SÉMINAIRE DU MOIS D’AVRIL 2025 (SAMEDI 05 AVRIL), SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : LES PIÈGES DES ESPRITS FAMILIERS (7ème partie)
Alors que le problème de l’insalubrité urbaine et de l’amoncellement des tas d’immondices bat son plein à Yaoundé et dans les villes du Cameroun, Jean MBARGA, archevêque métropolitain de Yaoundé, a récemment fait une visite dans certains marchés de la cité capitale, arguant que les denrées étalées à même le sol causent des cancers.
En rappelant que les denrées ainsi commercialisées sont extraites du sol et sont souvent conservées dans le sol, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a fourni la démonstration que les denrées étalées sur le sol ne peuvent pas provoquer des cancers, car les cancers sont issus des vaccins, des substances que les occidentaux injectent, dissimulent ou introduisent dans les différentes marchandises, les produits de mer ou les produits congelés à destination de l’Afrique. Le révérend a précisé que tout au plus, et cela est logique, les denrées étalées par terre dans les marchés peuvent causer d’autres maux, comme les maux de ventre et les pathologies assimilées, mais pas des cancers, qui sont une prolifération des mauvaises cellules dans l’organisme, et qui ont pour origine la cause sus-évoquée.
Le révérend a relevé qu’en réalité, l’archevêque de Yaoundé s’est plutôt exposé, sans le vouloir, en dévoilant les plans que lui et ses complices du monde des ténèbres sont en train de mettre sur pied, à savoir répandre les cancers dans le pays et attaquer ainsi la population. Cela dit, le révérend a invité les fidèles à prier, afin de détruire un tel plan, et les autres dessous insoupçonnés de la sortie de l’archevêque métropolitain. Voici l’extrait de cette prière :
« Ces derniers temps, les catholiques nous montrent de toutes les couleurs ici au pays, et cela nous montre que c’est le catholicisme qui cherche à dicter les choses de la nation. Les amis, nous devons vraiment avoir les yeux ouverts sur cela…Vous voyez que les villes de Yaoundé et Douala sont des scènes de saletés criardes. Et les choses se sont empirées en cette année électorale, malgré les instructions du Premier Ministre. Ce qui est donc le plus étonnant dans l’affaire est l’implication des prêtres catholiques. Jean MBARGA s’est permis de descendre dans les marchés pour parler aux commerçants. Ça c’est un show médiatique ! Je sais que sa sortie est une mission maléfique que ces gens ont contre la nation camerounaise. Je ne suis pas en train d’encourager la saleté, mais la sortie de Jean MBARGA est déplacée, au vu des raisons qu’il a donnés et de la mission maléfique des catholiques. Ces catholiques savent clairement ce qu’ils font. Les maladies que les africains ont à l’heure actuelle proviennent de l’occident à travers les vaccins qu’ils ont mis sur pied ; les aliments congelés envoyés en Afrique. Ce sont ces produits qui donnent le cancer.
« Je pense que cet homme de Jean MBARGA a juste voulu dévoiler l’agenda caché de ces méchants. Les amis, ne faisons pas la fine bouche. C’est clairement démontré que ces gens ont prévu inoculer le cancer aux camerounais. Ils ont programmé verser le cancer sur les camerounais. Je sais qu’il n’a pas prononcé le mot cancer en vain. D’ailleurs toutes les attaques sont préparées au sein de l’église catholique. Dans le même temps, son passage est annoncé au marché Mendong. À cette occasion, il a été demandé à chaque commerçant de cotiser, faute de quoi, ils seront sous le coup de la sanction… Assemblée, lève-toi pour balayer le passage de Jean MBARGA dans les marchés. Le feu sur son passage dans les marchés ! Le feu sur son passage ! Le feu sur ses paroles ! Le feu sur le cancer projeté par le monde des ténèbres contre les populations de Yaoundé ! Ô Seigneur, ne laisse pas les camerounais mourir. Le feu de Dieu consume leur maladie ! Quelle qu’elle soit ! Le feu de Dieu consume ! Merci Seigneur, parce que tu mets tous ces méchants hors d’état de nuire ! (…). Couvrons tous les marchés du Cameroun avec le sang de Jésus. Le sang de Jésus couvre tous les marchés du Cameroun ! Et les consommateurs des produits vendus dans les marchés sont épargnés de tout ce que le diable a préparé. Merci Seigneur de nous écouter et de nous exaucer. Au Nom puissant de Jésus, nous avons prié. Amen ! ».
À la suite de cette prière, le Seigneur a saisi divers esprits impurs. Écroué dans le corps d’un jeune homme, l’esprit personnifiant l’unité dans le mal a déclaré ce qui suit : « C’est moi, l’unité dans le ‘‘bien’’ (sous-entendu l’unité dans le mal)… Je peux effectivement prononcer le mot bien. Toi-même (s’adressant au révérend) tu sais que tout ce qu’on peut tricher pour en faire le contraire, nous nous devons d’en prononcer le nom. Il y a toutefois des mots qui nous dépassent à prononcer, mais il y a d’autres que nous sommes obligés de prononcer, pour en faire la photocopie. As-tu compris ? Donc, le mot « bien », le dernier que j’ai prononcé, nous l’avons pris pour en faire une photocopie. Toi-même tu sais que de tout ce qu’on présente aux humains simples, on leur présente toujours le contraire de ce qu’on est supposé faire. Donc, je ne vois pas pourquoi il serait étonnant que je prononce le mot « bien ». N’as-tu pas vu Jean MBARGA, ce qu’il a dit ? Qu’a-t-il dit ? Il a dit que les produits maraîchers sont sources de maladies cancérigènes. Heureusement que le collègue, l’esprit de bêtise, était déjà là, séance tenante. La bêtise était déjà là. Tu sais que c’est ce qu’ils ont programmé : donner le cancer aux uns et aux autres. C’est leur programmation. Où est le rapport entre les aliments qui sortent du sol, qu’on étale au sol, et le cancer ? S’il y avait un lien, les fous auraient le cancer partout…
« Des méchants comme Jean MBARGA écoutent bien ce qu’ils disent, après, comme il y a de la bêtise, ils sont dépassés de ce qu’ils ont dit et s’exclament : ‘‘Qu’est-ce que j’ai fait comme ça ?’’ Ils s’exclament ainsi au moment où il n’y a plus moyen de corriger ce qu’ils ont dit. Quand Jean MBARGA s’est rendu dans les marchés, ce n’était pas pour qu’il étale la programmation liée aux cancers, car il partait dire autre chose et ne s’attendait à dire les choses comme il les a dites. Je t’ai dit que répandre les cancers est la programmation des jours à venir, du coup Jean MBARGA est déjà en train d’aller tester la semence de ces cancers, c’est pour cela qu’il part partout dans les marchés. C’est la semence des cancers qu’il est déjà en train de répandre, d’éparpiller ainsi. Que crois-tu qu’il allait faire dans les marchés ? Tu sais qu’on teste d’abord toutes nos choses contre l’humain simple, pour voir si ça va passer, puis dans les jours qui suivent, on verse la bonne quantité. C’était ainsi avec le coronavirus… On commence toujours par l’échantillon, ensuite on donne la bonne dose. C’est comme ça chez nous… Nous estimons que tu fais la sorcellerie en plein jour, en pleine nuit, et tu dis que ce sont les délivrances ? Vois-moi ‘‘l’invoyable’’ ! C’est pour cela que nous-mêmes on est souvent dépassés, parce qu’on fait nos réunions à huis clos, et quand on sort, on est surpris que le collègue soit déjà en train de dévoiler nos choses. Comme maintenant, c’est l’esprit de bêtise qui se met devant pour sortir nos choses (à travers les propos de Jean MBARGA), alors qu’on a tenu notre réunion à huis clos.
« C’est à cause de la bêtise que Jean MBARGA est venu dévoiler nos plans, en parlant de l’insalubrité qui donne les cancers. Les bayam-sellam sont bêtes, parce qu’ils acceptent qu’on entre dans leurs corps pour faire le désordre, le comprends-tu ? Chaque jour, les bayam-sellam paient le ticket, qu’ils aient vendu ou pas. Comme ils louent les boutiques, qu’ils aient vendu ou pas, ils doivent également payer le loyer à la fin du mois. Et ils vont accepter de se soulever, parce que quelqu’un comme jean MBARGA est sorti de nulle part pour leur dire des choses. Les bayam-sellam sont plus bêtes que moi. Les Jean MBARGA veulent répandre le cancer, c’est contre cela que vous devez effectivement lutter. Jean MBARGA marche partout avec la semence du cancer… Je t’ai dit que la première semence du cancer se trouve en Jean MBARGA. Comme il est en train de se balader, c’est cette semence qu’il propage. Penses-tu qu’il se balade dans les marchés parce qu’il aime trop les commerçants ? Il faut savoir que même les prêtres « voyagent » souvent avec nous, quand on fait les réunions de sorcellerie. Ils n’ont pas les boîtes de sardine, ils n’ont que leurs cannes, avec lesquelles ils « voyagent ». Jean MBARGA est un élément dangereux dans votre nation, très dangereux. Tu as vu le collègue d’hier, qui est venu parler des choses concernant la confession de l’ex-commissaire (Albert Léopold EBENE). Jean MBARGA est parmi les gens-là. Le comprends-tu ?
« La Cathédrale que tu vois-là, la cathédrale Notre-Dame (des victoires de Yaoundé)… Je me prive de parler. Vois-tu la majorité des enfants qu’on enlève et dont on ne connaît pas l’endroit où ils se trouvent ? C’est là-bas, à la Cathédrale Notre-Dame des victoires de Yaoundé, qu’on va faire les rituels. Je parle des enfants et des nouveau-nés qui disparaissent. Vous avez vu quand Notre-Dame de Paris avait brûlé. Pouviez-vous imaginer le genre de choses qu’il y avait à l’intérieur de cette cathédrale ? (…) Si tu n’as pas quatre yeux, tu ne peux rien voir. Vois-tu le vin de messe des catholiques ? Il y a beaucoup de choses qui entrent à l’intérieur. La maison-ci, la Cathédrale Notre-Dame des victoires de Yaoundé, est un endroit à exposer, comme ce fut le cas pour Notre-Dame de Paris. C’est un haut-lieu dangereux (…). Vous faites bien de dire que Notre-Dame, qui a des représentations partout dans le monde, est en réalité la ‘‘Grande maîtresse’’, c’est-à-dire la franc-maçonnerie. Qui est donc la fille aînée de ‘‘Notre-Dame’’, de la franc-maçonnerie ? C’est l’église catholique. Si la franc-maçonnerie n’est donc plus là, à qui va-t-elle léguer le travail ? À qui croyais-tu que la franc-maçonnerie a légué le travail ? C’est à l’église catholique. Qui sont ceux qui étaient les premiers à se lever, quand on a commencé à parler de l’élection présidentielle au Cameroun, jusqu’à ce que l’un deux (l’évêque Barthelemy YAOUDA HOURGO de Yagoua) a dit qu’il faut que le diable prenne d’abord le pouvoir au Cameroun ?
« On t’a dit que le type-ci (Jean MBARGA), qui a le gros chapeau-ci… Hum hum ! Si vous pouviez imaginer le genre de mboma (le serpent) qui est debout, avec le bâton, vous ne parleriez pas ! (…) La majorité des bayam-sellam, chez qui s’est rendu Jean MBARGA, ont quatre yeux comme lui-même. Il est donc parti dans son fief. C’est pour cela que nous rions souvent des simples qui se disent pasteurs, et qui se rendent dans les carrefours ou les marchés pour dire qu’ils y prêchent l’évangile. À qui y prêchent-ils l’évangile, jusqu’à ce que les gens répondent par des ‘‘Amen’’ à gauche, des ‘‘Amen’’ à droite ? À qui prêchent-ils, s’ils sont vraiment pasteurs ? S’ils pouvaient avoir les yeux ouverts et voir les chèvres, les porcs, les moutons et autres bêtes qui répondent ‘‘Amen’’ à leurs prêches dans les marchés et les carrefours ! Les simples suivent souvent de telles choses comme des moutons, parce qu’ils se disent : ‘‘Oh ! Si le Seigneur pouvait toucher les cœurs !’’. Ils parlent de toucher les cœurs, les cœurs de qui ? Quand ceux qui se disent pasteurs prêchent dans les marchés, les porcs répondent en ronchonnant. Généralement, les « pasteurs » qui sortent évangéliser dans les marchés et les carrefours, ce sont nos gens. Le comprends-tu ? Rares sont les cas où il s’agit des simples. De la part de qui les simples iront-ils se placer dans les marchés et les carrefours pour parler, évangéliser ? Ils iront y parler de la part de qui ? Quand tu verras la population derrière une personne qui prêche dans un marché ou un carrefour, c’est nous qui venons nous asseoir et prier avec le concerné.
« Jean ZOA (le défunt) ou Jean MBARGA, ce sont les mêmes gens ! Quand tu vois un partir (mourir) et qu’un autre vient, cela veut dire qu’il y a eu transfert. Sinon, pourquoi crois-tu que je suis là, moi l’Unité dans le mal ? Quand l’un meurt et part en bas (en enfer), l’autre qui lui succède, c’est pour la continuité, c’est pour attraper ce qu’il y avait déjà et continuer ce qui devrait être. Donc, Jean ZOA et Jean MBARGA, ce sont les mêmes gens. Il y a le dépôt de Jean ZOA en Jean MBARGA. Et quand Jean MBARGA va partir, il fera la même chose, il fera le dépôt à son successeur (…). Chez nous (dans les sectes, la franc-maçonnerie, le catholicisme), on s’arrange toujours à mettre les simples avec les compliqués (sorciers, sectaires, réincarnés, etc.)… Tu sais que la majorité des simples veulent aller plus vite que le temps choisi par votre Type (Jésus-Christ). Quand les esprits familiers voient que c’est ainsi, on s’arrange à entourer le simple avec les compliqués. C’est pour cela que tu verras que dans une maison de 10 ou 15 personnes, il n’y a peut-être qu’un seul simple, et le reste des personnes sont des chèvres, des moutons, des cabris qui viennent de la planète Mars… Je suis avec l’esprit de bêtise. C’est toujours pour le dossier de MBARGA, Farà MBARGA. Bien évidemment que c’est la bêtise qui l’a poussé à faire ce qu’il a fait. Ne le vois-tu pas dans ses propos ? Il a développé des propos qui n’ont rien à voir avec le sujet dont on est supposé être en train de parler. De quoi crois-tu qu’il s’agit ? Il s’agit de la bêtise… »
Pour leur part, écroués dans le corps d’une jeune dame, les esprits personnifiant les soulèvements ont affirmé ce qui suit : « Que crois-tu que Jean MBARGA cherche ? Ne sont-ce pas les soulèvements ? Jean MBARGA et ses gens cherchent les bayam-sellam, parce que les Bayam-sellam ont le sang chaux, c’est chez eux que ça passe vite (les soulèvements). Pourquoi n’a-t-il fait pas fait sa visite dans les maisons ? Pourquoi n’a-t-il pas fait cette sortie dans son église ? Pendant que vous priez, il faut mettre le feu sur la canne de Jean MBARGA. Qu’est-ce que Jean MBARGA est allé faire au marché ? Quand un simple irait prêcher l’évangile dans un marché ou dans un carrefour, qui va l’écouter ? On va seulement l’insulter… Nous sommes les soulèvements que monseigneur MBARGA veut provoquer. Que crois-tu qu’il allait chercher dans les marchés ? C’était donc sa mission : provoquer les troubles ». Sans tarder, le révérend a à nouveau invité les fidèles à dépouiller Jean MBARGA et à neutraliser ses plans :
« Mettez le feu sur Jean MBARGA ! Mettez le feu sur son bâton ! Mettez le feu sa soutane ! Mettez le feu sur tout son accoutrement ! Mettez le feu sur lui-même ! Il est calciné, au nom puissant de Jésus ! Jean MBARGA, ta mission échoue, au nom de Jésus ! Merci Seigneur ! Au nom puissant de Jésus ! Merci Seigneur ! (…). Vous avez vu ce que Jean MBARGA est allé faire dans les marchés. Je crois qu’il est également annoncé au marché Mendong. Mettez le feu à cette propagation du cancer ! Mettez le feu sur cette planification dont l’objet est de répandre le cancer au Cameroun ! Cette planification ne se réalise pas, au nom de Jésus ! Jean MBARGA est dépouillé, de la tête aux pieds, avec tous ses démons ! Il est dépouillé de la tête aux pieds ! Il est dépouillé de tous ces démons qui l’habitent, qu’il traine, et qu’il veut répandre partout au Cameroun, partout à Yaoundé ! Il est dépouillé, et tous ces démons rentrent dans les abîmes. Merci Seigneur parce que tu agis, à toi la gloire, l’honneur et la puissance, au nom puissant de Jésus, alléluia ! Merci Seigneur ».
Finalement, le révérend a décapité les esprits susmentionnés, puis il les a chassés en enfer, stoppant ainsi leur mission. Alléluia !