[:fr]PRÉDICATION : COMMENT EXERCER LA LIBÉRALITÉ ET LA BIENFAISANCE AU SEIN DE L’ÉGLISE ?[:]

[:fr]PRÉDICATION-DIMANCHE, 16 JANVIER 2022-CONCRET DU SURNATUREL

 

CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 16 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (4e partie)

 

RÉFÉRENCE BIBLIQUE : 1 THESSALONICIENS 4 : 1-12

 

Alléluia !

Merci Jésus !

Restez debout et prenez votre Bible pour ouvrir avec moi dans la 1ère épître de Paul aux Thessaloniciens, chapitre 4, du verset 1 au verset 12.

Nous lisons au nom de Jésus-Christ :

« Au reste, frères, puisque vous avez appris de nous comment vous devez vous conduire et plaire à Dieu, et que c’est là ce que vous faites, nous vous prions et nous vous conjurons au nom du Seigneur Jésus de marcher à cet égard de progrès en progrès.

Vous savez, en effet, quels préceptes nous vous avons donnés de la part du Seigneur Jésus. Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification ; c’est que vous vous absteniez de l’impudicité ; c’est que chacun de vous sache posséder son corps dans la sainteté et l’honnêteté, sans vous livrer à une convoitise passionnée, comme font les païens qui ne connaissent pas Dieu ; c’est que personne n’use envers son frère de fraude et de cupidité dans les affaires, parce que le Seigneur tire vengeance de toutes ces choses, comme nous vous l’avons déjà dit et attesté.

Car Dieu ne nous a pas appelés à l’impureté, mais à la sanctification. Celui donc qui rejette ces préceptes ne rejette pas un homme, mais Dieu, qui vous a aussi donné son Saint Esprit. Pour ce qui est de l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin qu’on vous en écrive ; car vous avez vous-mêmes appris de Dieu à vous aimer les uns les autres, et c’est aussi ce que vous faites envers tous les frères dans la Macédoine entière. Mais nous vous exhortons, frères, à abonder toujours plus dans cet amour, et à mettre votre honneur à vivre tranquilles, à vous occuper de vos propres affaires, et à travailler de vos mains, comme nous vous l’avons recommandé, en sorte que vous vous conduisiez honnêtement envers ceux du dehors, et que vous n’ayez besoin de personne. »

Nous poursuivons notre étude portant sur l’amour fraternel. Le Seigneur nous interpelle parce qu’il nous prépare à faire entrer la moisson, pour sauver les âmes. Il s’agit des préparatifs ou des préalables avant l’entrée en Canaan. On ne peut pas en effet prétendre gagner les âmes au Seigneur, pour que celles-ci viennent entrer dans une église qui serait « enfer » pour eux. Non, les âmes doivent venir entrer dans une église qui est plutôt un « havre de paix » ; une église où règne l’amour, la protection et la sécurité. En tant qu’enfants de Dieu, vous devez comprendre que vous devez vivre dans l’amour.

Le Seigneur a décidé de déclencher le réveil spirituel. Il faudrait donc que, ceux qui seront sauvés viennent trouver un milieu adéquat, une vraie assemblée de Dieu, un vrai rassemblement des enfants de Dieu où règne l’amour. C’est en effet l’amour qui témoigne réellement que nous sommes de Dieu ou que nous appartenons à Dieu. Je ne parle pas de l’amour que les catholiques prêchent, ni de celui que les autres religieux prêchent. Le message de l’amour que j’avais entendu dans ces milieux est « aimez-vous les uns les autres comme moi-même je vous ai aimés ». Ce n’ai pas cela le message de l’amour ; ce n’est pas le message de l’amour qu’ils prêchent ainsi. C’est le message de l’indulgence que les catholiques prêchent. Ce message signifie que, lorsque vous verrez le prêtre par exemple avec votre femme ou la femme d’un autre fidèle, vous ne devez pas en parler. Vous devez comprendre que bien qu’il soit prêtre, il est d’abord un humain, qui a donc aussi nécessairement des faiblesses.

Voilà dans quel sens ces gens parlent de l’amour. Non, il s’agit là de l’indulgence et non de l’amour. Dieu nous dit en effet que, comme il nous aime, c’est aussi comme cela qu’il châtie. C’est cela que les mondains ont pris pour dire que, ‘‘qui aime bien châtie bien’’. Voilà comment les mondains citent la Bible sous forme des adages pour faire croire que l’idée vient de leur intelligence. C’est lorsque j’ai cru que j’ai compris que ce sont des citations de la parole de Dieu que les mondains transforment en adages, sans toutefois la citer mot à mot. Ils disent seulement « qui aime bien, châtie bien » comme si cela venait de l’intelligence humaine, sans citer la source de leur pensée. Or, cette pensée est bel et bien biblique.

Je vous ai fait lire cette déclaration l’autre jour dans le livre des Hébreux au chapitre 12. C’est un verset biblique qu’ils ont paraphrasé à leur manière. Il s’agit précisément des versets 5 et 6 qu’ils paraphrasent. Voici ce que dit ces versets bibliques :

« Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ; Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. ».

Je vous redis que, l’amour pêché par les catholiques n’est pas l’amour biblique. Ce n’est pas l’amour biblique.

Aujourd’hui, nous étudions ce que l’apôtre Paul dit aux Thessaloniciens. Lorsque j’ai lu le message de l’apôtre Paul aux Thessaloniciens, m’a prière à Dieu a été de lui demander que le Tabernacle de la Liberté soit comme l’église de Thessalonique. En lisant bien le message de l’apôtre, on comprend que cette église avait déjà fait le pas sur ce que je vous enseigne tous ces derniers temps, à savoir, la pratique de l’amour fraternel. Cette église avait déjà fait le pas dans la pratique de l’amour fraternel. Mais, malgré cela, l’apôtre ne faisait que leur rappeler les mêmes enseignements de l’amour fraternel. Il le faisait à dessein pour inculquer dans les esprits que l’on n’est pas appelé à être un bon chrétien qu’à l’église, au moment où on suit la prédication du pasteur. Non, on est appelé à être bon chrétien à chaque instant, à chaque seconde, à chaque minute, à chaque heure, chaque jour, chaque semaine, chaque mois, chaque année, et aussi longtemps qu’on vit sur cette terre. On doit vivre comme un bon chrétien. Voilà ce qu’il faut noter ! Je vous avais déjà enseigné que la chrétienté se révise à la seconde.

Quand bien-même vous aurez déjà commencé à manifester l’amour fraternel réel, à savoir vous occuper des frères et sœurs, à avoir de la compassion pour les non-croyants, je ne cesserais pas de vous encourager à continuer dans cette même lancée. C’est ce que l’apôtre Paul a fait avec les Thessaloniciens. Ma prière est que nous puissions déjà atteindre le niveau des Thessaloniciens. Eh Dieu aide-nous, aide-nous Seigneur ! Le problème que connaît notre communauté est que, plusieurs ont simplement entrepris d’améliorer leur religiosité au lieu de se convertir véritablement. La conversion n’est pas juste un changement de religion ou de dénomination. Elle est plutôt un changement radical de vie. On abandonne en fait les comportements mondains ou païens qu’on vivait avant, pour mener un nouveau comportement qui plaît à Dieu.

En relisant le texte ci-dessus, nous relevons au verset 2 que Dieu veut la sanctification. Oui, Dieu veut la sanctification. C’est la raison pour laquelle vous constaterez que, tous ceux qui ont écrit des épîtres, qu’il s’agisse de Paul, Pierre ou Jean, font le rappel aux croyants ou aux chrétiens qu’il faut se séparer du péché, de l’impudicité, et toute autre forme de péché. C’est cela la vraie vie chrétienne. La vie chrétienne n’est donc pas seulement des paroles en l’air. Dans les versets qui suivent, notamment les versets 3 et 4, Paul, comme les autres apôtres d’ailleurs, nous invite à ne pas souiller notre corps et à vivre dans l’honnêteté. Le chrétien doit être différent du païen qui se livre aux passions charnelles ; ils se livrent à l’impudicité qui souille leur corps. Le chrétien ne doit pas faire de même. Il ne doit pas le faire.

Vous observerez que, lorsqu’un chrétien commence à baisser dans sa vie de foi, c’est lorsque celui-ci prête attention aux passions charnelles. Ce sont les passions charnelles qui les attirent. Et c’est à cause d’elles qu’ils commencent à fuir la présence de Dieu. Ils fuient en prétextant que tel ou tel autre aura été une occasion de chute pour eux ; ou en donnant toute sorte d’autres raisons peu convaincantes. Comprenez que, ceux-ci, en fuyant la présence de Dieu, ont déjà fait un clin d’œil au péché, et que la semence du péché est déjà en eux au moment où ils commencent à fuir la présence de Dieu. Et ils attendaient juste le moment propice ou un incident quelconque qui les précipiterait dans leur ambition. De tels incidents ne sont que des prétextes pour justifier leur départ de la foi. C’est bien pour cette raison que Paul donne le conseil à chacun de savoir maintenir son corps dans la sainteté.

C’est la même rhétorique qu’il poursuit au verset 5 en disant que, si l’on se livre aux convoitises passionnées, cela veut dire que l’on ne connaît pas Dieu et que l’on est donc païen. Par rapport à ce qui est écrit au verset 6, à savoir que, personne ne doit user de fraude et de cupidité contre son frère dans les affaires, souvenez-vous que j’ai enseigné jeudi que les dix commandements se résument en l’amour. Et que cet amour est divisé en deux groupes : l’amour pour Dieu pour les quatre premiers commandements, et l’amour pour le prochain s’agissant des six autres qui commencent par l’amour pour ses parents. Manifester l’amour pour ses parents, c’est honorer son père et sa mère selon le Seigneur. C’est le sixième commandement.

Le septième commandement dit qu’on ne doit pas commettre d’adultère. Le huitième commandement lui, dit qu’on ne doit pas voler son prochain. Le neuvième commandement porte sur le faux témoignage contre le prochain. Et le dixième commandement porte sur les convoitises à l’égard de son prochain. Ce sont ces six commandements que le chrétien est appelé à mettre en pratique pour témoigner son amour pour le prochain. Au regard de ces six commandements, il est donc inconcevable que des frères se roulent et se jonglent dans les affaires. Cela n’est pas bien. Le chrétien ne devrait même pas roubler ou tromper le païen dans les affaires. Et à combien plus forte raison son frère en Christ. Cela n’est pas concevable. Car, les affaires de son frère sont ses affaires et vis-versa.

Comment est-ce donc possible de tromper son frère dans les affaires ? On a compris dans les délivrances prophétiques par un esprit que j’ai mis en cage que, certaines relations ici à l’église sont des relations intéressées, parce que c’est un esprit de ruse qui anime plusieurs. Les uns se font des « pauvres » pour escroquer leurs frères ; pendant que d’autres se font des « riches » pour séduire leurs frères et les égarer. De tels comportements montrent que vous n’avez pas l’Esprit de Dieu. Vous n’avez pas l’Esprit de Dieu. Je vous ai déjà instruit comment les choses doivent fonctionner dans notre communauté. J’ai instruit que, si vous êtes chrétiens et fidèles de cette église, quel que soit ce par quoi vous passez, votre pasteur que je suis dois en être au courant. Qu’il s’agisse des problèmes financiers, conjugaux, de logement, de maladie ou de n’importe quel autre ordre, votre pasteur doit en être au courant.

Votre pasteur doit être au courant de ce par quoi vous passez, si vous êtes fidèles de cette église. La Bible dit qu’il y a un seul troupeau et un seul berger. La sœur ou le frère en Christ n’est pas votre berger pour vous tourner vers elle ou vers lui quand vous avez des problèmes. Si vous ouvrez votre bouche pour dire aux autres comment vous êtes pauvres, vous n’agissez pas comme devraient le faire les fidèles de cette église, étant entendu que vous savez comment cela doit se passer. Vous ne devez non plus ouvrir votre bouche pour dire aux autres comment vous êtes « riches » et donc capables de subvenir à leurs besoins. Si vous le faites, vous n’êtes pas fidèles de cette église parce que vous agissez en séducteurs. L’esprit de ruse voyons-nous, agit de deux manières. Il agit pour celui qui peut parler de sa pauvreté ou celui qui peut partager son aisance et sa disponibilité à aider.

Cela ne se passe pas ainsi aujourd’hui. Vous le saviez déjà. Si vous ne le saviez pas, sachez-le donc aujourd’hui. Ceci me donne l’occasion de parler des dons. Si vous avez remarqué un nécessiteux que vous voulez aider, vous n’êtes pas autorisés à aider la personne directement. Vous devez passer par le berger qui connaît ses brebis. Je ne dis pas que les uns et les autres ne sont pas animés d’un bon cœur pour aider. Non, ils peuvent bien avoir un bon cœur pour aider. Mais, ils courent le risque de tomber dans une situation qui peut spirituellement les affecter, ou qui ne sera pas acceptée par Dieu. C’est la pure vérité que je vous dis. Je prendrais un exemple ici à l’église pour illustrer ce que je dis. J’inviterais frère Samuel KAMGAING à s’avancer devant l’assemblée.

Voyez-vous, ce frère appelé Samuel KAMGAING est un homme d’affaires. Il a été interpellé ici à l’église plusieurs fois relativement à l’esprit de cupidité. Et il en a pris conscience. Pour combattre cet esprit de cupidité sachant que Dieu nous bénit pour que nous bénissions les autres. Il a donc fait des gestes envers des frères et sœurs, pensant que cela était dans un bon esprit, puisqu’il pratiquait les enseignements. Il ne disait à personne qu’il fait des dons. Mais, il se révélait dans les délivrances prophétiques que, « ce qu’il faisait ne lui venait pas du fond du cœur. Cela ne glorifiait pas Dieu ; c’était donc pour lui-même qu’il le faisait ». Ce frère avait par ailleurs remarqué une sœur qui était dans les difficultés. Et il s’était engagé de l’aider à mon insu. C’est après que je l’avais interpellé pour lui dire ne plus agir de la sorte ; pour la simple raison que, pour le cas de cette sœur par exemple, il n’était pas approprié de lui faire le don qu’il lui avait fait, en ce moment où il l’avait fait d’une part, et que d’autre part cette sœur recevait une aide de l’église.

Il s’était trompé en donnant de l’aide à cette sœur qui recevait pourtant déjà l’aide de l’église. Et par la suite, il s’était avéré que la sœur en question n’avait pas utilisé le don qu’elle avait reçu de lui comme cela se devait. C’est alors que j’avais interpellé le frère pour qu’il se rende lui-même compte que la sœur n’avait pas utilisé le don comme elle avait dit au moment où elle sollicitait cette aide. Lui, il n’est pas pasteur comme moi qui connaît tout le monde qui vient dans notre église. Le pasteur vous connaît. Et vous autres vous n’êtes pas au courant des gestes qui sont faits en vers certains d’entre vous. Je n’aime pas faire les choses comme à la Synagogue où l’on avait coutume d’exposer les gens qui ont reçu des dons du Prophète T.B. Joshua. Je n’aime pas cela. Il est vrai qu’il y a eu quelqu’un à une certaine époque qui avait voulu faire les choses de la sorte. Je n’aime pas cette manière de faire, parce qu’elle relève de la publicité. J’ai beaucoup regretté ce que celui dont je parle avait fait à l’époque où il était avec nous.

J’ai dit au frère que, il y a des gens que vous pouvez voir pauvre. Mais, même si vous leur donnez le monde entier, ils le jetteront dans la mer et ne feront rien avec. C’est vrai que je parle là des conditions extrêmes. Mais, sachez qu’il y a des gens qui sont dans des liens de pauvreté qu’ils entretiennent eux-mêmes. D’autres sont dans un état d’égoïsme et de cupidité absolus. Comme ils ne sont pas encore réellement convertis pour en être délivrés, vous pouvez les aider comme vous pouvez, mais en vain. Et tout ce que vous pouvez faire pour eux est inutile. Vous serez donc seulement en train de noyer vos biens que vous leur donnez. Ceux-là doivent seulement « être regardés des yeux », en attendant qu’un jour ils se convertissent pour que le cours de leur vie change. En insistant à vouloir aider ce genre de personnes, vous vous noierez vous-mêmes. C’est la pure vérité que je vous dis.

Il y a des gens qui n’ont besoin que de l’assistance au quotidien. Cela n’est bien-sûr pas à encourager. Mais, je veux dire que ce sont des gens à qui vous pouvez donner n’importe quoi en vain, pour s’autonomiser matériellement ou financièrement. Ils ne pourront jamais s’autonomiser. Ils ne le pourront jamais. Souvenons-nous que Jésus avait dit que nous aurons toujours les pauvres avec nous. Il y a des gens qui demeureront pauvres comme Lazare. Ce qui peut aider ceux-là, c’est la présence permanente dans la face de Dieu, comme Lazare avait su le faire, en en acceptant leur condition, sans avoir à accuser le riche qui lui donne les miettes. Lazare n’a pas accusé le riche qui lui donnait les miettes et dont les chiens léchaient ses plaies ; et qui ne l’avait pas envoyé à l’hôpital. Lazare n’avait pas eu de rancune contre le riche. S’agissant de la pauvreté, il y a des gens qui sont comme Lazare, mais qui n’ont pas le cœur de Lazare pour ne pas accuser les autres.

Je vous dis la pure vérité que, il y a des gens qui ne peuvent jamais quitter la pauvreté. Il y a des gens qui ne peuvent jamais quitter le besoin. Ceux-là doivent se contenter du superflu ou tout autre forme d’assistance que l’on peut leur donner. Mais, plusieurs parmi eux pourront rater le ciel, parce que, au lieu de recevoir avec actions de grâces le superflu qui peut leur être donné, ils passent le temps à murmurer contre ceux qui leur donnent ce peu qu’ils reçoivent, en estimant qu’ils auraient pu leur donner plus. Et ils murmureront encore contre eux parce qu’ils ne s’occupent pas de leur état de santé. Ils continueront de murmurer et rater le ciel. Lazare n’avait pas les murmures dans le cœur, ni contre Dieu, ni contre le riche. Comprenez-moi très bien. Ceux qui sont concernés comprennent bien ce que je dis. Vous comprenez ce que je dis.

Si vous êtes pauvres et voulez aller au ciel, contentez-vous du superflu qui peut vous être donné. Ne murmurez pas contre vos bienfaiteurs. Ne murmurez pas contre eux. Si vous le faites, vous serez en train de murmurer contre Dieu, malgré qu’il ait voulu que vous soyez ainsi. Ne murmurez non plus contre celui qui vous donne son superflu, sachant que votre condition ne peut pas changer. Souvenez-vous que les doigts de la main n’ont pas la même taille. Je vous dévoile ces vérités pour que ceux qui sont dans cette situation et qui gardent les murmures dans leur cœur puissent en être délivrés. Il faut qu’ils sachent que c’est une mauvaise chose et l’abandonner. Il est aussi important de le faire pour faire comprendre à ceux qui ont les moyens et qui veulent aider que, ils n’ont pas besoin de se faire voir.

J’interpelle ceux qui voudraient aider les gens à l’église pour leur dire déjà que, l’église-ci a les regards sur tout le monde. Elle connaît donc ceux qui doivent être aidés, soutenus ou relevés. L’église a les regards sur ceux-là. Si donc, vous vous passez pour des « pauvres » et pour des « riches » entre vous dans la mêlée, vous passez outre les instructions. Votre façon d’agir ne peut pas faire prospérer l’œuvre de Dieu dans nos mains. Vous serez de la sorte en train d’ouvrir ou de continuer à ouvrir les portes de votre vie au diable et ses démons. Et, parce que vous faites partie de l’église, vous faites pareillement ouvrir les portes de l’église de Jésus-Christ au diable et ses démons. Ce qui est bizarre est que d’aucuns se font pauvres pour dépouiller les autres, usant donc de ruse.

En lisant le livre des Thessaloniciens en étude, vous vous rendrez compte que l’apôtre Paul convie et encourage tout le monde au travail. Il en parle même déjà dans le texte que nous avons lu. C’est dans ce livre des Thessaloniciens que Paul dit : « Que celui qui ne travaille pas, ne mange pas non plus. » Il a toujours encouragé au travail et non à la mendicité et l’oisiveté. Il a encouragé au travail. Vous constaterez cependant qu’il y a des gens qui travaillent, mais qui ne peuvent pas prospérer. Cela signifie que ces derniers ont de réels problèmes spirituels. Il y en a qui sont attachés dans des liens de pauvreté, d’aucuns à cause de leur état de cœur du fait de la cupidité ou l’amour de l’argent ou même à cause de leur méchanceté. Car, lorsqu’on est méchant, Dieu ne saurait bénir, au risque que la bénédiction ne soit utilisée pour la méchanceté.

Si vous dites que vous êtes chrétiens, vous ne devez pas être méchants, et vous ne devez pas être cupides. Même si vous travaillez n’importe comment, vous ne pouvez recevoir la bénédiction de Dieu. Vous avez besoin préalablement de transformer votre cœur pour y mettre de l’amour. Les deux classes que j’ai citées, celle des « riches » et celle des « pauvres », doivent comprendre aujourd’hui que, Jésus a dit que, quand on donne, on ne doit pas sonner la cloche. Et la procédure d’assistance aux nécessiteux que j’ai définie ici à l’église permet d’éviter que votre « cloche ne sonne pas lorsque vous avez fait une aide ». Si donc vous avez identifié un nécessiteux, faites votre don, inscrivez le nom de la personne dessus, et déposez-le à l’église.

Frère Samuel KAMGAING que j’ai pris en exemple et qui est encore tenu devant vous, un frère que j’aime bien, a souvent identifié des nécessiteux à aider dans notre communauté. Mais, je lui ai souvent fait savoir que son observation n’est pas juste, qu’elle n’était pas fondée. Car, les personnes dont il s’est souvent agi sont celles qui ont souvent reçu des aides et n’ont rien fait avec. Il est témoins. Je lui ai souvent fait savoir que ces personnes ont déjà bénéficié de ceci ou de cela. Lui, il ne pouvait le savoir en prenant son initiative. Seul le pasteur qui connaît tout le monde peut le savoir. D’où la nécessité de passer par lui pour aider qui que ce soit dans notre communauté. Le frère a souvent voulu donner de son argent, et cet argent n’a servi à rien de concret ou de bon. Frère, tu le confirmes non ?

Voilà au moins quelqu’un qui a souvent voulu mettre en pratique ce qu’on enseigne. Je t’encourage à continuer de le faire. Dans son cas, il y a toujours eu une action suivie d’une contre action, comme pour lui ouvrir les yeux. J’ai beaucoup aimé cela. Celui-ci a fini par comprendre que, lorsqu’il est disposé à aider, il doit donner à l’église qui elle-même saura distribuer ou gérer ; parce qu’avant, il était de ceux qui orientent leurs aides vers des personnes précises. Vous n’avez même pas besoin d’orienter vos dons. L’église sait qui est dans le besoin et qui ne l’ai pas. Lorsque vous faites des dons sans impliquer le pasteur, savez-vous vraiment qui vous aidez ?

Il y aussi le frère Patrick MFOUMOU qui avait été interpellé ici une fois dans les délivrances prophétiques. Il aidait les gens directement, et les trous financiers avaient commencé à se répercuter dans sa vie, dans ses affaires. Il apportait de l’aide à des gens qui souffraient du démon de pauvreté ou de cupidité chronique. Et pourtant, il avait une bonne idée d’aider des frères et sœurs, mais, malheureusement, non seulement les aides ont servi à les noyer davantage, mais en plus elles l’ont tiré au fond de la mer pour le noyer aussi. Voyez-vous ? J’espère qu’il l’a compris pour de bon.

Il faut que vous compreniez une fois pour toute que, nous devons subvenir aux besoins des uns et des autres, nous devons aider les pauvres et que nous devons partager avec les frères et sœurs, nous devons le faire et sommes même dans l’obligation de le faire, mais tout cela doit se faire dans le cadre de la communauté. Un frère en Christ ou une sœur en Christ qui passe dans les difficultés dans notre église sans en informer le pasteur, démontre qu’il ou elle n’est pas de cette église. Cela veut dire que, il ou elle n’est pas fidèle de cette église. C’est tout ce que ça peut vouloir dire. En passant par derrière pour toucher les uns et les autres pour résoudre vos problèmes, vous êtes plutôt un escroc et non un fidèle de cette église. Vous êtes un trouble-faits qui dérange. Vous ne devriez pas être fidèles de cette église et vous traversez des problèmes sans que votre pasteur en soit au courant. Cela n’est pas normal.

Je n’invente pas les instructions que je donne ici à l’église. La première église ou l’église primitive a fait cela. Les apôtres n’avaient pas fait d’annonces, mais, parce qu’il s’agissait des vraies conversions à leur époque, la réaction des croyants avait été spontanée. Ils avaient suivi le message et ils avaient décidé de croire pour sauver leurs âmes. Ils s’étaient spontanément rassemblés et, ceux qui avaient des biens, voyant que certains autres n’avaient rien, les avaient vendus et en avait apporté le fruit à l’église, afin que les partages s’effectuent, chacun selon son besoin. Cette organisation était spontanée. Elle n’avait pas été organisée de la sorte par les apôtres. Et Dieu l’avait approuvé, ayant compris que ses enfants avaient eu son cœur. C’est pour cette raison que, lorsque des bandits comme Ananias et Saphira sa femme avaient prétendu vendre aussi leur propriété et en apporter le revenu à l’église, ils avaient été découverts et frappés de mort par le Saint-Esprit, parce qu’ils avaient gardé une partie des revenus par devers eux. Ce couple était mort sur le champ (Actes, chap. 5).

Le mari, c’est-à-dire Ananias qui était d’abord allé remettre une partie du revenu qu’il avait reçu. Sa femme était naturellement complice. Son mari avait été frappé par le Saint-Esprit pour avoir dissimulé une partie de l’argent qu’il avait reçu de la vente de sa propriété. Sa femme, Saphira, était arrivée quelques temps après. Ne sachant pas que son mari était déjà mort, il lui avait posé la question de savoir si c’était le montant de la vente que son mari a remis. À peine elle avait confirmé le montant, elle était tombée raide-mort. Le cas de ce couple était la confirmation que le Saint-Esprit avait apprécié l’organisation mise en place par la communauté chrétienne. C’était réellement une organisation de solidarité des enfants de Dieu de cette époque.

Dans notre contexte aujourd’hui, beaucoup parmi nous ne sont pas convertis. Il y a des gens qui viennent avec d’autres objectifs que ceux de leur conversion. Il me souvient qu’un jour, j’étais en train d’évangéliser un monsieur au quartier, non loin de l’église. À cette époque-là ce sont ses enfants qui venaient à l’église. Je lui avais donc posé la question de savoir, pourquoi, il envoie les enfants à l’église et lui-même ne vient pas. Il m’avait répondu qu’il attend de voir des grandes personnalités de la république venir dans mon église, avant de venir aussi, pour pouvoir se faire des contacts afin d’avoir de l’argent. Il m’avait directement dit qu’il viendrait à l’église quand celle-ci sera remplie des hautes personnalités du pays, pour se faire de l’argent. Je voudrais vous convaincre par cet exemple que, les personnes qui fréquentent l’église ont généralement d’autres objectifs inconnus, que la conversion.

Si vous êtes donc une brebis de cette bergerie qu’est l’église, votre berger que je suis doit vous connaître. Il doit savoir qui vous êtes, ce que vous faites, ce par quoi vous passez, etc. Il doit le savoir. Si vous voyez donc quelqu’un dans la mêlée qui vous accoste pour vous exposer ses problèmes à l’église ou en dehors, comprenez qu’il est un missionnaire de Satan. Il est en mission dans la communauté. Je préfère vous le dire de la sorte aujourd’hui, pour éviter à ceux qui sont simples de tomber dans le piège. Ce que je dis concerne autant des demandes d’aide, que des propositions d’affaires. S’agissant des affaires ou autres opportunités, vous devez soumettre votre affaire au berger qui en fera officiellement l’annonce au besoin, et ceux qui sont dans le besoin se présenteront. Cela ne doit pas se passer directement entre vous à l’insu du pasteur.

Lorsqu’en effet vous faites des affaires entre vous, sans l’implication du pasteur, il y aura de la « frappe » ou de la tromperie d’une manière ou d’une autre. C’est ce qui est dénoncé dans le texte en étude aujourd’hui au verset 6 précisément qui dit : « c’est que personne n’use envers son frère de fraude et de cupidité dans les affaires, parce que le Seigneur tire vengeance de toutes ces choses, comme nous vous l’avons déjà dit et attesté. ». Ceci n’a pas été écrit aujourd’hui. Et je n’ai pas écrit cela à cause de ce message que je prêche en ce moment. Cela a été écrit depuis longtemps. Si cela est donc révélé en ce moment, il se pourrait que des bandits, à l’exemple d’Ananias et Saphira, se sont déjà infiltrés à l’église. Certainement que, pour le cas des Thessaloniciens, l’apôtre Paul savait déjà que de tels bandits sont déjà entrés dans l’église et ne voulaient pas que les chrétiens tombent dans le piège.

Le texte parle de fraude et de cupidité. C’est pour dire qu’il y a des gens qui réclament des choses dont ils n’ont pas besoin au moment où ils les réclament. Il est à comprendre que, l’argent ou les biens matériels ou alors le bien-être que vous voulez ou désirez peuvent ne pas être pour vous maintenant ; ils peuvent ne pas vous convenir maintenant. Il y a des choses qui peuvent ne pas être prévus pour vous maintenant, même si vous êtes dans le besoin. Cela pourrait être dû au fait que vous soyez juste un « frappeur » et donc un païen ; soit que vous soyez encore sans la maturité requise pour recevoir ce que vous désirez. Si vous êtes encore un bébé spirituel, je veux dire un bébé dans la foi, que l’on vous donne de l’argent, beaucoup d’argent autant que vous en avez besoin, vous pourrez le gaspiller. Ce serait comme si l’on donnait un billet de dix mille francs CFA à un bébé. Ce dernier le mettrait directement dans la bouche. Donnez un tel billet à un bébé et tournez votre dos, en revenant, vous trouverez qu’il l’a déjà mangé. Il n’aura donc servi à rien.

Plusieurs d’entre vous êtes encore des bébés en matière de gestion de l’argent ; et bien d’autres ont le cœur rempli de cupidité et d’avarisme. Dieu ne peut pas vous confier de l’argent et des biens, sachant que vous en ferez un mauvais usage. Cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas dans le besoin ou que vous n’êtes pas pauvres. Mais, vous n’avez pas encore les aptitudes pour bien utiliser ce que Dieu peut vous confier. Certains le démontrent fort bien en ce moment. Ces derniers disposent déjà de deux tuniques, en faisant référence à la prédication de Jean-Baptiste, mais ils sont incapables de donner l’une des deux, à quelqu’un d’autre. Jean-Baptiste avait en effet enseigné dans le désert que, si vous avez deux tuniques, vous devez donner l’une d’elles à votre prochain qui n’en a pas. Ils ont déjà le minimum qui pourrait représenter les deux tuniques dont parle Jean-Baptiste, mais, ceux-ci se présentent à leurs frères et sœurs comme s’ils n’avaient rien. Ils usent de la sorte de la ruse pour dépouiller leurs frères.

Ces frères aussi, sans intelligence, s’engagent à les aider à l’insu du pasteur, et se retrouvent ruinés. Qui accuseront-t-ils ? Les uns et les autres s’accuseront mutuellement à cause de l’esprit d’indépendance qui vous anime, alors que je vous donne des directives depuis longtemps. Un tel esprit n’est pas bien. Qu’est-ce qui vous empêche d’observer ces directives que je vous donne, et qui sont pourtant pour votre bien ? Elles sont pour votre bien, afin que vous ne tombiez pas dans l’erreur. Si vous qui êtes là en ce moment, et qui constituez la fondation ou la base de l’église, êtes incapables de mettre en pratique ce qui vous est enseigné, comment ceux qui viendront sauront se positionner en venant ici au Tabernacle de la Liberté ? Nous prêchons par exemple en ce moment sur l’amour fraternel. Cela doit être pratiqué et devenir palpable dans la communauté. Mais, cela ne doit pas se pratiquer dans le désordre. Vous avez tous la preuve aujourd’hui que, ceux parmi vous qui avez prétendu aider ou aimer, vous avez été piégés.

Vous l’avez certes constaté. Mais, peut-être que cela n’a pas vite sauté à vos yeux que, vos activités ont été ralenties ou qu’elles ont piétiné. Vous en avez souffert juste parce que vous avez prétendu aimer et aider, sans respecter les instructions qui vous ont été données ici à l’église. Vous ne pouvez pas prospérer de la sorte. Lorsqu’on est ignorant, il est possible de commettre certaines bêtises sans en subir les conséquences. Mais, quand on est informé et instruit, si l’on commet les mêmes bêtises, on est frappé directement sans merci. Aujourd’hui, l’esprit de ruse que j’ai mis en cage et qui anime plusieurs parmi vous, passera aux interpellations. Car, il faut que cette gangrène soit complètement extirpée de cette assemblée. Il s’agit de ceux-là qui usent, comme la Bible le dit, envers leurs frères de fraude et de cupidité dans les affaires. La fraude et la cupidité doivent être extirpées de cette assemblée.

Vous remarquerez dans la deuxième partie du verset 6 que, le texte marque une certaine insistance pour dire que ce n’était pas la 1ère fois que l’apôtre Paul enseignait les Thessaloniciens dessus. Il le leur avait d’abord dit verbalement. Et ici, il leur rappelait par écrit, l’enseignement qu’il leur avait déjà donné. Sa démarche confirme l’adage selon lequel, les paroles s’envolent et les écrits restent. Comme il avait écrit, voilà que cela nous sert aujourd’hui.

Pour tirer à la fin de mon intervention de ce jour, en lisant les versets 7 et 8, il est écrit que, si vous rejetez cet enseignement que l’apôtre appelle ici les préceptes, vous n’êtes pas en train de rejeter un homme, mais Dieu. Pour ceux d’entre vous qui pensez que c’est Caleb NGOA ATANGANA qui parle, et dites que je dérange ; vous dites même que vous aussi vous avez le Saint-Esprit. Si vous aviez le Saint-Esprit, vous devriez savoir que ce n’est pas moi qui vous parle, c’est le Saint-Esprit qui vous parle. Vous devriez donc en conséquence mettre en pratique les préceptes qu’il vous donne.

Les versets 9 et 10 nous confirment que les Thessaloniciens pratiquaient déjà le véritable amour fraternel. C’est ce que l’apôtre Paul confirme. Lorsque je suis arrivé à ce niveau de lecture, je me suis exclamé : Oh Seigneur, si le Tabernacle de la Liberté pouvait être comme l’église des Thessaloniciens ! Ils pratiquaient déjà bien cet amour fraternel dont nous parlons et l’apôtre était en train de les encourager à le pratiquer davantage. Et aux versets 11 et 12, il leur instruit de travailler de leurs mains, pour éviter la mendicité. Voyez-vous, l’oisiveté est condamnée par Dieu, et la mendicité est condamnée autant par Dieu que par les lois de la République, dans le cas du Cameroun.

Oui, la mendicité est réprimée par les lois de ce pays, au même titre qu’elle est condamnée par Dieu. On pourrait dire que l’administration judiciaire n’a pas créé une loi en la matière, mais qu’elle s’est inspirée de ce que Dieu avait déjà prescrit. L’exhortation est donc qu’il faut travailler de ses mains pour pourvoir à ses besoins et aider les autres qui seraient dans le besoin. Que le Seigneur vous aide à le comprendre et surtout à le mettre en pratique !

Je réitère pour finir, que tous ceux-là qui ont usé de ruse contre leurs frères, arrêtent le faire. Ils vont d’ailleurs être interpellés tout à l’heure, par le démon qui incarne la ruse et les autres démons connexes attachés à la fausseté. Il en est ainsi, afin que vous puissiez changer.

Ces interpellations interviendront après que la dernière phase d’intercession que nous devons entreprendre soit terminée.

Levez-vous donc pour la suite de l’intercession !

Amen ![:]

[:fr]PRÉDICATION : L’AMOUR VÉRITABLE, C’EST SE DONNER[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 09 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (2e partie)

 

RÉFÉRENCES BIBLIQUES : 1 JEAN 2 : 3 – 11 ; JEAN 3 : 16 ; JEAN 14 : 15-17, 23-26 ; HÉBREUX 12 : 2-11

Alléluia !

Reste debout pour prendre la lecture pour le message de ce jour. Prends donc ta Bible et ouvre avec moi dans la première épître de Jean. Nous y lisons dans 1 Jean, chapitre 2, du verset 3 au verset 11.

« Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l’avons connu. Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. Mais celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu est véritablement parfait en lui : par là nous savons que nous sommes en lui. Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même.

Bien-aimés, ce n’est pas un commandement nouveau que je vous écris, mais un commandement ancien que vous avez eu dès le commencement ; ce commandement ancien, c’est la parole que vous avez entendue. Toutefois, c’est un commandement nouveau que je vous écris, ce qui est vrai en lui et en vous, car les ténèbres se dissipent et la lumière véritable paraît déjà.

Celui qui dit qu’il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore dans les ténèbres. Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et aucune occasion de chute n’est en lui. Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres, il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. »

Nous poursuivons aujourd’hui l’enseignement que nous avons commencé jeudi passé, tournant autour des ramifications du séminaire du mois de janvier 2022 que nous venons d’avoir. Il s’agit de l’importance de la parole de Dieu dans la vie chrétienne. Nous avons vu que lorsqu’on a effectivement la parole, on est sauvé et on ne peut rétrograder. Quand on a suffisamment la parole de Dieu en soi, une maladie dont on a été délivrée ne peut pas revenir en nous ; et une délivrance obtenue ne pas se renouveler. Nous avons finalement compris que, c’est la parole qui est Jésus qui délivre, guérit et sauve. En la consommant et lui obéissant, on maintient sa foi, sa délivrance et sa guérison.

Nous avons compris que, les chrétiens qui adoptent souvent un comportement païen sont ceux-là qui ne consomment pas la parole et qui n’obéissent pas à cette parole. C’est pourquoi je vous exhorte depuis le 1er jour de cette année 2022, chacun en ce qui le concerne, de lire chaque jour, matin et soir votre Bible et d’obéir aux instructions de Dieu. Je vous exhorte par ailleurs de suivre les enseignements dispensés et de les mettre en pratique. Pour ceux qui nous suivent par les réseaux sociaux, je les invite à suivre tous les enseignements qu’ils n’ont pas encore écoutés, puisqu’ils nous prennent en cours de route, et de mettre ces enseignements en pratique. Nous avons une chaîne dans YouTube qui ne contient que les enseignements. Celle-ci est dénommée « Monde Pour Christ_Enseignements ». Écoutez ces enseignements et mettez-les en pratique !

L’autre jour, j’étais en train de lire ce livre intitulé LA PIÉTÉ, ‘‘AIMER DIEU ET ÊTRE DÉVOUÉ POUR SES CHOSES’’. Et cette relecture était comme si je lisais ce livre pour la 1ère fois. Or, ce sont des enseignements que l’Esprit de Dieu a donnés par ma bouche, ici au Tabernacle de la Liberté, il y a quatre ans environ, puisque c’est depuis 2018 que ces enseignements ont été dispensés. Le 1er enseignement a précisément été dispensé le 09 août 2018, et la conclusion dudit enseignement a été donnée le 16 septembre 2018. Ce sont donc les enseignements dispensés au cours de cette période qui ont été compilés dans cet ouvrage que je vous présente. C’est un ouvrage que je vous recommande une fois de plus, si vous voulez vraiment aimer Dieu. Vous devez le lire. Tout le monde doit avoir sa copie.

Bien que la Bible ne soit pas difficile à comprendre, on remarque que, beaucoup de fidèles ont besoin d’amples explications avant de comprendre ce qui y est écrit. C’est la raison pour laquelle on enseigne pour expliquer davantage. On n’invente rien. On explique amplement ce qui qui est écrit, pour éviter que chacun ne comprenne ce qui est écrit dans son contexte. C’est pour cette raison que le Saint-Esprit prend le soin d’expliquer et de parler pour chaque contexte. La PIÉTÉ, si vous ne l’avez pas, vous devez l’avoir, qui que vous soyez. Lorsque je le lisais, je priais en même temps Dieu d’apporter réellement le réveil dans les vies et les communautés entières. Car, ce qui est constaté de nos jours est que, l’évangile a été dilué par les prédicateurs. Je les appelle juste les prédicateurs, parce qu’il y en a en qui Dieu a déposé un don pour prêcher et non pour nécessairement conduire un ministère pastoral, comme ceux qui sont annoncés dans Éphésiens.

Étant donc prédicateurs, à cause des héritages divers reçus de ceux qui les ont précédés, ils ont été déviés. Ils ont été affectés par ce qu’ils ont entendu des faux prophètes et faux prédicateurs dehors. Plusieurs se retrouvent finalement égarés alors qu’ils avaient bien commencé. J’apprécie la grâce que Dieu m’a accordée lorsque je cheminais avec ces gens dont je parle. En étant avec eux, mon esprit n’avait jamais été tranquille. Je ne me sentais pas à l’aise au milieu des faux prédicateurs. Je ne m’y sentais pas à l’aise. Ma prière à Dieu est donc que, il permette que les prédicateurs puissent lire ce livre afin qu’ils se corrigent et qu’ils puissent affecter leurs communautés. Voilà ma prière à Dieu ! Je prie qu’ils puissent changer après avoir lu ce livre, afin d’affecter leurs communautés. Qu’ils le fassent sans être malhonnête comme cet exemple qui m’est venu du Benin, où un prédicateur reçoit les enseignements du Tabernacle de la Liberté par un frère béninois ; mais ce prédicateur préfère enseigner ce qui vient d’ici dans sa communauté, sans cependant connecter les fidèles de son église à la source qui est le Tabernacle de la Liberté, au risque de perdre ses fidèles.

Voyez-vous, un prédicateur a peur de perdre ses fidèles. Cela est bien malheureux. Il est malheureux de prétendre faire le travail de Dieu, alors que c’est son « ventre » que l’on veut satisfaire et garantir. Il faut avoir la passion des âmes ; il faut avoir l’amour véritable. Et évidemment, celui qui n’a pas la passion des âmes n’aime pas les gens, il n’aime pas les âmes. C’est de cela dont nous parlons. Si en effet, tu n’as pas l’amour véritable venant de Dieu, tu ne peux pas aimer le prochain. Et tu ne peux non plus aimer le non-croyant. L’amour du non croyant, il faut le préciser, est la compassion que l’on a pour lui. Je dis donc que, tu ne peux pas aimer le frère ou la sœur en Christ, si tu n’as pas l’amour véritable de Dieu. C’est ce que nous étudions.

De façon générale, les gens sont très égoïstes. Ils ne sont concentrés que sur eux-mêmes ; et ce sont leurs intérêts personnels qui sont mis en avant, sans se soucier de l’autre. Lorsqu’ils prétendent aimer, ils sont plutôt en train de lancer les appâts à celui qu’ils ciblent, parce qu’ils veulent profiter de lui. Cela est un comportement intéressé. Lorsque vous voyez donc des gens qui se rapprochent des autres, ce n’est pas parce qu’ils les aiment ; mais, c’est plutôt pour que ces derniers leur fassent du bien. Il n’y a pas de l’amour. C’est bien malheureux ! Nous devons nous laisser interpeller, parce que, quand Dieu parle, cela signifie qu’il y a une raison quelque part.

En prenant le cas de notre communauté, la communauté des chrétiens du Tabernacle de la Liberté, les gens sont juste des religieux et ceux-ci n’ont pas de l’amour, l’amour qui vient de Dieu. L’amour qui vient de Dieu, je le répète, n’est pas un amour intéressé. Il est un amour salvateur ; il est un amour qui offre, qui prend soin et qui rachète. Un tel amour est à l’image de ce qui est écrit dans Jean, au chapitre 3, verset 16 : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. »

Un jour j’avais entendu un faux pasteur faire appel à ce verset biblique, lorsqu’il lui avait été demandé de conduire une exhortation avant la collecte des offrandes. Celui-ci avait pris et lu ce verset biblique, une manière pour lui d’inciter les gens à donner les offrandes et les dîmes. Voyez-vous, lorsque Dieu nous demande d’avoir de l’amour pour les autres, ce n’est pas pour la collecte des offrandes et des dîmes. Dieu nous demande en fait de nous donner nous-mêmes. Car, lorsqu’une personne aime, elle se donne. C’est bien ce que Jésus a enseigné. Quand une personne aime, elle se donne sans réserve. Elle se donne à la personne qu’elle aime. C’est comme cela que ça se passe. Dieu a donné son Fils unique. En le faisant, celui-ci s’est donné lui-même. Il s’est donné lui-même, dans la mesure où il n’a pas donné quelque chose qui était moindre que Dieu.

Il n’a pas donné quelque chose qui appartenait à Dieu, mais il a donné Dieu aux hommes pour les sauver. En donnant donc son Fils unique aux hommes, il s’est donné aux hommes. Jésus avait suffisamment parlé de l’amour dans ses enseignements, comme Jean le répète dans ce texte que nous étudions. En lisant ses propos dans l’évangile de Jean, vous le comprendrez. Je voudrais d’ailleurs qu’on lise des portions de son propos. Allons dans l’évangile de Jean, au chapitre 14 pour commencer. Au verset 15 déjà, voici ce qu’il dit : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements. » Cela veut dire que, on n’aime pas Jésus en disant ou en criant seulement : « Jésus je t’aime ; Jésus je t’aime ; etc.). Et parmi les commandements que Jésus-Christ nous donne, il y a l’amour des uns envers des autres. C’est de ce même amour dont parle Jean.

Allons-y lire maintenant au verset 23 ! Il y est écrit : « Jésus lui répondit : si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. » L’amour de Dieu consiste donc à garder sa parole qui se résume en ses commandements. Et lorsqu’on garde effectivement sa parole, Jésus promet que son Père et lui viennent habiter en lui, en celui-là qui garde sa parole. C’est ainsi que la nature de cette personne se transformera en la nature de Dieu ; étant donné qu’il a Dieu et Jésus en lui. Car, la parole de Dieu, c’est Dieu lui-même ; la parole de Jésus, c’est Jésus lui-même. Lorsqu’on garde sa parole, on le garde en soi et on le cultive en soi. Merci Jésus, pour ta parole !

En poursuivant la lecture aux versets 24 à 26, il est écrit ce qui suit : « Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé. Je vous ai dit ces choses pendant que je demeure avec vous. Mais le consolateur, l’Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. »

Nous y apprenons que, Jésus et son Père viennent habiter en nous lorsque nous gardons sa parole. Et ils sont en nous par la personne du Saint-Esprit. Lorsque donc, nous avons Dieu et Jésus en nous, nous sommes remplis du Saint-Esprit, et ne pouvons que produire les œuvres de Dieu et sa volonté. Nous ne pouvons qu’aimer comme il aime, faire comme il fait, et marcher comme lui-même a marché. C’est la présence de l’Esprit de Dieu en nous qui nous permet de le faire. C’est ce que nous avons vu dans la première épître de Jean au chapitre 2. Avez-vous l’Esprit de Dieu en vous ? Si vous l’aimez, si vous aimez Dieu, inévitablement son Esprit viendra habiter en vous. C’est bien ce que l’apôtre Jean explique lorsqu’il dit que, Dieu envoie son Esprit à ceux qui l’aiment, c’est-à-dire ceux qui gardent sa parole et lui obéissent.

C’est à ceux-là que Dieu donne son Esprit. Savez-vous pourquoi il donne son Esprit ? C’est pour faire son œuvre, c’est pour faire son travail ; car, sans le Saint-Esprit, vous ne pouvez pas faire le travail de Dieu. C’est en fait le Saint-Esprit qui est le manteau du ministère. Cela est amplement expliqué dans le livre que j’ai commis et qui est intitulé : La Réalité du Saint-Esprit. Sans le Saint-Esprit vous ne pouvez pas faire le travail de Dieu. Je vous assure que, sans le Saint-Esprit, vous ne pouvez pas faire le travail de Dieu. Le travail qui est par exemple fait ici au Tabernacle de la Liberté, est un travail qui est conduit par le Saint-Esprit de Dieu. C’est lui qui fait ce travail par les enseignements, les délivrances prophétiques et autres. C’est lui-même qui fait ce travail par mon canal. Je suis juste un canal par lequel il passe. Ce n’est nullement avec ma sagesse ni mon intelligence.

Je vous assure que, tout ce que je vous enseigne est reçu d’en-haut. Je reçois tout d’en-haut ; je reçois du Père céleste comme Jésus pouvait le dire. Je n’invente rien. Jésus aura été terre à terre avec les disciples et donc avec nous. Ce Saint-Esprit dont je parle, lorsqu’il est en nous, doit être entretenu. L’enseignement de l’amour pour le prochain que je dispense en ce moment permet que l’Esprit de Dieu soit maintenu en nous. Et lorsqu’on a de l’amour de Dieu en nous, nous avons la compassion pour les âmes perdues et la compassion pour les frères et sœurs en Christ ; et on aura les mêmes soucis que Dieu et se préoccupera de ses choses. Comprenez-vous cela ? Oh mon Dieu !

Je m’en vais vous relire les propos de Jésus dans Jean 14, du verset 15 au verset 17 :

« Si vous m’aimez, gardez mes commandements. Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. »

Jésus dans ce passage, nous indique que lui-même représente le Saint-Esprit, puisqu’il annonce qu’il se fera remplacer par un autre consolateur. Ce qui veut dire que, avant l’envoi de l’autre consolateur dont il parle, c’est lui-même qui joue ce rôle de consolateur. Je ne reviendrais pas sur l’enseignement que je dispense à ce sujet et qui est développé dans l’ouvrage dont j’ai parlé plus haut : La Réalité du Saint-Esprit. Vous n’avez qu’à lire pour comprendre ce que je dis ici. Jésus répète ce qu’il dit dans les versets ci-dessus, aux versets 23 à 26, en disant que :

« Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé. Je vous ai dit ces choses pendant que je demeure avec vous. Mais le consolateur, l’Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. »

D’après ce que Jésus dit ici, il convient d’admettre que, si vous ne lisez pas la parole de Dieu, si vous n’écoutez pas les enseignements, et que vous n’êtes pas animés de l’envie d’obéir, vous ne pouvez pas entretenir le Saint-Esprit en vous. Celui-ci ne pourra donc pas vous rappeler ce que vous avez lu ou ce qui vous a été enseigné. Son rôle est en effet de rappeler ce qui vous a déjà été enseigné. C’est lorsque vous avez ’on a lu la parole de Dieu ou lorsqu’on a écouté un enseignement, que le Saint-Esprit se manifeste en soi, lorsque vous êtes face à un problème, pour vous rappeler que vous avez déjà lu ou écouté l’enseignement portant sur ce dont vous faites face. Si donc vous ne lisez pas la parole et n’écoutez pas les enseignements, le Saint-Esprit n’aura rien à vous rappeler. Que vous rappellera-t-il ? Rien ! Le Saint-Esprit rappelle ce que vous avez déjà reçu.

Plusieurs sont manipulés par l’esprit de divination. Ceux-ci croient qu’ils sont des enfants de Dieu ; ils croient qu’ils sont des prophètes et prophétesses. Dans les fausses églises où les gens n’ont même pas l’enseignement approprié et ne prient pas comme il se doit, des gens y disent qu’ils ont le Saint-Esprit ! Ceux-ci au coucher, disent : « Dieu parle-moi, parle à ton serviteur ». Ils ont par la suite un cauchemar dans leur sommeil qu’ils considèrent comme une vision. Voyez-vous l’erreur ? Ça ne se passe pas comme cela. C’est bien pour cette raison que j’ai interdit le partage des rêves. Si quelqu’un a un rêve dans cette communauté, il ne doit le partager qu’avec le pasteur. Vous ne devez nullement partager vos rêves avec les autres fidèles avant que le pasteur ne soit au courant. Me comprenez-vous ? Dans la réalité en fait, si Dieu dans sa discrétion vous montre quelque chose, le Saint-Esprit devra vous montrer le rapport de celle-ci avec les écritures.

Si les écritures ne confirment pas ce que vous avez vu, vous ne devez pas le prendre en considération. Car, Dieu ne peut pas nous montrer quelque chose dont nous n’avons pas un exemple au moins dans la Bible. Et généralement, c’est au moins deux exemples, en considérant que Dieu tient à sa parole qui dit que : un témoignage est réputé valable, si celui-ci est donné par au moins deux personnes. Il s’était donc rassuré d’avoir des exemples dans la Bible de telle sorte que, lorsqu’il nous dit quelque chose, nous pouvons nous référer à la Bible pour en avoir confirmation par deux exemples au moins. Il est simplement à veiller que les exemples pris en guise de témoignage ne soient pas hors contexte par rapport à ce que nous avons vu dans le rêve.

À la suite de la lecture commentée des versets ci-dessus, je vous invite à consulter un autre texte avec moi. Il s’agit de l’évangile de Jean au chapitre 15, le verset 10 :

« Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j’ai gardé les commandements de mon Père, et que je demeure dans son amour. ».

Je peux donc dire, au regard de ce que Jésus dit ici, que, les gens qui n’ont pas l’amour de Dieu manifesté en eux, sont seulement des désobéissants, des rebelles ou de simples ignorants de la parole de Dieu. Ils ne sont donc pas différents des païens que la Bible appelle les fils de la rébellion ou de la désobéissance. Ils ne peuvent que se rebeller, parce qu’ils n’ont pas la parole. Ils sont ignorants de ce que Dieu attend ou veut d’eux ; c’est pourquoi ils ne peuvent que se rebeller contre sa parole. Si vous dites que vous êtes des enfants de Dieu, vous devez garder ses commandements. C’est bien ce que Jésus dit dans le texte ci-dessus. Et c’est ce que nous avons vu jeudi passé : nous devons marcher comme Jésus lui-même a marché. Voici l’exemple qu’il nous donne dans ce verset 10.

Jésus nous donne l’exemple qu’il a gardé les commandements de son Père. Et c’est pour cela qu’il est demeuré dans son amour. Voilà le secret pour demeurer dans l’amour de Dieu ! Le secret est qu’il faut garder ses commandements. En poursuivant la lecture aux versets 11 et 12, nous découvrons le commandement Dieu. Il y est écrit :

« Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.
C’est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. »

Voilà le commandement de Dieu : « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. » Et je vous ai expliqué que l’amour se donne. L’amour ne signifie pas donner son superflu ou ses possessions à l’autre. L’amour se donne. C’est ce qu’il précise au verset 13 où il dit : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. » Aimer l’autre c’est donc se donner à lui. C’est se sacrifier pour l’autre. Quand on a l’amour de Dieu, on se donne, on se sacrifie pour les autres. En vous prenant l’exemple de l’interpellation des fidèles qui forment cette communauté, ceux du Cameroun comme ceux de la diaspora, à jeûner tous les mercredis pour le salut de la nation Camerounaise et du continent africain, si vous n’avez pas de l’amour pour cette nation et pour ce continent, vous êtes en train de faire une grève de la faim en jeûnant. Si vous n’avez pas l’amour, c’est une grève de la faim que vous faites.

L’amour demande en effet que tu pries réellement pour que les peuples camerounais et africains soient sauvés, et tu es prêt à te donner. En te privant donc de manger et boire pendant toute cette journée de mercredi, c’est pour crier à Dieu : « s’il te plaît, sauve ; visite ton peuple, visite les brebis égarées et sauve-les ; sauve le Cameroun et sauve ce continent ». Tu dois donc te donner entièrement. Cela veut dire que tu dois le faire avec le cœur. Comprends-tu cela ? Voilà l’expression de l’amour véritable. L’amour véritable se donne et se sacrifie.

Jésus poursuit son propos au verset 14 en disant que, ceux qui sont ses amis sont ceux qui respectent ce qu’il commande. On ne s’improvise donc pas comme ami de Jésus du jour au lendemain. Il y a une condition qui est de faire ce qu’il commande. On ne peut donc pas crier « Jésus je t’aime, Jésus je t’aime » alors que l’on sort du lit de fornication ; on ne peut pas dire « Jésus je t’aime », alors que l’on a dans ses poches ou dans son compte en banque, de l’argent volé. De quel amour peut-on parler ainsi ? Cela relève tout simplement de la religion et du mensonge. On prouve qu’on aime Jésus quand on garde ses commandements. Comprenez-vous cela ? Tu ne peux pas dire que tu aimes Jésus alors que tu vis dans le concubinage ou que tu pratiques l’adultère. Ce serait du n’importe quoi. Tu prétends aimer Jésus alors que tu fréquentes les marabouts, alors que tu détiens des potions et des écorces pour charmer les gens ! Charmer les filles, charmer les garçons, charmer les hommes d’affaires ou autres ! Tu ne peux dire que tu aimes Jésus en te comportant de la sorte. De quel amour s’agirait-il ?

Jésus dit que : « vous êtes ses amis, si vous faites ce qu’il vous commande. » Vous verrez que Jésus insiste sur l’amour depuis le début de son propos. En poursuivant la lecture aux versets 15 à 17, il revient dessus. Voici ce qui y est écrit :

« Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon Père. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi ; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les autres. »

Jésus insiste sur l’amour au verset 17. Oh Seigneur, donne un cœur d’amour à ces enfants, tes enfants ! Oh Seigneur réforme-les totalement ! Oh Seigneur, réforme chacun totalement en enlevant le cœur animal en lui ! Enlève le cœur animal qu’il y a dans ces vies ou dans ces ventres ; enlève-le Seigneur ! Oh Seigneur, s’il te plaît interviens ! Ceux-là que tu avais réellement touché au départ et qui avaient connu une réelle transformation, mais qui ont connu un arrêt ou qui ont régressé, Seigneur visite-les ! Seigneur, ils ont réinvité la nature animale en eux, s’il te plaît réforme-les ce matin ! Seigneur réforme-les ce matin, réforme-les ce matin, réforme-les ce matin en chassant cette nature animale en eux au nom de Jésus ; et donne-leur ta nature, ton Esprit et ta vie, au nom puissant de Jésus ! Merci Seigneur de m’avoir écouté !

Jésus n’a pas mille commandements. Ce qu’il nous commande au verset 17 ci-dessus, c’est de nous aimer les uns les autres. Voilà le seul commandement de Jésus ! Je vous disais jeudi passé que, l’amour dont parle Jésus ici n’est pas ce qui est compris là-bas dehors. L’amour de Dieu n’est pas un amour enveloppé de l’indulgence. Il n’est pas un amour qui couvre les fautes des autres sans les reprendre, sans les reprocher et sans les punir. L’indulgence est différente de l’amour. L’amour véritable est strict. Car quand tu aimes le prochain, c’est parce que tu t’aimes toi-même. C’est ce que Jésus a dit. Il a dit : aime ton prochain comme toi-même. Quand tu t’aimes toi-même, tu ne dois pas te tolérer à faire des bêtises. Si tu t’aimes toi-même, tu dois être rigoureux vis-à-vis de toi-même. Si tu es indulgent vis-à-vis de toi-même, tu iras en enfer. C’est ce qui a fait dire à l’apôtre Paul que : « Je cours, mais non pas comme à l’aventure ; je frappe, non pas comme battant l’air ; mais je traite durement mon corps, et je le tiens assujetti, de peur d’être rejeté moi-même, après avoir prêché aux autres. » (1 Corinthiens 9 : 26-27)

Avoir donc de l’amour envers le prochain suppose que l’on a d’abord de l’amour envers soi-même. C’est ce que l’on veut pour soi-même que l’on voudra pour son prochain. L’amour véritable ne connaît pas l’indulgence, et il ne couvre pas les bêtises. Ceci me donne l’occasion de relever une équivoque par rapport au verset biblique qui dit que : l’amour couvre une multitude de péchés (1 Pierre 4 : 8). Ce passage ne veut pas dire que l’on tolérera et couvrira les péchés des autres autour de soi parce qu’on les aime. Non ! Il voudrait simplement dire que, l’amour pour les autres, épargne ou empêche de commettre les péchés vis-à-vis de ceux-là qu’on aime. Je peux vous dire sans risque de me tromper que, celui qui est rempli de l’amour de Dieu, est épargné du péché à toutes les occasions, dans la mesure où c’est la nature de Dieu qui dominera en lui à chaque occasion. À toutes les occasions, c’est la nature de Dieu qui dominera. Et cette nature de Dieu, c’est l’amour.

Une personne qui est donc ainsi remplie de l’amour divin, est dominée par la nature de Dieu dans chacune de ses actions. Elle est donc encline à faire le bien plutôt que le mal qui conduit au péché. Voilà ce qu’il faut entendre par l’amour de Dieu couvre une multitude de péchés. Quand on a de l’amour de Dieu, on ne peut pas enfreindre les dix commandements. On ne peut donc pas pécher. C’est le manque d’amour en soi qui pousse à enfreindre les dix commandements. Et le 1er des dix dit que tu n’auras pas d’autres Dieu devant la face de l’Éternel. Celui donc qui dit qu’il aime Dieu, ne peut pas enfreindre ce 1er commandement. Il manifestera son amour pour Dieu et sera dévoué pour ses choses. Celui-ci ne peut pas enfreindre le 1er commandement, je vous dis. Quand on a l’amour véritable de Dieu dans son cœur, on ne peut pas avoir des idoles pour les adorer, et on ne peut pas être soi-même une idole pour s’adorer. Et on ne va enfreindre aucun des dix commandements à cause de l’amour.

Je dois opportunément rappeler que Jésus a regroupé les dix commandements en deux groupes. Lorsque les disciples lui avaient posé la question sur le plus grand commandement, il leur avait dit que les commandements tournent autour de l’amour : aimer Dieu et aimer son prochain. Et il est facilement compréhensible que, lorsqu’on a l’amour pour Dieu, on a de l’amour pour le prochain qui signifie qu’on ne lui fera jamais du mal. Quand tu aimes ton prochain, tu ne peux jamais lui faire du mal. Et il est à noter que tous les commandements, en dehors de ceux qui visent Dieu, tournent autour du prochain. D’une façon générale donc, les commandements de Dieu tournent autour de l’amour : l’amour pour Dieu et l’amour pour le prochain. Quand on aime Dieu, on aimera forcément le prochain. L’apôtre Jean l’a dit. Il a dit que l’on ne peut pas prétendre aimer Dieu qu’on ne voit pas ; alors qu’on déteste le prochain que l’on voit. Il a dit que cela est un mensonge.

C’est en fait le prochain que l’on voit que l’on doit aimer, pour démontrer que l’on aime Dieu. Dieu étant invisible, on doit manifester son amour envers le prochain que l’on voit. Il est donc à conclure que, quand on a l’amour de Dieu en soi, on ne peut pas commettre de péché du tout, dans la mesure où le péché se commet contre Dieu ou contre le prochain. Et quand on a décidé d’avoir l’amour de Dieu en soi, on ne peut pas faire du mal à son prochain. On ne pourra pas jalouser son prochain ; on ne pourra pas le haïr, ni prendre sa femme ou tout autre chose lui appartenant. On ne pourra pas lui faire du mal tout court. Voyez-vous donc que tout tourne autour du prochain ? Que Dieu vous aide, et que vos yeux s’ouvrent !

Lorsqu’on prétend être l’enfant de Dieu et que l’on se retrouve à couteau-tiré avec tout le monde, cela veut dire que l’on n’aime pas les gens, on n’aime pas ses frères et sœurs en Christ. Cela signifie que l’on n’a pas de compassion pour les païens, et que l’on ne veut pas leur salut. À quoi sert-on finalement ; à quoi sert-on ? En fait, on comprend que ce genre d’enfant de Dieu ne peut pas faire entrer les gens dans la bergerie et même, ceux qui sont dans la bergerie, il ne peut pas les y maintenir à cause de son mauvais comportement. Cela est mauvais, c’est mauvais. Il faut changer, il faut changer. Il n’est pas bon que les gens soient toujours en train de se plaindre de votre mauvais comportement. Vous devenez une occasion de chute et une pierre d’achoppement pour les autres. Cela n’est pas bien. Vous devez tout faire pour changer ; vous devez tout faire pour changer. Vous devez tout faire pour avoir l’amour de Dieu en vous.

C’est le lieu pour moi d’attirer l’attention des uns et des autres sur la manière de reprocher leurs frères. Sans être indulgents, vous devez reprendre vos frères en cas de besoin. Vous devez les corriger en cas de besoin, mais, cela ne doit pas se faire dans la haine ; cela ne doit pas revêtir le caractère d’une vengeance. Cela doit se faire dans l’amour. Les reproches, les reprises et les corrections doivent se faire dans l’amour. Même si vous avez raison de corriger votre frère, vous êtes tenus de le faire dans l’amour. Par contre, je dois dire à ceux qui pensent qu’il ne faut pas blesser les gens, ou qu’il faille les caresser dans le sens du poil, vous faites mal. Vous êtes des indulgents. Ils ont par ailleurs eux-mêmes des défauts qu’ils veulent couvrir. C’est pourquoi, ils ne peuvent pas reprocher celui qui a mal fait, sachant qu’eux-mêmes, font comme celui-là. Les indulgents sont des gens qui sont généralement fautifs dans les domaines où ils ont vu les autres en défaillance.

Ils sont eux-mêmes défaillants dans lesdits domaines. C’est la raison pour laquelle ils préfèrent l’indulgence dans ces domaines-là. Aussi voient-ils la bêtise et font comme s’ils ne l’avaient pas vue. Ils ne peuvent pas parler, parce qu’ils se reconnaissent eux-mêmes dans les mêmes bêtises. Ils en ont la tendance ou alors ils pratiquent ce que l’autre ou les autres font. Il convient à ce sujet de vous rappeler que, même l’intention est déjà une faute. Quand vous avez l’intention de commettre une faute, vous êtes déjà coupables. Je prendrais en exemple le cas de ma fille Marie-Bernard KABIEBWE, qui a été interpellée l’autre jour. Celle-ci est en train d’envier sa grande-sœur païenne. Ma fille, j’ai constaté l’autre jour lorsqu’on t’interpellait que, tu n’étais pas touchée par le reproche qui t’était fait. Au lieu d’avoir le repentir, tu souriais et montrais les dents. Cela veut dire que tu as l’intention de vivre comme elle, tu as l’intention de vivre la vie mondaine, puisque tu l’envies. Cela est déjà un péché en soi. Tu ne peux donc pas lui faire de reproche étant donné que tu envies la vie mondaine qu’elle mène ; une vie qui n’est pas admise pour les chrétiens !

Dans une telle attitude ou un tel état d’esprit, tu ne peux pas prier pour ta grande-sœur afin qu’elle se repente. Tu ne peux pas prier pour elle ; et tu ne peux non plus la reprocher par rapport à son mauvais comportement. Tu ne peux pas prier pour qu’elle change, parce que toi-même tu envies sa manière de vivre. Voilà par exemple ce qui peut annuler les prières que les uns et les autres peuvent adresser à Dieu. Si vous avez tendance à faire ce que les non-croyants font, vous ne pouvez pas prier pour leur salut. Vous ne pouvez pas dire « Seigneur sauve, Seigneur sauve, Seigneur délivre ! ». Si vous le faites, c’est en vain.

Vous ne pouvez pas prier pour le salut des mondains, alors que vous enviez vous-mêmes la vie mondaine, et que vous enviez leurs choses. C’est quelle prière que vous pouvez élever à Dieu de la sorte ? Ce sont des abominations que vous adressez ainsi à Dieu. Vous devez en fait détester avec la dernière énergie les bêtises que les païens commettent ; et vous devez avoir de la compassion qui vous amène à prier Dieu pour que ceux-ci changent et se transforment. C’est dans cet esprit que votre prière peut monter à Dieu. Si par contre, je le redis, vous les enviez et enviez leurs choses, prétendre prier pour eux revient à perdre son temps. Vous perdez votre temps. Comprenez-vous cela ? Vous perdez votre temps. Je prie que le Seigneur vous aide à comprendre aujourd’hui.

En lisant d’ailleurs les versets 18 à 21, nous comprenons comment Jésus nous interdit d’aimer le monde. Voici ce qui y est écrit :

« Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous.  Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas celui qui m’a envoyé. »

Les amis, n’essayez pas de vouloir plaire au monde, n’asseyez pas de vouloir plaire au monde. Aimez votre prochain et ayez la compassion pour le païen ! N’enviez donc pas le païen et prétendre que vous prierez pour son salut ! Ne faites pas cela ! Seigneur donne-leur de comprendre et de changer, au nom de Jésus-Christ !

Je m’en vais essayer de conclure mon propos de ce jour, en vous invitant d’aller avec moi dans le livre de Hébreux, au chapitre 12. Et commençons la lecture au verset 2. Nous irons jusqu’au verset 11. Rappelez-vous que nous sommes à la suite de ce que nous avons appris jeudi dernier, à savoir que nous devons marcher comme Jésus lui-même a marché. Nous lisons :

« Ayant les regards sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite du trône de Dieu. Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l’âme découragée. Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang, en luttant contre le péché. Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ; Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils.

Supportez le châtiment : c’est comme des fils que Dieu vous traite ; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas ? Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie ? Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon ; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté. Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie ; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice. »

Dans ce texte, il est question de l’indulgence. L’amour véritable ne connaît pas de l’indulgence, ni de favoritisme. C’est pourquoi Dieu nous dit que, Dieu ne fait acception de personne. Dieu ne fait donc pas de favoritisme ; et comme il est amour, l’amour véritable ne connaît pas de favoritisme. L’amour véritable ne couvre pas les fautes ; l’amour véritable corrige avec amour. Que le Seigneur vous aide à avoir sa qualité d’amour !

Et cette qualité d’amour, comme nous l’avons vu, se reçoit par la parole et sa mise en pratique. C’est lorsque nous demeurons dans la parole de Dieu, que la nature de Dieu se développe en nous. Priez donc Dieu ce matin, pour lui demander de vous donner sa nature pour ceux qui ne l’ont pas encore ; ou de renouveler sa nature en vous, si vous l’aviez déjà eue !

Mettez-vous debout et priez !

Amen !

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[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE (PART 3/4) : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « L’INSTINCT DE SURVIE », « LA ZONE DE CONFORT, DE CONFLIT ET LE SUPERFLU », « LES CHAÎNES MALÉFIQUES », « LES RANCŒURS, LE MANQUE DE PARDON », « L’INSENSIBILITÉ », « L’INTÉRÊT PERSONNEL », « L’AVEUGLEMENT ET L’IGNORANCE », « L’HYPOCRISIE »[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

À la suite du message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA, lequel invitait à l’amour de Dieu et du prochain, le Saint-Esprit a exposé les démons ci-dessus, afin de parfaire la délivrance des fidèles.

Les démons répondant au nom de « Chaînes maléfiques » ont affirmé qu’ils ligotent toutes les personnes caractérisées par le manque d’amour, le manque de pardon. Il a été rappelé qu’aimer veut dire patienter et supporter les autres, d’après les recommandations des versets ci-dessous :

** « Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ. » (Éphésiens 4 : 32)

** « Devenez donc les imitateurs de Dieu, comme des enfants bien-aimés ; et marchez dans la charité, à l’exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s’est livré lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur. » (Éphésiens 5 : 1-2)

Puisqu’il faut aimer et pardonner, le chrétien ne doit pas garder rancune à quiconque : membres de famille, collègues, etc. Le chrétien ne doit pas attacher ou honnir les gens dans son cœur, sous prétexte que ceux-ci ne l’ont pas secouru, aidé ou soutenu pendant les moments difficiles, la famine, les épreuves de l’enfance, la maladie, etc.

Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a ainsi invité chacun de nous à lire et mettre en pratique les versets bibliques ci-dessus, chaque jour.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE (PART 2/4) : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « L’INSTINCT DE SURVIE », « LA ZONE DE CONFORT, DE CONFLIT ET LE SUPERFLU », « LES CHAÎNES MALÉFIQUES », « LES RANCŒURS, LE MANQUE DE PARDON », « L’INSENSIBILITÉ », « L’INTÉRÊT PERSONNEL », « L’AVEUGLEMENT ET L’IGNORANCE », « L’HYPOCRISIE » [:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

 Les esprits impurs ci-dessus ont été saisis par l’Éternel Dieu, afin de d’interpeller les fidèles quant-à l’amour envers Dieu et le prochain.

L’esprit appelé « Zone de confort, de conflit et le superflu » a rappelé que tant qu’on prétend aimer/servir Dieu et le prochain, tant qu’on prétend se sacrifier pour eux sans toutefois que le sacrifice en question nous fasse éprouver de la douleur et de la souffrance, il faut savoir qu’on rien fait du tout, car on a juste donné le superflu. Le superflu en question peut renvoyer à l’argent, au temps, aux efforts, aux énergies, etc.

Quand Jésus-Christ devait par exemple mourir à la croix par amour et pour nous sauver, le sacrifice et la douleur étaient si intenses qu’il a dû crier que Dieu éloignât de lui la coupe, si cela fût possible. Lorsque le chrétien ne veut pas se sacrifier pour Dieu et pour les autres, lorsqu’il cherche à conserver sa vie, il se laisse habiter et animer par le démon appelé « Instinct de survie ». En pareil cas, il ne peut être utile ni pour lui-même ni pour les autres, car il se perd et tue des âmes autour de lui, à cause de son attitude égoïste.

L’esprit appelé « La Zone de confort, de Conflit et le Superflu » a pris des exemples pratiques. Quand on doit par exemple mettre ses genoux au sol pour prier pour le salut des perdus, et qu’on ne le fait pas parce qu’on préfère privilégier sa zone de confort, on contribue à perdre les âmes en question. En fonction des personnes et des cas, quitter la zone de confort exige par exemple qu’on sacrifie des heures supplémentaires ses nuits de sommeil pour intercéder, cela exige qu’on coupe les ponts avec telle ou telle relation, etc. Quitter la zone de confort exige simplement qu’on consente des sacrifices, car sans sacrifices, il ne peut y avoir de réveil spirituel. Il faut par exemple qu’il y ait des martyrs comme Etienne, et on doit fermement s’y préparer au Tabernacle de la Liberté.

Il faut aussi des sacrifices même en termes d’offrande, comme on le voit à travers l’histoire de la pauvre veuve dont parlent les évangiles, qui avait sacrifié et donné à Dieu le peu qu’elle avait pour vivre, tandis d’autres donnaient de grosses sommes, mais des sommes qui n’étaient que du superflu, et ne leur coûtaient rien. Quitter sa zone de confort, c’est être prêt, c’est obéir à Dieu, c’est secourir, aider et supporter le prochain, quand bien même cela ne nous arrangerait pas ; c’est servir et servir à nouveau, d’un cœur bien disposé, sans jamais dire qu’on a déjà assez fait, ou qu’on a déjà fait la part qui nous revient.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE (PART 1/4) : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS SUIVANTS : « L’INSTINCT DE SURVIE », « LA ZONE DE CONFORT, DE CONFLIT ET LE SUPERFLU », « LES CHAÎNES MALÉFIQUES », « LES RANCŒURS ET LE MANQUE DE PARDON », « L’INSENSIBILITÉ », « L’INTÉRÊT PERSONNEL », « L’AVEUGLEMENT ET L’IGNORANCE », « L’HYPOCRISIE »[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

Suite au message prêché par le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA et portant sur l’amour envers Dieu et le prochain, l’Éternel Dieu a saisi les esprits impurs ci-dessus énumérés, afin d’en déconnecter les fidèles.

Parlant dans le corps d’un jeune homme, l’esprit d’ « Instinct de survie » a affirmé qu’il est le pivot et le principal de tous les autres, formant avec eux une équipe choc. L’esprit d’ « Instinct de survie », symbole de l’égoïsme et de la jalousie,  a illustré son mode opératoire à partir de l’influence qu’il a exercée contre Adam et Ève, et leur progéniture. Bien que connaissant le Créateur et sachant ce qu’il attendait d’eux, Adam et Ève ont péché en écoutant les propositions de satan, tandis que Caïn tua son frère Abel par jalousie. Adam et Ève n’ont pas fait confiance en Dieu, d’où leur chute.

L’esprit d’ « Instinct de survie » a rappelé que lorsqu’on accepte Jésus comme Seigneur et sauveur personnel, on a déjà la vie et on a tout en lui, en sorte qu’on n’a plus besoin de se soucier des lendemains. Ainsi, quand on se met à nouveau à s’inquiéter, à se soucier, à partir du moment où les pensées ballottent par manque de confiance et d’assurance en Dieu, cela invite le démon d’ « Instinct de survie ». En effet, il faut retenir que Dieu ne partage pas sa gloire avec quelqu’un d’autre. Une fois qu’il y a donc une petite faille, même toute petite, cela donne accès aux démons d’Instinct de survie, et à ses collègues.

Ce démon a confessé qu’il s’installe également chez les personnes animées par la rancœur, la rancune, le manque de pardon, etc. L’esprit d’ « Instinct de survie » caractérise également les fidèles qui vivent pour eux-mêmes, pour eux seuls (le chacun pour soi), sans se préoccuper des autres. Quand on s’installe donc dans une zone de confort et qu’on ne veut pas aller au-delà pour se sacrifier pour les autres, quand on ne donne à Dieu et aux autres que ce qui est superflu et sans valeur réelle (temps, argent, efforts, etc.), on est habité et animé par le démon d’Instinct de survie.

Que chacun se sacrifie donc pour Dieu et pour le prochain, afin de se déconnecter de l’influence de ce démon.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE :  CAMEROUN/ APRÈS-CAN TOTAL ENERGIES 2021 – LA PAUVRETÉ ET LE DÉSARROI SONT INTERDITS DE S’INSTALLER DANS LA NATION[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

On peine à palper le fruit des investissements consentis pour la préparation et l’organisation de la CAN Total Energies 2021. Par exemple, la vente des billets ne renfloue pas les caisses de l’État, puisque ceux-ci sont distribués gratuitement, et que l’entrée dans les stades n’est quasiment pas payante, comme on a pu le constater hier 24 janvier, lors de la bousculade de la foule au stade d’Olembé, à l’occasion du match opposant le Cameroun aux Comores.

Au regard de cette conjoncture économique à passerelles défavorables, l’Éternel Dieu a exposé les esprits de Pauvreté et de Désarroi. Ces démons ont confessé qu’ils comptaient s’installer au Cameroun après la CAN, afin de frustrer et soulever les camerounais, à cause de la cherté de la vie et la faiblesse du pouvoir d’achat des ménages.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé en enfer ces esprits de Pauvreté et de Désarroi, garantissant ainsi au Cameroun un climat d’après-CAN plus serein au plan socioéconomique.

Merci Seigneur.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : CAMEROUN – ANÉANTISSEMENT DES MARABOUTS DES MEMBRES DU GOUVERNEMENT ET DE L’ADMINISTRATION, DONT CEUX D’HENRI EYEBE AYISSI, MINISTRE DES DOMAINES, DU CADASTRE ET DES AFFAIRES FONCIÈRES[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

Pour se faire nommer, bénéficier d’une promotion ; pour se maintenir au pouvoir ou pour échapper à l’emprisonnement découlant des procès de détournements des fonds publics, les hauts commis de l’administration et les membres du gouvernement se paient les services des marabouts.

Ces derniers temps, un article web abondamment relayé fait par exemple savoir que deux Ministres originaires de la Lékié ont été aperçu nus, et élevant des incantations sur ordre d’un marabout, aux fins de bénéficier des grâces du Président Paul BIYA, pendant le prochain remaniement ministériel. Le Ministre Henri EYEBE AYISSI est cité dans l’affaire.

À la faveur des délivrances de ce jour, l’Éternel Dieu a saisi les démons incarnant les marabouts des responsables d’administration et des 72 membres du gouvernement, afin d’anéantir leurs pratiques ci-dessus décrites, pratiques qui visaient à leur conférer une immunité et une impunité mystiques. Ces marabouts ont confessé qu’ils se contentent de travailler leur argent, sachant bien que leurs services rendus aux diverses personnalités demeureront sans effet.

Au nom puissant de Jésus, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé ces esprits en enfer. C’est dire que les portes de la prison sont prêtes à accueillir tous ces Ministres détourneurs des fonds publics.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – LE CHRÉTIEN DOIT SE DÉCONNECTER DE L’IGNORANCE ET DE L’AVEUGLEMENT SPIRITUEL[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

Pendant le service de ce jour, l’Éternel Dieu a exposé l’esprit d’Ignorance et l’esprit d’Aveuglement spirituel, dont les traits caractérisaient les fidèles.

Nous avons compris que si on n’arrive pas à aimer Dieu, à aimer le prochain, à avancer dans la chrétienté, à être entièrement satisfait en Dieu, c’est parce qu’on ne sait pas qui on est en tant que chrétien.

Le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé les esprits d’Ignorance et d’Aveuglement spirituel en enfer. Plus que jamais, par la lecture, la méditation et la mise en pratique de la parole de Dieu, par la foi ferme, il est donc question que chacun de nous sache désormais qui il est et à quoi il est appelé.

Amen.[:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – DES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR L’ESPRIT DE MORT[:]

[:fr]CONCRET DU SURNATUREL DU DIMANCHE 23 JANVIER 2022 SUR LE THÈME : LES PRÉALABLES OU LES PRÉPARATIFS AVANT L’ENTRÉE EN CANAAN, ET LE SOUS-THÈME : LA NATURE DE DIEU (L’AMOUR) S’IMPRÈGNE EN NOUS PAR L’OBÉISSANCE À SA PAROLE (6e partie)

L’Éternel Dieu a saisi l’esprit de Mort, pour procéder à l’interpellation des fidèles dont la mort était imminente. Nous avons compris que c’est le péché qui cause et produit la mort, en l’occurrence l’orgueil, le mauvais état de cœur, les inquiétudes, les disputes, les murmures, la collaboration avec les ramassis, etc.

Parmi les personnes interpellées (Clotilde EYENGA, Louise MAPAMBE, Lydie WOKAM, David NDJOMO, Paul MANDENG, etc.), il a été noté qu’à moins de se ressaisir, certaines mourraient par accident ou par mort subite.

Après avoir invité les concernés à changer de comportement, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a décapité et chassé l’esprit de Mort en enfer.

Gloire au Dieu miséricordieux ![:]

[:fr]DÉLIVRANCE PROPHÉTIQUE : TABERNACLE DE LA LIBERTÉ – DES FIDÈLES INTERPELLÉS PAR LES ESPRITS INCARNANT LES TYRANS DE CE MONDE[:]

[:fr]SÉMINAIRE DU MOIS DE DÉCEMBRE 2021 (DIMANCHE 05 DÉCEMBRE) SUR LE THÈME : LA DÉLIVRANCE DES ESPRITS FAMILIERS ET DE LA SORCELLERIEET LE SOUS-THÈME : CONNAÎTRE SON ORIGINE ET SA NATURE DIVINE POUR SON MAINTIEN AU SALUT

 Des esprits impurs appelés « Tyrans de ce monde » et incarnant les dirigeants des grandes puissances ont avoué qu’ils ont de la force et peuvent agir à cause de l’égoïsme des chrétiens. Ils ont également indiqué qu’ils usent d’intimidation, à l’effet de déstabiliser et de voler l’autorité des chrétiens.

Ces démons ont directement interpellé certains fidèles, pour que ceux-ci se remettent à l’œuvre du Seigneur, en se souvenant par exemple des engagements pris dans le passé. Plusieurs ont ainsi été invité à se consacrer à l’intercession, comme il est du devoir de tout chrétien.

Il a surtout été noté que nous ne devons plus nous concentrer sur nous-mêmes, ni sur la famille charnelle, restreinte, sachant que nous devons nous intéresser et travailler au salut des peuples nombreux. Pour motiver chaque fidèle à cette mission, le révérend pasteur Caleb NGOA ATANGANA a lu le Psaume 89 : 51, qui amène le croyant à comprendre qu’il doit s’intéresser au sort des âmes des peuples, selon qu’il est écrit :

** « Souviens-toi, Seigneur ! de l’opprobre de tes serviteurs, Souviens-toi QUE JE PORTE EN MON SEIN TOUS LES PEUPLES NOMBREUX ».

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