les faux prophètes pensent et enseignent, à savoir que, le serviteur de Dieu est synonyme de grandeur et de flamboyance. Non ! Lorsque Dieu dit, voici mon serviteur, il veut dire voici mon esclave. Et qui est donc un esclave ? On pourrait dire que c’est le pire des pauvres. Car à mon sens, on peut être pauvre sans nécessairement être esclave ; mais lorsqu’on est esclave, on est automatiquement pauvre. On est automatiquement pauvre quand on est esclave. Et c’est comme cela que Dieu nous considère, nous ses enfants. J’ai donc pris ce texte à dessein pour vous faire comprendre que, si vous avez décidé de donner vos vies à Jésus, vous êtes devenus esclaves de Dieu. Cela ne relève plus d’une question de choix ou de prétention. Vous êtes forcément devenus esclaves de Dieu. Vous êtes automatiquement devenus esclaves de Dieu et donc automatiquement aussi pauvres. Dès cet instant, vous devez seulement vous assurer de bien accomplir la mission pour laquelle votre Maître vous a choisis.

C’est cette mission-là que vous êtes appelés à accomplir et qui doit vous préoccuper. Une telle réalité confirme en effet que l’esclave n’a pas de volonté ou de programme personnel. Un esclave n’a pas de programme personnel. Si vous vous limitez simplement à dire que vous êtes serviteurs, cela pourrait prêter à équivoque, car on pourrait penser que vous vous attendez à une récompense ou un salaire. Or, un esclave ne s’attend à rien, et il n’a pas de projet, de volonté ni de programme ; il est soumis au programme que son maître lui impose. De même, il n’y a pas d’esclave riche ou de riche esclave. Lorsqu’on est donc esclave, on est automatiquement démuni. C’est pourquoi, il me semble opportun de vous poser la question de savoir si vous êtes esclaves de Dieu. À chacun de vous : es-tu esclave de Dieu ? Je sais que si je retourne la question pour demander si vous êtes serviteurs ou servantes de Dieu, tous vous lèverez vos mains pour répondre par l’affirmative.

Vous direz que vous êtes servantes ou serviteurs de Dieu, parce que vous servez à la chorale, vous intercédez, ou vous menez autres activités. Vous direz que vous êtes serviteurs ou servantes de Dieu. Comprenez donc que, être le serviteur ou la servante dont nous parlons ici, c’est être esclave. Afin que vous compreniez bien ce que je développe, je vous prie d’ouvrir avec moi votre Bible dans le Livre aux Romains. Lisons d’abord le verset 18 de Romains au chapitre 6. Voici ce que la Bible dit : « Ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice. » Ce n’est pas tout, allons encore plus bas pour lire le verset 22 ! : « Mais maintenant, étant affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle. » Ces deux passages vous démontrent de fort belle manière que le pasteur n’a pas exagéré en vous disant que, lorsque Dieu parle de son serviteur, il veut dire son esclave. Il parle de son esclave. Comprenez-vous cela ? Tout enfant de Dieu est un esclave de Dieu.

Tout vrai croyant est esclave de Dieu. Il n’a donc plus de volonté propre. Il n’a plus de décision propre. Il fait selon qu’il lui est intimé par son maître. Certainement vous n’avez pas compris l’enseignement qui vous est dispensé au sujet de la pauvreté du chrétien depuis plus de deux mois aujourd’hui, c’est pourquoi l’Esprit de Dieu poursuit dans le même sens, pour creuser en profondeur. Depuis que nous traitons du pauvre en esprit, nous constatons tous qu’il y a des interpellations au cours desquelles il est demandé aux uns et aux autres s’ils sont pauvres, avant de leur demander la définition de pauvre. Il est observé que plusieurs interpellés perdent leur parole face à ces questions qui leur sont posées. Bien d’autres continuent de répondre religieusement qu’ils tendent vers la pauvreté ou qu’ils s’attèlent à devenir pauvres. Ils usent de tout le vocabulaire français pour pouvoir montrer qu’ils font quelque chose.

Et pourtant, ce n’est pas une affaire de tendance ni d’attelage ; il s’agit d’un statut qui s’acquiert aussitôt que l’on est affranchi du péché, et que l’on ait accepté Jésus comme son Seigneur et Sauveur personnel. On quitte promptement l’état de pécheur et on devient esclave de la justice de Dieu. Cela se fait automatiquement et confère une mission précise à celui-là qui devient ainsi esclave de Dieu. C’est cette mission qu’il convient de voir aujourd’hui, ensuite, voir aussi le contexte dans lequel ces esclaves naissent et/ou grandissent de façon générale, et enfin voir le contexte et les conditions dans lesquelles ils accomplissent leur mission. Voilà le cheminement que nous suivrons tout au long des quatre jours consacrés au séminaire de ce mois. La conclusion du séminaire nous donnera de voir comment Dieu lui-même se charge d’assainir l’environnement dans lequel son esclave est appelé à effectuer ou à conduire la mission qui lui est assignée. C’est pourquoi, je vous disais l’autre jour que, le séminaire de ce mois sera déterminant. Car, il donne l’occasion à Dieu d’assainir l’environnement de chacun de ses esclaves, pour leur permettre de faire son travail comme il se doit.

Tout le problème est de savoir si chacun de vous a compris qui il est. Oh mon Dieu ! L’autre jour j’écoutais la musique qui passait dans le téléphone de l’un de mes gens à la maison : « i know who i am ; i know who i am ; etc. ». Ces gens que vous écoutez comme cela ne chantent pas avec l’esprit biblique. À vous, je demande si vous savez qui vous êtes. Ceux qui ont chanté : « i know who i am ; i know who i am… », chantent dans l’optique que, ils sont enfants du Grand Dieu, enfants du Roi des rois et autres. Ce n’est jamais dans l’optique dont nous parlons, à savoir que vous êtes esclaves. Je vous dis que, ce n’est pas dans l’optique de se dire qu’ils sont esclaves de Dieu. Jamais ! Si vous savez qui vous êtes, vous devez considérer que vous êtes pauvres et esclaves de Dieu. C’est là alors que vous savez qui vous êtes. Seigneur ta grâce !

Dieu dit au verset 1 de notre texte du jour qu’il a mis son Esprit sur son serviteur, son esclave. Nous comprenons que Dieu équipe son serviteur, esclave. Il lui revêt en premier lieu de son Esprit. C’est pourquoi, l’enfant de Dieu qui sait réellement qu’il est pauvre et esclave de Dieu, l’Esprit de Dieu repose réellement sur lui. Il ne fait donc rien par lui-même : il ne parle pas par lui-même, il n’agit pas par lui-même. Il agit selon ce que l’Esprit de Dieu lui intime de faire. Et il sait que, sa mission ne se limite pas autour de lui, mais que celle-ci s’étend aux nations. Il sait que sa mission ne s’arrête pas autour de sa vie personnelle, dans sa famille, son village, son quartier ou sa ville. Il le sait. Je vous le disais déjà parlant de Moïse que, lorsque le serviteur de Dieu est appelé pour être envoyé en mission, il sait intuitivement dans son for-intérieur, qu’il est envoyé vers les peuples, vers les nations. Il le sait. C’est de cela dont Dieu parle ici. Et bien plus, il l’appelle son Élu en qui son âme prend plaisir.

Dieu prend-il vraiment plaisir en chacun de vous ? Nous comprenons d’emblée que, si vous n’êtes pas qualifiés de pauvres et d’esclaves, Dieu ne peut prendre plaisir en vous. Il dit qu’il ne prend plaisir qu’en son pauvre et son esclave, c’est pourquoi il le revêt de son Esprit pour accomplir son œuvre. Cet Élu sait qu’il a une mission qui traverse les frontières. Il le sait fort bien. Il sait donc en conséquence que, puisque cette mission à conduire est de Dieu, il n’a pas besoin d’en faire la propagande par du tapage, par du bruit, de la publicité ou autres. C’est ce que Dieu dit au verset 2 du texte que nous avons lu. Ce ne sont pas ces choses qu’il doit faire. Il ne fait pas ce que vous voyez pulluler dehors sur les affiches et les banderoles contenant des messages qui ne disent absolument rien, quand ils ne révèlent pas justement la mauvaise nature de leurs auteurs.

Je pense par exemple au message de celui appelé Raoul WAFO qui vient de faire circuler un message sur ‘‘le nouvel ordre de vie’’. De quel nouvel ordre de vie s’agit-il ? Il fait référence au nouvel ordre mondial qui n’est autre chose que le satanisme universel. Ces faux prophètes usent des pancartes et de publicité. Ce que le serviteur de Dieu ne fait pas. L’esclave de Dieu ne fait pas des choses comme cela ; il ne fait pas de bruits. Et aussi, il prêche la justice de Dieu selon la vérité et non pour dire ce qui plaît aux gens, dans le but de leur faire plaisir ou d’aller dans le sens qui leur plaît. Il ne dilue pas l’évangile. Voilà ce que Dieu dit au verset 3 !

Oh Seigneur ! Quand je lis par exemple les accusations qui sont portées contre moi, je comprends que ce sont les anges déchus, les démons de l’enfer qui parlent et qui sont acharnés contre moi. Ils disent que je fais de l’intoxication ; alors que ce que je prêche ne vient pas de moi. Comme Jésus, je dis que mon message ne vient pas de moi. Suis-je l’auteur de la Bible ? Les gens ne lisent pas la Bible, et s’ils la lisent, ils la lisent renversée. Je n’invente rien. Lorsque j’ai par exemple pris la parole au début de mon propos, je vous ai dit que le serviteur de Dieu est un esclave. Il n’est pas un employé ou un mercenaire. Il est un esclave. Quelqu’un qui m’a entendu le dire, pouvait se dire en lui-même, comment parle-t-il d’esclave alors que Dieu parle de serviteur. Je suis allé dans d’autres textes dans Romains 6 pour vous convaincre que c’est cela que serviteur veut dire, esclave. Voyez-vous, ce livre qu’on appelle la Bible s’explique elle-même. Or les gens qui ne la connaissent pas, lorsqu’ils entendront un prêche pourtant basé sur la Bible, diront que c’est l’hérésie. Ils qualifieront mon propos d’intoxication, alors qu’il s’agit de la vraie parole de Dieu qui est ainsi annoncée.

Il est certes vrai que les faux serviteurs de Dieu ont dilué la parole de Dieu. Mais, ici au Tabernacle de la Liberté, la parole de Dieu est annoncée tel qu’elle est écrite dans la Bible. Je vous fais découvrir les vérités qui y sont cachées. Je comprends que c’est ce qui énerve le monde des ténèbres. C’est ce qui énerve les agents du diable qui voient donc en moi, le révérend Caleb NGOA ATANGANA, un imposteur, quelqu’un qui dérange et divise les familles. Dieu dit pourtant que son serviteur annoncera la justice selon la vérité au verset 3. La parole doit être annoncée sans être tordue, ni être diluée. Je crois qu’il me faut vous dire un peu comment les gens et les autorités administratives caractérisent mes enseignements bibliques. Ce sont vraiment les agents du diable. Je me limiterai à vous lire les propos du Sous-Préfet de l’arrondissement de Yaoundé 3e. Celui-ci avait qualifié message de : « corruption et endoctrinement pernicieux de la jeunesse ». Or, Dieu demande à son serviteur d’annoncer la justice selon la vérité. Et c’est bien ce que nous faisons ici.

C’est la Bible que j’enseigne aux gens. Je n’ai rien inventé de ma tête, je n’ai non plus rien écrit. Ce que je fais se limite à dévoiler les écritures aux gens comme vous le voyez. Ils se trompent. Ils ne peuvent pas me pousser au découragement. Car Dieu dit au verset 4 de notre texte que son serviteur ne se découragera point. Voici de quelle manière il le dit : « Il ne se découragera point et ne se relâchera point, Jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, Et que les îles espèrent en sa loi. » Voyez-vous pourquoi je ne peux pas me décourager ? C’est ce que Dieu a dit, à savoir que son serviteur n’est pas quelqu’un qui se décourage du tout. Si vous êtes donc esclaves de Dieu et donc pauvres, la pensée d’abandonner lorsque vous êtes devant les épreuves, ne doivent pas traverser votre tête. L’esclave, le pauvre de Dieu ne se décourage pas, il ne se décourage pas.

Je comprends peut-être que cela peut arriver à ceux qui ne savent pas ce qu’ils sont et ce qu’ils ont comme mission à accomplir. C’est pourquoi, il m’incombe le devoir d’attirer votre attention sur la définition et la circonscription de votre mission. C’est mon rôle de vous dire qu’elle est votre mission. Je dois vous dire qui vous êtes et quelle est votre mission. Si vous avez compris donc que vous êtes esclaves de Dieu, vous devez comprendre que vous n’êtes pas du tout appelés au découragement face aux épreuves quelque soit leur difficulté. Ce qui doit vous préoccuper, c’est seulement faire ce pour quoi votre souverain maître vous a appelé. Voilà ce qui doit vous préoccuper et rien d’autre ! Vous êtes esclaves. Si c’est donc le cas, d’où vous viendront les idées de dire que vous voulez vous construire un empire ; d’où vous viendront les pensées que vous vieillissez et que vous devez donc déjà vous marier ; d’où viendront les idées pour dire que vous avez fini vos études et êtes dans le chômage ? D’où vous viendront de telles pensées, puisque vous ne vous appartenez plus ?

Votre vie entière se trouvant entre les mains de votre maître, vous ne devriez plus avoir de projet propre à vous. Votre vie entière est entre les mains de votre maître. C’est lui qui vous gère. C’est lui gère vos entrées et sorties et tous vos mouvements. C’est lui qui les gère parce que vous êtes ses esclaves. Oh mon Dieu, donne-leur de comprendre ! Vous tous qui avez donné vos vies à Jésus à un moment donné à l’occasion de votre conversion, et qui les avez retirées, s’il vous plaît remettez ces vies entre les mains de Dieu aujourd’hui, et laissez-le vous gérer et vous diriger. C’est lorsque vous aurez fait ainsi que vous serez utiles aux autres pauvres qui sont dehors et qui ont besoin de votre secours, votre aide et vos services. Je prie que Dieu vous aide à le comprendre.

Nous, les esclaves de Dieu, devons tenir jusqu’au bout. Vous savez les combats que nous menons ici au Cameroun. Les gens qui doivent être arrêtés et mis en prison demeurent là-bas dehors, les membres du gouvernement. Mais, c’est moi qu’ils veulent plutôt arrêter, c‘est moi qu’ils veulent mettre en prison pendant qu’ils sont libres, eux qui devraient être arrêtés ? C’est à peu près ce que nous venions de voir avec le Lamido de Garoua. Il est dehors alors que les autres qui ont exécuté ses ordres sont en prison. Pendant ce temps, lui-même est libre ? Non ! Il ne faut pas se décourager, il ne faut pas penser que Dieu est absent ou qu’il n’est pas à l’œuvre. Dieu est à l’œuvre, il travaille ; mais il le fait progressivement. Pensez à la manière dont il a créé le monde ! Il l’avait fait pendant six jours, six jours ! Souvenez-vous que la Bible dit qu’un jour pour Dieu est comme mille ans et mille ans comme un jour (2 Pierre 3 : 8). Je veux vous dire que Dieu n’avait pas créé le monde en claquant juste les doigts. Il avait pris du temps pour le faire. Ne pensez donc pas lui mettre la pression pour qu’il fasse comme vous voulez. Il fait comme il veut.

Ce sont ses esclaves que vous êtes qui devez comprendre que vous ne devez pas vous décourager ni vous relâcher. Vous devez persister et continuer votre travail. Soyez encouragés par ces paroles, reprenez courage et avancez avec votre Dieu, pour être et faire ce qu’il a prévu pour vous. En poursuivant la lecture au verset jusqu’au verset 6, et après qu’il ait rappelé, en guise d’introduction dans le verset 5, l’essentiel de ce qu’il a fait de plus grand, Dieu confirme qu’il vous a appelés pour le salut et qu’il vous établira comme la lumière des nations. Il dit qu’il vous établira comme la lumière des nations, non pas comme la lumière d’un village, d’une ville ou même d’une seule nation. Dieu parle de la lumière des nations ! Je sais que cela intrigue souvent certaines personnes, lorsqu’elles entendent dire dans les délivrances prophétiques que, ce sont les cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU qui sont derrière moi, révérend Caleb NGOA ATANGANA. Certaines sont intriguées de l’entendre et se demandent où ces derniers me connaissent et qui suis-je pour que de telles prestigieuses personnalités s’intéressent à moi. Ils se demandent qui me connaît !

C’est que le serviteur de Dieu, le vrai, est un inconnu selon ce que Dieu dit au verset 2 de notre texte du jour. Mais, il est dans le même temps, la lumière des nations. C’est cela qui semble intriguant et contradictoire. Face à une telle réalité, les gens diront que ce sont des histoires de dire que, les membres du gouvernement du Cameroun qui sont derrière moi, sont envoyés par les Présidents des cinq pays membres du Conseil de Sécurité de l’ONU : Joé BIDEN, XI XINPING, Vladimir POUTINE, Emmanuel MACRON et la Reine d’Angleterre. Les gens concluront très vite que ce sont des histoires, des conneries et des grosses blagues. C’est pourtant ce que Dieu dit ici, à savoir que, nous sommes appelés pour le salut des âmes, nos âmes et les âmes des autres. Il dit qu’il nous prendra, nous gardera et nous établira pour traiter alliance avec le peuple. Pour quel motif ? La réponse se trouve au verset 7 où il est écrit : « Pour ouvrir les yeux des aveugles, Pour faire sortir de prison le captif, Et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres. »

Il me souvient, en lisant ceci, que dimanche passé par exemple, les écailles qui couvraient les yeux des africains sont tombées. C’est dans ce sens que nous prions Dieu, d’ouvrir les yeux des africains en enlevant les écailles de leurs yeux qui ne voient pas. Voici cela que Dieu dit dans ce verset 6. Ces écailles dont nous parlons sont déjà venues spirituellement ici dans un corps, pour être renvoyées dans les abîmes à l’effet que les maliens, les africains et particulièrement le peuple noir soit délivré de l’aveuglement. Il nous a été révélé que jusqu’en Haïti, les gens pensent que c’est la Russie et Poutine qui les sauveront. Que non ! C’est vraiment l’aveuglement, et Dieu doit leur ouvrir les yeux pour les sortir des ténèbres. Voilà notre mission, c’est notre mission. Comprenez-le !

La suite du message de Dieu dans la suite du texte jusqu’au verset 9 précisément nous convient. C’est un message approprié à notre contexte. Dans ce verset biblique Dieu veut dire en guise de rappel pour nous rassurer, qu’il a fait les premières choses annoncées, par Moïse. Il avait effectivement appelé Moïse, l’avait envoyé en mission, et la mission avait été accomplie. Le peuple d’Israël était sorti de l’Égypte. Cela était inimaginable et impensable, mais Moïse l’avait fait parce que, c’est Dieu lui-même qui l’avait appelé pour cette mission. Il peut être cités des centaines d’autres prophètes dans la Bible qui avaient été annoncés, qui avaient effectivement été appelés et envoyés en mission, et qui ont effectivement accompli leurs missions respectives à leur époque. C’est dans le même ordre que Dieu avait annoncé l’arrivée de Jésus. Ce dernier avait accompli sa mission très exactement comme cela avait été prédit. Ce même Dieu avait annoncé ce temps dit de la fin, qui est la continuité du travail de Jésus. Pouvons-nous imaginez qu’il n’accomplira pas ce qu’il avait prévu de faire ? Non, ce n’est pas maintenant qu’il n’accomplira pas ce qu’il avait prévu. Il l’accomplira.

Lorsqu’il disait ces choses, Jésus n’était pas encore venu. Mais tous les autres prophètes avaient déjà accompli leurs missions respectives. Et ce qu’il dit ici concernait davantage la mission réservée à Jésus dont nous sommes le prolongement. Car, notre destinée est intimement liée à la sienne. C’est la raison pour laquelle Dieu s’oblige d’accomplir ce qu’il avait prédit. Et cette continuité du travail de Jésus, il nous l’annonce lui-même dans l’évangile de Jean au chapitre 14, du verset 12 au verset 14 comme il suit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. » Mes amis, nous sommes de ceux-là qui doivent accomplir cette mission. Et nous sommes bien dans ce temps où cette mission doit être accomplie ; le temps où Dieu utilise donc son esclave pour l’accomplir.

Êtes-vous esclaves de Dieu ou comptez-vous parmi les esclaves de Dieu ? Vous devez en faire partie, sinon vous passerez votre temps dans la religion pour rien. Votre passage au Tabernacle de la Liberté ne doit pas vous servir de condamnation ; il doit plutôt vous servir de salut.

Je faisais une introduction aujourd’hui pour l’enseignement qui meublera tout le séminaire. Nous continuerons donc demain. Retenez en définitive que, si vous vous êtes convertis, si vous avez donné vos vies à Jésus, vous êtes devenus ESCLAVES DE DIEU. Retenez en outre que l’esclave n’a pas de propriété, et que par ailleurs, on peut être pauvre sans être esclave, mais, si l’on est esclave, on est forcément pauvre. ET C’EST-CE QUE VOUS ÊTES EN TANT QU’ENFANTS DE DIEU, dont la mission est d’aller aider les autres pauvres.

Si vous avez cette bonne compréhension de votre statut et de votre mission, cela mettra fin aux petites bagarres que vous connaissez dans votre esprit et qui influencent votre marche chrétienne. Ces perturbations s’estomperont. Dieu déversera en conséquence son Esprit sur vous, afin que vous fassiez son travail comme il se doit.

Levez-vous pour la prière !

Amen !

 

 

 

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