[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : FRANCE/ PRÉSIDENTIELLES D’AVRIL 2022- EMMANUEL MACRON TENTE DE SÉDUIRE L’ÉLECTORAT PAR LA LEVÉE DE CERTAINES RESTRICTIONS SANITAIRES[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

Les présidentielles d’avril 2022 frappent à la porte en France, et Emmanuel MACRON a déjà annoncé sa candidature. Comment va-t-il s’y prendre pour espérer une réélection et une reconduction à l’Élysée ?

Pendant le culte de ce jour, l’Éternel Dieu y a apporté une réponse, en saisissant l’esprit de Ruse qui caractérise et anime actuellement Emmanuel MACRON. Ce démon, parlant dans le corps d’une jeune dame, a déclaré qu’afin de séduire l’électorat français, Emmanuel MACRON joue sur la gestion des restrictions « sanitaires » soi-disant contre le coronavirus. En effet, exceptés les transports et les établissements de santé, ce tyran a par exemple procédé à la suppression du port obligatoire du masque, et à l’annulation de la présentation du pass sanitaire, dans divers secteurs d’activités

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et refoulé en enfer l’esprit de Ruse annexé à la stratégie électorale d’Emmanuel MACRON.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LA PSEUDO GUERRE EN UKRAINE RELÈVE DU PLAN « Z » MIS SUR PIED PAR LES PAYS MEMBRES DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU, À L’EFFET DE RELANCER LA SUPERCHERIE DU CORONVIRUS, ET SON PLAN DE VACCINATION CONTRE L’AFRIQUE[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

Saisi ce jour dans le corps d’une dame, l’esprit appelé « PLAN ‘‘Z ‘’ » a avoué que la pseudo guerre ou invasion de l’Ukraine par la Russie a été consensuellement fabriquée par les Présidents membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, afin de relancer la supercherie du coronavirus, et la vaccination y relative, vaccination dont le but est d’animaliser, de contrôler et pervertir les humains au moyen des nanoparticules, afin de les soumettre sous le règne de la Bête, symbole du Nouvel ordre mondial ou Satanisme universel.

En résumé, les tyrans se sont entendus à faire croire au monde que la Russie a bombardé les laboratoires à contenance de virus de l’Ukraine, que ces virus se sont éparpillés dans l’air, et qu’une nouvelle pandémie plus violente en est née, justifiant le renouvellement du confinement, des mesures plus radicales de restriction des libertés, et la poursuite de la vaccination contre le coronavirus.

Avant le plan « Z » ci-dessus, les plans précédents mis en échec ont successivement été les suivants : PLAN A :  l’instauration du COVID-19, du port du masque, du confinement et autres mesures dites barrières ; PLAN B : instauration du COVID-20 ; PLAN C : instauration du COVID-21. À noter que les démons incarnant ces différentes phases ont chaque fois été exposés et anéantis par l’Éternel Dieu, ici Tabernacle de la Liberté. Les plans allant de « C » à « Z » ont essentiellement tourné autour des différents variants. L’esprit incarnant le plan « Z » a souligné que les tyrans sont tombés dans l’erreur de la précipitation, d’où l’échec de leur plan, qu’ils cherchent à présent à racoler. Par exemple, avant de parler du transfert des technologies et de l’implantation des laboratoires de fabrication des vaccins contre le coronavirus en Afrique, les occidentaux auraient d’abord dû attendre que POUTINE attaque l’Ukraine et en bombarde les laboratoires. La démarche d’implantation des laboratoires en Afrique aurait donc paru plus pertinente, étant justifiée par une prétendue recrudescence de la pandémie.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé le démon du plan « Z » en enfer, brisant ainsi les stratégies de domination renouvelées par les occidentaux.

Merci Seigneur.

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – LES MEMBRES DU GOUVERNEMENT PLANIFIENT LE MEURTRE CONTRE LES ENSEIGNANTS « OTS »[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie) 

Depuis quatre semaines, à travers le mouvement baptisé « OTS, On a Trop Supporté », les enseignants du secondaire sont en grève au Cameroun, et réclament du gouvernement des solutions concrètes et immédiates à leurs revendications, en l’occurrence l’intégration à la fonction publique pour d’aucuns, le paiement des salaires, des différents accessoires de solde et leurs rappels, l’épurement d’une dette estimée à 181 milliards de F CFA, l’automatisation des avancements avec effet financier immédiat, la mise en application du statut particulier révisé de l’enseignant, etc.

Saisi ce jour dans le corps d’une jeune dame, l’esprit de Meurtre a dévoilé que les membres du gouvernement veulent éliminer les enseignants en question. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a anéanti les œuvres de ce démon mandé contre les enseignants, en le décapitant et le chassant en enfer, d’une part. D’autre part, le révérend a ordonné que le meurtre rentre chez ses expéditeurs. Amen.[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE :  ANÉANTISSEMENT DU FAUX ÉVANGILE DE PROSPÉRITÉ PROMU PAR RAOUL WAFO ET LES FAUX PROPHÈTES

Avec son collègue Jean-Clément DIAMBILAY, le faux prophète Raoul WAFO organise une croisade à Douala, du 16 au 19 mars 2022. Cette croisade a pour thème « Un nouvel ordre de vie », et sera clôturée par un séminaire de business dont l’entrée se paie à 25 000 F CFA par participant ! Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a élevé des prières en ce jour, pour l’anéantissement de ce faux prophète, et du faux message dont il est porteur.

En réponse à cette prière, l’Éternel Dieu a exposé le démon qui incarne l’évangile de prospérité, lequel a reconnu et avoué que Raoul WAFO et Jean-Clément DIAMBILAY sont ses serviteurs. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé ce démon en enfer, puis l’ouragan de famine a été envoyé contre Raoul WAFO et son acolyte, afin qu’ils fussent financièrement asphyxiés.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LA PSEUDO GUERRE EN UKRAINE VISE LA CRÉATION D’UN PSEUDO OURAGAN DE FAMINES, D’UNE PSEUDO ASPHYXIE FINANCIÈRE, ET D’UN CLIMAT DE MANIPULATION PROPICES AU VOL ET AU DÉPOUILLEMENT DE L’AFRIQUE PAR LES OCCIDENTAUX[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

Fidèles à leur principe qui consiste à diviser pour mieux régner, les Occidentaux feignent actuellement des rivalités autour de la pseudo invasion de l’Ukraine par le Russie. L’Éternel Dieu révèle que cette pseudo guerre vise, entre autres objectifs, à relancer la supercherie du coronavirus par le bombardement supposé des laboratoires ukrainiens par la Russie, d’une part. D’autre part, cette pseudo guerre vise à dépouiller l’Afrique, en y fabriquant une conjoncture économique difficile. Il n’est donc pas étonnant de voir combien les médias prétendent que la « guerre » en Ukraine crée des difficultés en approvisionnement, des pénuries et une inflation sur le marché africain. Dans le même sens, le 14 mars dernier, par le biais de d’Antonio GUTERRES, son Secrétaire général, l’ONU a proclamé que la « guerre » en Ukraine créé un ouragan de famines auquel l’Afrique n’échappera certainement pas.

Saisi ce jour dans le corps d’une jeune dame et abordant cette actualité, un esprit appelé « Le Réconfort d’après-guerre » a fait savoir que d’un commun accord, les Occidentaux (ukrainiens, russes, français, chinois, américains, etc.) veulent à nouveau voler la nourriture, l’argent, les biens et les richesses de l’Afrique, en se fabriquant une couverture, via la situation de famine reliée à la pseudo guerre en Ukraine. Ils se sont ainsi partagés les rôles sur la question, appliquant le principe du « diviser pour mieux régner ». Ainsi, l’esprit de Réconfort d’après-guerre a affirmé que ces puissances se sont partagées les tâches, afin de se faire des mangeoires, des abreuvoirs et des buvoirs en Afrique. Cela dit, France, Russie, Ukraine, Chine, États-Unis, etc., ont tous une même origine et travaillent pour la même cause contre l’Afrique. Même s’ils n’ont pas la même taille, ils sont tous les doigts d’une main.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé l’esprit de « Réconfort après-guerre » dans les abîmes, détruisant ainsi les plans de pillage de l’Afrique liés à la pseudo guerre en Ukraine. Dans la même occasion, l’Éternel Dieu a saisi et brisé l’esprit incarnant l’Asphyxie financière programmée par les Occidentaux, et destiné à semer le chao et la désolation dans contre l’Afrique. Évidemment, cet esprit d’Asphyxie financière comptait agir dans le contexte des famines fabriquées autour de la fausse crise ukrainienne, et à cause des différentes dettes contractées par les états africains, soi-disant pour lutter contre le coronavirus. Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé ce démon d’Asphyxie en enfer.

Enfin, l’Éternel Dieu a saisi les démons appelés « Ouragan 1 » et « Ouragan 2 », lesquels incarnaient les famines prévues par les tyrans contre les nations et contre l’Afrique. Ces démons de Famines ont été renvoyés contre les grandes puissances occidentales membres du Conseil de Sécurité des Nations unies, et contre les faux prophètes du Cameroun, d’Afrique et du monde, dont le nommé Raoul WAFO (Cameroun).

Merci Seigneur.

 

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : SUPERCHERIE DU CORONAVIRUS ET PSEUDO GUERRE EN UKRAINE – L’ESPRIT DE CONFUSION BROUILLE LES CARTES DES TYRANS DE CE MONDE[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

De connivence avec le Vatican et le pape François 1er leur maître, les dirigeants membres du Conseil de Sécurité de l’ONU (États-Unis, Chine, Russie, France, Angleterre) veulent soumettre l’humanité sous le règne de la Bête (cf. Apocalypse 13 : 16-17), via la vaccination supposée contre le coronavirus.

La supercherie du coronavirus et la pseudo invasion de l’Ukraine par la Russie font donc toutes partie des stratégies qu’ils développent et tentent d’implémenter, espérant atteindre leurs objectifs. Ainsi, la pseudo invasion en question vise à faire croire et à faire dire que la Russie a bombardé les laboratoires à contenance de virus de l’Ukraine, que des virus s’en sont échappés, et qu’une nouvelle pandémie est en train d’envahir le monde, plus virulente et plus violente.

Mais de telles stratégies n’aboutiront pas, car l’Éternel Dieu a répandu un esprit de Confusion au milieu des tyrans. L’esprit de Confusion, saisi dans le corps d’un jeune homme, a affirmé que ses manifestations sont si patentes qu’une journaliste russe a fait intrusion à la principale chaîne de télévision d’État Pervy Kanal (Channel One), interrompant le direct du journal, et brandissant une pancarte au message ainsi formulé : « Arrêtez la guerre. Ne croyez pas la propagande. Ils vous mentent », confirmant ainsi la pseudo guerre Russie-Ukraine est une pure fabrication destinée à réaliser un agenda caché.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a ordonné à ce démon d’aller, et de poursuivre son œuvre de Confusion contre, et au milieu des tyrans.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : LES TYRANS DE CE MONDE NE RÉUSSISSENT PAS À RELANCER LA SUPERCHERIE DU CORONAVIRUS PAR LE BIAIS DE LA CHINE[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

Les dirigeants membres du Conseil de Sécurité des Nations unies (États-Unis, Chine, Russie, France, Angleterre) veulent relancer la supercherie du coronavirus, à l’effet d’atteindre leur objectif, qui consiste à établir et à soumettre les nations et particulièrement l’Afrique au Nouvel Ordre mondial (Satanisme universel), via la pseudo vaccination à nanoparticules.

Saisi ce jour dans le corps d’une jeune dame, l’esprit incarnant le variant Omicron a dévoilé que ces tyrans veulent faire croire à un regain de la pandémie en Chine, afin de renouveler le confinement, et d’autres mesures restrictives de liberté à travers le monde. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé ce démon en enfer, empêchant ainsi les planifications ci-dessus.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie) PRÉDICATION : LE PAUVRE CHRÉTIEN NE DOIT JAMAIS OUBLIER SES ORIGINES, L’EXEMPLE DE MOÏSE RÉFÉRENCES BIBLIQUES : Exode 2 : 11-15, 16-21 ; Exode 3 : 9-13 ; Exode 4 : 1-9, 10, 14[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (JEUDI 17 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (11e partie)

PRÉDICATION : LE PAUVRE CHRÉTIEN NE DOIT JAMAIS OUBLIER SES ORIGINES, L’EXEMPLE DE MOÏSE

RÉFÉRENCES BIBLIQUES : Exode 2 : 11-15, 16-21 ; Exode 3 : 9-13 ; Exode 4 : 1-9, 10, 14

 

Alléluia !

Prenez votre Bible et repartons dans notre texte de dimanche passé, dans le livre d’Exode au chapitre 2, pour lire les versets 11 à 15 en guise d’introduction !

« En ce temps-là, Moïse, devenu grand, se rendit vers ses frères, et fut témoin de leurs pénibles travaux. Il vit un Égyptien qui frappait un Hébreu d’entre ses frères. Il regarda de côté et d’autre, et, voyant qu’il n’y avait personne, il tua l’Égyptien, et le cacha dans le sable. Il sortit le jour suivant ; et voici, deux Hébreux se querellaient. Il dit à celui qui avait tort : Pourquoi frappes-tu ton prochain ? Et cet homme répondit : Qui t’a établi chef et juge sur nous ? Penses-tu me tuer, comme tu as tué l’Égyptien ? Moïse eut peur, et dit : Certainement la chose est connue. »

Nous continuons d’insister sur la nécessité d’avoir la mentalité du pauvre, pour garder notre salut et pour sauver les autres. C’est cela, s’occuper des pauvres. Cette disposition spirituelle, qui est un état d’esprit, qui nous évitera d’être influencés ou embarrassés par les esprits familiers, dont le risque est de rétrograder ou de devenir tièdes ou alors froids.

Les amis, comprenez que, si le Seigneur vous a sauvés, c’est bien pour une mission, celle de sauver les autres pauvres. Le pauvre a pour mission de sauver les autres pauvres. C’est cela notre mission que nous devons garder à l’esprit. Nous évoquons aujourd’hui le cas de Moïse pour la troisième fois, comme un exemple de pauvre en esprit. Celui-ci avait eu le privilège de grandir dans l’opulence au palais royal, mais il avait cependant pris plaisir à s’identifier au peuple de Dieu qui était le peuple d’Israël, qui reflétait sa vraie identité. Il était donc enfant de Dieu. Même comme il avait été adopté par une famille païenne, il avait préféré décliner cette identité, au bénéfice de celle d’enfant de Dieu.

Le peuple de Dieu, le peuple d’Israël, était non seulement matériellement pauvre, mais en plus, il était un peuple en esclavage. Moïse avait préféré s’identifier à ce peuple sachant que ce qui est de Dieu, malgré qu’elle soit apparemment minable matériellement, est plus grand et plus précieux que ce qui est du monde, qui est généralement flamboyant ou grandiose. C’est ce que vous devez comprendre ; et c’est malheureusement ce que plusieurs parmi vous, vous ne comprenez pas. Vous courrez derrière les choses du monde qui paraissent grandioses au mépris de votre statut, votre état ou votre position de caractère méprisable et minable. Vous enviez donc ceux qui sont dans le monde, alors que la Bible nous a clairement dit : « n’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. »

Moïse avait compris par intuition que Dieu devait l’utiliser pour sauver ou délivrer ses frères. Il le savait. C’est ce que je vous disais dimanche que, tous ceux qui ont été sauvés, savent qu’ils ont une mission, celle de sauver d’autres. Ils ont tous cette intuition et travaillent en cela depuis leur conversion. Mais au cours de ce travail, plusieurs sont souvent confrontés à ce que Moïse avait expérimenté : la trahison et la traitrise de ceux qu’ils sont supposés sauver. Vous devez comprendre une chose, vous n’avez pas cru pour les beaux yeux de votre voisin dans la communauté. Ce n’est pas pour ses habitudes et/ou attitudes que vous vous êtes convertis.

Dans le texte que nous venons de lire, nous voyons que Moïse prend la défense de ses frères. Il avait pris la défense d’un hébreu contre un égyptien, et c’est encore un hébreu qui était allé le trahir. Et bien plus, lorsqu’il avait vu deux de ses frères quereller, en voulant dire à celui qui avait tort qu’il ne devait pas traiter son frère de la sorte, ce dernier lui avait rétorqué, en se référant à son forfait de la veille, que : « veux-tu aussi me tuer comme tu as tué l’égyptien hier ? ». L’hébreu qui avait été délivré de l’égyptien la veille par Moïse était allé le trahir. Il avait divulgué le forfait de Moïse à tel point que la nouvelle avait atteint le palais, et Pharaon avait déjà pris la résolution de tuer Moïse.

C’est bien pour cette raison que je vous dis que, vous n’avez pas cru pour les beaux yeux de celui avec qui vous partagez la même communauté chrétienne ou une même église. Tous ceux qui viennent à l’église ne sont pas enfants de Dieu, y compris ici au Tabernacle de la Liberté. Il y a des agents maléfiques partout, même si au Tabernacle de la Liberté ils ne peuvent mettre long avant d’être dénoncés. Mais, il y en a toujours. Lorsque ces agents du diable sont donc dans la même communauté que la vôtre, vous pouvez en être une victime, vous pouvez tomber entre leurs mains. Jésus n’avait-il pas dit que l’ivraie sera parmi nous ? Vous ne devez cependant pas tomber sous leur coup si vous savez pourquoi vous avez cru et quelle est leur mission.

Il s’agit plus simplement de comprendre que tout le monde n’est pas pareil dans l’église et que tout le monde n’est pas de Dieu dans l’église. Vous devez le comprendre. Lorsque Jésus a parlé des scandales, il avait dit qu’ils ne manqueront pas dans l’église, mais que le malheur sera cependant à celui par qui il arrive. Il voulait dire à celui qui est scandalisé de ne point perdre son salut parce qu’il est scandalisé. Celui qui a travaillé contre vous, avait certainement pour mission de travailler contre vous ; mais vous autres, ne perdez pas votre salut à cause de son ou ses scandale (s). Vous devez garder vos regards fixés sur l’objectif à atteindre qui se résume à : maintenir vos âmes sauvées, et aider à sauver les âmes des autres. Voilà toute notre mission, voilà notre objectif à atteindre !

Je vous dis bien que, voilà les deux choses qui définissent notre objectif à atteindre en tant que chrétiens. Toutes les autres choses qui vous ont été dites à ce sujet sont fausses. Je pense par exemple à la percée, aux voyages, aux mariages, aux promotions sociales ou professionnelles, etc. Il me vient à l’esprit que des faux prophètes ont annoncé un programme à Douala dont le thème est bizarre : Un Nouvel Ordre de Vie ! De quel nouvel ordre de vie parlent-ils ? C’est quoi un nouvel ordre de vie ? Ce sont des paroles qui n’ont aucun sens chrétien. Vous avez été bernés par ce genre de discours qui aujourd’hui sont difficiles à vous quitter. Vous devez vous obliger à manger de la « bonne nourriture spirituelle » pour pouvoir évacuer la « mauvaise nourriture spirituelle » qui s’est enracinée en vous. Dommage que plusieurs trouvent la « bonne nourriture spirituelle » difficile à digérer. Vous contredisez ainsi la Bible qui dit que « les commandements de Dieu ne sont pas durs à respecter » (1 Jean 5 : 3). Non, ce n’est pas cela. C’est plutôt vous qui ne voulez pas être obéissants aux directives de Dieu. C’est vous qui êtes rebelles.

Ceci dit, Moïse avait été trahi par les siens et s’était vu obligé de fuir l’Égypte pour se réfugier à Madian, surtout que Pharaon menaçait de le tuer. C’est ainsi qu’il était devenu un berger auprès d’un prêtre païen dont il était devenu serviteur. Il est bon que nous lisions les versets 16 à 21 d’Exode 2, pour voir comment Moïse s’installe à Madian et précisément chez ce prêtre païen, sacrificateur de Madian. Il est écrit :

« Le sacrificateur de Madian avait sept filles. Elles vinrent puiser de l’eau, et elles remplirent les auges pour abreuver le troupeau de leur père. Les bergers arrivèrent, et les chassèrent. Alors Moïse se leva, prit leur défense, et fit boire leur troupeau. Quand elles furent de retour auprès de Réuel, leur père, il dit : Pourquoi revenez-vous si tôt aujourd’hui ? Elles répondirent : Un Égyptien nous a délivrées de la main des bergers, et même il nous a puisé de l’eau, et a fait boire le troupeau. Et il dit à ses filles : Où est-il ? Pourquoi avez-vous laissé cet homme ? Appelez-le, pour qu’il prenne quelque nourriture. Moïse se décida à demeurer chez cet homme, qui lui donna pour femme Séphora, sa fille. ».

Avez-vous vu ce qui avait favorisé l’installation et l’adoption de Moïse dans cette famille ? Il avait pris la défense des filles bergères de Madian, au nombre de sept, face à des bergers qui ne voulaient pas que ces dernières abreuvent leurs bêtes. Il les avait protégées et avait abreuvé leurs troupeaux. Je dois relever ici que le comportement de Moïse, depuis l’Égypte jusqu’à Madian dans cette scène qui est décrite, dévoile le comportement d’un sauveur. Car, le sauveur que nous sommes, et que Moïse avait été, est appelé à sauver les pauvres. Moïse, sans se faire inviter en Égypte dans les deux circonstances qui sont rapportées, et à Madian dans la circonstance des sept bergères, s’est chaque fois positionné en défenseur. En Égypte il avait défendu un hébreu face à un égyptien, puis un hébreu face à un autre ; et voilà qu’à Madian au cours de sa fuite, il se retrouve à défendre naturellement des filles bergères pourtant inconnues de lui. Cet homme avait à chaque fois manifesté le cœur d’un enfant de Dieu. Voilà le cœur d’un enfant de Dieu !

Voilà le cœur d’un pauvre ! En réalité, lorsqu’un pauvre voit un autre pauvre malmené ou menacé, il se met spontanément et naturellement à sa place et est prêt à prendre sa défense. C’est justement ce qu’avait fait Moïse en défendant ces bergères et en les aidant dans leur travail. L’enfant de Dieu est donc celui-là qui est prêt à secourir, prêt à défendre et prêt à aider. C’est l’attitude spontanée et naturelle du pauvre. Il me semble opportun de vous rappeler ici la réaction de David, lorsque le prophète Nathan était allé lui raconter une histoire qui le concernait, sans qu’il le sache. Il s’agissait de l’histoire d’un pauvre qui avait été abusé par un riche dans la ville, un riche qui avait eu une visite. Au lieu que celui-ci, ce riche, prenne une brebis dans son troupeau parce qu’il en avait assez, il avait plutôt pris la seule brebis du pauvre. Au terme du récit de Nathan, la colère de David s’était enflammée et il avait dit : « cet homme mérite la mort et doit restituer au quadruple », avant de savoir qu’il s’agissait de lui.

Voyez-vous comment David avait-il été outré par ce genre de comportement et comment avait-il été en colère contre l’auteur d’un tel forfait ? Sa colère avait un caractère spontané et naturel. Voilà comment le pauvre se met à la place des autres pauvres, en prenant leur place. Le pauvre est contre l’injustice. C’est ce que David avait manifesté au point de réclamer une réparation au quadruple en plus de la mort. Il est donc à comprendre que le cri des autres pauvres et leur maltraitance le touche le pauvre au plus haut point. Aussi est-il prêt à intervenir pour secourir, sans se faire inviter ou appeler, pour mettre le maltraité, l’opprimé ou le pauvre à l’aise. Si vous êtes enfants de Dieu et si vous avez été sauvés, c’est ce dont je parle qui doit bouillonner dans votre cœur, c’est-à-dire à venir au secours de ceux qui sont maltraités, opprimés ou molestés, comme ce fut le cas de l’agressé que le bon samaritain avait récupéré. Vous devez le faire sans penser à la rémunération et sans chercher à se faire payer.

Lorsque nous voyons en effet l’acte que Moïse avait posé en faveur des sept bergères à Madian, il était resté au puits et n’avait même pas cherché à savoir d’où venaient les filles et où elles allaient. Il était demeuré sur place au puits et n’avait rien fait d’autre. C’est plutôt le papa des filles qui avait remarqué que ses enfants étaient rentrées plus tôt que d’habitude. C’est en voulant savoir ce qui avait facilité le retour à la maison ce jour-là, qu’il avait eu la révélation qu’elles avaient été aidées par un homme qu’elles avaient cru être un égyptien. Elles avaient rapporté à leur père que cet homme avait non seulement pris leur défense face aux bergers, mais en plus, il les avait aidées en puisant de l’eau pour elles à l’effet d’abreuver le troupeau. À ce niveau aussi Moïse, on le voit, avait manifesté le caractère du pauvre, le vrai pauvre, je veux dire, celui-là qui dépend de Dieu en tout, par tout et pour tout ; celui-là même qui sait que Dieu est son tout, parce qu’il n’est rien sans lui, et ne peut rien sans lui. Un tel pauvre est prompt à aller au secours des autres pauvres, sans se faire prier ou sans attendre d’être invité ou appelé. C’est ce que Moïse nous démontre dans ce texte.

Moïse n’attendait pas une rémunération quelconque. Il avait juste agi dans l’esprit de porter secours et de protéger les filles qui étaient malmenées par des bergers. Et c’est le père des filles qui avait envoyé le chercher. En plus des autres caractères que nous avons déjà si bien relevés, il est à noter que Moïse était un homme courageux. Il était seul, face à des bergers que nous pouvons imaginer nombreux, bien que leur nombre ne nous soit pas donné. Il avait pris la défense des bergères face à tous les bergers qui étaient là, sans avoir peur d’eux. Il est donc possible de dire que, Moïse avait un cœur de compassion, il était un défenseur, un travailleur et un courageux. L’enfant de Dieu n’a pas peur de quoi que ce soit, lorsqu’il lui faut sauver celui est en danger. Ce fut le cas avec Moïse. Et nous le voyons aussi avec Jésus-Christ qui avait affronté le diable et toutes ses entités sans craindre la mort. De même, il avait été arrêté et tué par des pécheurs sans craindre la mort, sachant qu’il était en mission.

On comprend que pour le réussir, comme Jésus l’avait fait, il faut s’abandonner à Dieu. Jésus s’était totalement abandonné à Dieu. C’est à cela que nous sommes appelés, nous abandonner à Dieu, sans tenir compte de notre vie à nous, et de tout ce qui nous appartient y compris nos privilèges. On peut donc ici tirer la conclusion que, tous ceux qui sont chrétiens et qui sont prompts à se défendre, à se protéger, à protéger leurs privilèges ou leurs positions, n’arriveront pas au bout de leur course chrétienne et donc de votre salut. Par un tel comportement, ils démontrent qu’ils ne comptent plus sur Dieu, en voulant préserver ou protéger leurs vies.

Lorsque nous lisons au chapitre 3 comment Dieu apparaît à Moïse pendant qu’il est au service de son beau-père comme berger dans les champs, et lui intime l’ordre de rentrer en Égypte accomplir sa mission parce que le temps est arrivé. Bizarrement, Moïse avait dit à Dieu qu’il ne le pouvait pas, alors qu’il en avait eu l’initiative auparavant ; une initiative qui ne venait pas de Dieu, mais de lui-même. Nous avons d’ailleurs relevé la dernière fois que, l’action précipitée de Moïse avait valu trente années d’esclavage de plus au peuple d’Israël. La précipitation de Moïse à commencer la délivrance du peuple d’Israël à contretemps avait ajouté trente années d’esclavage à son peuple ; elle avait augmenté la douleur ou la souffrance des enfants d’Israël.

À titre de rappel, Dieu avait déjà dit à Abraham depuis que sa progéniture fera quatre cents ans d’esclavage, soit quatre générations, dans un pays étranger. Il est à noter que peuple d’Israël était sorti de l’esclavage après quatre cent trente ans. Moïse avait déjà passé quarante ans au pays de Madian. Sorti d’Égypte à l’âge de quarante ans, lorsque Dieu lui revient ou se présente à lui, il avait donc déjà quatre-vingts ans. Il restait au peuple d’Israël dix ans d’esclavage lorsque Moïse avait fui le pays d’Égypte pour se réfugier à Madian. Ce qui signifie normalement que, Moïse devait commencer sa mission de libération du peuple d’Israël à l’âge de cinquante ans. Au moment où Dieu le revoie à cette même mission à l’âge de quatre-vingts ans, il est à déduire tous calculs faits que, la durée de l’esclavage avait augmenté de trente ans. Moïse, dans tous les cas de figure, devait être visité par Dieu, avant le début de sa mission, bien que nous ne sachions comment Dieu allait s’y prendre. Mais, Moïse au lieu d’attendre le signal de Dieu, avait entrepris cette œuvre de délivrance de lui-même. Il s’était précipité. Et à cause de cette précipitation, la douleur ou la souffrance du peuple avait augmenté.

Les amis, une leçon basée sur la notion d’impatience est à tirer à ce niveau. Nous devons constater et retenir que l’impatience aggrave généralement notre situation. En tant qu’enfants de Dieu, nous nous exposons aux déviations et aux raccourcis, si nous sommes impatients, et ce sont des ennuis que nous créons de la sorte. Il n’est pas bon d’être impatient ; il est bon d’attendre le temps de Dieu qui est le meilleur. Et comment connaître le temps de Dieu ? Nous ne pouvons le connaître que si nous dépendons de lui en tout, partout et pour tout ; que si nous sommes connectés à lui en permanence, pour être sûrs que nous sommes de tout temps dans sa volonté. Autrement, nous allons interpréter les opportunités et les sollicitations en fonction de nos humeurs et des circonstances, pour constater, comme cela est généralement le cas, que le temps passe. C’est alors que toutes sortes d’observations nous envahissent, et nous poussant à dire : « regardez, je suis déjà vieux il me faut une femme et des enfants ; regardez, le temps passe et je suis encore sans emploi ou sans mari ; regardez, depuis que j’ai cru, rien ne marche et rien ne se positionne ou ne se profile à l’horizon ; etc. » En faisant ainsi, on manifeste l’impatience. Je vous dis qu’en vous comportant de la sorte, les erreurs et les gaffes ne sont pas loin de vous.

Vous ne pouvez pas imaginer ou évaluer ce que cela coûte d’être maltraité non pas pendant un jour, quelques jours, mais pendant des années. Je vous fais remarquer ici que, les enfants qui étaient nés en Égypte trente ans avant que Dieu ne se manifeste à Moïse, ne devaient pas souffrir de l’esclavage. Mais, la précipitation de Moïse avait fait qu’ils expérimentent l’esclavage. Voyez-vous cela ? C’était une mauvaise expérience à cause de la précipitation. Les amis, lorsque Dieu nous sauve, c’est pour une mission que nous pouvons très souvent connaître. Je sais que certains parmi vous, qui n’avez pas bien expérimenté le salut, vous êtes enfants de Dieu et dans sa maison, sans connaître votre mission. Mais, ceux qui ont connu la véritable expérience du salut savent ce à quoi ils sont appelés. Ils le savent d’une manière ou d’une autre. Cette mission ne se trouve pas toujours dans le pastorat, l’apostolat ou la prophétie. Cette mission tourne autour de celui qui est comme vous étiez auparavant, à qui vous savez devoir partager votre expérience avec Jésus.

Ce sont ceux qui n’ont changé que de religion qui ne connaissent pas la véritable expérience du salut, ou ceux qui ne sont venus à l’église que pour voir Dieu changer quelque chose dans leur vie. Ils sont venus à l’église pour des motifs divers, autres que celui de la conversion. Ceux-là ne peuvent pas connaître ce dont je parle, et ce sont eux qui sont les plus impatients dans leur relation avec Dieu, et qui entraînent même plusieurs autres dans cette impatience. Cela avait été observé dans le désert parmi les enfants d’Israël. Les ramassis qui étaient au milieu d’eux avaient semé l’esprit d’impatience en eux. Il s’agissait des égyptiens qui s’étaient joints à eux ; ils n’étaient pas du peuple d’Israël. Ce sont eux qui avaient commencé les murmures et, les élus de Dieu en avaient aussi été contaminés.

Pour revenir à Moïse, Dieu s’était manifesté à lui dans le désert et lui avait dit que le temps est venu pour aller sauver son peuple. Mais, Moïse ne s’était pas montré favorable à l’appel à lui lancé par Dieu. En lisant sa réponse à Dieu, il y a lieu d’imaginer que celui-ci se rappelait de son expérience vécue en Égypte il y a quarante ans auparavant, par ses frères qu’il avait voulu délivrer. Ce fut pour lui une triste expérience qui l’avait obligé à l’exil dans lequel il se trouvait. C’est ce mauvais souvenir qui l’avait poussé à répondre à Dieu tel que cela est rapporté au chapitre 3 du livre d’Exode. Il est d’ailleurs bon que nous le lisions. Commençons la lecture par l’appel que Dieu lui avait lancé au verset 9 et lisons jusqu’au verset 12. Il est écrit :

« Voici, les cris d’Israël sont venus jusqu’à moi, et j’ai vu l’oppression que leur font souffrir les Égyptiens. Maintenant, va, je t’enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les enfants d’Israël. Moïse dit à Dieu : Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d’Égypte les enfants d’Israël ? Dieu dit : Je serai avec toi ; et ceci sera pour toi le signe que c’est moi qui t’envoie : quand tu auras fait sortir d’Égypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne. ».

 

Moïse ne s’était plus montré favorable et disposé à aller accomplir la mission que Dieu lui avait assignée, mission qu’il avait pourtant voulu commencer quarante ans à l’avance. Dieu avait dû s’employer pour le convaincre qu’il sera avec lui pour qu’il acceptât enfin de rentrer vers ses frères pour les délivrer. L’échange entre les deux, part du chapitre 3 au chapitre 4, échange dans lequel Dieu ne cherchait qu’à le convaincre en lui montrant les signes et les miracles qu’il opérerait pour faire admettre à ses frères qu’il vient de sa part. Mais malgré cela, Moïse avait toujours trouvé des excuses pour ne pas aller accomplir la mission. Et la dernière de ses excuses se trouve au verset 10 du chapitre 4 où il objecte à Dieu qu’il n’a pas la parole facile. Voici ce qu’il dit à Dieu : « Moïse dit à l’Éternel : Ah ! Seigneur, je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ce n’est ni d’hier ni d’avant-hier, ni même depuis que tu parles à ton serviteur ; car j’ai la bouche et la langue embarrassées. ».

 

Moïse était bègue et avait voulu mettre ce handicap à l’avant pour se dérober de la mission que Dieu avait décidée de lui confier. Dieu s’était donc davantage étendu en démonstrations que ce handicap est bel et bien surmontable étant donné qu’il sera avec lui. Mais, malgré toutes ces démonstrations et cette assurance données par Dieu à l’effet de le convaincre, Moïse s’était toujours montré réticent. Sa réponse à Dieu au verset 13 d’Exode 3 en dit long. Voici cette portion de leur échange du verset 11 au verset 13 : « Moïse dit à Dieu : Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d’Égypte les enfants d’Israël ? Dieu dit : Je serai avec toi ; et ceci sera pour toi le signe que c’est moi qui t’envoie : quand tu auras fait sortir d’Égypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne. Moïse dit à Dieu : J’irai donc vers les enfants d’Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m’envoie vers vous. Mais, s’ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je ? ».

 

Moïse, malgré tous les signes et les miracles que Dieu lui avait montrés, ne s’était toujours pas montré favorable à aller accomplir la mission. Il avait continué de trouver des prétextes, comme il est écrit dans la portion de texte allant du verset 1 au verset 9 d’Exode 4. Voici l’extrait de leur échange :

 

« Moïse répondit, et dit : Voici, ils ne me croiront point, et ils n’écouteront point ma voix. Mais ils diront : L’Éternel ne t’est point apparu. L’Éternel lui dit : Qu’y a-t-il dans ta main ? Il répondit : Une verge. L’Éternel dit : Jette-la par terre. Il la jeta par terre, et elle devint un serpent. Moïse fuyait devant lui. L’Éternel dit à Moïse : Étends ta main, et saisis-le par la queue. Il étendit la main et le saisit et le serpent redevint une verge dans sa main. C’est là, dit l’Éternel, ce que tu feras, afin qu’ils croient que l’Éternel, le Dieu de leurs pères, t’est apparu, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.

L’Éternel lui dit encore: Mets ta main dans ton sein. Il mit sa main dans son sein ; puis il la retira, et voici, sa main était couverte de lèpre, blanche comme la neige. L’Éternel dit : Remets ta main dans ton sein. Il remit sa main dans son sein ; puis il la retira de son sein, et voici, elle était redevenue comme sa chair. S’ils ne te croient pas, dit l’Éternel, et n’écoutent pas la voix du premier signe, ils croiront à la voix du dernier signe. S’ils ne croient pas même à ces deux signes, et n’écoutent pas ta voix, tu prendras de l’eau du fleuve, tu la répandras sur la terre, et l’eau que tu auras prise du fleuve deviendra du sang sur la terre. ».

 

Ce que Moïse aurait dû faire, était de dire à Dieu, « Seigneur, j’ai compris, mais je suis bègue. Guéris-moi. ». Il devait profiter de tous les signes que Dieu lui démontrait pour demander la guérison à Dieu. Mais, comme il se souvenait de sa mauvaise expérience passée, il ne voulait pas rentrer conduire la mission de Dieu ; et il l’avait clairement dit à Dieu dans le verset 13 ci-dessus mentionné. Histoire de lui dire, s’il te plaît Seigneur, envoie qui tu veux envoyer et non pas moi. Voyez-vous cela ? Certains parmi vous pourraient se demander comment Moïse avait pu agir de cette façon-là. Et pourtant, vous agissez de la même manière lorsque vous vous référez à vos échecs passés, face à certaines sollicitations ou certaines instructions. C’est ce qui était le problème de Moïse. Il se référait à ses échecs passés au milieu de ses frères en Égypte où Dieu voulait encore l’envoyer, alors que lui, il avait déjà dit bye bye à l’Égypte.

Vous devez comprendre une chose à partir de ce que nous lisons de Moïse. L’échec de nos efforts personnels nous fait souvent douter de Dieu. Je dis bien que l’échec de nos efforts personnels nous fait souvent douter de Dieu. Moïse avait à cœur tous les échecs qu’il avait essuyés en Égypte quarante années auparavant. Il avait tenté de sauver ses frères qui étaient maltraités par les égyptiens, il avait échoué, ayant été trahi par l’un de ses frères hébreux ; il avait par la suite tenté de séparer et réconcilier deux de ses frères qui étaient en querelle, il avait aussi échoué, les frères n’ayant pas voulu l’écouter. Celui qui était à tort lui avait d’ailleurs rétorqué qu’il n’est pas juge entre son frère et lui. Il ne pouvait dès lors se sentir capable de faire quelque chose pour ces gens qui étaient pourtant ses frères. Moïse n’avait pas compris que ces tentatives avaient échoué parce qu’elles reposaient sur ses efforts personnels et non sur la puissance de Dieu. Il ne croyait pas qu’il pouvait encore faire quelque chose pour ce peuple, même avec l’intervention de Dieu. C’était une erreur.

Chers amis, c’est une erreur de ne peut pas comprendre qu’il dépendait de Dieu. Le pauvre qu’il était et que nous sommes doit comprendre qu’il dépend de Dieu en tout, pour tout, et partout ; indépendamment de sa classe sociale, de ses richesses ou de sa pauvreté matérielle et financière. Il ne dépend donc pas de ses capacités. Il ne dépend pas de ses forces physiques, de sa sagesse ou son intelligence. Il ne doit dépendre de rien de toutes ces choses, sinon de Dieu. Moïse avait vu son incapacité à accomplir la mission que Dieu lui confiait, parce qu’il avait encore à l’esprit tous ses échecs passés comme je l’ai déjà dit, alors qu’il s’agissait bel et bien de bonnes actions qu’il avait entreprises pour son peuple. Je sais que plusieurs parmi vous se comportent comme Moïse l’avait fait. C’est pourquoi je m’adresse à ceux qui ont échoué, ceux qui ont rétrogradé dans leur marche chrétienne.

Vous avez échoué dans votre marche chrétienne. Vous aviez bien démarré et étiez tout feu, tout flamme au départ. Vous condamniez toute injustice et tout péché. Il vous est malheureusement arrivé de rétrograder et de vous mettre à commettre les bêtises que vous condamniez auparavant. Et depuis ce temps-là jusqu’à ce jour, même si vous avez pu cesser de commettre les bêtises que vous commettiez avant, il ne vous est pas facile, il ne vous est pas évident de vous relever. Il ne vous est pas facile de vous relever, parce que vous avez toujours à l’esprit comment vous avez trahi Dieu. Il est certes vrai que vous l’avez trahi, mais cela ne devrait pas constituer la « fin du monde ». Si vous avez pu comprendre que vous l’avez trahi, vous devez comprendre qu’il est possible de reprendre de plus bel avec lui, sans prendre en compte ou sans tenir compte de vos échecs passés dus à vos efforts personnels. C’est pourquoi je dis que l’échec de nos efforts personnels nous fait souvent douter de Dieu.

Si vous aviez échoué ayant été un modèle et que vous avez de la peine à vous relever, cela veut dire que vous comptiez sur vos efforts personnels. Voilà la raison pour laquelle il vous est difficile de vous relever. Redevenez donc pauvres, redevenez pauvres aujourd’hui et comprenez que vous ne pouvez rien faire sans Dieu, que vous ne pouvez aller nulle part sans Dieu et que vous ne pouvez rien réussir sans Dieu. Levez vos bras aujourd’hui et jetez-vous dans ses bras et avancez avec lui. Vous ne pouvez rien par vous-mêmes, mais c’est lui qui peut tout au travers de vous lorsque vous vous abandonnez entre ses mains. Dieu peut tout par vous lorsque vous vous abandonnez entre ses mains. Il peut même vous restaurer à l’instant où je parle, si vous levez vos bras pour lui dire : « Seigneur, j’ai compris, je m’abandonne à toi ». Il est à comprendre en fait que, le Seigneur veut que nous arrivions au bout de nous-mêmes, au point de ne plus compter sur nos forces, nos moyens, nos capacités, pour ne compter que sur lui. Oh mon Dieu, donne-nous la grâce de connaître l’expérience de David et de Moïse !

Pour revenir aux prétextes que Moïse prenait devant Dieu, je veux vous faire remarquer que, tous ceux que Dieu appelle à son œuvre, ont toujours un handicap dans leur vie. Et généralement, ceux-ci se focalisent sur leur dit handicap pour mettre un frein ou un arrêt à l’action de Dieu dans leur vie. Moïse avait voulu mettre l’accent sur son handicap qui était le bégaiement. Mais, comprenez que Dieu ne compte pas sur vos capacités pour vous utiliser. Il ne compte pas sur vos potentialités comme je l’ai déjà dit : votre intelligence, votre sagesse, votre force, votre éloquence, etc. il ne compte pas sur ces choses-là. C’est vrai que nous avons relevé que Moïse avait de la force et qu’il était courageux, mais au niveau du langage, il ne savait pas parler. Il avait donc voulu s’appuyer dessus pour rejeter la mission qui lui était destinée. Dieu ne compte pas sur ces choses-là pour vous utiliser. Et d’ailleurs, ce n’est pas ce sur quoi vous pensez être forts que Dieu utilisera pour son travail, afin de se glorifier au travers de vous.

Pour preuve, Dieu n’avait pas utilisé ce que Moïse présentait comme capacités. Il avait fait de Moïse un orateur, quelqu’un qui devait parler aux autres, alors qu’il savait lui-même qu’il n’avait pas la parole facile pour pouvoir se faire comprendre. Moïse aurait certainement accepté d’emblée la mission s’il s’agissait d’aller bagarrer, parce qu’il se savait fort. Or, ce n’est pas l’aspect que Dieu avait choisi d’utiliser dans sa vie. C’est sa bouche qu’il avait choisie d’utiliser et non ses forces physiques, pour la délivrance d’Israël de l’esclavage. Je sais que plusieurs parmi vous avez tendance à orienter Dieu dans le choix qu’il veut opérer en vous pour vous utiliser dans son travail. Chacun de vous choisit le domaine dans lequel il a des capacités. Comprenez donc que Dieu n’attend pas vous utiliser forcément dans le ou les domaine (s) où vous vous sentez forts. Laissez-moi vous dire qu’il vous utilisera dans vos faiblesses, il vous utilisera dans les domaines où vous êtes plutôt faibles. C’est cette faiblesse qu’il utilisera pour montrer sa gloire, en montrant que ce n’est pas vous qui travaillez ; mais que, c’est lui qui travaille. Avez-vous compris cela ?

Nous suspendrons cette étude aujourd’hui pour la reprendre dimanche. Ce que je veux que vous fassiez aujourd’hui, c’est de vous abandonner entre les mains de Dieu. Et pour vous qui avez échoué dans votre marche chrétienne avant parce que vous comptiez sur vous-mêmes, relevez-vous, reprenez votre marche en ne comptant désormais que sur Dieu ! Comprenez par ailleurs que ce n’est pas à vous de dicter à Dieu ce qu’il doit faire de votre vie, ou de comment il doit vous utiliser dans l’accomplissement de son travail. Il vous utilisera dans les domaines où vous vous sentez le plus faible, à l’exemple de ce que nous voyons avec Moïse qui avait finalement énervé Dieu par la multiplication des prétextes à vouloir décliner la mission à lui confiée. Il avait enflammé la colère de Dieu selon qu’il est rapporté au verset 14 comme il suit :

« Alors la colère de l’Éternel s’enflamma contre Moïse, et il dit : N’y a-t-il pas ton frère Aaron, le Lévite ? Je sais qu’il parlera facilement. Le voici lui-même, qui vient au-devant de toi ; et, quand il te verra, il se réjouira dans son cœur. ».

Dieu s’était enflammé de colère, voyez-vous, parce que Moïse voulait continuer à argumenter. Cessez d’argumenter avec Dieu ! Levez juste vos mains, et laissez-le vous utiliser dans vos faiblesses !

Levez-vous pour vous abandonner au Seigneur !

Amen !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – ANÉANTISSEMENT DES ESPRITS DE BÊTES MANDÉS PAR LE GOUVERNEMENT POUR INFLÉCHIR LES GRÈVES DANS LA VOIE DES TROUBLES ET DES SOULÈVEMENTS[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (DIMANCHE 13 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (10e partie)

Nous remercions l’Éternel Dieu, puisqu’il a exposé les esprits de bêtes chargés de créer les troubles, les dégâts et le désordre à travers la nation.

Ces esprits, s’exprimant dans le corps d’une jeune dame, ont affirmé qu’ils ont été invoqués par les membres du gouvernement, à l’effet de posséder les populations et de secouer le pays dès ce lundi, à partir du mouvement de grève des enseignants, et d’autres mouvements similaires. Rappelons que les membres du gouvernement agissent ainsi dans l’espoir de faire renverser le Président Paul BIYA, par un coup d’État « scientifique ». Mais leur espoir est vain, puisque les esprits de bêtes ont tous été décapités et renvoyés en enfer par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA.

Merci Seigneur ![:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « L’AVERTISSEMENT », « LA PEUR DU LENDEMAIN ET LE TRANSFERT D’ÉNERGIE », « LE DOIGT ACCUSATEUR », « LA MALÉDICTION ET LE SERPENT D’AIRAIN », « LES TRÉSORS », « LA MORT » ET « LES DÉCRETS DES ESPRITS FAMILIERS[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE MARS 2022 (DIMANCHE 13 MARS 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (10e partie)

Les esprits ci-dessus ont interpellé les fidèles du Tabernacle de la Liberté, il s’agissait principalement de l’ « Avertissement », de la « Peur du lendemain », du « Doigt accusateur », de « La Mort » et des « Décrets des esprits familiers ». Ces diverses interpellations nous ont permis de tirer beaucoup de leçons.

Ainsi, sachons que Dieu fait toute chose bonne en son temps, cessons donc de l’accuser, en estimant qu’il y a du retard dans tel ou tel aspect de nos vies. Souvenons-nous d’où Dieu nous a tirés, souvenons-nous de notre zèle de départ, et ne nous laissons pas égarer par les biens que Dieu met à notre disposition. Sortons du refroidissement spirituel, et pour ceux ou celles qui ont des partenaires païens et incrédules, rappelons-nous ce que dit la Bible, à savoir que deux seront couchés dans un lit, un sera pris et l’autre laissé. Nous avons donc compris que nous ne devons pas suivre les personnes égarées, quand bien même il s’agirait du conjoint, car le salut est individuel N’accusons non plus l’homme de Dieu, en le prenant comme la cause des problèmes, ou comme obstacle à notre épanouissement. Qui osera-t-on accusé, si jamais on allait en enfer ? On n’aurait personne à accuser, si ce n’est soi-même. N’indexons pas les autres comme étant la cause des échecs qu’on rencontrerait, ne soyons pas cupides, n’envions pas et ne jalousons pas les bénédictions que le Seigneur accorde aux frères, aux sœurs. Aidons sans rien attendre en retour.

Dépendons totalement de Dieu, sachant que nous sommes des pauvres, que nous avons besoin de lui en toutes choses. Nous avons intérêt à devenir pauvres en esprit. Ne prenons pas de pause envers Dieu, n’interrompons pas les réunions et ne boycottons pas la communion en assemblée, sous prétexte qu’il nous faut mener nos activités, et assurer notre avenir terrestre. Ne manquons pas les séminaires. Ne commettons pas l’erreur d’abandonner Dieu, sous prétexte qu’il nous faut nous occuper d’abord de nos affaires, car on se livrerait alors aux attaques des esprits familiers et du monde des ténèbres, et on succomberait par exemple par des accidents. Au quotidien et où que nous soyons, participons fidèlement aux prières qui se font dans la chaîne d’intercession du ministère, afin de faire avancer l’œuvre de Dieu. Chauffons pour Dieu ! Dieu nous regarde, attendant que nous nous mettions à son œuvre. Soyons assidus ! Que les maris n’abandonnent pas leurs responsabilités spirituelles aux épouses, mais qu’ils travaillent à conduire leurs familles dans les voies du Seigneur.

Soyons malléables entre les mains de Dieu, demeurons-lui soumis. Quand il décide qu’on doit se coucher, faisons-le, et quand il décide que nous devons nous lever, faisons-le, car une telle obéissance nous permettra d’écraser le « moi ». Que ceux qui se sont réveillés à servir le Seigneur demeurent fermes, étant ponctuels et assidus. Dieu nous place stratégiquement dans nos lieux de service, pour que nous y accomplissions une mission en son honneur, en nous sacrifiant pour le salut des âmes. Coupons les ponts avec tout rebelle, avec toute personne qui refuse de recevoir le message de l’évangile, au lieu de continuer à discuter inutilement avec celle-ci. Ne perdons pas le temps dans de tels bavardages, au risque d’être nous-mêmes déstabilisés. Mettons plutôt le temps à profit dans l’intercession, et l’avancement de l’œuvre de Dieu. Abandonnons les plaintes et les murmures. Ne comptons pas sur les hommes ou sur les membres de famille, mais sur Dieu seul. Face aux difficultés ou aux problèmes qu’on connaîtrait par exemple dans le foyer, il est inutile de regretter le secours de la famille charnelle. Il faut plutôt se tourner vers Dieu.

Des personnes interpellées par l’esprit de Mort ont été invitées à se repentir, confesser leurs péchés, de peur de mourir prématurément, de succomber sous les décrets des esprits familiers, des sacrifices de sorcellerie, et aller en enfer. Il faut abandonner le péché sous toutes les formes. Par la repentance, le Seigneur nous restaure et nous préserve de la mort. Nous avons également appris que l’engagement à suivre Jésus doit être ferme, de crainte de laisser des failles, et de se faire racler par les esprits familiers, qui voient d’un très mauvais œil la conversion et l’obéissance à Dieu. Il nous faut persévérer, aller en avant, sans plus regarder derrière ! Il faut être droit quand on suit Christ, et délaisser les raccourcis, la facilité. Il est nécessaire d’être intègre, d’avoir les pieds fixés sur le Roc qu’est Jésus, sinon, on subirait de sérieuses gifles, venant des esprits familiers qu’on aurait inutilement provoquées. Amen.[:]