[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CHRÉTIENTÉ – REGRETTER OU PLEURER L’ABSENCE DES PROCHES MORTS RECONNECTE LE CHRÉTIEN AUX ESPRITS FAMILIERS ET AUX FANTÔMES[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

Pendant la prédication de ce dimanche, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA nous a appelés à imiter l’exemple de Christ, afin de développer la mentalité du pauvre en esprit. Surtout, le révérend a enseigné que le pauvre en esprit ne s’appuie pas sur les hommes et ne compte que sur Dieu seul. Voici un extrait de ses propos :

** « Pourquoi certaines personnes se sentent-elles abandonnées des hommes ? Pourquoi certaines personnes peuvent-elles s’enfermer dans leurs chambres pour pleurer, au motif qu’elles ont été choquées par des tiers ou par certains propos ou comportements ? Pourquoi certaines personnes peuvent-elles s’enfermer parce qu’elles ont été abusées et choquées par telle ou telle autre personne ? Pourquoi cela ; pourquoi un tel comportement ? J’ai beaucoup médité sur ces questions-là. Je me suis dit que cela peut être socialement possible. Et j’ai notamment pensé à un orphelin qui serait maltraité par ses parents adoptifs. Une telle personne pourrait effectivement s’enfermer de la sorte pour regretter le départ de ses parents, et pleurer le départ de ses parents de la terre. Une telle attitude préoccupe davantage lorsqu’il s’agit de quelqu’un qui se déclare chrétien.

** « D’autres sont frustrés de la sorte dans leurs lieux de service ou dans d’autres lieux, ou même au sein de l’église. Ils s’enferment sur eux-mêmes ou alors ils déversent leur colère ou leur frustration sur leurs membres de famille à l’exemple des enfants. Je continue à me poser ces questions d’autant qu’il est dit ici que Jésus-Christ a été abandonné des hommes. Il a été méprisé et abandonné des hommes ! En se fondant sur cela, même si l’on a connu des frustrations, des abus, des déceptions, des pertes ou autres dans le passé, et que l’on fait à nouveau face à des circonstances pouvant nous rappeler tout cela, le chrétien n’a pas besoin de sombrer dans de tels rappels. Il n’y a pas lieu que le chrétien accède à ce genre de sombres rappels du passé dans son existence. S’il le fait, cela signifierait que le Dieu du ciel n’est pas encore son Père et son Dieu ; ou alors, Dieu est bien son Père et il l’a oublié. Il peut s’agir de ce dernier cas de figure que j’évoque, étant donné que la chrétienté doit se réviser à la seconde, à la seconde près.

** « Si le chrétien peut regretter l’absence d’un humain qui aurait pu l’aider ou lui éviter certaines frustrations, ou certains chocs, cela signifierait que Dieu n’est pas unique dans sa vie ; et, par ricochet, il n’est pas encore pauvre. Car, un pauvre sait qu’il dépend de Dieu, et de Dieu tout seul, en tout, partout et pour tout. »

Confirmant le message prêché par son serviteur et désireux de parfaire la libération de son peuple, l’Éternel Dieu a saisi les esprits Familiers et les Fantômes. Ceux-ci, parlant dans le corps d’une dame, ont précisé que quiconque pleure ou regrette l’absence d’un proche ou d’une quelconque personne morte se reconnecte automatiquement aux esprits familiers et aux fantômes. Les esprits familiers et les fantômes ont souligné qu’ils incarnent les chrétiens qui vont faire les deuils et pleurer les morts. Ce n’est donc pas pour rien que Jésus a donné cette recommandation au jeune homme qui voulait d’abord aller enterrer son père : « Laisse les morts ensevelir leurs morts ; et toi, va annoncer le royaume de Dieu » (Luc 9 : 60).

Quand on fait face aux épreuves, aux peines, à la calomnie, aux attaques, à la maltraitance, aux insultes, aux injures, aux situations difficiles, il ne faut donc pas pleurer les morts ou regretter leur absence ou leur secours, leur aide, car Dieu doit être l’unique appui, l’unique abri, l’unique soutien, l’unique réconfort du chrétien. Et si Dieu occupe réellement cette place dans nos cœurs et dans nos vies, nous ne serions plus du tout frustrés, rancuniers. On ne se recroquevillerait plus sur soi-même. Le cas d’Ismaël, fils d’Abraham, a été rappelé. En effet, chassé avec sa mère Agar, Ismaël a grandi dans le désert et y a survécu, au point de devenir une grande nation. Et ce dernier n’a pas gardé rancune à Abraham.

Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a expliqué que si les uns et les autres sont frustrés et choqués face à des situations au point de regretter ou de désirer le secours des personnes mortes, c’est parce qu’ils veulent protéger leur « moi ». Après avoir appeler à la repentance quiconque nourrissait encore un tel comportement, et suite aux diverses interpellations, le révérend a décapité et chassé en enfer les esprits familiers et les fantômes.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – LA NATION EST ÉPARGNÉE DE LA FAMINE CAUSÉE PAR LES VOLS ET LES DÉTOURNEMENTS DE FONDS DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

L’esprit de Famine, saisi dans le corps d’une jeune dame, a fait savoir que le Cameroun est en passe d’être frappé par le fléau de la famine, à cause de la vie chère et parce que les caisses de l’État sont vides, au regard des vols et des détournements de fonds multipliés par les 72 membres du gouvernement. Il a par exemple été relevé que ces derniers ont pillé le trésor public, prétextant qu’il fallait investir et organiser la dernier Coupe d’Afrique des nations, que le Cameroun a abritée du 09 janvier au 06 février dernier.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé cet esprit de Famine en enfer, empêchant ainsi son enracinement et son expansion au Cameroun.

Alléluia ! Gloire à Dieu !

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : FRANCE/PRÉSIDENTIELLES 2022 – DÉCADENCE DE LA STRATÉGIE ET DE LA RUSE ÉLECTORALES D’EMMANUEL MACRON[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

Les prochaines élections présidentielles en France se tiendront du 10 au 24 avril prochain. Entre temps, Emmanuel MACRON, Président sortant, est en train de revoir et de peaufiner sa stratégie, à l’effet de se faire réélire, et d’accomplir sa mission maléfique en faveur du Satanisme universel communément appelé « Nouvel Ordre Mondial ».

Saisi par l’Éternel Dieu dans le corps d’une dame, le démon incarnant cette Stratégie a clairement expliqué en quoi elle consiste actuellement. Il est donc ressorti qu’Emmanuel MACRON veut rehausser sa cote de popularité en levant peu à peu les mesures barrières liées à la supercherie du Coronavirus, et en misant surtout sur la diplomatie. Autrement dit, il veut jouer le rôle de médiateur, de celui qui apporte la solution, l’accalmie et l’apaisement dans les pays et les nations en trouble. Dans la question russo-ukrainienne et la pseudo invasion y relative, Nicolas Sarkozy, après une entrevue du 25 février dernier, a par exemple affirmé qu’il soutient la voie diplomatique privilégiée par Emmanuel MACRON. Une bonne frange de la classe politique française a apporté un soutien similaire à Emmanuel MACRON, pour les mêmes raisons.

Suite à ces révélations, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a rappelé que la stratégie électorale d’Emmanuel MACRON ne lui réussira pas. Après quoi, le révérend a décapité et refoulé en enfer le démon représentant sa stratégie diplomatique en la matière.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – DESTRUCTION « DU MAL POUR LE MAL », PRINCIPE DE GOUVERNANCE DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

Saisi dans le corps d’un jeune homme, un esprit impur appelé « Le Mal » a affirmé qu’il est le symbole du principe de gouvernance hyper-machiavélique appliqué par les ministres et membres du gouvernement du Cameroun, lesquels multiplient les incuries, les vols et les injustices, en même temps qu’ils profèrent les menaces et les intimidations contre les citoyens, contribuant ainsi à créer un climat de nature à engendrer des soulèvements et des émeutes. « Ils font le mal pour le mal », a déclaré ce démon.

Voici quelques faits :

— Comme on a pu le voir à Loum (commune du Cameroun située dans la région du Littoral et le département du Moungo), des sous-préfets intimident des maires qui se plaignent à raison des coupures intempestives d’énergie. Or, ces coupures fâcheuses mettent réellement à mal le fonctionnement, la productivité et le rendement des petites et des moyennes entreprises telles que les boulangeries ;

— Les enseignants sont en grève et revendiquent légitimement leurs droits, en l’occurrence l’intégration à la fonction publique et la signature des décrets y relatifs, le payement des salaires, de leurs accessoires et des rappels, l’automatisation des avancements avec effets financiers immédiats, etc. Au lieu de résoudre ces problèmes endémiques en leur apportant une réponse systémique et globale, le gouvernement reste muet et des intimidations sont plutôt servies aux enseignants grévistes ;

— Le racket et l’extorsion des usagers, ainsi que l’existence des foyers de corruption dans les ministères ;

— La complicité du gouvernement, qui tente d’imposer le prétendu vaccin contre le Coronavirus, sachant bien qu’il s’agit d’un instrument de mort au service de la nouvelle dictature satanique occidentale. Dans un communiqué signé le 22 février dernier, Malachie MANAOUDA, Ministre de la Santé publique, a par exemple annoncé qu’une campagne de vaccination sera faite de porte à porte, dans les formations sanitaires, les lieux publics ou communautaires tels que les églises, les mosquées, les marchés, les chefferies, les administrations et les entreprises, du 16 au 20 mars 2022 ;

— L’endettement croissant et inutile du pays auprès des bailleurs de fonds internationaux. Chaque mois ou chaque semaine, on annonce des milliards débloqués par le FMI et consorts en faveur du Cameroun. S’il ne s’agit pas de dettes fictives, et si les décaissements sont réels, où sont donc les retombées ? Où sont les routes ? Où sont les infrastructures ?

L’esprit incarnant l’action machiavélique du gouvernement a ainsi pris le cas de Louis Paul MOTAZE, Ministre des Finances, qui, pour essayer de se tirer d’affaire et éviter la prison, argue que la dette contractée dans le cadre de la riposte contre le Coronavirus a permis de construire des hangars dans les stades. Ces hangars auraient-ils donc pris tous les milliards ?

Suite à toutes ces explications diverses, au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et refoulé en enfer l’esprit incarnant la méchanceté des membres du gouvernement du Cameroun, mettant ainsi un terme à son action et à son aide néfastes.

Merci Seigneur ![:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : DÉPOUILLEMENT SPIRITUEL DE LA REINE ÉLISABETH II D’ANGLETERRE, CO-AUTRICE DE LA SUPERCHERIE DU CORONAVIRUS[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

À l’instar de tous les dirigeants membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies, la reine Élisabeth II fait partie des initiateurs de la supercherie du Coronavirus. Via l’instauration d’un gouvernement mondial satanique, cette supercherie vise à dominer l’être humain et à l’assujettir à la puissance de la Bête dont parle Apocalypse 13.

Malgré que l’Angleterre ait déjà levé les restrictions liées à cette prétendue PAN-DÉMIE, on se rend tout de même compte que la reine tente de relancer la supercherie. C’est dans cette optique qu’on a prétendu qu’elle a récemment été testée positive au Coronavirus, et en présentait des symptômes légers. C’était le dimanche 20 février dernier.

Saisi ce jour comme démon dans le corps d’une jeune dame, et feignant toujours la convalescente, la reine Élisabeth II a affirmé que la nouvelle de sa pseudo maladie fait partie de l’une des stratégies utilisées par les tyrans membres du Conseil de Sécurité des nations, à l’effet de faire croire que la pandémie à Coronavirus est réelle. Passant en revue leur jeu de rôle, la reine n’a pas manqué de rappeler que Donald TRUMP pour le compte des États-Unis, et Emmanuel MACRON pour le compte de la France, avaient déjà simulé leur infection à Coronavirus, et qu’il ne reste plus que Xi JINPING et Vladimir POUTINE. Il faut d’ailleurs rappeler que le Premier ministre britannique Boris JOHNSON était l’une des premières personnalités occidentales à simuler cette farce manipulatrice.

Après avoir souligné que les tyrans ne parviendront pas à leur fin et ne réussiront pas leur mission, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé en enfer le démon suppôt de la reine Élisabeth II.

Merci Jésus ![:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,  ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU DES MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie) PRÉDICATION : LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PAUVRE, L’EXEMPLE DE JÉSUS (2e partie)[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

 ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES OU DES MALHEUREUX, AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

PRÉDICATION : LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PAUVRE, L’EXEMPLE DE JÉSUS (2e partie)

 RÉFÉRENCE BIBLIQUE : ÉSAÏE 53 : 1-5

Alléluia !

Restez debout pour prendre le texte de lecture du message de ce matin !

Voyez-vous comment je transpire ? C’est le combat, et c’est chaud. La sueur, c’est le sang que nous versons lorsque nous combattons. Nous ne combattons pas pour rien. Le Seigneur voit et récompense notre sang. Cette prière qui lui a été adressée a été écoutée et exaucée.

Ceci dit, prenez votre Bible ! Comme je vous l’ai annoncé jeudi dernier, aujourd’hui nous lisons la prophétie dont l’apôtre Pierre confirmait déjà la réalisation, dans 1 Pierre 2, du verset 20 au verset 25. Cette prophétie qu’Ésaïe avait faite des centaines d’années avant, se trouve dans Ésaïe au chapitre 53. Nous lisons les cinq premiers versets pour commencer :

« Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Éternel ? Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée ; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n’avait rien pour nous plaire.

Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. »

 

Nous sommes réunis pour continuer de parler de la part du Seigneur ; et nous parlons précisément des caractéristiques du pauvre en esprit. Nous sommes en train de passer tout un mois à traiter le sous-thème du séminaire passé. Aujourd’hui est le dernier jour du mois de février 2022 et c’est le dernier culte. Cette semaine qui commence est celle du séminaire du mois de mars.

Dieu veut que nous puissions comprendre et assimiler cette notion de pauvreté. Si en effet vous n’avez pas compris que vous avez besoin de Dieu en tout, pour tout et partout, vous ne saurez pas dépendre de lui. Or, le chrétien doit absolument dépendre de Dieu. Et cette notion de pauvreté ne dépend nullement de votre classe sociale, ou de vos possessions matérielles. Elle ne dépend pas non plus de votre carence matérielle et/ou financière. Il s’agit de la pauvreté spirituelle.

Il est bon de toujours vous rappeler des paroles de Jésus dans son premier discours. Il a dit : « Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux. ». C’est de ce genre de pauvre dont nous parlons ; et c’est ce genre de pauvre que vous devez être, et fonctionner dans cet esprit de pauvreté, du début à la fin de votre chrétienté. Comprenez-vous cela ? Nous sommes en train de voir les caractéristiques du pauvre. Et depuis jeudi passé, nous insistons sur l’exemple de Jésus lui-même ; ayant défini le pauvre comme celui qui se sacrifie pour que les autres pauvres soient sauvés. C’est ce que Jésus avait justement fait. Il s’était sacrifié pour que nous autres pauvres, puissions être sauvés. Jésus avait donné sa vie pour nous, vous et moi. Et l’apôtre Pierre nous invite à faire la même chose, c’est-à-dire nous sacrifier, pour les autres. Car, pour qu’un pauvre soit sauvé, il faut absolument qu’un autre pauvre ait été sacrifié pour celui-là.

Personne, je dois vous le dire, n’est sauvé au hasard, sans la contribution de quelqu’un d’autre. Il y a toujours quelqu’un qui se sacrifie ; il y a toujours quelqu’un que Dieu utilise. Il faut que vous le compreniez et que vous sachiez vous reconnaître comme pauvres et vous sacrifier conséquemment pour sauver les autres, comme la pauvre veuve dont nous avons lu l’histoire récemment. Celle-ci avait sacrifié tout ce qu’elle avait pour vivre, ses deux pièces, à l’effet de sauver les pauvres. Nous pouvons dire qu’elle avait sacrifié son sang et donc sa vie, étant donné qu’elle avait transpiré pour obtenir ses deux pièces. Ces deux pièces représentaient son sang qu’elle avait coulé, en les offrant à l’église, pour l’avancement du royaume de Dieu. Nous sommes appelés à nous sacrifier pour le salut des autres, comme nous le voyons en exemple par Jésus-Christ lui-même.

Oh mon Dieu, ouvre les yeux à tes enfants ! Ouvre les yeux à tes enfants et donne-leur de comprendre ! Les amis, le message qui vous a été enseigné par ailleurs avant, vous disant que vous donnez vos vies à Jésus pour qu’elles soient meilleures ou pour qu’elles soient libérées de la pauvreté matérielle, pour que vous puissiez trouver du travail, pour que vous puissiez être nommé, pour que vous puissiez vous acheter des voitures, pour que vos activités puissent prospérer, pour que vous puissiez vous marier ou construire des maisons, était un faux message. Vous avez été trompés parce que, le salut n’est pas forcément pour toutes ces choses matérielles qui ont été mises en avant. Ce n’est pas pour ces choses que Dieu vous sauve. Dieu nous sauve, pour nous utiliser à sauver les autres, les perdus.

Nous comprenons, je vous l’ai enseigné depuis le séminaire de ce mois de février 2022, que, le bonheur véritable, ou le bonheur tout court, ne se trouve pas dans l’argent, dans les femmes ou dans les biens matériels. Le bonheur ne se trouve pas dans ces choses-là ; il n’est pas là-dedans. Le bonheur se trouve dans le pardon des péchés ; lorsqu’on a ses pardonnés, lorsqu’on est réconcilié avec Dieu. Avant votre vie de foi, vous avez certainement fait l’expérience de croire que vous seriez heureux après avoir obtenu telle ou telle autre chose. Et après l’avoir obtenue, vous vous êtes encore sentis vides, vous n’en aviez pas été comblés. Je voudrais dire que, le vide qui est en l’homme, ne peut pas être comblé par des choses matérielles. Il n’y a que Dieu qui peut combler le vide que l’homme ressent ; il n’y a que sa présence en l’homme pour combler ce vide. Et l’homme ressent ce vide parce qu’il est séparé de Dieu. Il n’est pas en règle avec lui à cause de ses péchés.

C’est donc lorsqu’il nous pardonne nos péchés que notre communion se rétablie avec lui, que nous pouvons ressentir que nous vivons. Ce n’est donc pas parce que nous avons des voitures, des maisons ; ou alors parce qu’on s’est marié ou même qu’on a trouvé un travail bien rémunéré. Ce ne sont pas ces choses-là qui comblent l’homme ou qui procurent le bonheur. J’insiste donc à dire que, le bonheur véritable s’obtient lorsqu’on a ses péchés pardonnés. C’est la pure vérité que je vous dis. Je me suis toujours demandé comment il m’est arrivé de vite comprendre ces choses, alors que je n’étais pas enseigné et n’avais pas de guide. Je n’avais pas un guide comme vous en avez aujourd’hui lorsque j’avais cru. Mais malgré cela, j’avais vite compris ces choses. Dieu m’avait fait grâce. Lorsque j’avais cru au Seigneur, j’avais levé mes mains pour m’abandonner complètement à Dieu ; ayant compris que c’est lui seul qui me suffisait et que c’est lui seul dont j’avais besoin.

Je vous dis la pure vérité que, depuis que j’ai levé mes mains, je n’ai plus jamais eu la tentative de regarder derrière ou de regretter mon engagement au Seigneur. Je ne regrette pas le geste que j’ai posé en m’abandonnant au Seigneur. Souvenez-vous, pour vous qui me suivez depuis, mon témoignage sur l’après conversion. C’était comme si le monde m’était tombé ou écroulé dessus. Car, c’était à ce moment-là que j’avais commencé à connaître les échecs ; et ma famille charnelle et mon entourage avaient tôt fait de dire que c’est ma nouvelle religion qui m’avait dépouillé. J’étais devenu nul après ma conversion ! Je crois que Dieu avait écroulé mon monde sur moi, afin que mes mains demeurent levées vers lui pour dire, Seigneur tu as le contrôle total de ma vie. Je peux cependant vous dire que, je n’avais jamais été personnellement inquiété par rapport cette situation que je vous décris.

Je savais que Dieu a le contrôle de ma vie, mais je ne pouvais savoir comment les choses allaient se passer dans la suite de ma vie. Je n’avais pas gesticulé pour regarder à gauche et à droite malgré mes échecs dont je parle. J’avais confiance à Dieu, sachant que j’avais levé mes mains pour me consacrer à lui. J’ai finalement compris que Dieu était passé par ces échecs pour me cadrer et bien me vouer à son service. Au fur et à mesure que je cheminais avec lui, il me faisait comprendre qu’il me donnera les moyens financiers pour l’accomplissement de son œuvre. Je ne pouvais savoir comment cela se passerait ; et je n’avais jamais prié pour devenir un homme riche ou influent. Je n’avais jamais rien ambitionné. Cela n’était donc jamais passé dans ma tête. Jamais !

Après ma conversion, je m’étais juste engagé à faire savoir aux autres qui est Jésus, et comment il a fait pour me transformer, moi qui étais un délinquant. Voilà quel était ma préoccupation ! Elle se limitait au partage de ma conversion aux autres. Il est donc à imaginer que je devais faire face aux moqueries selon la compréhension et le regard du monde, et selon vous, puisque je faisais l’objet des échecs. Mon témoignage donnait lieu à moqueries puisque selon vous, c’est lorsque vous prospérerez que votre témoignage passerait auprès des païens. Certains parmi vous, vous dites que depuis que vous avez cru vous êtes sur place, vos affaires ne prospèrent pas, vos choses n’évoluent pas. Et vous commencez à vous plaindre, à vous lamenter, et à accuser Dieu ; sans plus d’engagement pour témoigner de la bonté de Dieu et de son salut.

Vous prétendez que les gens vous demanderont ce que Dieu a fait pour vous, depuis que vous avez cru, étant donné que vous n’avez pas de travail, ou que vous ne réussissez pas à vos examens ou alors que vous avez été chassé de votre travail, ou même que vous être rongé par la maladie ou un handicap, etc. Vous prétendez que les gens vous diront que, si Dieu vous aimait et qu’il était si bon, il n’allait pas vous garder ou vous maintenir dans la situation apparente qui vous tenaille. Cela ne doit pas vous gêner, même si vous avez des manquements d’ordre physique, sanitaire, matériel, social ou autres. Cela ne doit pas vous gêner. C’est bien pour cette raison qu’il est important que vous mainteniez l’esprit du pauvre. Je vous assure que cette mentalité de pauvre s’était gravée en moi je ne sais comment. Je ne peux pas vous expliquer comment cela s’était fait. Je n’avais pas été enseigné sur cela, et je n’avais pas un mentor. Mais, Dieu avait permis que je comprenne vite ce phénomène.

Même lorsque je fréquentais les milieux où il est enseigné l’évangile de prospérité, mon esprit ne l’acceptait pas. Mon esprit n’acceptait l’évangile de prospérité ; il ne passait pas dans mon esprit, parce que ce n’était pas cela qui y était gravé. Il faut que je vous dise une chose, lorsque je m’étais converti, j’avais lu le nouveau testament en une semaine ; et j’avais même été lent à lire. C’est ainsi que j’avais commencé à étudier la parole de Dieu, au point de pouvoir vous dire que, la majorité des écritures qui sont dans mon esprit, vient de ce que j’avais reçu, la première semaine de ma conversion. Ce sont les écritures que j’avais reçues la première semaine de ma conversion qui sont dans mon esprit. Je n’avais pas encore la Bible lorsque je m’étais converti. Je n’avais que le nouveau testament. Lorsque j’avais pu m’acheter ma première Bible un an plus tard, celle-ci existe encore à ce jour, c’est alors que j’avais pu lire l’ancien testament. Aussi bizarrement que ma conversion elle-même avait eu lieu dans la religion catholique, j’avais aussi acheté ma première Bible chez les religieuses catholiques à la somme de mille francs CFA en 1982.

Je vous dis que cette Bible est encore avec moi jusqu’à présent, et elle me sert même de référence de temps à autre. Lorsque je cherche un passage qui m’échappe, je me réfère généralement à cette vieille Bible où j’avais fait suffisamment des annotations qui m‘aident à me retrouver facilement. C’est la pure vérité que je vous dis. Plusieurs parmi vous êtes spirituellement secs ou sans communion avec Dieu, parce que vous ne connaissez pas sa parole. Vous ne connaissez pas sa parole. C’est cela qui vous assèche ; et c’est cela qui fait que, lorsque j’enseigne, vous ayez l’impression que c’est moi le pasteur Caleb qui invente. C’est parce que vous n’avez jamais lu ces passages bibliques-là. Il est ainsi difficile que les enseignements puissent descendre et s’asseoir en vous. Vous devez garder la mentalité de pauvre et fonctionner avec celle-ci. C’est elle qui permet d’être de bons chrétiens qui puissent accomplir le but pour lequel Dieu vous a sauvés.

Comprenez que Dieu ne vous a pas sauvé pour améliorer votre condition de vie sur cette terre. Ce n’est pas sur la terre que l’on vit la vie éternelle ; elle se vit après cette vie terrestre. Et pour avoir cette vie éternelle, il faut accomplir la mission pour laquelle Dieu vous a envoyés ; celle qui consiste à sauver les autres perdus. Comprenez-vous cela ? Chacun de nous doit en conséquence contribuer d’une manière ou une autre, pour que les âmes soient sauvées. Chacun est appelé à apporter sa contribution d’une manière ou d’une autre à son niveau. Vous devez intégrer en vous que chacun doit se sacrifier pour le salut des autres pauvres. Si vous êtes pauvres, vous devez donner tout ce qui est en votre pouvoir pour que les autres pauvres soient sauvés. Nous avons vu pendant le séminaire ce que signifie donner aux pauvres. Nous ne sommes donc qu’en train de nous redire afin que cela s’imprègne en vous et que vous y travailliez.

Pour ceux d’entre vous qui n’avez pas encore obtenu la délivrance des faux enseignements reçus dehors qui continuent de défiler dans votre esprit, les messages de la grandeur, de la notoriété, de l’influence, de la célébrité, vous devez les oublier. Car ce n’est pas à cela que Dieu nous a appelés, contrairement aux pompeux titres religieux que vous entendez : doctor, bishop, reverend, etc. Ils se retrouvent même parfois à se donner des noms et des titres dont ils ne connaissent pas la signification profonde, juste pour que ceux-ci leur confèrent de la considération, de l’importance. Cela relève de la vanité, vanité des vanités ! On n’a pas été sauvé à cause de ces titres ou ces noms, et on ne peut pas faire le travail de Dieu à cause de ces appellations et ces titres.  Ce n’est point cela qui sauve. C’est une fausse mentalité qui vous a été enseignée. Or, la mentalité qui vous est recommandée est celle de l’effacement, de l’humilité ; celle qui est contraire à la gloire. En tant que chrétiens, nous ne sommes pas appelés à chercher la gloire ; nous ne devons pas chercher la gloire.

Voyons l’exemple de Jésus lui-même ! Je me demande si c’est à cause de cette question que l’Esprit de Dieu pose par Ésaïe, qu’il est difficile de prendre au sérieux le vrai message qui vient de Dieu, le message de Jésus. Cette question qu’Ésaïe pose est la suivante : « Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Éternel ? » Les gens ne croient pas ; ils ne reconnaissent pas le bras de Dieu. Oh Seigneur ta grâce ! En tout cas, il n’est pas réservé à tous de croire et reconnaître le bras de l’Éternel. Cela est réservé à ceux qui sont appelés à croire, aux élus. Hier après-midi, je conversais avec Dieu et lui posais la question de savoir, ce qu’il faut faire pour que les gens puissent croire et se donner à toi, après avoir entendu le massage que j’enseigne. C’est effectivement ce que l’Esprit de Dieu a posé comme question par Ésaïe : Comment faire pour que les gens se convertissent à Christ ? Comment faire pour les convaincre que ce message vient de Dieu ? Comment faire ? C’est la question que je posais à Dieu hier.

Souvenez-vous que je vous ai souvent dit que, lorsque je cause avec Dieu, c’est exactement comme quand je m’entretiens avec quelqu’un placé juste devant moi. Plusieurs personnes ne comprennent pas ce qu’on appelle : la prière. Si vous n’arrivez pas à avoir ce genre de comportement ou d’attitude vis-à-vis de Dieu, vous demeurerez un religieux. L’enfant de Dieu doit en effet converser avec son Dieu qui est son Père, chaque fois. Il doit même pouvoir le faire même s’il est entouré ou en compagnie des gens, sans que ceux-ci sachent qu’il converse avec son Père qui est dans l’invisible. Lorsque Jésus conseille d’entrer dans sa chambre pour prier, et ne pas le faire comme le font les hypocrites au vu et au su de tous dans des carrefours et autres lieux publics, il s’agit d’entrer dans son cœur et non dans une chambre physique (Matthieu 6 : 6).

C’est dans le cœur que sont dites les vraies prières. Ceux que vous voyez le faire en public, le font généralement pour les oreilles des gens, alors que rien ne monte à Dieu. Ceux-là ne prient pas pour Dieu, mais pour les yeux et les oreilles des gens. Pour bien prier Dieu, on doit entrer dans sa chambre qui est son cœur. Et Dieu qui est dans le secret, comprend votre prière et vous rend ce que vous lui demandez. Un enfant de Dieu doit donc être en communication avec Dieu tout le temps et partout. Il n’y a aucun endroit qui puisse l’empêcher d’être en contact avec Dieu. C’était une parenthèse que je referme.

Mon échange d’hier avec Dieu correspond à cette double question d’Ésaïe posée au verset 1 du texte que nous avons lu. Il a posé cette double question avant de décrire l’état de Jésus sur la croix au verset 2 où il est écrit : « Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée ; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n’avait rien pour nous plaire. » Jésus était en effet méconnaissable après qu’il eut été violenté, flagellé, tabassé, chargé d’une couronne d’épines sur la tête, etc. Il était devenu méconnaissable d’autant que le sang et la sueur et l’eau coulaient de lui. Il était méconnaissable par ailleurs parce qu’il avait été dénudé, dépouillé de ses vêtements. Il avait été mis à découvert par les ennemis, pour l’exposer entièrement. Oh Dieu ; oh Dieu ! S’il te plaît, donne à tes enfants de comprendre qu’ils ne sont rien !

Toi Dieu, qui t’es fait chair et t’ayant fait un corps, tu es descendu sur cette terre, Tu as pu laisser que les humains que tu as faits à ton image puissent te déshabiller devant le monde, sans rien revendiquer ! Tu n’as rien revendiquer ! Oh Dieu, donne à tes enfants de comprendre que c’est comme cela qu’ils doivent se comporter ; c’est comme cela qu’ils doivent être ! Seigneur, s’il te plaît, interviens ! Je vous dis la pure vérité que vous devez vous considérer comme le dernier devant les hommes, devant le plus petit des hommes ; même devant les gens que vous pouvez dire ou penser que vous dépassez. Vous devez vous considérer comme rien devant Dieu et devant eux. Vous devez vous voir, je vous le dis, comme rien du tout, y compris devant celui que vous pouvez considérer comme rien. C’est cela qui vous maintiendra dans la vraie chrétienté. Sinon, aussitôt que vous tenterez de vous élever et donc de vous enorgueillir, vous serez en même temps en train de prendre le caractère de Satan. Vous vous serez déshabillés de l’Esprit de Dieu pour revêtir celui de Satan.

Souvenez-vous que la Bible dit que, « l’orgueil précède la chute, et l’humilité précède la gloire » (Proverbe 29 : 23). Je parle, non pas d’une humilité d’apparence, mais de celle venant du cœur qui s’acquiert après qu’on ce soit revêtu de la nature et de la mentalité de pauvre. Comprenez que vous n’êtes rien, vous n’avez rien et ne pouvez rien sans Dieu ! Vous avez donc besoin de lui en tout temps, en tout, partout et pour tout. Vous avez besoin de lui pour vous assoir, pour vous lever ou pour marcher. Ce n’est pas à cause de vos forces. Ce n’est pas parce que vous faites le sport que vous avez la forme, c’est Dieu ; c’est grâce à lui que vous vivez. Vous devez résolument comprendre que c’est grâce à Dieu, grâce à Dieu, grâce à lui, que nous sommes ce que nous sommes, et que nous pourrons devenir ce que nous serons. C’est grâce à lui seul.

Le texte dit que Jésus n’avait rien à nous plaire, ce qui signifie qu’il était méprisable. Il était méprisable ! Pourquoi voulez-vous plaire aux gens à tout prix ; pourquoi voulez-vous faire plaisir aux gens à tout prix ? Pourquoi voulez-vous les compliments tout le temps à tout prix ; pourquoi les voulez-vous ? Pourquoi voulez-vous vous sentir et sentir que vous êtes quelqu’un ? Or c’est un sentiment qui ne doit pas vous habiter en tant que chrétiens. Il ne doit pas vous habiter. Il est un sentiment qui n’avait pas habité Jésus qui n’était pas seulement qu’un homme, mais il était aussi 100% Dieu, malgré qu’il eût revêtu le corps humain. Il n’avait cependant pas revendiqué l’honneur, la gloire, le respect. Il ne les avait pas revendiqués.

Le verset 3 de notre texte nous dit qu’il était méprisé et abandonné des hommes. Lorsque je méditais sur ce texte et sur ces paroles, je suis allé à me poser des questions du genre : pourquoi certaines personnes se sentent-elles abandonnées des hommes ? Pourquoi certaines personnes peuvent-elles s’enfermer dans leurs chambres pour pleurer, au motif qu’elles ont été choquées par des tiers ou par certains propos ou comportements ? Pourquoi certaines personnes peuvent-elles s’enfermer parce qu’elles ont été abusées et choquées par telle ou telle autre personne ? Pourquoi cela ; pourquoi un tel comportement ? J’ai beaucoup médité sur ces questions-là. Je me suis dit que cela peut être socialement possible. Et j’ai notamment pensé à un orphelin qui serait maltraité par ses parents adoptifs. Une telle personne pourrait effectivement s’enfermer de la sorte pour regretter le départ de ses parents, et pleurer le départ de ses parents de la terre. Une telle attitude préoccupe davantage lorsqu’il s’agit de quelqu’un qui se déclare chrétien.

D’autres sont frustrés de la sorte dans leurs lieux de service ou dans d’autres lieux, ou même au sein de l’église. Ils s’enferment sur eux-mêmes ou alors ils déversent leur colère ou leur frustration sur leurs membres de famille à l’exemple des enfants. Je continue à me poser ces questions d’autant qu’il est dit ici que Jésus-Christ a été abandonné des hommes. Il a été méprisé et abandonné des hommes ! En se fondant sur cela, même si l’on a connu des frustrations, des abus, des déceptions, des pertes ou autres dans le passé, et que l’on fait à nouveau face à des circonstances pouvant nous rappeler tout cela, le chrétien n’a pas besoin de sombrer dans de tels rappels. Il n’y a pas lieu que le chrétien accède à ce genre de sombres rappels du passé dans son existence. S’il le fait, cela signifierait que le Dieu du ciel n’est pas encore son Père et son Dieu ; ou alors, Dieu est bien son Père et il l’a oublié. Il peut s’agir de ce dernier cas de figure que j’évoque, étant donné que la chrétienté doit se réviser à la seconde, à la seconde près.

Si le chrétien peut regretter l’absence d’un humain qui aurait pu l’aider ou lui éviter certaines frustrations, ou certains chocs, cela signifierait que Dieu n’est pas unique dans sa vie ; et, par ricochet, il n’est pas encore pauvre. Car, un pauvre sait qu’il dépend de Dieu, et de Dieu tout seul, en tout, partout et pour tout. Pendant que je posais cette question à Dieu sur le recroquevillement ou le renfermement des uns et des autres suites à des chocs, des frustrations, des déceptions ou des abus, et le refus de se rouvrir aux tiers à cause de ces antécédents, c’est alors que Dieu me dit que : ce n’est rien d’autre que le MOI. Ce genre de personne ne s’est pas encore débarrassée du MOI. J’ai compris que cela est vrai. Car, lorsque celui-là est choqué, c’est son MOI qui prend le coup. Celui-là se dit : on m’a mal-parlé ; on m’a déçu ; on m’a insulté ; on m’a frustré ; on m’a méprisé ; etc. Le MOI qui se sent donc offensé décide de se réserver vis-à-vis des autres et même de s’en méfier. Voyez-vous cela ?

C’est le MOI qui se met en pleurs pour regretter l’absence de ceux qui auraient pu lui éviter le coup qu’il vient de subir et dont il souffre. C’est le travail du MOI, et rien de plus. C’est le MOI qu’on défend. Or, Jésus-Christ a dit que, que celui qui veut venir après lui, renonce à lui-même. Le renoncement à soi revient toujours ; il est important ; il est très important. Oh mon Dieu aide ton peuple à comprendre !

Les amis, lorsque je vous parle comme je le fais actuellement, ce n’est pas pour que vous vous ressaisissiez juste pour cet instant présent. Ce doit être un style de comportement et donc un style de vie que vous devez adopter. Ce n’est pas pour rien que Dieu a voulu que nous parlions sur ce même sujet tout un mois durant. Je ne suis pas sûr que nous ayons déjà fini avec lui. Car le Seigneur veut s’assurer que nous avons définitivement compris que nous sommes pauvres et nous maintenir dans cet état de pauvreté afin de pouvoir sauver d’autres pauvres.

Au verset 3, Jésus est présenté comme un homme de douleur et de souffrance, selon qu’il y est écrit : « Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. » Jésus était habitué à la souffrance et il était un homme de douleur ! Or vous autres, vos pleurs tournent autour de : jusqu’à quand cette souffrance ? Quand-est-ce que cette souffrance prendra-t-elle fin ? Jusqu’à quand cette maltraitance ; jusqu’à quand cette malchance ? Chers amis chrétiens, commencez à vous habituer à la souffrance et à la maltraitance en suivant le modèle de Jésus ! Habituez-vous à la maltraitance et la souffrance comme l’avait été Jésus lui-même ; sans rechercher que l’attention des autres soit attirée vers vous ! Acceptez que les gens retournent le visage de vous ; acceptez que les gens détournent leur visage de vous lorsqu’ils vous rencontrent parce que vous êtes méconnaissables et méprisables.

Il y en a parmi vous qui, ayant subi leur épreuve du désert, ont honte de rencontrer leurs anciennes connaissances, de peur que celles-ci ne voient qu’ils ont dépéri, qu’ils sont mal vêtus ou amaigris. Ils les esquivent de peur d’avoir à répondre aux questions portant sur leur état extérieur ou leur apparence extérieure. Voyez-vous ce genre de chrétiens qui renient leur foi ? Vous reniez ainsi votre Jésus. Vous devez être prêts à accueillir les « détournements de visage » ; vous devez être prêts à accepter les moqueries ou à faire face à l’étonnement des observateurs, de votre état de délabrement, d’amaigrissement ou de défiguration due à l’épreuve du désert. Vous devez être prêts à accueillir tout cela. En voulant attirer l’attention sur vous, vous serez en train de renoncer à la pauvreté. Je dois tout de même préciser que je ne parle pas ici de l’état de saleté. Non, il ne s’agit pas d’être sale. Il peut s’agir d’être mal habillé ou même d’être en haillons, mais tout en étant dans un état de propreté remarquable.

Je ne parle donc pas de saleté, sachant que la saleté est un démon. Il y a un démon de saleté, comme il y a un démon d’excès de propreté ou de luxure. Aucun de ces deux démons n’est bon, ni celui de saleté, ni celui de luxure. La Bible dit à ce sujet qu’il faut être chaste, réservé, modeste et non extravagant. Les hommes avaient dédaigné Jésus et n’avaient fait aucun cas de lui. Entendez-vous cela ? Pourquoi donc vouloir que l’on fasse cas de vous ? Non, acceptez que l’on ne fasse pas cas de vous, que l’on vous néglige ou que l’on vous méprise. Acceptez cela, acceptez que l’on ne supporte même pas de vous regarder parce que vous serez devenus méconnaissables ou désagréables à regarder ! En réalité, selon ce qui est écrit relativement à Jésus, au verset 4, votre état ou mauvais état physique, représentera la charge ou le poids physique du salut des autres pauvres que vous portez. Vous serez en train de payer le prix pour que les autres pauvres soient sauvés. Cela ne doit donc rien vous dire.

Lorsque certains parmi vous serez défigurés par une mauvaise mine à cause des journées successives de jeûnes, ne vous donnez pas des explications ou alors ne vous préoccupez pas des questions qui vous seraient probablement posées à cause de la bizarre mine que vous présenterez. Elle est conséquente à votre engagement pour le salut des autres pauvres. Et même lorsque de telles questions vous seraient effectivement posées, vous n’avez pas besoin de dire que c’est parce que vous jeûnez. Ne donnez pas des explications aux gens, comme un esprit vous le disait ici l’autre jour. Vous n’avez pas besoin de justifier ou d’expliquer votre devoir d’obéissance aux instructions de votre Père aux tiers. Vous devez faire votre travail dans le calme et la douceur, sans vous vanter, ni pleurer ou murmurer, sans rien réclamer. Vous devez obéir aux instructions de Dieu et faire son travail qu’il vous demande, de tout votre cœur, dans l’effacement et dans le secret. Ce n’est que vous-mêmes et Dieu qui devez savoir que vous vous sacrifiez pour les autres.

Par rapport à ce qui est écrit au verset 5 à savoir : « Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. », pour que ceux qui sont malades puissent guérir, vous autres devez être blessés, comme le fut Jésus pour que nous soyons guéris. Oui, c’est en effet par ses meurtrissures que nous avons obtenu le salut ; et se sont nos péchés et nos iniquités qu’il avait portés pour que nous obtenions la paix dont nous jouissons. Vous n’avez donc pas raison de dire qu’on vous a blessés et vous ne faites plus confiance à personne à l’église, ou que vous vous renfermez. Non, on doit vous blesser pour que les autres guérissent. Ne dites donc pas : « Je suis déçu par le comportement des frères et sœurs de l’église, et ne fais plus confiance à personne. » Comprenez que c’est par les blessures de Jésus, que nous avons guéri ; et c’est aussi par nos blessures que les païens trouveront leur guérison.

Chaque fois donc que vous êtes choqués ou que votre MOI est entamé, c’est pour que vous soyez effacés et que, par le témoignage de votre comportement et la parole qui sortira de votre bouche après, le païen qui l’entendra en soit convaincu. Ou alors, la contribution financière ou de service que vous offrirez, parce qu’elle sortira d’un cœur brisé et meurtri, portera du fruit pour l’avancement du royaume de Dieu. Mais au contraire, si à chaque fois que l’on vous choquera, vous vous renfermerez ou répliquerez, votre témoignage ne pourra convaincre le païen et votre potentielle contribution matérielle ou financière ou en termes de service ou autre, ne portera pas de fruits pour l’avancement de l’œuvre de Dieu. Vos contributions ne serviront à rien. Elles ne serviront à rien. Car nous avons compris que c’est notre livraison, notre offrande de bonne odeur que Dieu agrée et c’est ça qui porte des fruits.

Il ne s’agit pas en effet de sacrifice pour le sacrifice ; mais du sacrifice avec le cœur. Donnez-vous donc entièrement à Dieu comme pauvres, afin que les autres pauvres soient sauvés ! Sacrifiez-vous !

Levez-vous maintenant pour la prière !

Amen !

 

 

 

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – ANÉANTISSEMENT DE LA CRISE ÉCONOMIQUE INDUITE PAR L’ÉGOÏSME, LES POLITIQUES COMMERCIALES ET LES MALVERSATIONS DES 72 MEMBRES DU GOUVERNEMENT[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (DIMANCHE 27 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (7e partie)

Saisi par l’Éternel Dieu dans le corps d’une jeune dame, un esprit impur portant le nom « Crise économique » a dévoilé que le Cameroun est en passe de subir des difficultés économiques notoires, à cause des vols perpétrés, et des politiques nocives d’importation menées par les membres du gouvernement. Cet esprit a ajouté que par de tels agissements, les 72 membres du gouvernement veulent pousser les camerounais et Son Excellence Paul BIYA à bout. À la limite, ils veulent provoquer un soulèvement populaire, afin d’ébranler et de déstabiliser le pays.

L’actualité renseigne par exemple que le pays va importer 143 000 tonnes d’huile de palme brute en 2022. Or, la production locale tirée de diverses plantations, y compris celles de la SOCAPALM (Société Camerounaise de Palmeraies, société agro-industrielle, la plus importante entreprise de production d’huile de palme au Cameroun), est prioritairement exportée vers le marché européen, notamment en France, en sorte que l’huile qui est réimportée au Cameroun coûte plus cher.

Au regard des terres fertiles dont regorge le Cameroun, on se pose aussi la question de savoir pourquoi le gouvernement n’implémente-t-il pas une politique agricole suffisamment efficace et pertinente, en créant des plantations dont la production est capable de satisfaire la demande locale, tant pour les foyers que pour les petites et les moyennes entreprises, quand on sait que l’huile de palme est également utilisée dans l’industrie chimique, en l’occurrence dans la fabrication du savon.

Au reste, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a rappelé à l’esprit vecteur de crise économique qu’il n’est pas du tout le bienvenu au Cameroun. Après quoi, il a décapité et refoulé cet esprit en enfer, empêchant ainsi son installation dans le pays.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 24 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,  ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (6e partie)  PRÉDICATION : LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PAUVRE, L’EXEMPLE DE JÉSUS[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 24 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE,

 ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (6e partie)

 PRÉDICATION : LES CARACTÉRISTIQUES D’UN PAUVRE, L’EXEMPLE DE JÉSUS

 RÉFÉRENCE BIBLIQUE : 1 PIERRE 2 : 20-25 ; 1 Corinthiens 9 : 16-18 ; 2 Corinthiens 6 : 3-10

Prenez votre Bible et allons-y lire dans la première épître de Pierre !

Nous n’avons pas encore fini de voir les caractéristiques du pauvre. Il faudrait vraiment que, en tant que chrétiens, vous soyez imprégnés de la mentalité de pauvre. Cette mentalité doit être marquée dans votre esprit pour pouvoir la vivre quotidiennement jour et nuit. Je ne cesse d’insister sur l’exemple de David qui lui-même avait une référence. Mais, il est bon de parler de lui parce qu’il était un homme naturel comme nous autres ; cependant c’est Jésus qu’il représentait, et c’est son caractère qu’il manifestait à l’avance.

Lisons d’abord dans 1 Pierre au chapitre 2, du verset 20 au verset 25 !

« En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu. Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, Lui qui n’a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement ; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes. »

 

Nous continuons de voir les caractéristiques d’un pauvre. L’exemple de Jésus dont on vient de lire un extrait de texte, nous montre comment il s’était vidé, comment il s’était dépouillé. Jésus avait renoncé à lui-même. Et c’est comme cela que le pauvre doit renoncer à lui-même. Nous avons déjà vu cela, et nous avons aussi vu qu’il doit avoir l’esprit de non justification, celui de promptitude à la repentance, celui d’humiliation et non d’orgueil, celui d’effacement, et l’esprit d’altruisme qui lui confère la promptitude à aider les autres. Voilà les caractéristiques essentielles du pauvre en esprit !

Si le pauvre manifeste réellement son caractère selon ce que nous avons déjà défini, il va nécessairement aider les autres pauvres à être sauvés. C’est la mission que Dieu nous a confiée. Ne l’oubliez jamais ; si vous êtes chrétiens, n’oubliez jamais que la mission que Dieu nous a assignée est de permettre que les païens deviennent chrétiens. C’est cela s’occuper des pauvres. Il ne s’agit donc pas nécessairement de les assister matériellement en leur offrant à manger, des vêtements ou un abri, bien que cela ne soit pas à écarter. Souvenons-nous ce que le psalmiste David a dit aux versets 1 à 3 du psaume 41 : « Heureux celui qui s’intéresse au pauvre ! Au jour du malheur l’Éternel le délivre ; L’Éternel le garde et lui conserve la vie. Il est heureux sur la terre, Et tu ne le livres pas au bon plaisir de ses ennemis. L’Éternel le soutient sur son lit de douleur ; Tu le soulages dans toutes ses maladies. »

Ce texte dit que, c’est lorsque vous vous occupez des pauvres que vous êtes heureux sur la terre, et que vous êtes par ailleurs à l’abri de vos esprits familiers. Voilà ce que Dieu dit ! Et c’est cela qui est vrai pour vous en tant que chrétiens, lorsque vous avez décidé de vous occuper des pauvres. Vous n’avez rien à craindre par rapport aux attaques de vos esprits familiers ; ils ne peuvent rien vous faire. Et même au plan de votre santé, vous n’avez rien à craindre relativement aux maladies, car le Seigneur s’occupe de vous lorsque vous vous occupez de ses choses. Je vous dis que, lorsque vous vous occupez du salut des pauvres en esprit, le Seigneur lui-même prend charge de vous. Il s’occupe de vous. Comprenez-vous cela ?

Le pauvre en esprit que Dieu agrée est altruiste ; il est porté à secourir les autres. Il n’est pas égoïste, il n’est pas concentré sur lui-même ou sur son bien-être personnel terrestre. Il est porté vers les autres ; il est porté à aider les autres sans faire cas de sa vie, et est concentré sur cela. Ceci rejoint bien ce que l’apôtre Pierre dit au verset 20 du texte que nous venons de lire. Voici ce qu’il dit : « En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu. » Ce texte fait comprendre au chrétien qu’il doit mentalement être préparé à souffrir en faisant le bien. Le chrétien doit être psychologiquement, spirituellement et même physiquement préparé à cela, à souffrir parce qu’il fait ou a fait le bien.

Le chrétien doit avoir à l’esprit que, la vie de foi dans laquelle Dieu l’appelle, la vie de justice, de vérité, de pureté et de sanctification, est une vie qui le prédispose aux troubles. Il doit psychologiquement être formaté de cette façon que, pour avoir fait du bien, qu’il soit maltraité sans gêne. Le chrétien doit en être préparé. Il doit comprendre, admettre et retenir que, en tant que représentant de Dieu sur la terre ayant pour mission d’aider les pauvres à retourner vers leur Dieu, il a une tâche bien difficile, une tâche qui l’expose d’emblée à la souffrance. Il doit donc savoir que durant son parcours, il rencontrera de l’hostilité et de l’opposition. Il doit en conséquence être psychologiquement, mentalement, spirituellement préparé à les affronter. C’est une telle attitude qui lui évitera la frustration et le découragement lorsqu’il fera face à l’hostilité ou aux critiques.

Par rapport à ce que dit l’apôtre Pierre, si par exemple la justice populaire se déverse sur vous parce que vous avez volé, voyez-vous, il n’y a aucune gloire en cela. Vous récolterez ce que vous méritez pour avoir volé. Mais si au contraire, la justice populaire peut se ruer sur vous, parce que vous avez chassé un démon d’un corps, un démon ayant pris le nom d’une personne, il y a toute la gloire en cela. Vous aurez fait le bien, mais vous en récolterez une agression en retour. C’est ce que les gens d’Équinox Tv ont souhaité contre moi à cause des délivrances prophétiques qui ont lieu au Tabernacle de la Liberté. Vous ne devez pas vous faire de soucis par rapport à cela. C’est bien pour cette raison que je ne me fais pas de soucis. C’est de la même façon que je suis traîné dans les tribunaux tous les jours à cause de ce que Dieu fait ici. Je ne fais pas cas de cela, parce que je n’ai pas cherché cela. Que l’on dise diffamation ou quelque autre motif, je ne fais pas cas de cela.

Car, vous m’êtes témoins comme Dieu m’est témoin que, je n’ai jamais indexé quelqu’un en prêchant l’évangile. Je ne me suis jamais placé au pupitre ayant pour sujet de parler de tels ou de tels, pour dire qu’ils sont de faux prophètes. Toutes ces choses nous surprennent tous ici pendant les délivrances prophétiques ; ces révélations sortent pendant les délivrances prophétiques. Même comme j’avais personnellement des indices pour plusieurs, je ne m’étais jamais prononcé contre eux. Je ne m’étais pas prononcé avant que leurs esprits ne viennent parler dans les corps ici. Alors, dire que j’ai diffamé ne me concerne pas. Je ne reconnais pas avoir diffamé quelqu’un. Je n’ai diffamé personne. Lorsque ces esprits viennent faire les révélations ici, qui suis-je pour les en empêcher ? Je ne peux non plus dire que les mis en cause sont de vrais serviteurs de Dieu, lorsque l’Esprit de Dieu a déjà révélé que ce sont de faux serviteurs. Non, Ce serait trop me demander.

Vous qui êtes donc enfants de Dieu, vous devez être prêts à accepter les persécutions dont vous ferez l’objet parce que vous êtes dans la vérité, vous défendez la vérité ou que vous prêchez le vrai évangile. Les persécutions dont vous devez souffrir ne doivent pas être conséquentes aux sales affaires que vous auriez faites. Non, vous ne devez pas être impliqués dans de sales affaires. Vous n’aurez aucune gloire pour cela. Ce dont je fais l’objet ici en termes de persécutions, vient des ministres dont les noms sortent dans les délivrances. Eux-mêmes ne me portent pas directement plainte, mais ils passent par des gens qu’ils envoient en mission ici ou par d’autres qui ont seulement effleuré l’église, pour me porter plainte. Je ne médis de personne et ne provoque personne. Comprenez donc que c’est une grâce devant Dieu, de faire ce qui est bien et de subir de mauvais traitements. Vous devez rendre grâce à Dieu, lui dire merci pour cela.

Le pauvre en esprit doit être armé de cette pensée qu’il subira des outrages et des maltraitances parce qu’il fait ce qui est bien ou juste. Il ne doit donc pas en conséquence se décourager ou cesser de faire le bien. Il doit continuer à faire ce qui est bien. C’est d’ailleurs ce que nous confirme le verset 21 où il est écrit que : « Et c’est à cela que vous avez été appelés, … parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, ». Ce verset 21 nous apprend que nous sommes appelés à supporter la souffrance lorsque nous faisons ce qui est bien. En effet, tel que le dit ce même verset dans son deuxième volet, nous sommes appelés à souffrir pour sauver les autres, parce que Christ aussi a souffert pour nous sauver. C’est ce qui est écrit dans le même verset 21 ci-dessus.

Et c’est bien ce qui est écrit dans ce le texte que nous avons lu, parlant de Jésus. Il a été tué à cause de nos péchés ; il n’avait commis aucun mal. C’est ce qui ressort des versets 22 à 24 comme il suit : « Lui qui n’a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement ; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. »

 

Oh Dieu, donne à tes enfants de comprendre qu’ils te représentent en tout et partout sur cette terre ! Seigneur, donne à ceux qui sont ici présents et à ceux qui me suivent de s’identifier vraiment à toi ! Permets-leur de comprendre qu’ils ne doivent pas avoir un comportement arrogant, mais qu’ils doivent toujours s’abaisser et accepter l’humiliation et la souffrance, pour sauver les autres. Père Saint, c’est ma prière à toi, au nom de Jésus.

Comme Jésus a porté nos péchés, le pauvre en esprit doit porter la charge des autres et en être content. Voilà ce qui caractérise un vrai pauvre en esprit. Il est content de porter la charge des autres sans gémir. C’est ce que l’apôtre Paul exprimait lorsqu’il parlait aux corinthiens au chapitre 9 de la première épître, aux versets 16 à 18, à savoir : « Si j’annonce l’Évangile, ce n’est pas pour moi un sujet de gloire, car la nécessité m’en est imposée, et malheur à moi si je n’annonce pas l’Évangile ! Si je le fais de bon cœur, j’en ai la récompense ; mais si je le fais malgré moi, c’est une charge qui m’est confiée. Quelle est donc ma récompense ? C’est d’offrir gratuitement l’Évangile que j’annonce, sans user de mon droit de prédicateur de l’Évangile. » Oh mon, Dieu ta grâce ; oh mon Dieu, ta grâce ! Seigneur donne à tes enfants de comprendre !

Si vous êtes réellement des pauvres qui comprenez que vous devez payer le prix pour que les autres pauvres soient sauvés, vous accepteriez toutes les souffrances que vous pourriez endurer pour qu’une âme soit sauvée. Un pauvre est un sacrifié et un sacrificateur. Il faut le savoir. Il est un sacrifié, c’est-à-dire qu’il se sacrifie lui-même et il sacrifie aussi tout ce qu’il peut avoir, tout ce qui peut être en sa possession, pour le seul objectif que les autres pauvres soient sauvés. Écoutez ce que Paul a dit, à savoir que, si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. Le pauvre en esprit doit comprendre cela et l’intégrer dans sa vie. Il doit comprendre et intégrer que sa vie ne lui appartient pas. Il ne doit donc en faire aucun cas. Tout ce qu’il doit faire, doit concourir à faire sauver les âmes.

Oh Seigneur, je bénis ton saint nom ! Je bénis ton saint nom parce que tu donnes à plusieurs de connaître ce qu’ils sont et comprendre ce qui doit les caractériser. Le renoncement à soi, l’abandon à Dieu et la consécration et la dévotion au Seigneur. Voilà ce qui doit vous caractériser ! Vous devez vous livrer, vous devez vous livrer sans rien épargner, afin que les autres pauvres soient sauvés. Aujourd’hui, c’est l’exemple de Jésus lui-même que nous voyons, même si nous l’appuyons par des exemples comme celui de l’apôtre Paul. En parlant de ce dernier, nous notons que ce dernier n’avait pas seulement prêché l’évangile de bouche. Il avait prêché cet évangile par sa vie pratique. Prêcher l’évangile n’est donc pas seulement une histoire de prononcer des discours, c’est une histoire de vie. Lorsqu’il dit « malheur à moi si je n’annonce pas l’évangile », il voudrait dire « malheur à moi si je ne vis pas de manière à attirer les âmes au Seigneur ».

C’est pour moi le lieu de rappeler que, comme David, le pauvre doit vivre de manière à éviter d’être un obstacle ou un scandale à l’évangile. C’est pour cette raison que l’apôtre Paul pouvait dire au chapitre 6 de 2 Corinthiens au verset 3 que : « Nous ne donnons aucun sujet de scandale en quoi que ce soit, afin que le ministère ne soit pas un objet de blâme. » Comprenez-vous ce que dit l’apôtre Paul ? Une telle déclaration de sa part nous confirme bien que, « prêcher l’évangile » pour lui, était davantage une affaire de vie pratique, de comportement et de caractère, et non de discours prononcé lors des enseignements qu’il dispensait. La suite de sa déclaration convainc davantage dans cette compréhension lorsqu’il caractérise sa vie. Voici ce qu’il écrit à ce sujet aux versets 4 à 10 :

« Mais nous nous rendons à tous égards recommandables, comme serviteurs de Dieu, par beaucoup de patience dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses, sous les coups, dans les prisons, dans les troubles, dans les travaux, dans les veilles, dans les jeûnes ; par la pureté, par la connaissance, par la longanimité, par la bonté, par un esprit saint, par une charité sincère, par la parole de vérité, par la puissance de Dieu, par les armes offensives et défensives de la justice ; au milieu de la gloire et de l’ignominie, au milieu de la mauvaise et de la bonne réputation ; étant regardés comme imposteurs, quoique véridiques ; comme inconnus, quoique bien connus ; comme mourants, et voici nous vivons ; comme châtiés, quoique non mis à mort ; comme attristés, et nous sommes toujours joyeux ; comme pauvres, et nous en enrichissons plusieurs; comme n’ayant rien, et nous possédons toutes choses. »

L’apôtre Paul étant pauvre, mais il s’occupait des autres pauvres. Vous comprenez qu’il s’agit de la pauvreté spirituelle et des pauvres qui sont définis selon la définition donnée ici, c’est-à-dire les pauvres que Dieu agrée, ou celui-là qui dépend de Dieu en tout, pour tout et partout, indépendamment de sa classe sociale, de ses avoirs, de ses richesses ou de ses manques. Voilà le vrai pauvre ! L’apôtre Paul était en train de dire que, s’il ne vit pas une vie qui prêche Christ, il est sous la malédiction. Ceci me rappelle fort opportunément les interpellations de dimanche passé. Il y avait parmi les esprits, l’un d’eux qui se nommait « malédiction ». Je comprends à quoi cet esprit renvoie et pourquoi il était présent. Je comprends !

Ce que l’apôtre Paul dit, et la présence de cet esprit, nous indiquent que, lorsque le chrétien vit d’une façon qui ne peut pas attirer les âmes à Christ, celui-ci se place lui-même sous la malédiction. Je le comprends clairement maintenant. Je n’avais pas bien compris la présence et la portée de cet esprit dimanche passé. Il était là, accompagnant l’esprit principal dénommé « le règne animal ». Il était parmi les esprits qui accompagnaient le « règne animal ». Lorsque Paul dit donc que « malheur à lui s’il n’annonce pas l’évangile », il veut dire qu’il est maudit s’il ne vit pas comme l’évangile le prescrit. Le chrétien, vous devez le comprendre, est sous la malédiction, lorsqu’il ne vit pas la vie qui prêche Christ. Il ne s’agit donc pas des enseignements par des discours, il s’agit plutôt de la vie pratique selon Christ.

L’apôtre Paul en citant ce qui a caractérisé sa vie ou son comportement, a commencé par citer la patience. C’est une manière de nous dire que, lorsque nous serions prêts à affronter les tribulations, les persécutions et les humiliations, nous devrions nous armer de l’esprit de patience.  Nous devons garder beaucoup de patience. Ne soyez donc pas pressés. Vous savez bien que la patience compte parmi les fruits de l’Esprit. Si vous êtes au contraire animés de l’impatience, vous devez savoir que vous êtes gérés par les démons. Leur fruit c’est l’impatience.

Quel que soit donc le domaine qui vous concerne, vous devez manifester la patience, en attendant le moment de Dieu. L’autre jour, j’ai demandé à ma fille Danye Eliade NODEM si elle a écrit les mots « la patience » sur les quatre murs de sa chambre, comme cela lui a été prescrit lors des délivrances prophétiques. Elle m’a répondu que cela est traumatisant de se lever et de lire « la patience » de tout côté de la chambre. Je vous dis que la patience est le caractère normal d’un chrétien. Elle a été interpellée par rapport à son impatience à trouver le travail ou à être intégrée comme médecin généraliste à la fonction publique. Sa promotion, celle de 2020, n’a pas encore été intégrée alors que celle de 2021 l’a déjà été.

Apparemment, certains de ses camarades ont aussi déjà trouvé du travail. Nous ne savons par quel moyen. Certainement par des moyens que nous connaissons au Cameroun. Ce sont des moyens que nous dénonçons et que nous demandons à Dieu de faire cesser. Il lui a donc été demandé d’être patiente. C’est bien de cette patience dont parle l’apôtre Paul avec emphase ici. Il dit : par beaucoup de patience ! À ma fille Danye Eliade NODEM, comme à tous les autres fidèles, vous avez besoin de beaucoup de patience. Dans cette chrétienté, vous avez besoin de beaucoup de patience. Je vous invite à beaucoup de patience. Ne soyez jamais précipités et impatients, supportez !  Supportez !

Voyez-vous, cela fait deux ans aujourd’hui que les tyrans dirigeants du monde ont décidé de mettre le monde entier à genoux. Nous chrétiens ici, nous avons su que c’est le moment que Dieu a choisi pour montrer sa gloire. Mais, je sais que plusieurs se posent déjà la question suivante : « Seigneur cela va donc se passer quand ? Cela se passera comment ? » Vous ne devez pas vous poser telles questions. Lorsque vous en posez, vous êtes dans l’impatience. Ne soyez pas pressés, sachez que tout ce que Dieu a prévu de faire, il le fera. Nous n’avons donc pas besoin d’être impatients. Soyons plutôt patients ; attendons patiemment dans la prière ! Ne soyons non plus incrédules ! Attendons en toute confiance dans la prière, sachant que le diable renouvelle ses stratégies chaque fois ! Nous aussi, devons demeurer dans la prière de façon permanente pour annuler les renouvellements de stratégies.

Nous devons toujours prier : Seigneur accomplie ta volonté ; Seigneur sauve ! Car nous ne savons pas ce que le diable a renouvelé entre temps ou encore, nous ne savons pas les nouvelles stratégies qu’il a encore développées et mises en place. Nous ne savons rien. C’est pourquoi nous devons rester dans la prière et dans la patience. Alléluia, béni soit le Seigneur ! Béni soit le Seigneur !

Revenons dans notre texte de 1 Pierre 2 ! Il y est écrit au verset 21 que : « … Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, ». Dites avec moi : « Christ a souffert pour moi, il m’a effectivement sauvé et m’a laissé un exemple, pour que je suive ses traces, pour sauver son enfant qui est encore perdu dans le monde. » Chacun de nous doit donc être prêt à tout subir pour que l’évangile avance. C’est ma décision, c’est mon engagement, de souffrir tout ce que Dieu a prévu, afin que l’évangile avance. Je ne veux pas être égoïste ; je ne veux pas être concentré sur moi-même. Non ! Je veux être altruiste en me concentrant sur le salut des autres. C’est ma prière, c’est ma dévotion. Et tout ce qui est à mon pouvoir pour aider à sauver les autres, je le mettrai à contribution, pour que les autres soient sauvés, comme Christ l’a fait pour moi.

Christ a mis tout ce qui était à son pouvoir pour me sauver. Je dois faire autant. Oh Seigneur, accorde-moi cette grâce et accorde aussi cette grâce à plusieurs ici ! Dimanche prochain, nous verrons l’accomplissement de cette prophétie que fait l’apôtre Pierre ici. Celle-ci s’est accomplie. Nous le verrons dimanche par la grâce de Dieu. Mais, en attendant, il faut déjà que nous soyons tous armés de cette pensée de souffrir pour le salut de l’autre.

Aux versets 22 et 23 de 1 Pierre 2, il est écrit que Jésus ne rendait pas les injures et qu’il ne faisait pas de menaces à ceux qui le maltraitaient. Il est dit qu’il remettait tout à celui qui juge justement. Je voudrais vous poser la question de savoir comment faites-vous lorsque vous êtes injuriés ? Comment réagissez-vous lorsque vous êtes maltraités ? Que faites-vous et comment vous sentez-vous lorsque vous souffrez d’une injustice ? Vous êtes certainement prêts à réclamer, à vous venger, à vous justifier et à vous défendre. Il me souvient que l’autre jour, je veux dire dimanche passé, il y avait un démon dénommé le « pouvoir de l’offense ». Lorsque vous vous vengez ou vous vous justifiez, vous donnez avantage au diable. Le diable prend directement avantage sur vous. Car, Dieu laisse que vous soyez offensés pour voir comment vous réagirez. Vous ne pouvez en effet pas sauver les autres lorsque vous ne voulez pas vous laisser malmener, à cause de la vérité, de l’évangile. Vous n’avez pas besoin de vous venger, de vous justifier ou de vous expliquer. Vous n’avez pas besoin de donner des explications.

Les esprits vous donnaient les conseils dimanche, pour dire que, lorsque vous avez déjà décidé d’obéir au Seigneur, vous n’avez pas besoin de donner des explications à des tiers par rapport à votre obéissance à Dieu. Vous n’avez pas besoin de donner des explications à qui que ce soit par rapport à votre obéissance aux instructions de Dieu. Ne donnez pas des explications pourquoi vous avez fait ou pourquoi vous n’avez pas fait. Vous avez obéi à Dieu c’est tout. L’obéissance à Dieu n’a pas besoin de justification. Ne faites donc pas cela et acceptez de tout subir pour le salut des autres, comme Christ a tout subi pour votre salut.

Jésus nous a laissé un exemple, afin que nous puissions suivre ses traces. Pouvez-vous vous lever maintenant pour demander à Dieu de vous accorder la grâce de suivre les traces de Jésus ?

Priez en demandant à Dieu de vous donner la grâce de suivre les traces de Jésus !

Amen ![:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : L’ESPRIT DE DISTRACTION DÉVOILE SES STRATÉGIES DESTINÉES À EMPÊCHER LE RÉVEIL SPIRITUEL MONDIAL[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 24 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (6e partie)

Enclenché depuis 2020 par l’Éternel Dieu au Tabernacle de la Liberté, ‘‘Église de tous les peuples’’, le Réveil spirituel mondial va permettre la conversion et la moisson massive des âmes pour Christ, à travers les nations, en ces temps de la fin. Cependant, satan et ses principaux agents membres du Conseil de Sécurité de l’ONU travaillent à freiner et à empêcher ce Réveil. C’est dans cette optique qu’ils ont mis sur pied le mensonge du Coronavirus, dont ils tentent désespérément d’exécuter l’agenda caché.

Saisi ce jour par l’Éternel Dieu, l’esprit de Distraction a affirmé qu’à l’effet d’empêcher le Réveil spirituel en question, il travaille avec les dirigeants des grandes puissances ou membres du Conseil de Sécurité des Nations Unies, lesquelles forment d’ailleurs le corps de l’anti-Christ. L’objectif clairement affirmé de ce démon consiste donc à créer des bouleversements et à soulever des évènements ciblés, afin de captiver et de détourner l’attention des gens, pour qu’ils ne cherchent pas Dieu. Nous avons ainsi appris que l’attaque de l’Ukraine par la Russie relève de cette stratégie de Distraction, pour laquelle les tyrans n’hésitent pas à verser le sang.

Et puisqu’on parle d’Ukraine, l’esprit de Distraction a révélé que Sunday ADELAJA (« Embassy of the Blessed Kingdom of God for All Nations » ou « Ambassade du Royaume béni de Dieu pour toutes les nations », pasteur nigérian réputé comme fondateur de la plus grande église évangélique d’Ukraine, est une personne qui a certes été appelée par Dieu, mais qui a fini par dévier, et mange désormais à la même table que les agents des ténèbres.

Après cette brève incursion dans l’actualité chrétienne en Ukraine, au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé l’esprit de Distraction en enfer. Continuons à intercéder pour la réussite du Dernier Grand Réveil Spirituel Mondial actuel, et implorons Dieu de sauver ses élus à travers les tribus, les langues, les nations et les peuples.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – ANÉANTISSEMENT DE L’ESPRIT DE GUY PARFAIT SONGUE EN QUÊTE DE RÉINCARNATION[:]

[:fr]SUITE DU SÉMINAIRE DU MOIS DE FÉVRIER 2022 (JEUDI 24 FÉVRIER 2022) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIE, ET LE SOUS-THÈME : S’OCCUPER DES PAUVRES (MALHEUREUX), AFIN DE SE DÉGAGER DES ESPRITS FAMILIERS (6e partie)

Célèbre pour sa fausse prophétie ayant fixé la mort irréversible du Président Paul BIYA avant octobre 2018, Guy Parfait SONGUE est finalement décédé ce mois de février 2022.

Saisi ce jour dans le corps d’un jeune homme, le démon suppôt du défunt a affirmé qu’il est en errance, cherchant à se réincarner. Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a consumé ce démon par le feu du Saint-Esprit, puis il l’a décapité et refoulé dans les abîmes.

Amen.

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